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Re: /!\ -18/!\ En bonne compagnie [Fried et Ady]
Mer 9 Sep 2020 - 12:03
«A qui le dites-vous, les stocks diminuent malheureusement. Ce qui se fera par la suite ne pourrait être aussi bon que ce millésimé. » Dit-il, en levant ce précieux liquide ambré sous leur nez. Ces ressources étaient des denrées rares à leur époque, et un aussi bon alcool ne pouvait être synthétisé, malheureusement. Il faudrait de nombreuses années avant de pouvoir produire quelque chose d’aussi qualitatif. Mais qui pouvait dire de quoi demain serait fait ? C’était d’ailleurs bien pour cela que son regard sur la brune devant lui changeait, au fur et à mesure qu’il comprenait qu’elle n’était pas totalement fermée à l’idée. Elle était la distraction qu’il attendait, et au vue du regard qu’elle lui lançait, il semblerait bien que la réciproque soit en train de se vérifier.
«Oh je suis persuadé de pouvoir vous apprendre quelques coutumes très intéressantes venant de mon pays. » Il était à présent évidemment qu’il n’était plus réellement question des us et des coutumes d’un pays, ou de leurs traditions. Du moins, pas de ce genre de tradition. «Je ne doute pas que les vôtres soient très… intéressantes en retour. » Dit-il, dans un sourire charmeur. Cette conversation prenait un tout autre tour, et ce n’était pas pour lui déplaire. «Pilote… Vous m’en direz tant. » Il feignait l’assurance, mais il était réellement surpris et impressionné peut-être aussi. Elle n’était pas idiote de prime abord, et son métier suggérait une intelligence bien plus supérieur à ce qu’il aurait pu supposer d’elle. Une bonne chose, il appréciait d’autant plus celles qui ont de la suite dans les idées.
«J’ai connu les mains d’une chirurgienne… Je serai curieux de découvrir si ce que vous dites est vrai. » Leur regard s’accroche. C’est une dernière façon de s’assurer que les deux sont sur la même longueur d’onde. A plus tard les formalités, mais quelque chose lui disait qu’elle ne risquait pas d’être de celles qui s’accrocheraient dès le lendemain. Son approche était cavalière, il appréciait. Et la suite lui plairait d’autant plus.***
Il ouvrit la porte de sa maison, et l’invite à passer la première. La porte se referme et l’autrichien s’avance dans son dos, d’une main, il dégage sa nuque de ses cheveux avant de venir embrasser le creux de son cou. Elle se retourne alors et le toise avec une certaine arrogance. Il est persuadé qu’en d’autres circonstances, ils ne s’apprécieraient pas plus que ça. Mais ce n’était pas la question ce soir. «Il y a des règles. Tu t’en doutes. » Dit-il en s’approchant encore, effleurant son visage de ses doigts, soulevant ce menton jusqu’à lui. Il était pressé de goûter à ses lèvres. «Il n’y aura qu’une seule promesse. » Il penche son visage vers le sien, effleure ses lippes. «Du plaisir. » Dit-il, d’une voix rauque, avant d’y goûter enfin dans un profond baiser.
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Re: /!\ -18/!\ En bonne compagnie [Fried et Ady]
Ven 11 Sep 2020 - 13:21
Mon verre trouve encore une fois mes lèvres pendant que je fixe intensément Friedrich. Je commence à me ficher de ce liquide, il est bien moins intéressant que l’autrichien. Il semblerait que j’ai réussi à capter son attention avec mon histoire de pilotage, les rampants sont tous les mêmes. A regarder ce que nous sommes, des gens plus hauts qu’eux. A comprendre et vivre dans un monde qu’ils ne peuvent que contempler. Même si ce rampant-ci est visiblement très intelligent et beau, ce que je peux respecter. Je termine mon verre et je lui murmure : « Je vous en dirais tant et plus si vous le demandez. » C’est une promesse, il me provoque frontalement, curieux de savoir si je ferais aussi bien qu’une chirurgienne qu’il peut avoir fréquenté. Qu’il ne s’en fasse pas, je sais manier le manche et utiliser mes deux mains. « Les sous-entendus se doivent d’être honorés Fried.
