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Re: Étrange Inquiétude | Corray
Mer 14 Oct 2020 - 10:36
Le sujet d’Andrea et de Lisandro n’a pas l’air vraiment de la mettre a l’aise. Ai-je dis quelque chose de déplacé ? Je sais que certaines fois mes plaisanteries peuvent être bancales. Mais en général Elisabeth y ricane toujours. Ou se contente de lever les yeux au ciel, exaspérée. Mais dans ce cas de figure, elle a l’air plutôt embarrassée. J’en ai peut-être trop dit. Ce n’ai peut-être pas une personne avec qui je peux parler de ce genre de choses. Je comprends que ce soit un sujet intime. Peut être un peu trop pour notre relation actuelle. Je me contenterais de rester mystérieux la prochaine fois. Même si ça ne me ressemble pas vraiment.
Quand je lui dis que c’est une idiote, son visage se déride. Je suis satisfait que ma taquinerie ait eu l'effet escompté. Elle prend ses grand air de dame fière et rieuse. Levant un doit pour affirmé qu’elle est loin d’être stupide. Je ris sincèrement. Aussi sincèrement que mes quintes de toux me le permettent en tout cas. Nos voix retombent quand je la rapproche de moi. Lui disant que le câlin vient de ma personne. Je ne vois pas son visage, mais vu l’absence de réponse elle doit être en train de faire cette fameuse tête de désespérée. Les yeux vers le ciel. J’essaie de la rassurer. Et elle me dit qu’elle ne veut pas que je l’abandonne. Je la sers un peu plus. Elle vient se blottir contre moi. Ses lèvres se posent sur mon cou. Quelque chose qu’elle a prit l’habitude de faire dès le premier jour. Je souris, bienveillant.
Sa tête se pose sur mon épaule, je ferme les yeux. Acceptant volontiers ce silence salvateur. Je ne nous berce légèrement. Ma somnolence commence à pointer le bout de son nez. Accompagner par le son des énormes gouttes frappant sur le carreau. Je sens que mon amie me lance un regard, ayant bouger sa tête sur mon épaule. J’entrouvre un œil. Attendant un interaction de sa part. Elle finit par me demander quelque chose. Elle aimerait que je lui chante quelque chose. Je lui souris, soufflant du nez. LA dernière fois que je l’ai fait c’était juste avant l’été avec Rubben. J'angoisse un peu après toutes ses années. Mais au final ça avait été plus que libérateur. Elle finit par me dire qu’elle a un MP3 mais que les piles sont mortes. Je ricane.
“Tu es en train de me dire que je vais finir en wackman géant à deux pattes ?! Je ris. Plaisanterie à part. Avec plaisir ! Il faut juste que je repose un peu mes poumons et ça devrait aller ! Parce qu'actuellement je te garantit aucun résultats...”
Quand je lui dis que c’est une idiote, son visage se déride. Je suis satisfait que ma taquinerie ait eu l'effet escompté. Elle prend ses grand air de dame fière et rieuse. Levant un doit pour affirmé qu’elle est loin d’être stupide. Je ris sincèrement. Aussi sincèrement que mes quintes de toux me le permettent en tout cas. Nos voix retombent quand je la rapproche de moi. Lui disant que le câlin vient de ma personne. Je ne vois pas son visage, mais vu l’absence de réponse elle doit être en train de faire cette fameuse tête de désespérée. Les yeux vers le ciel. J’essaie de la rassurer. Et elle me dit qu’elle ne veut pas que je l’abandonne. Je la sers un peu plus. Elle vient se blottir contre moi. Ses lèvres se posent sur mon cou. Quelque chose qu’elle a prit l’habitude de faire dès le premier jour. Je souris, bienveillant.
Sa tête se pose sur mon épaule, je ferme les yeux. Acceptant volontiers ce silence salvateur. Je ne nous berce légèrement. Ma somnolence commence à pointer le bout de son nez. Accompagner par le son des énormes gouttes frappant sur le carreau. Je sens que mon amie me lance un regard, ayant bouger sa tête sur mon épaule. J’entrouvre un œil. Attendant un interaction de sa part. Elle finit par me demander quelque chose. Elle aimerait que je lui chante quelque chose. Je lui souris, soufflant du nez. LA dernière fois que je l’ai fait c’était juste avant l’été avec Rubben. J'angoisse un peu après toutes ses années. Mais au final ça avait été plus que libérateur. Elle finit par me dire qu’elle a un MP3 mais que les piles sont mortes. Je ricane.
