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Help Me | Cormac
Dim 11 Oct 2020 - 16:55
6 octobre
La veille avait été l'une des pires journées de ma vie. J'avais revu mon ex-amie Mallowe et autant dire que cela ne s'était pas passé au mieux. La taverne avait brûlée après une dispute entre nous . Mallowe était devenue un monstre et je lui avais clairement dis. La page était tournée sauf que de mon coté j'avais l'impression d'avoir tout perdu. Le soir et le lendemain j'avais bu jusqu'à ne plus marcher droit. Je me dirigeais dans les rues de la ville à ce moment là , je marchais plus vraiment droit. Mais je pouvais toujours tuer les rôdeurs. Après tout ils étaient loin d'être rapide à présent et ils étaient presque KO avant que la lame les touches. Je continuais ma route attrapant la bouteille dans mon sac pour boire de l'eau cette fois. Mon estomac me faisait comprendre qu'une goutte de plus ne serait pas une bonne idée; Je ne comptais pas vomir non plus. J'étais donc là à marcher tranquillement , sans réel but, mon regard se posait sur les bâtiments à la recherche de celui où je pourrais vivre désormais. Je crois que jamais je n'aurais pensé vivre ailleurs que dans mon camping car ou à la taverne mais la taverne n'était plus.
Je me sentais affreusement seule pourquoi ce n'était pas le cas vu qu'un homme me suivait depuis pas mal de temps. Grand et visiblement fort. Je ne l'avais pas vu venir quand il m'attrapa par l'arrière pour venir me plaquer contre le mur d'un bulding. Ma tête tapa le mur dans un bruit sourd alors que mon visage grimaçait - Putain mais tu m'veux quoi ? A ton avis ma jolie ? m'avait t'il répondu en attrapant mes bras pour les mettre au dessus de ma tête alors que j'essayais de me débattre comme je pouvais. Ce n'était pas une mince affaire entre l'alcool et la force de l'homme face à moi. Les souvenirs de mon ancien viol me revenais et je trouvais la force pour libérer mon bras de son emprise pour venir lui mettre un coup dans le foie , mais je le ratais et sa main vint enserrer ma gorge. Par reflexe ma main libre vint l'agripper pour essayer de la libérer sans y parvenir . Était ce ma fin ?
Je ne comprend pas ce qui m'arrivait car mon sang commençait à manquer dans mon esprit pourtant j'essayais encore de me débattre sans y parvenir . Plus encore en entendant le bruit de la ceinture de l'homme s'ouvrir. J'étais en panique quand tout commença à devenir flou autours de moi, ma main commençait à relâcher son bras , ma force me quittait peu à peu. Soudain sans comprendre pourquoi il me lâcha et je tombais au sol dans un mouvement violent. Tenant ma gorge avec mes mains. J'avais mal . Est ce un coup de feu que j'avais entendu ? ... Je ne compris pas grand chose pour le moment je voulais simplement respirer. Je toussais fortement , une main au sol l'autre sur ma gorge , encore à quatre patte. Puis doucement je me relevais en me tenant au mur de l'immeuble. Que c'était il passé ?
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Re: Help Me | Cormac
Ven 16 Oct 2020 - 23:51
Les porcinets
Cormac & Alan les férues d'art
Un prédateur possède inévitablement un territoire, un endroit régit par sa loi où tout un chacun doit se plier sous peine de se faire déchiqueter par sa mâchoire puissante ou bien ses griffes acérés. Le même processus était observable chez un homme comme Cormac, qui, grâce à sa personnalité sans scrupule parvenait cette influence tant chéri qui l’avait porter toute sa vie. On ne renonce pas facilement au pouvoir, tout comme on se détache rarement facilement d’une femme qui vous fait monter au septième ciel. Il trouvait du plaisir à diriger, contrôler et tout ce qui pourrait s’apparenter au pouvoir. Pouvoir donc impossible à oublier, sans cela il n’est rien.
Pas plus qu’une coquille vide aux allures guindés et à la parole doucereuse, pas de but ni d’envie. Sa vie deviendrait bien morne alors il cherche cette ivresse de la puissance tout comme des gens plus simple chercherait un foyer accueillant et une fille aimante ou bien des montagnes d’argent. L’un ne l’intéressait que peu à l’époque, c’était juste histoire de paraître bien en société et l’autre il les gravissait déjà avant sa naissance.