Nous ne sommes guères restés très longtemps dans le bar après cette discussion, je crois bien que nous n’avions qu’une seule envie dès à présent. Je l’ai donc suivit jusque chez lui, d’un pas calme, mais mon cœur battait légèrement, cela faisait bien longtemps que je ne m’étais plus retrouvé dans les bras d’un inconnu. Une part de moi ressentait un petit frisson d’adrénaline, une autre part de l’appréhension. Je n’avais pas peur pour ma sécurité, mais j’avais peur que sous ce beau jean, sous ce sourire, il n’y avait que des paroles et une prestation décevante.
Il m’ouvrit la porte de chez lui, me laissant entrer et regarder le couloir. Rien d’exceptionnel, mais je m’en fiche. Mes cheveux se déplacent dans la nuque, je sens sa main et ses lèvres. Impatient qu’il est… si le baiser n’est pas désagréable, loin de là, il est même doux et me procure un frisson. Je me retourne pour le toiser, ses yeux semblent à ceux qu’un assoiffé. Mais oui mon ami Autrichien, tu auras le droit de prendre la France. Il me cite une règle… celle du plaisir ? Avant de m’embrasser avec fougue… Je ferme les yeux l’espace d’un instant, me fondant dans ce moment. Avant de le saisir aux épaules et de le plaquer contre le mur le plus proche. Mes lèvres contre les siennes, une de mes mains passe dans ses cheveux avant de les saisir, l’obligeant à pencher la tête.
Il veut du plaisir, il en aura : « J’ai une règle moi aussi, une seule promesse, je n’aime pas les gens timides. Je veux de l’audace. » A mes dires, je le mord dans le cou avant commencer à ouvrir sa chemise et de glisser une main vers sa ceinture. Qu’il soit audacieux et à la hauteur car moi je vais lui montrer que je manie très bien la langue et pas uniquement lorsque je parle. Je l’enserre avec doigté, avant de lui sussurer à l’oreille : « Je tiens toujours mes promesses. »
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Re: /!\ -18/!\ En bonne compagnie [Fried et Ady]
Lun 28 Sep 2020 - 11:11
Cette étincelle arrogante dans son regard, il l’exécrait et l’adorait en même temps. La nuit promettait d’être intéressante aux côtés d’Adrienne. Et il n’y avait pas une heure, il n’avait aucune idée de qui elle était, il ne pouvait pas affirmer qu’il en savait plus à présent, mais ce n’était pas important. Pas sur l’instant. Ce qui l’intéressait là, c’était le goût de ses lèvres et de glisser ses doigts dans cette tignasse brune pour un baiser d’un autre genre, plus appuyé. Si son approche était encore douce, la sienne fut plus directe et un sourire carnassier apparu sur ses lèvres. Elle n’était pas là pour perdre son temps. Lui non plus. Une faim s’installe dans ses prunelles alors que ses dents viennent trouver son cou et ses mains s’aventurer dans des zones de plus en plus audacieuses. Ça le change, un peu. Ses partenaires habituelles mettaient bien plus de temps que ça, avant de se libérer de leurs frustrations et de se risquer à être elles-mêmes. Ce n’était pas si facile pour tout le monde. Mais Adrienne n’était pas une débutante, loin de là.