“Tu es en train de me dire que je vais finir en wackman géant à deux pattes ?! Je ris. Plaisanterie à part. Avec plaisir ! Il faut juste que je repose un peu mes poumons et ça devrait aller ! Parce qu'actuellement je te garantit aucun résultats...”
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Re: Étrange Inquiétude | Corray
Mer 14 Oct 2020 - 22:44
Soit il était pas très fort , soit j'étais vraiment naze pour m'exprimer. Je pense que c'était un peu des deux, je ne savais pas dire les choses quand je tenais à une personne et lui devait être fatigué et ne voulait visiblement pas comprendre. Enfin ce n'était pas le moment de penser à ça, je devais bien avouer que j'étais aussi un peu fatiguée après tout j'avais tout de même respirer de la fumée et puis les allés retours et le stress ne m'avaient pas laissé de marbre. J'avais un peu de mal à comprendre cette relation , un peu de mal là où je n'en avais jamais eu. Pour moi c'était simple, j'aimais mes amis et si parfois ça dérapé s'était comme ci il ne s'était rien passé le lendemain , d'ailleurs je n'avais pas de mal à faire comprendre aux gens qui me plaisaient - filles ou garçons d'ailleurs - que j'avais l'envie de m'isoler avec eux , et pas pour jouer aux cartes , si vous voyez ce que je veux dire. Mais là s'était différent j'étais incapable de dire les choses. Je finis donc par changer de sujets autant pour lui que pour moi et puis pour le silence gênant qui commençait à s'installer et qui s'installerait surement si ça continuait comme ça . Je lui demandais alors si il pourrait un jour me chanter quelque chose , il demanda alors si il allait devenir un walkman géant . Je ris alors et répondis d'un ton léger - Alors déjà mon vieux , les walikman ont en trouve plus depuis pas mal de temps ... et puis ouai c'est une bonne idée : tu chantes et tu me suis partout où je vais . Ah ouai j'aime bien l'idée. dis je en faisant une mine faussement pensive. Je lui mettais alors un petit coup d'épaule amusée. J'aimais bien ces moments légers et complices que l'on pouvait avoir parfois; Puis il finit par accepter ma demande. - ça marche on a un deal . J'avoue que je saurais pas vraiment ce que je pourrais t'apporter en retours; Je chante sous la douche , pas plus . Et tu n'as pas envie de m'entendre , crois moi . Je n'étais pas très douée en chant , enfin j'étais pas totalement nulle mais j'étais et bien comme quatre vint pour cent des gens. Je chantonnais pour mon plaisir mais je n'aurais jamais fait un tube !
J'avais beau me la jouer légère je ne parvenais pas à me retirer l'image d'Andrea et de Corray dans la tête pourtant je savais bien entendu qu'il n'y avait rien entre nous et je ne pouvais pas empêchait une éventuelle relation entre eux même si je ne pouvais pas nier que ça ne m'enchantais pas du tout. Fallait peut être que je me bouge le cul à lui montrer que je tenais à lui mais comment faire ? C'est triste à dire mais j'allais peut être avoir besoin d'un coup de main extérieur pour le coup. Je n'étais pas sur qu'arriver à poil dans son appartement ferais l'affaire , surtout qu'on avait pas d'appartement ... et qu'on dormait dans le dortoir , ouai autant dire que certains seraient bien contents mais niveau discrétion on est proche des zéro quand même. Ma main jouait toujours avec celle du chanteur alors que je me montrait pensive. J'étais totalement dans ma tête pour le coup je pense qu'il le remarqua vu le regard qu'il posa sur moi. - Désolé j'étais un peu perdue dans mes pensées. Tu peux sortir de l'infirmerie au faite ou tu dois rester ici pour quelques jours ? La pluie frappait toujours les carreaux avec violence mais ça ne me dérangeait pas le moins du monde. Je regardais un peu autours de nous puis avoua à mis mots après avoir eu sa réponse. - Je me demande si on peut pas squatter ici la nuit quand il y a pas d'malades. Je sais pas toi mais j'ai terriblement du mal à dormir dans le dortoirs, trop de monde et puis ... voilà le nombres de gens qui ronfles, qui grognent en rêvant et j'en passe. Je souris alors et ajouta - J'ai cru comprend qu'il allait y avoir des sortes de bengalows . Tu as des infos toi ? Oui s'était un sacré changement de sujets mais j'étais fatiguée et l'idée de dormir dans le dortoirs m'ennuyait très clairement même si je savais que je n'avais pas le choix. Et avec la pluie battante autant dire que dirmir à la belle étoile n'était pas une bonne idée.