L’Homme donc rôdait entre ces ruelles autrefois bondés du centre-ville, petit à petit son réseau d’espion se mettait en place et l’hôtel partiellement à l’abandon ne tardera probablement pas à accueillir de nouvelles personnes. Puisque plus on est de fou, plus on rit n’est-ce pas ? Plus sérieusement, les espions dont je tairais le nom et le nombre pour éviter de me faire tuer rapporte quotidiennement des informations qui poussent de plus en plus Cormac à faire bien plus que d’envoyer des petites oreilles aux quatre coins de Seattle. Nous en revenons toujours à cette mégalomanie dévorante dont il ne se déferra jamais.
Sa silhouette délicate évoluait donc entre les rues en compagnie de son petit-frère qui paradoxalement était bien large d’épaule et imposant en général. Les deux se rendaient au No Man’s Land pour affaires et simplement pour affaire puisqu’on évite de frayer avec la vermine vagabonde. La plupart des gens là-bas sont des mendiants de l’apocalypse et au mieux des fouinards dangereux, il fallait creuser pour trouver ces pépites, ces caractères singulier. Au détour d’une ruelle, ils entendirent des grognements de bête et des cris de femmes. Habituellement le duo aurait juste tracer sa route ne perdant pas son temps avec une malheureuse assez idiote pour ce faire choper par un rôdeur mais il se trouvait que les bruits étaient pile sur leur route et prendre un détour s’avérait plutôt dangereux vu la complexité des rues et les nombreuses cachettes à monstres.
Ce qu’ils avaient identifier comme des grognements de bête était plutôt ceux d’un type au bide si gros que ça en devenait comique après tant d’année d’épidémie qui avait vraisemblablement décider se faire plaisir en plein milieu d’une rue. Qu’elle impolitesse, qu’elle irrespect avait d’abord penser Cormac qui cynique ne considérait que peu la femme victime de cette ignoble brute. Avec calme, le Malin sortit le pistolet de son holster visa à la va-vite la cuisse de l’homme tant pis si c’était la femme qui prenait la balle et tira un air glacial sur le visage. La balle vint déchiqueter la peau grasse et sale de la brute sans que le duo ne manifeste une quelconque émotion, il n’était que de la vermine après tout. Personne ne viendra le pleurer et personne ne le vengera, il n’y aura aucune enquête d’ouverte et pas d’enterrement. Toute une vie effacé par la simple volonté d’un autre homme n’était-ce pas un pouvoir grisant ?
Sa face avec des favoris grisonnant s’écrasa contre le bitume humide et joncher des détritus apporter par les inondations, certain endroit de la route s’était affaisser si bien que des espèces de petit étang s’était formé ça et là. La nature reprenait son dû et envahissait inexorablement chaque centimètre de béton. Il rangea son pistolet et les mains dans les poches se rapprocha des deux, l’une était par terre probablement dans le flou et l’autre agonisait. Alors que l’homme d’affaire le surplombait de tout son charisme, le salaud essaya de lui taillader les chevilles avec son petit couteau mais heureusement Javor plutôt vif tira trois fois dans sa main pour s’assurer de toucher sa cible et les cris de douleur redoublèrent d’intensité. Le Malin dérangé par ce bruit bestial écrasa son talon contre sa tête et sortit à son tour un couteau, consommer des munitions serait bien inutile et presque idiot dans pareille situation, plus la lame se rapprochait plus l’homme s’affolait son œil roulant de terreur. Puis soudain plus rien, le métal s’était infiltré dans l’œil d’un coup sec et toute cette machine finement huilé s’était arrêté, le cerveau étant touché.
Cormac se retourna enfin vers la femme et tendit sa main par politesse, un petit sourire malicieux en coin.
- Il semblerait que nous sommes arrivé juste à temps, je regrette que vous ayez croiser la route d’un tel porc. Nous espérions que les rôdeurs fassent le ménage mais je suppose que ces salauds sont coriaces, conclut-il en désignant le petit couteau par terre.
Pas plus qu’une coquille vide aux allures guindés et à la parole doucereuse, pas de but ni d’envie. Sa vie deviendrait bien morne alors il cherche cette ivresse de la puissance tout comme des gens plus simple chercherait un foyer accueillant et une fille aimante ou bien des montagnes d’argent. L’un ne l’intéressait que peu à l’époque, c’était juste histoire de paraître bien en société et l’autre il les gravissait déjà avant sa naissance.