Sa main glisse encore plus bas, tâtant à l’excitation qu’elle provoquait chez lui, à son tour de faire une promesse. Il lui répond d’un sourire qui en dit long, avant d’aller ôter sa main. Patience. Il se redresse et s’avance, la forçant à reculer. Une de ses mains remonte jusqu’à sa hanche, se glisse sous son haut pour sentir sa peau, presser ses flancs entre ses doigts. L’autre main saisit son visage, passage dans ses cheveux pour les tirer en arrière. L’autrichien est grand face à elle, la position n’est sûrement pas des plus confortables pour elle mais cela cette position verticale ne durerait pas trop longtemps. Il la tient quelques secondes comme ça, un sourire typiquement masculin aux lèvres, avant de plonger sur les siennes, à nouveau. Le baiser est plus franc, plus passionné aussi, plus pressant. Il avait les réponses qu’il désirait dans ces quelques mots. Il la fait reculer jusque dans le salon, échangeant avec elle quelques baisers passionnés et des caresses plus audacieuses. Il n’atteindra pas tout de suite le canapé, à cause de l’ardeur de sa partenaire et de sa propre excitation qui montait au fil des secondes. A son tour, il la plaque contre le mur, sans beaucoup de douceur. Il se fiche bien du bruit qu’ils pourraient faire, de toute façon, il n’y a plus personne dans cette maison depuis longtemps.
Dans des gestes enfiévrés, il s’attèle à la débarrasser de son haut, alors qu’elle lui arrache presque sa chemise qui vient choir au sol rapidement. Son jeans déboutonné tombe négligemment sur ses hanches qu’il presse un peu contre elle alors que ses mains viennent découvrir sa peau et les trésors de son corps. Leurs souffles s’entremêlent, dans un rythme saccadé, alors qu’ils explorent le corps de l’autre sans pudeur, sans gêne. Il y avait toujours cette lueur hautaine dans son regard, mais si ça pouvait lui déplaire en dehors de cette maison, il prenait un malin plaisir à s’y plonger et à la provoquer. Une chose était sûre cependant, il trouverait chez elle tout ce dont il avait besoin pour oublier sa peine, ses problèmes.
Il y eut encore quelques gestes empressés, jusqu’à ce qu’il ne leur reste plus un seul vêtement sur le dos. Et tout un plaisir, à découvrir. «Voyons voir… Adrienne… » Susurre-t-il, la voix rauque de désir, avant de saisir l’une de ses jambes pour la faire remonter jusqu’à sa taille, l’offrant à des caresses plus audacieuses. Atteindraient-ils seulement le canapé, pour cette première fois ?
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Re: /!\ -18/!\ En bonne compagnie [Fried et Ady]
Sam 3 Oct 2020 - 0:20
On ne peut pas dire que Friedrich soit du genre timide, moi non plus d’ailleurs. Je sens ses caresses, ses avances. Je vois la lueur dans son regard, il me défie, il me cherche, il me veut. Ça tombe bien, moi aussi je le veux. Mais ce que je veux par-dessus tout, c’est qu’il me supplie du regard. Petit rampant, tu peux être aussi intelligent et grand que tu veux. Je ne… Encore qu’il peut continuer ce qu’il me fait. En arrière, sa main dans mes cheveux, ça c’est bien… j’aime bien. D’autres baisers, d’autres caresses. Entre deux souffles, alors qu’il porte ma jambe contre sa taille, me rendant vulnérable, je n’ai finalement qu’une envie. Qu’il se montre encore plus audacieux. Alcool ou réelle envie ? « Montre-moi. » Je m’en fiche, sa main passe et moi je profite. Mais je décide aussi de ne pas me perdre
Je le laisse me flatter pendant un moment avant de reprendre la main. Je le repousse sur le canapé, pas question qu’il mène la danse avec moi, pas cette fois-ci. Il a eu le contrôle contre le mur, il va apprendre que je suis TOUJOURS au-dessus des gens. Je pose mes mains sur ses épaules, glissant mes lèvres sur les siennes, puis le long de son cou. Descendant jusqu’à son torse… doucement, encore et encore en bas. A mon tour de lui donner du plaisir avant que nous passion à l’étape supérieur. Je finis par remonter et m’assoir sur lui, l’embrassant dans le cou à plusieurs reprises. J’hésite à lui demander s’il a de quoi se protéger… Je suis stérile alors ce n’est pas ce qui m’inquiète et il semble être quelqu’un de raisonnable, encore que le feu dont il fait preuve pourrait m’indiquer le contraire.