J'avais beau me la jouer légère je ne parvenais pas à me retirer l'image d'Andrea et de Corray dans la tête pourtant je savais bien entendu qu'il n'y avait rien entre nous et je ne pouvais pas empêchait une éventuelle relation entre eux même si je ne pouvais pas nier que ça ne m'enchantais pas du tout. Fallait peut être que je me bouge le cul à lui montrer que je tenais à lui mais comment faire ? C'est triste à dire mais j'allais peut être avoir besoin d'un coup de main extérieur pour le coup. Je n'étais pas sur qu'arriver à poil dans son appartement ferais l'affaire , surtout qu'on avait pas d'appartement ... et qu'on dormait dans le dortoir , ouai autant dire que certains seraient bien contents mais niveau discrétion on est proche des zéro quand même. Ma main jouait toujours avec celle du chanteur alors que je me montrait pensive. J'étais totalement dans ma tête pour le coup je pense qu'il le remarqua vu le regard qu'il posa sur moi. - Désolé j'étais un peu perdue dans mes pensées. Tu peux sortir de l'infirmerie au faite ou tu dois rester ici pour quelques jours ? La pluie frappait toujours les carreaux avec violence mais ça ne me dérangeait pas le moins du monde. Je regardais un peu autours de nous puis avoua à mis mots après avoir eu sa réponse. - Je me demande si on peut pas squatter ici la nuit quand il y a pas d'malades. Je sais pas toi mais j'ai terriblement du mal à dormir dans le dortoirs, trop de monde et puis ... voilà le nombres de gens qui ronfles, qui grognent en rêvant et j'en passe. Je souris alors et ajouta - J'ai cru comprend qu'il allait y avoir des sortes de bengalows . Tu as des infos toi ? Oui s'était un sacré changement de sujets mais j'étais fatiguée et l'idée de dormir dans le dortoirs m'ennuyait très clairement même si je savais que je n'avais pas le choix. Et avec la pluie battante autant dire que dirmir à la belle étoile n'était pas une bonne idée.
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Re: Étrange Inquiétude | Corray
Mer 28 Oct 2020 - 0:59
L'atmosphère se détend un peu. A ma plus grande joie. Je ne sais pas pourquoi elle s’est plombée d’un coup. Je suis bien trop épuisée physiquement et psychiquement pour y réfléchir. Je sens bien qu’elle est gênée ou attristée par quelque chose, mais on a tous passé une mauvaise après-midi, non ? Si ça ne s’arrange pas, peut-être que je m’en inquiéterais un peu plus. Mais pour le moment, je laisse un instant de répit à mon âme meurtrie. Et à mon corps fatigué. Elisabeth me taquine. Me disant que j’ai côtoyé des antiquités. Je prends une moue faussement offusquée. Ajoutant que ça ne la gênerait pas que je la suive en chantant partout. Je ris doucement quand son épaule vient me secouer. Aussi parce que m’im giner des scènes de tous les jours, avec ma personne s’égosillant en fond me fait largement sourire. Je la montre du doigt, rentrant volontiers dans son jeu.
“Tu vois ?! Tu le trouves vieux aussi ! Tu as menti ! Je ris. Essayant de garder le plus pour moi ma toux sèche. Écoute, c’est pas l’idée de te suivre partout qui me rebute hein. Mais si je ne fais rien pour ce camp je vais retourner me cailler les miches dehors en moins de deux ! Et je sais que je te manquerais !”
Après quelques éclats de rires, un lourd silence resurgit. Pendant qu’elle joue toujours avec mes mains, je la fixe inquiet. Qu’est ce qui peut bien se passer dans sa caboche. Elle sens un regard sur elle, et elle se retourne vers moi. Hagarde. Elle s’excuse pour ce moment d’absence et je suis souris, bienveillante. Elle me demande s' ils vont me laisser sortir maintenant ou si je dois rester quelque jours. Je hausse les épaules en regardant autour de moi.
“Je ne sais pas, on ne m’a encore rien dit. Mais je préfère pas sortir pour le moment. Il faudrait pas que je me fasse fâcher parce que je décide d’en faire qu'à ma tête. je souris.”
Elle me fait presque une messe basse quand elle m’avoue ne pas vraiment apprécier les dortoir. En se demandant si on peut squatter ici pour s’épargner les bruits nocturnes des autres occupants. Je ricane. ne pouvant me rappeler l’enfer qu’avaient été mes premières semaines ici. Ayant dormis dehors pendant pas mal de temps, je gardais l’habitude de ne dormir que d’une oreille, chaque bruit étant une potentiel menace. Autant dire que j’avais beau avoir un lit chaud et confortable, je ne dormais pas beaucoup. J’avais fini par prendre le plis. Elle me dit qu’elle a entendu parler de potentiel bungalows. C’est vrai que j’en ai aussi vaguement entendu parler. Mais je ne suis pas vraiment ici. Enfin, vu l’état de ma jambe je risque d’être enfermé pendant un moment.