L’Homme donc rôdait entre ces ruelles autrefois bondés du centre-ville, petit à petit son réseau d’espion se mettait en place et l’hôtel partiellement à l’abandon ne tardera probablement pas à accueillir de nouvelles personnes. Puisque plus on est de fou, plus on rit n’est-ce pas ? Plus sérieusement, les espions dont je tairais le nom et le nombre pour éviter de me faire tuer rapporte quotidiennement des informations qui poussent de plus en plus Cormac à faire bien plus que d’envoyer des petites oreilles aux quatre coins de Seattle. Nous en revenons toujours à cette mégalomanie dévorante dont il ne se déferra jamais.
Sa silhouette délicate évoluait donc entre les rues en compagnie de son petit-frère qui paradoxalement était bien large d’épaule et imposant en général. Les deux se rendaient au No Man’s Land pour affaires et simplement pour affaire puisqu’on évite de frayer avec la vermine vagabonde. La plupart des gens là-bas sont des mendiants de l’apocalypse et au mieux des fouinards dangereux, il fallait creuser pour trouver ces pépites, ces caractères singulier. Au détour d’une ruelle, ils entendirent des grognements de bête et des cris de femmes. Habituellement le duo aurait juste tracer sa route ne perdant pas son temps avec une malheureuse assez idiote pour ce faire choper par un rôdeur mais il se trouvait que les bruits étaient pile sur leur route et prendre un détour s’avérait plutôt dangereux vu la complexité des rues et les nombreuses cachettes à monstres.
Ce qu’ils avaient identifier comme des grognements de bête était plutôt ceux d’un type au bide si gros que ça en devenait comique après tant d’année d’épidémie qui avait vraisemblablement décider se faire plaisir en plein milieu d’une rue. Qu’elle impolitesse, qu’elle irrespect avait d’abord penser Cormac qui cynique ne considérait que peu la femme victime de cette ignoble brute. Avec calme, le Malin sortit le pistolet de son holster visa à la va-vite la cuisse de l’homme tant pis si c’était la femme qui prenait la balle et tira un air glacial sur le visage. La balle vint déchiqueter la peau grasse et sale de la brute sans que le duo ne manifeste une quelconque émotion, il n’était que de la vermine après tout. Personne ne viendra le pleurer et personne ne le vengera, il n’y aura aucune enquête d’ouverte et pas d’enterrement. Toute une vie effacé par la simple volonté d’un autre homme n’était-ce pas un pouvoir grisant ?
Sa face avec des favoris grisonnant s’écrasa contre le bitume humide et joncher des détritus apporter par les inondations, certain endroit de la route s’était affaisser si bien que des espèces de petit étang s’était formé ça et là. La nature reprenait son dû et envahissait inexorablement chaque centimètre de béton. Il rangea son pistolet et les mains dans les poches se rapprocha des deux, l’une était par terre probablement dans le flou et l’autre agonisait. Alors que l’homme d’affaire le surplombait de tout son charisme, le salaud essaya de lui taillader les chevilles avec son petit couteau mais heureusement Javor plutôt vif tira trois fois dans sa main pour s’assurer de toucher sa cible et les cris de douleur redoublèrent d’intensité. Le Malin dérangé par ce bruit bestial écrasa son talon contre sa tête et sortit à son tour un couteau, consommer des munitions serait bien inutile et presque idiot dans pareille situation, plus la lame se rapprochait plus l’homme s’affolait son œil roulant de terreur. Puis soudain plus rien, le métal s’était infiltré dans l’œil d’un coup sec et toute cette machine finement huilé s’était arrêté, le cerveau étant touché.
Cormac se retourna enfin vers la femme et tendit sa main par politesse, un petit sourire malicieux en coin.
- Il semblerait que nous sommes arrivé juste à temps, je regrette que vous ayez croiser la route d’un tel porc. Nous espérions que les rôdeurs fassent le ménage mais je suppose que ces salauds sont coriaces, conclut-il en désignant le petit couteau par terre.