En demander une pourrait briser cette dynamique brûlante, mais ne pas en demander pourrait me faire passer pour une femme tête en l’air et imprudente, ce que je ne suis pas quand je suis contraint de ramper. Finalement, je décide d’être prudente, j’approche mes lèvres de son oreille pour lui mordre et lui murmurer quelques mots : « Mets une protection et montre-moi »
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Re: /!\ -18/!\ En bonne compagnie [Fried et Ady]
Lun 26 Oct 2020 - 14:20
Son regard plongé dans le sien, il voit cette lueur de défi dans ses grands yeux noirs, assombri par une faim qu’il connaissait bien. Il y a comme un débat dans ce regard, la laissera-t-il faire ? Sauf qu’il ne demande pas la permission, l’envie est bien présente dans ses prunelles, elle ne doute pas. Elle résiste. Sans doute est-elle trop habituée à commander. Qu’à cela tienne, l’autrichien ne manquait pas d’audace.
Se plongeant dans un baiser enfiévré, sa main se glisse et caresse, experte. Il se repère à chacune de ses réactions, à chacun de ses souffles retenus et ses soupirs pour trouver le bon geste, la bonne cadence. Pendant ce temps sa bouche quitte ses lèvres pour se poser sur son cou, mordre légèrement cette chair tendre, tandis que son autre main se fait pressante sur sa cuisse. Chaque souffle de sa partenaire éveille ses propres sens, chaque frisson attise son envie et son désir d’elle. Ça n’a pas la saveur d’une première fois, c’est beaucoup plus fort que ça. Quand Adrienne pose à nouveau son regard sur lui, il comprend la bataille qui fait rage entre eux. Elle est électrisante, cette tension entre eux. Et puis, ils sont tous deux tellement déterminés à mettre l’autre à genoux, c’est grisant.
Impérieuse, elle le repousse sur le canapé pour prendre… les choses en mains. D’abord sa bouche, qui trace un sillon de feu sur sa peau, qui finit par rencontrer la preuve la plus évidente de son envie d’elle, puis ses mains qui l’accompagnent. L’autrichien rejette sa tête en arrière, les yeux fermés pour ne se concentrer que sur elle, toute entière. Elle remonte enfin, lui offrant cette pause salvatrice qui lui permet de mettre quelques idées au clair. Elle susurre à son oreille de se protéger, un rire rendu rauque par le désir s’échappe de sa gorge quand il entend cette autorité dans sa voix. «Oui, Madame. » Il parvint à tendre la main vers le chevet du salon pour en retirer un préservatif, depuis que Quinn ne vivait plus ici, il n’avait plus de raison de ne plus s’amuser dans chacune des pièces de la maison.
Puisqu’à califourchon au-dessus de lui, il lui demande un peu d’aide, un air affamé dans les prunelles. Il va lui montrer bien sûr, mais rien ne presse. De ses mains, il la guide jusqu’à ce que leurs corps ne fassent plus qu’un. Chaque sensation est analysée, interprétée et ressentie d’une façon telle que le généticien chasse son chagrin et sa douleur dans cette étreinte, rapidement enfiévrée, avec la pilote. Elle était belle comme ça, au-dessus de lui, ses cheveux tombant le long de ses joues, glissant jusqu’au creux de son cou. Il se redressera à un moment, pour les empoigner d’ailleurs, rejetant sa tête en arrière pour s’offrir ce cou nacré et renverser la tendance, et reprendre le dessus. Ni l’un, ni l’autre ne semblait vouloir lâcher prise, céder du terrain à l’autre alors… Alors ils lâchèrent tout ensemble, ni sans y laisser quelques plumes, quelques gémissements égarés quand les sensations prenaient le dessus.