“ Je suis pas certain que les docs soient très contents de te trouver dans un lit au petit matin. Mais comme on dit, pas vu pas pris ! Je lui fais un clin d'œil en ricanant. Ouais, j’ai entendu parler de ça. Mais après ce qu’il s’est passé aujourd’hui, je pense que ce n’est pas trop d'actualité..”
“Tu vois ?! Tu le trouves vieux aussi ! Tu as menti ! Je ris. Essayant de garder le plus pour moi ma toux sèche. Écoute, c’est pas l’idée de te suivre partout qui me rebute hein. Mais si je ne fais rien pour ce camp je vais retourner me cailler les miches dehors en moins de deux ! Et je sais que je te manquerais !”
Après quelques éclats de rires, un lourd silence resurgit. Pendant qu’elle joue toujours avec mes mains, je la fixe inquiet. Qu’est ce qui peut bien se passer dans sa caboche. Elle sens un regard sur elle, et elle se retourne vers moi. Hagarde. Elle s’excuse pour ce moment d’absence et je suis souris, bienveillante. Elle me demande s' ils vont me laisser sortir maintenant ou si je dois rester quelque jours. Je hausse les épaules en regardant autour de moi.
“Je ne sais pas, on ne m’a encore rien dit. Mais je préfère pas sortir pour le moment. Il faudrait pas que je me fasse fâcher parce que je décide d’en faire qu'à ma tête. je souris.”
Elle me fait presque une messe basse quand elle m’avoue ne pas vraiment apprécier les dortoir. En se demandant si on peut squatter ici pour s’épargner les bruits nocturnes des autres occupants. Je ricane. ne pouvant me rappeler l’enfer qu’avaient été mes premières semaines ici. Ayant dormis dehors pendant pas mal de temps, je gardais l’habitude de ne dormir que d’une oreille, chaque bruit étant une potentiel menace. Autant dire que j’avais beau avoir un lit chaud et confortable, je ne dormais pas beaucoup. J’avais fini par prendre le plis. Elle me dit qu’elle a entendu parler de potentiel bungalows. C’est vrai que j’en ai aussi vaguement entendu parler. Mais je ne suis pas vraiment ici. Enfin, vu l’état de ma jambe je risque d’être enfermé pendant un moment.
“ Je suis pas certain que les docs soient très contents de te trouver dans un lit au petit matin. Mais comme on dit, pas vu pas pris ! Je lui fais un clin d'œil en ricanant. Ouais, j’ai entendu parler de ça. Mais après ce qu’il s’est passé aujourd’hui, je pense que ce n’est pas trop d'actualité..”
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Re: Étrange Inquiétude | Corray
Sam 31 Oct 2020 - 15:38
Un Walkman mais vraiment ? Je ris un peu et me traite de vieux car pour le coup c'est vraiment dépassé. Et pourtant je suis une fille de la campagne. Je le regarde un moment alors qu'il me montre du doigt et qui ris. OK pour le coup tu es un peu vieux quand même. Mais ça va tu reste charmant t'as de la chance. Lui dis je avec un clin d'œil. Il affirme que ce n'est pas me suivre le problème mais le fais qu'il devait bosser pour le camps sinon il allait finir dehors et qu'il me manquerait. Je hausses les épaules - Peut être mais je te manquerais plus encore j'en suis sûr. Après tout c'est toi qui a voulu me ramener ici. et c'était vrai même si à la base il devait revenir seul je n'avais pas eu le courage de le laisser partir sans le suivre. Alors j'étais venue.
Pourtant ma jalousie me prend toujours le ventre et à nouveau je suis silencieuse. Je ressens de la jalousie mais aussi une colère. Comment avait elle réussis à l'avoir ? Est ce que j'étais si naze que ça ? Bon effectivement je n'étais pas là cheffe du camps je n'avais pas autant d'importance ou de prestance mais... Bon il fallait clairement que je me calme autant changer de sujet et parler du temps qu'il allait devoir passer ici. Il affirmait vouloir attendre les docs pour être sûr qu'il pouvait sortir et je fis un signe de tête. Ce n'était pas une mauvaise idée après tout. Et puis peut être qu'il aurait encore besoin de soin. Continuant de jouer avec sa main écoutant ce qu'il me disait je répondis à la suite. Ce n'est pas faux. Je devrais me trouver un autre endroit. Il dois bien y avoir un bâtiment disponible et pas surveillé. Enfin pour le moment je vais devoir m'habituer à dormir avec tout ce beau monde. lui dis je avec un sourire à moins que je puisse me lier d'amitié avec un des docs qui accepterais de me laisser dormir ici. Après tout les lits n'étaient pas toujours pris.