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Re: Help Me | Cormac
Dim 18 Oct 2020 - 12:49
Sauver les gens . C'était devenu une sorte d'habitude pour moi. Les jeunes filles en détresse se faisaient toujours plus nombreuses, les hommes étaient des porcs pour la plupart et ce n'était déjà pas bien beau à l'époque mais aujourd'hui , sans la loi s'était pire encore. Mais ce jour était particulier car pour une fois , une très rare fois s'était moi qui avait besoin d'être sauvée. Je n'étais pas et n'avait jamais été une jeune femme en détresse et je n'aimais vraiment pas ce rôle pourtant j'étais en vie et ce n'était pas grâce à moi. Je me relevais alors en prenant la main tendue et mon regard se posa sur l'homme qui venait de m'aider et celui qui se tenait à ses cotés. L'un était élégant, mais son regard avait quelque chose d'effrayant. Il me faisait pensé à Tyler , l'élégance en plus .Et à en voir l'état du visage de celui qui avait voulu me faire du mal. Il n'était pas bien loin de la folie du barman, enfin ancien barman. A ses cotés un homme grand , très grand , et musclés. Il avait l'air doux et pourtant sa musculature ne cachait pas le fait qu'il ne devait pas avoir de mal à se sortir de situations compliqués. Le duo n'était visiblement pas là pour m'attaquer et s'était tant mieux. Je n'avais pas envie de mourir aujourd'hui;
J'étais encore un peu saoule je ne pouvais pas le nier. Bon ok j'étais très saoule. Mais je devais avouer que l'attaque m'avait fais retrouver mes esprits assez rapidement. Je regardais alors l'homme qui m'avait aidé droit dans les yeux , avant que ces derniers se pose sur le cadavre. Une femme aurait peut être eu une mine dégouter mais pas moi. Je répliquais alors d'un ton froid. - J'aurais pas du boire autant , j'aurais pu faire le job. Je n'en étais pas moins polie alors quand mon regard glissa dans celui du l'homme élégant j'ajouter d'un ton sans réel sentiment; - Mais merci. Avant comme aujourd'hui ces fils de chiens sont toujours là .. Et c'est de pire en pire. Mais au moins celui là ne fera plus d'mal. Je n'attendis pas plus longtemps pour me baisser et faire les poches du gars en questions. Un briquet en fonction , si j'en croyais la petite flamme et un vieux paquet de clope contenant quatre cigarette. J'en glissais une entre mes lèvres et l'alluma avant de tendre le paquet aux deux hommes. - Une cloppe ? Ok j'étais pas une fille élégante mais j'étais une fille redoutable et c'était ce qui faisait ma personnalité. Enfin pas avec du rhum dans le sang visiblement .
Je prenais une bouffée de cigarette et la nicotine me fis du bien à n'en pas douter pourtant j'étais toujours en colère contre Mallowe, contre ce porc, contre le monde entier certainement. La cage n'était plus et j'allais devoir me trouver un autre terrain de jeux . J'avais besoin de frapper , de faire du mal aux gens et pour ça les cons étaient partout. Il fallait simplement les trouver. Mais je me disais qu'il fallait que j'arrête de sortir quand j'ai bu. C'était trop dangereux et le but n'était pas de me faire tuer ou violer. Une fois avait bien suffit et ce dernier avait eu ce qu'il méritait. Je me demandais d'ailleurs parfois si son rôdeur était toujours attaché à cette chaise ou si il avait réussis à retirer ses poignets et ses chevilles. J'irais peut être le voir un jour. Enfin c'était une autre histoire. Je crois que la fin de la taverne avait tuée quelque chose en mois. Un peu moins de bienveillance et de douceur peut être . Je redevenais celle du début de l'épidémie, celle qui vivait seule et ce n'était peut être pas une mauvaise chose . Je regardais l'homme dans les yeux avant de lui demander . - j'peux faire quoi pour toi ? Tu m'as sauvé la vie faut bien que je te renvie l'ascenseur. Je me demandais de quoi un homme comme lui pouvait avoir besoin .
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Re: Help Me | Cormac
Jeu 22 Oct 2020 - 1:06
Les porcinets
Cormac & Alan les férues d'art
Les mains dans les poches le Malin l’observa essayer de garder une contenance, elle était saoule mais orgueilleuse voir inconsciente. Se promener dans les rues alors que la Mort rôdait accompagner de sa vermine, une sacré idée qui lui aurait valu le pire des destins sans l’intervention du trio de gentleman. Il la laissa parler, tout le monde a besoin de se justifier surtout après une défaite humiliante. N’avoir pas pu se défendre était un aveu horrible de sa faiblesse, faiblesse que la jeune essayait de cacher en se justifiant. Cela n’émeut que peu Cormac qui estimait avoir chasser la vermine comme le ferait un chat avec un rongeur. Le cycle de la vie était ainsi surtout dans cette partie de la ville autrefois distingué.