Ils s’effondrèrent ensemble sur le canapé, après une lutte qui ne laissa finalement aucun gagnant, ni perdant. Il était assis sur le canapé, le corps tremblant d’Adrienne, parcourue par les derniers échos du plaisir, contre lui. Il avait lui-même du mal à reprendre son souffle. Elle était une combattante hors paires, il devait bien l’avouer. «Je te crois. » Dit-il, en référence à ce qu’elle lui avait dit plus tôt, dans la soirée sur les mains habiles de la voltigeuse. Il cherche à capter son regard, plantant ses prunelles acier dans les siennes. Remontant une de ses mains dans ses cheveux, il l’invita à s’approcher, pour l’embrasser, avec un peu moins de hargne et plus… de douceur peut-être.
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Re: /!\ -18/!\ En bonne compagnie [Fried et Ady]
Ven 6 Nov 2020 - 0:36
Avoir une relation sexuelle avec un homme arrogant est une chose que je déteste tout autant que j’apprécie cela. Je pourrais certainement vous parler pendant des heures de la façon dont j’ai cherché à lui faire ravaler son air suffisant, comment je l’ai empêché de parler de façons très créatives et imaginatives. Je n’ai parfois utilisé ni mes mains, ni mes lèvres pour cela… J’ai apprécié qu’il cherche à montrer sa dominance, cette lutte raffinée et sauvage, débridée où la raison n’a parfois aucune importance.
Deux corps guidés par deux instincts, la fierté et le désir. Je l’ai prouvé, quand j’ai fait pression de mes doigts sur sa gorge, quand j’ai fait glisser mes ongles contre sa peau, que je l’ai marqué de mon empreinte. Quand je l’ai pris, que je l’ai fait gémir et qu’il a compris, tout comme j’ai compris, que notre défiance était la source de ce moment. Lui-même, m’a montré des choses, m’a infligé des choses qui hanteront délicieusement quelques-unes de mes nuits.
Après… après tout ça, que nous ébats soient taris, je me retrouve contre lui, les cheveux en bataille et une main baladeuse sur son torse. Il m’invite à l’embrasser, voilà bien une douceur mérité après de tels ébats, mais puisque j’ai prouvé mes capacités, j’accède à sa demande et je consens à lui déposer un léger baiser sur les lèvres. Tout comme je lui demande de m’en accorder un également… Voilà une excellente surprise, je ne m’étais pas attendu que ce groupe puisse receler quelqu’un d’aussi brillant, si j’en juge ses dires, de correctement beau, mais aussi de correctement bon amant.
Je passe doucement ma main dans ses cheveux avant de lui déclarer d’une voix douce : « Alors nous avons quelques choses à partager. » Mais toutes les bonnes choses ont une fin, je décide de me relever, cherchant autour de moi les vêtements qui m’ont été arrachés durant nos ébats. Pendant que je renfilais mon haut, il me vient une idée, alors que je vois, de dos, se pencher pour récupérer un vêtement : « Tu sais, si tu n’es pas engagé dans une quelconque relation charnelle ou affective, l’idée de réitérer ce que nous venons de faire ne me déplairait pas. Loin de là. »
Je m’approche de lui, marquant un dernier propose de mon doigt sur ses lèvres : « Jusqu’à ce que l’un de nous trouve mieux. » Ajoutais-je avec un sourire mais également avec sérieux. Nos caractères ne semblent pas réellement compatibles pour une relation à long terme ni même sérieuse. De plus, je ne voudrais pas faire affront à la mémoire de mes anciens compagnons en m’abaissant à prendre quelqu’un qui ne soit pas un pilote pour une relation stable. Je reste, j’ose et j’affirme le dire et le croire, une femme aux standards hauts et précis !
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