Je ne savais pas encore si j'allais devoir ou non rester ici avec lui à attendre de savoir si il pouvait sortir ou pas pourtant il y avait toujours cette tension qui restait palpable et je ne pouvais pas le nier ou la cacher. Je soupirais alors un grand coup quand son regard se posa à nouveau sur moi. ça m'emmerde dis je finalement en regardant l'extérieur par la fenêtre où la pluie se faisait toujours battante. C'est con, sans aucune logique, et j'ai même pas le droit d'être emmerdé par ça mais j'y peux rien. je soupire un peu et pose mon regard sur lui, je me sens étrangement gênée à vrai dire mais j'ai appris à me montrer sincère. Andrea et toi.. Ça me soûle.. Et je comprend même pas pourquoi. Enfin si un peu mais... Enfin laisses tomber. dis je en soupirant. Reportant mon attention sur la vôtre. Je m'étais redressée pour m'asseoir sur le lit. Je n'étais plus contre lui, en faire je crois que ça m'avait mise plus mal que ça n'aurait du et le pire c'est que je n'étais absolument pas légitime de lui reprocher quoi que ce soit. Je me sentais conne tout simplement,mais ai moins c'était sortie.
Pourtant ma jalousie me prend toujours le ventre et à nouveau je suis silencieuse. Je ressens de la jalousie mais aussi une colère. Comment avait elle réussis à l'avoir ? Est ce que j'étais si naze que ça ? Bon effectivement je n'étais pas là cheffe du camps je n'avais pas autant d'importance ou de prestance mais... Bon il fallait clairement que je me calme autant changer de sujet et parler du temps qu'il allait devoir passer ici. Il affirmait vouloir attendre les docs pour être sûr qu'il pouvait sortir et je fis un signe de tête. Ce n'était pas une mauvaise idée après tout. Et puis peut être qu'il aurait encore besoin de soin. Continuant de jouer avec sa main écoutant ce qu'il me disait je répondis à la suite. Ce n'est pas faux. Je devrais me trouver un autre endroit. Il dois bien y avoir un bâtiment disponible et pas surveillé. Enfin pour le moment je vais devoir m'habituer à dormir avec tout ce beau monde. lui dis je avec un sourire à moins que je puisse me lier d'amitié avec un des docs qui accepterais de me laisser dormir ici. Après tout les lits n'étaient pas toujours pris.
Je ne savais pas encore si j'allais devoir ou non rester ici avec lui à attendre de savoir si il pouvait sortir ou pas pourtant il y avait toujours cette tension qui restait palpable et je ne pouvais pas le nier ou la cacher. Je soupirais alors un grand coup quand son regard se posa à nouveau sur moi. ça m'emmerde dis je finalement en regardant l'extérieur par la fenêtre où la pluie se faisait toujours battante. C'est con, sans aucune logique, et j'ai même pas le droit d'être emmerdé par ça mais j'y peux rien. je soupire un peu et pose mon regard sur lui, je me sens étrangement gênée à vrai dire mais j'ai appris à me montrer sincère. Andrea et toi.. Ça me soûle.. Et je comprend même pas pourquoi. Enfin si un peu mais... Enfin laisses tomber. dis je en soupirant. Reportant mon attention sur la vôtre. Je m'étais redressée pour m'asseoir sur le lit. Je n'étais plus contre lui, en faire je crois que ça m'avait mise plus mal que ça n'aurait du et le pire c'est que je n'étais absolument pas légitime de lui reprocher quoi que ce soit. Je me sentais conne tout simplement,mais ai moins c'était sortie.
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Re: Étrange Inquiétude | Corray
Sam 7 Nov 2020 - 15:43
Je ris. Pour la première fois aujourd’hui. ça me fait du bien. Autour de nous, les gens se pressent. L’ambiance est lugubre, certains blessés laissent échapper des plaintes. Les médics et leur assistant du jour s’envoient des ordres à travers la pièce. Mais nous entendons à peine ce bruit de fond qui passe en second plan malgré les couleurs vives de ses interactions. Et sur nos visage s'ancrent des sourires. Je prends une moue faussement offusquée quand elle avoue finalement que pour le coup elle me trouve vieux. Mais elle ajoute qu’elle me trouve charmant malgré mes rides alors je lui pardonne avec un léger coup d’épaule. Je lui dit que s' ils me mettent dehors, je lui manquerais. Elle me répond qu’elle me manquerait plus encore, parce que c’est moi qui l’ai ramené ici. Donc je dois être attaché a sa présence plus qu’elle a la mienne.