- Il est inutile de vous justifiez, affirmez que vous auriez pu vous défendre ne change rien mais j’apprécie néanmoins la cigarette, lâcha-t-il d’un ton presque doucereux alors qu’il s’approchait pour s’emparer du si précieux tabac. Substance qui tendait à disparaître au grand dam des Callum grand amateur de cette plante vendu comme des petits pains alors qu’elle était plus dangereuse qu’un fou avec une arme.
Une merveille du système capitalise, exemple parfait de cet attrait de la foule pour l’interdit et le dangereux. Chacun essayait de se distinguer de la masse ou bien de sortir de ce quotidien banale et sans danger. La cigarette était la solution parfaite.
- Vous auriez dû vous y attendre ma pauvre, l’épidémie fait ressortir les mauvais côtés de chacun. Qui empêchera un pédophile de s’en prendre à une gamine ? Personne, puisque tout le monde cherche à assurer sa survie. Aucun policier, aucun père n’ira lui rendre la monnaie de sa pièce. Dans un monde sans justice, vous ne pouvez comptez que sur vous et je puis vous assurez que ce fils de putain n’a eu que ce qu’il méritait.
Les mains toujours dans les poches, il la laissa se confronter à son regard d’acier. A quoi pourrait bien lui servir cette alcoolique ? Cormac n’avait pas besoin qu’on vienne crier sur tout les toits qu’il était le sauveur de ces dames et celui-ci n’avait encore moins envie d’abuser de cette état de faiblesse pour simplement se la faire. Ils n’étaient pas des porcs et son attention se portait ailleurs. Le Malin pourrait reprendre ses vielles habitudes et lui demander une faveur invocable n’importe où et n’importe quand mais la jeune femme ne fera sûrement pas trois rues de plus sans mourir à un tournant. Un investissement inutile en apparence donc.
- Vous ne ferez rien dans cet état, saoul comme vous êtes même un gamin aurait des chances de vous battre, affirma-t-il d’un ton dur plantant à son tour ses pupilles dans les siennes.
Javor à ses côtés plissa les yeux persuader d’avoir déjà vu cette femme quelque part, ses souvenirs lui revinrent par segment et il lâcha finalement :
- Tu as déjà combattu dans la cage ? Je me souviens d’une femme de ta stature au jolie jeu de jambes, si c’est le cas elle pourrait nous être utile Cormac, lui informa son petit-frère avec un regard en coin. Ses bras croisés dans l’attente de sa décision.
- Il est inutile de vous justifiez, affirmez que vous auriez pu vous défendre ne change rien mais j’apprécie néanmoins la cigarette, lâcha-t-il d’un ton presque doucereux alors qu’il s’approchait pour s’emparer du si précieux tabac. Substance qui tendait à disparaître au grand dam des Callum grand amateur de cette plante vendu comme des petits pains alors qu’elle était plus dangereuse qu’un fou avec une arme.
Une merveille du système capitalise, exemple parfait de cet attrait de la foule pour l’interdit et le dangereux. Chacun essayait de se distinguer de la masse ou bien de sortir de ce quotidien banale et sans danger. La cigarette était la solution parfaite.
- Vous auriez dû vous y attendre ma pauvre, l’épidémie fait ressortir les mauvais côtés de chacun. Qui empêchera un pédophile de s’en prendre à une gamine ? Personne, puisque tout le monde cherche à assurer sa survie. Aucun policier, aucun père n’ira lui rendre la monnaie de sa pièce. Dans un monde sans justice, vous ne pouvez comptez que sur vous et je puis vous assurez que ce fils de putain n’a eu que ce qu’il méritait.
Les mains toujours dans les poches, il la laissa se confronter à son regard d’acier. A quoi pourrait bien lui servir cette alcoolique ? Cormac n’avait pas besoin qu’on vienne crier sur tout les toits qu’il était le sauveur de ces dames et celui-ci n’avait encore moins envie d’abuser de cette état de faiblesse pour simplement se la faire. Ils n’étaient pas des porcs et son attention se portait ailleurs. Le Malin pourrait reprendre ses vielles habitudes et lui demander une faveur invocable n’importe où et n’importe quand mais la jeune femme ne fera sûrement pas trois rues de plus sans mourir à un tournant. Un investissement inutile en apparence donc.
- Vous ne ferez rien dans cet état, saoul comme vous êtes même un gamin aurait des chances de vous battre, affirma-t-il d’un ton dur plantant à son tour ses pupilles dans les siennes.
Javor à ses côtés plissa les yeux persuader d’avoir déjà vu cette femme quelque part, ses souvenirs lui revinrent par segment et il lâcha finalement :
- Tu as déjà combattu dans la cage ? Je me souviens d’une femme de ta stature au jolie jeu de jambes, si c’est le cas elle pourrait nous être utile Cormac, lui informa son petit-frère avec un regard en coin. Ses bras croisés dans l’attente de sa décision.
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Re: Help Me | Cormac
Ven 23 Oct 2020 - 23:03
Je n'aurais jamais du boire. C'est ce que je n'arrêtais pas de me répéter. J'étais trop conne et tout ça pour quoi ? Pour une soit distante amie qui avait brisé tout ce qu'on avait construit ? Non clairement je n'étais pas dans le meilleur de mes états et puis ce fils de chien avait essayé de me tuer , ou pire. Non vraiment la journée ne se terminait pas de la meilleure des façons et cela pouvait se voir facilement à la tête que j'avais. Pourtant dans tout ce chaos il y avait ces deux gars qui étaient venus m'aider, pour le moment sans rien demander en retours mais je n'étais pas stupide, rien n'était gratuit aujourd'hui.
Il me faisait clairement comprendre que j'avais échoué et que je n'avais pas à m'expliquer. Un coin de ma lèvre se releva rapidement, une fraction de seconde où ressortait une haine camouflée; Je le regardais de bas en haut me demandant en combien de coups je pouvais le mettre hors d'état de nuire. Pas actuellement bien sur mais par la suite. Il s'approcha pour prendre la cigarette , j'allumais la flamme entre nous afin de mettre feu au bout de ce petit tube qu'il tenait entre les lèvres. Mon regard se plongea dans le sien . Sept. J'aurais dis sept coups pour le mettre chaos. Puis je repris ma position pour profiter de mon petit tube emplis de nicotine qu'on ne pouvait pas remplacer par grand chose. Même si pas mal de monde parvenait à faire des semblants de clopes dans de vieux paquets, la feuille de framboise et de patate était encore le plus potable à fumer, bien que j'étais plus amatrice des feuilles de cana' de mon ami Curtis.
Mon interlocuteur semblait vouloir me rassurer et c'est un sourire en coin qui me viens. - Non je suis désolé , ce fils de pute n'a pas eu ce qu'il méritait , il n'a pas assez souffert en mon sens mais si un jour vous allez vers le parc d'attraction , vous verrez ce que ce genre d'homme mérite. Mon regard était sombre et représenter toute la haine que j'avais pour ce genre d' "humains" . Je prenais plaisir à les tuer, à les dépouiller et à les laisser reprendre " vie" mais d'une façon où il ne pouvait faire de mal à personne. Un demi corps qui rampe c'est assez simple à éviter, de même qu'un mordeur sans bras et sans jambes. Ouai là il avait une petite , petite partie de ce qu'il méritait. Sans le vouloir mon visage se para d'un sourire sadique. L'alcool devait jouer sur les souvenirs de ce fils de chien de Richard.
Je fini par lui demander comment je pouvais lui rendre la pareil alors qu'il m'affirmait que je ne pouvais rien faire dans mon état - ce qui était faux , en partie - l'homme à coté de lui , qui semblait être un genre de second lui parla de moi , d'une façon qui me fit sourire en coin. - SI j'ai déjà combattue ? Je combats depuis l'âge de dix ans l'ami. Je tournais alors mon regard vers le fameux " Cormac " alors qu'un sourire pris par de mon visage. Je pris une bouffée de cloppe et la souffla entre le ciel et l'homme. - Attends que je sois dans mon état normal , Cormac et défis moi , on verra qui pourrait se faire battre par un gamin. dis je avec un air de défis avant de poser mon regard sur le second. - Vous servir à quoi ? J'étais intriguée à vrai dire mais si cela parlait de combattre alors j'étais prête à écouter et autant dire que l'alcool ne serait pas un problème dans le cas présent. J'avais beau avoir des réflexes bien moins clean , je n'en étais pas moins capable de réflexion.