“Je te signale que je ne t’ai pas assommé et traîner jusqu’ici. Tu m’as suivis comme une grande, j’ai pas eu besoin de beaucoup bataillé !”
Je souris, un air fière et suffisant sur mes traits. J’aime ce jeu qu’il y a entre nous. Comme un match de tennis ou de ping-pong. Mais c’est toujours bienveillant. Malgré que certaines fois on s’en serve pour se reprocher des choses. On a une belle relation et je suis content d’avoir réussi à tisser des liens aussi légers. On continue de papoter. Elle me dit qu’elle cherchera un endroit plus paisible et discret pour y passer des nuits plus reposantes.
“En tout cas, si tu trouves des endroits comme ça je veux bien les tuyaux. J’avoue que certaines nuits sont interminables. L’été je me contente de dormir a la belle étoile, mais le froid est mordant en ce moment.”
Mon air léger retombe et je replonge dans la bibliothèque poussiéreuse et mal rangée qui me sert de caboche. Les nuits passées dehors, en plein hiver, humide et grelottant. Je me souviens des dents acérées de la température hivernale sur ma peau. Mes yeux se posent dans le vide. Ils se voilent. Un frisson parcourt mon échine, me rappelant la sensation du froid qui ne quitte pas mon corps. Avoir l'impression que sa chair est gelée et que ses os sont aussi fragiles que de la glace.
La voix d'Elisabeth m’aide à refaire surface. Mes ses mots sont tranchants. Mon coeur se serre. J’ai mal compris non ? Elle s’explique plus clairement. Notre bulle se perse tandis que mon visage pâle se décompose un peu plus. Je reste bouche bée pendant quelques instants, posant mes yeux devenu glacial sur l’amie assise au bout du lit. Je ne comprends pas. C’est sa réaction qui m’échappe. Je pensais pouvoir me confier à elle. Sur tous les sujets. Mais apparemment ce n’est pas le cas. Mes machoirs se serrent, je ne sais pas pourquoi. Mais je suis déçu malgré moi. Je prends une longue inspiration. Haussant les épaules, laissant les paumes de mes mains calquer mes cuisses.
“ ça t’emmerde Elisabeth ? Mes arcades retombent sur mes yeux. Je pense que je ne peux cacher mes ressentis malgré moi. Je ne suis pas en colère, je ne lui en veux pas, je suis juste, attristé et déçu. Je ne sais pas quoi répondre.. Je.. Je soupire. Tu devrais être contente pour moi. J’veux dire, c’est pas souvent qu’il se passe un truc de bien dans ma vie sociale. Je réfléchis quelques secondes, laissant un lourd silence se créer une place. Je sais pas de quoi tu as peur exactement. Mais sache que peu importe ce qu’il se passe, je ne te laisse pas tomber. Je serais toujours là si tu as besoin.”
Je la fixe, d’un air presque triste.
“Je te signale que je ne t’ai pas assommé et traîner jusqu’ici. Tu m’as suivis comme une grande, j’ai pas eu besoin de beaucoup bataillé !”
Je souris, un air fière et suffisant sur mes traits. J’aime ce jeu qu’il y a entre nous. Comme un match de tennis ou de ping-pong. Mais c’est toujours bienveillant. Malgré que certaines fois on s’en serve pour se reprocher des choses. On a une belle relation et je suis content d’avoir réussi à tisser des liens aussi légers. On continue de papoter. Elle me dit qu’elle cherchera un endroit plus paisible et discret pour y passer des nuits plus reposantes.
“En tout cas, si tu trouves des endroits comme ça je veux bien les tuyaux. J’avoue que certaines nuits sont interminables. L’été je me contente de dormir a la belle étoile, mais le froid est mordant en ce moment.”
Mon air léger retombe et je replonge dans la bibliothèque poussiéreuse et mal rangée qui me sert de caboche. Les nuits passées dehors, en plein hiver, humide et grelottant. Je me souviens des dents acérées de la température hivernale sur ma peau. Mes yeux se posent dans le vide. Ils se voilent. Un frisson parcourt mon échine, me rappelant la sensation du froid qui ne quitte pas mon corps. Avoir l'impression que sa chair est gelée et que ses os sont aussi fragiles que de la glace.