Mon regard se posa autours de nous. - Vous avez un endroit où discuter ? Non parce que si on peut éviter un groupe de bouffeurs de chairs c'est toujours mieux. Mon regard se posa alors sur le fameux Cormac qui sans aucun doute était le chef de ce duo . Je me demandais clairement ce qui allait m'attendre et ce qu'ils allaient me proposer mais finalement je me disais que la soirée n'était peut être pas la pire de ma vie.
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Re: Help Me | Cormac
Mer 11 Nov 2020 - 0:01
Les porcinets
Cormac & Alan les férues d'art
Cormac ne doutait pas un seul instant que la demoiselle ait des envies vicieuses mais ce n’était pas son cas. Il usait de la violence comme d’un outil, tel un jardinier qui couperait sa haie sauf qu’il ne prend pas plaisir à la brûler après. Le Malin n’accorde pas de son temps aux idiots, s’occuper d’eux c’est leur donner une importance qu’ils ne mériteront jamais. Dans un autre temps, il l’aurait tuer d’une balle dans la nuque à la manière du KGB cet impitoyable service de renseignement mais les balles se faisaient bien trop rare pour cela.
- Il devait mourir, il est mort pas la peine de perdre plus de temps avec ce porcin, déclara-t-il cyniquement comme s’il venait simplement d’arracher une mauvaise herbe.
Son frère prit ensuite l’initiative en se rappelant grâce aux méandres de sa mémoire que la jeune femme était une combattante émérite, chose que Cormac peinait à voir devant Nina à moitié chancelante et avec un orgueil plus gros que celui de toute l’ancienne bourgeoise de Seattle à en croire ses dires. Ne jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tuer, voilà un proverbe si connu que les gens oublie de l’appliquer. Le Malin avait beau n’être pas très grand ni très imposant, il se cachait sous son costume une musculature fine capable de mouvement vif mais surtout une capacité d’adaptabilité plutôt impressionnante pour un vieillard.
- Vous n’êtes pas une gamine et je n’ai malheureusement rien à prouver et un désintérêt total pour les choses d’honneur.
Le simple concept de duel lui paraissait bien ennuyant, il n’y avait aucune stratégie derrière, aucune manigance et le Malin vivait pour cela ! Pour le goût des intrigues, des messes basses et la satisfaction final de voir tout les rouages caché qu’il a prit soin de mettre en place s’activer de concert pour mettre au tapis son rival.
- Javor soulève un bon point, si vous êtes doué de vos poings nous allons avoir besoin de vous contré évidemment un salaire cela va de soit. Il est pratique d’avoir une personne capable d’aller secouer nos «problèmes» sans qu’on puisse la suspecter d’être capable de le faire, réfléchit-il à haute voix alors que ses yeux se perdait dans les lignes de béton derrière la jeune femme. Nous avons en effet un endroit à l’abri des imbéciles qui se sont fait mordre, si vous avez assez confiance pour nous suivre venez, conclut-il finalement en lui tournant les talons dans un espèce de test pour déterminer son intérêt...
- Il devait mourir, il est mort pas la peine de perdre plus de temps avec ce porcin, déclara-t-il cyniquement comme s’il venait simplement d’arracher une mauvaise herbe.
Son frère prit ensuite l’initiative en se rappelant grâce aux méandres de sa mémoire que la jeune femme était une combattante émérite, chose que Cormac peinait à voir devant Nina à moitié chancelante et avec un orgueil plus gros que celui de toute l’ancienne bourgeoise de Seattle à en croire ses dires. Ne jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tuer, voilà un proverbe si connu que les gens oublie de l’appliquer. Le Malin avait beau n’être pas très grand ni très imposant, il se cachait sous son costume une musculature fine capable de mouvement vif mais surtout une capacité d’adaptabilité plutôt impressionnante pour un vieillard.
- Vous n’êtes pas une gamine et je n’ai malheureusement rien à prouver et un désintérêt total pour les choses d’honneur.
Le simple concept de duel lui paraissait bien ennuyant, il n’y avait aucune stratégie derrière, aucune manigance et le Malin vivait pour cela ! Pour le goût des intrigues, des messes basses et la satisfaction final de voir tout les rouages caché qu’il a prit soin de mettre en place s’activer de concert pour mettre au tapis son rival.
- Javor soulève un bon point, si vous êtes doué de vos poings nous allons avoir besoin de vous contré évidemment un salaire cela va de soit. Il est pratique d’avoir une personne capable d’aller secouer nos «problèmes» sans qu’on puisse la suspecter d’être capable de le faire, réfléchit-il à haute voix alors que ses yeux se perdait dans les lignes de béton derrière la jeune femme. Nous avons en effet un endroit à l’abri des imbéciles qui se sont fait mordre, si vous avez assez confiance pour nous suivre venez, conclut-il finalement en lui tournant les talons dans un espèce de test pour déterminer son intérêt...
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Re: Help Me | Cormac
Dim 15 Nov 2020 - 16:08
Cormac, cet homme était assez étrange. Il semblait ne pas appartenir à notre nouveau monde, en faite il me faisait penser au méchant dans les films. Il parlait de façon assez classe sans aucun doute il devait être riche dans l'ancienne monde mais aujourd'hui tout était différent et l'argent n'avait plus de valeur. Je n'en manquais pas autrefois, sans être très riche j'étais dans la moyenne et ça m'allait très bien. Bon ok j'avais un peu trop bu et ma façon de parler me faisait passer pour une petite conne. En faite je crois que j'avais trop de trop. J'étais saoulé par la vie que j'avais actuellement, aussi quand il répondit à mon défis en affirmant clairement qu'il n'avait pas de temps à perdre pour moi je levé les yeux au ciel. Il était pas bien marrant cet homme. - Il n'y a pas que l'honneur à gagner dans les combats, mais aussi des ressources ... on ne se bat plus pour rien par ici. dis je en plongeant mon regard dans le sien. SI je me battais aujourd'hui c'était non seulement pour calmer mon surplus d'énergie mais aussi et surtout pour avoir des ressources afin de continuer à avancer.
Pourtant son ami, Javol, donc affirmait m'avoir déjà vu et que je pourrais leur être utile, je ne comprenais pas vraiment ce qu'ils pouvaient attendre de moi, oui je savais me battre, et plutôt bien sans vouloir me venter mais de là à leur être utile s'était une grande différence. Je ne semblais pas vraiment intéressée jusqu'à ce qu'il vienne à parler de salaire, soudainement mon regard se fit plus perçant, oui j'avais besoin de survivre comme tout le monde et si je pouvais être payé pour aller frapper des gens et donc me calmer, c'était tout bénef pour moi. Malheureusement il ne m'en dit pas plus et affirma avoir un endroit où l'on pourrait parler tranquillement. Est ce que je leur faisait confiance ? Pas le moins du monde mais je répondis néanmoins - Si vous vouliez me violer ou me tuer nous ne serions pas entrain de discuter. Sur ces mots j'inspirais la dernière latte de ma cigarette pour la jeter plus loin dans une flaque d'eau. Elle allait clairement finir sa vie ici, encore une autre trace de notre passage mais aujourd'hui les poubelles n'existaient plus. Heureusement avec le retours des chiens et chats sauvages, sans oublier les rats, il n'y avait pas beaucoup de restes de nourritures.
Les mains dans les poches de ma veste je les suivais alors sans un mot au départ, je me demandais dans quoi je me fourrais et pourtant mon pas suivait les leurs. Je finis par demander néanmoins. - Je devrais faire quoi exactement ? Et vous payez combien ? Je ne faisais pas tout et n'importe quoi mais si j'avais compris je devais seulement secouer certaines personnes, pas les tuer. Ce ne serait bien sur pas le même prix mais néanmoins ça pouvait rester intéressants et puis je pouvais peut être les secouer à ma façon, plus ou moins violemment selon les personnes concernaient non ? Enfin j'avais étrangement hâte d'en savoir plus sur tout ça, pour le moment je suivis les deux hommes sans un autre mot attendant dans l'impatience alors que ma tête commençait à me faire un peu mal. Heureusement le froid de la nuit commençait à me remettre les idées en place, il faudrait que je mange un truc.
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