La voix d'Elisabeth m’aide à refaire surface. Mes ses mots sont tranchants. Mon coeur se serre. J’ai mal compris non ? Elle s’explique plus clairement. Notre bulle se perse tandis que mon visage pâle se décompose un peu plus. Je reste bouche bée pendant quelques instants, posant mes yeux devenu glacial sur l’amie assise au bout du lit. Je ne comprends pas. C’est sa réaction qui m’échappe. Je pensais pouvoir me confier à elle. Sur tous les sujets. Mais apparemment ce n’est pas le cas. Mes machoirs se serrent, je ne sais pas pourquoi. Mais je suis déçu malgré moi. Je prends une longue inspiration. Haussant les épaules, laissant les paumes de mes mains calquer mes cuisses.
“ ça t’emmerde Elisabeth ? Mes arcades retombent sur mes yeux. Je pense que je ne peux cacher mes ressentis malgré moi. Je ne suis pas en colère, je ne lui en veux pas, je suis juste, attristé et déçu. Je ne sais pas quoi répondre.. Je.. Je soupire. Tu devrais être contente pour moi. J’veux dire, c’est pas souvent qu’il se passe un truc de bien dans ma vie sociale. Je réfléchis quelques secondes, laissant un lourd silence se créer une place. Je sais pas de quoi tu as peur exactement. Mais sache que peu importe ce qu’il se passe, je ne te laisse pas tomber. Je serais toujours là si tu as besoin.”
Je la fixe, d’un air presque triste.
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Re: Étrange Inquiétude | Corray
Sam 7 Nov 2020 - 16:54
Il affirme ne pas m'avoir traîner ici de force et il n'avait pas tord à vrai dire je l'avais bien voulu, en faite je ne voulais plus être seule. Je lève les yeux au ciel et sourit - Ok ok tu me manqueras peut être un peu. je fis un signe de petit avec mes doigts - un tout petit petit peu. Bien entendu c'était faux et ma façon de m'être inquiété pour lui aujourd'hui me prouvait parfaitement que je tenais à lui. Il était quelqu'un de bien et j'aimais ça mais je préférais le nier un maximum. S'attacher c'est souffrir je le savais que trop bien. On fini par parler des endroits que l'on pourrait trouver dans le camps pour dormir sans les autres personnes du dortoirs. Je lui dis qu'on dois bien trouver des endroits où passer la nuit tranquille. Il me demande de lui dire si je trouve un endroit du genre et je décide de le taquiner un peu plus - Mouai. C'est juste pour dormir avec moi avoues. Je lui met un petit coup d'épaule. Mais pourquoi je suis tout à coup lourde comme ça ? C'est pas dans mes habitudes de me rapprocher des gens. J'aime pas ça me lier avec les gens après on a peur des perdre, après on est faible. J'ai pas envie d'être faible.
Quand j'affirme que ça m'emmerde, il claque ses cuisses et je sursaute malgré moi, mon regard se pose alors sur lui machinalement. Il fronce les sourcils et il n'a pas l'air content. Attends je suis pas sur qu'il m'est comprise en faite. Il continue sur sa lancée et je me lève pour faire quelques pas, je me sers et bois un verre d'eau, ma gorge semble asséchée tout à coup , à moins que ce soit cette boule qui se forme. J'ai pété l'ambiance clairement. Il affirme que c'est pas souvent qu'il se passe un truc dans sa vie sociale et je crois que ça me met un coup en plus. - C'est pas qu'je suis pas contente pour toi Corray ... Je lui fais toujours dos, en faite je crois que je peux pas le regarder dans les yeux tout de suite. Mais il affirme qu'il sera toujours la pour moi et je me retourne, mon regard triste croise le sien. Il semble tout aussi penaud que moi mais pas pour les même raisons. - Me regardes pas comme ça ... dis je d'une voix adoucie alors que je retourne m'asseoir sur le lit.
Je regarde la couette quelques instant, puis mon regard se lève vers le sien, je rougie presque. Putain mais qu'est ce que j'ai. Je prend une grande respiration. - J'crois que tu m'as mal comprise ... Je suis vraiment contente pour toi , et c'est pas le fais qu'tu m'parles qui m'emmerdes ... Comment expliquer quelque chose qu'on ne comprend pas soi même ? J'essaye mais avant je me protèges un peu. - Écoutes ... après ça on va faire comme ci on avait jamais eu cette discussion ok ? J'étais totalement consciente qu'on ne le pourrait pas ni lui ni moi mais on pouvait faire comme ci ... non ? Ma main retrouva la sienne alors que mon regard resta sur nos mains. Je savais pas vraiment comment lui dire les choses à vrai dire. C'était compliqué pour moi. - Ce qui m'emmerdes c'est l'imaginer avec toi en faite . Je remets une mèche derrière mon oreille. - Je suis nulle pour ce genre de truc. En faite j'ai jamais eu de petits amis ... j'ai eu une histoire pendant l'épidémie avec une nana mais ... jamais avant tout ça Ouai j'étais nulle mais je savais pas comment dire les choses. - J''me suis jamais attachée à qui que ce soit parce que pour moi c'était d'la faiblesse puis j'y arrivais pas tout simplement ... mais .. enfin j'pense que ça m'rends jalouse et j'contrôle pas bien tout ça. Je suis vraiment entrain de lui avouer tout ça là ?
Je fini par me redresser, restant toujours proche du lit puis je croise les bras et lui dis avec un petit sourire qui se voulait amusée pour détendre l'atmosphère . Je me racle la gorges et essaye de reprendre de la contenance. Puis le regard planté sur lui je dis d'un ton clair. - En gros je t'adore ... et si t'es avec cette fille c'est cool pour toi mais ça m'rend jalouse... parce que je t'aime bien... voilà voilà ... sinon il fait moche t'as vu ? dis je en désignant la fenêtre terriblement mal à l'aise.
Quand j'affirme que ça m'emmerde, il claque ses cuisses et je sursaute malgré moi, mon regard se pose alors sur lui machinalement. Il fronce les sourcils et il n'a pas l'air content. Attends je suis pas sur qu'il m'est comprise en faite. Il continue sur sa lancée et je me lève pour faire quelques pas, je me sers et bois un verre d'eau, ma gorge semble asséchée tout à coup , à moins que ce soit cette boule qui se forme. J'ai pété l'ambiance clairement. Il affirme que c'est pas souvent qu'il se passe un truc dans sa vie sociale et je crois que ça me met un coup en plus. - C'est pas qu'je suis pas contente pour toi Corray ... Je lui fais toujours dos, en faite je crois que je peux pas le regarder dans les yeux tout de suite. Mais il affirme qu'il sera toujours la pour moi et je me retourne, mon regard triste croise le sien. Il semble tout aussi penaud que moi mais pas pour les même raisons. - Me regardes pas comme ça ... dis je d'une voix adoucie alors que je retourne m'asseoir sur le lit.
Je regarde la couette quelques instant, puis mon regard se lève vers le sien, je rougie presque. Putain mais qu'est ce que j'ai. Je prend une grande respiration. - J'crois que tu m'as mal comprise ... Je suis vraiment contente pour toi , et c'est pas le fais qu'tu m'parles qui m'emmerdes ... Comment expliquer quelque chose qu'on ne comprend pas soi même ? J'essaye mais avant je me protèges un peu. - Écoutes ... après ça on va faire comme ci on avait jamais eu cette discussion ok ? J'étais totalement consciente qu'on ne le pourrait pas ni lui ni moi mais on pouvait faire comme ci ... non ? Ma main retrouva la sienne alors que mon regard resta sur nos mains. Je savais pas vraiment comment lui dire les choses à vrai dire. C'était compliqué pour moi. - Ce qui m'emmerdes c'est l'imaginer avec toi en faite . Je remets une mèche derrière mon oreille. - Je suis nulle pour ce genre de truc. En faite j'ai jamais eu de petits amis ... j'ai eu une histoire pendant l'épidémie avec une nana mais ... jamais avant tout ça Ouai j'étais nulle mais je savais pas comment dire les choses. - J''me suis jamais attachée à qui que ce soit parce que pour moi c'était d'la faiblesse puis j'y arrivais pas tout simplement ... mais .. enfin j'pense que ça m'rends jalouse et j'contrôle pas bien tout ça. Je suis vraiment entrain de lui avouer tout ça là ?
Je fini par me redresser, restant toujours proche du lit puis je croise les bras et lui dis avec un petit sourire qui se voulait amusée pour détendre l'atmosphère . Je me racle la gorges et essaye de reprendre de la contenance. Puis le regard planté sur lui je dis d'un ton clair. - En gros je t'adore ... et si t'es avec cette fille c'est cool pour toi mais ça m'rend jalouse... parce que je t'aime bien... voilà voilà ... sinon il fait moche t'as vu ? dis je en désignant la fenêtre terriblement mal à l'aise.
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