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Re: haunting night

Dim 10 Jan - 13:54

Haunting Night


Luisa était tombée sur un spécimen. Il avait un humour surdimensionné. Mais cela se voyait qu'il avait peur autant qu'elle. Elle ne pourrait pas porter le binôme jusqu'à la sortie ça c'était certain. Elle en avait eu des frousses dans sa vie mais elle était loin d'imaginer que ce soir elle ferait l’expérience d'une maison qui semblait hanté. Peut-être qu'ils allaient trouvé des morts, des cannibales ou des hommes qui se servaient des enfants pour attirer toute personne. Surtout celles qui en avaient quelque chose à faire de sauver un enfant. Elle en connaissaient certains qui auraient pu continuer leur chemin ... et c'est ce qu'elle aurait du faire ... probablement.

La jeune femme avait peur de se retrouver avec des morts planqués derrière les portes. Mais les ùorts ne criaient pas, ne chouinaient pas et ne savaient pas allumer les lumières. Ils étaient assez fous pour continuer, mais pour Luisa la priorité restait de sauver un être humain ... de sauver un enfant. Une ombre passe dans sa mémoire, le temps de penser à une fraction de seconde à son fils. Son fils sûrement transformé ...

Alors qu'elle avait trouvé comme quoi le lieu était bien piégé, Isha voulait la désamorcer. Elle n'eut pas le temps de donner son avis que son arme pointa en direction de la silhouette au fond du couloir. Sa main tremblait légèrement ... Soudain, le lustre entra en collision avec le sol dans un vacarme assourdissant. Elle se tourna vers lui, déstabilisée, Monsieur faisait genre que ce n'était pas lui.

TU TE FOU DE MA G..., elle n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'un autre cri déchira l'espace. Luisa commença alors le décompte mais manqua un battement. Elle se sentit propulsée contre le sol, le coup de feu sonnait dans ses tympans. Elle laissa échapper un cri plaintif. Elle venait de se cogner le front au sol déjà fragile et poussiéreux. Elle toucha une légère bosse mais heureusement pas d'entaille.

T'es complètement taré comme mec !, elle se releva avant de se rapprocher de lui si vite que l'on pourrait croire qu'elle souhaitait le tuer sur place. Ses yeux en feu, elle le regardait prête à lui en coller une mais ... il avait l'air si sérieux. Lui aurait-il vraiment sauvé la vie. Elle réfléchit un instant et vérifia son chargeur. Il ne manquait rien.

Tu as raison ... si tu as vu une arme, la détonation venait de celui qui me braquait. Elle secoua la tête, remis le chargeur en place avant de se justifier J'ai vu un mec passer dans le couloir, je pensais qu'il se planquait alors je lui ai donné une raison de sortir. En conclusion, elle pensait qu'ils étaient plusieurs.

T'es sûr pour le placard ? Elle hésita en regardant ce placard, mais le mec en question n'aurait pas pu se volatiliser si vite. Attends je teste un truc, elle tâtonnait le fond du placard à la recherche d'un double fond ou d'une porte. Rien.

Quoi ? fit-elle les yeux ronds, on peut contrôler non qui tente rien à rien ... C'est vrai que ça a l'air stupide. Bon maintenant, si on trouve un piège on y touche pas !! Sinon on va crever tous les deux. C'est à ce moment, qu'ils entendirent des pas à l'étage. Et le pire ... c'est qu'il ne semblait pas y avoir qu'une seule personne là-haut. Clairement, ils étaient au courant désormais qu'un binôme pas très sûrs d'eux s'étaient perdus dans cette putain de maison.

spoiler:


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Re: haunting night

Mar 19 Jan - 19:35

Celui qui sait se créer des ouvertures



Je reste concentré a regarder dans tous les recoins a la recherche de cette putain de menace qui nous pèse sur la gueule sans qu’on la vois dans cette vieille baraque flippante quand l’autre elle commence a râler. Mais putain ? D’où qu’elle est pas contente là ? Je viens de lui sauver la vie et elle gueule !! C’est bien une foufoune putain ! Bon, elle se stop pour réfléchir avant de m’en foutre une, a croire que c’est plus mec de cogner d’abord.

Quand elle reconnait, enfin, que j’avais raison, je lui fais un grand geste entre le « alléluia » et le « on y arrive enfin ». Bon, ca doit être la seule personne au monde a le penser a par moi mais bon.

« Tu saurais me le mettre par écrit quand même ? Juste parce que ma Bro a tendance a être de très mauvaise fois avec ca… et… mais qu’est ce que tu foue là ?»


Je la vois aller palper le placard comme une aveugle la tronche du mec a emballer. C’est limite zarbe son truc.

« Tu penses que c’est le moment de chercher s’il planque des pompes a ta taille ? »


Son explication de contrôle me laisse dubitatif. A se demande de plus me manger des pièges parce que ca serait pas bon pour la santé, je grogne comme un ado pris en faute. Mais genre je le fait exprès ?  Mais je sursaute en entendant du bruit a l’étage et j’ai le mauvais réflexe de presque la pousser dans le placard pour me mettre devant elle. Putain, c’est quoi encore ca ?

A nouveau un hurlement de terreur juvénile qui donne envie de nous presser le derche retenti de l’étage. Je me raidis et pause ma main sur l’épaule de la femme au cas où elle envisage d’y aller. Je me retourne vers la nana avec l’air constipé que je prends quand je veux réfléchir, ce que je suis en train de faire a haute voix :

« En fait… si j’étais mon vieux… je piègerais des gogos pour leur faire un parcours sadique en pariant jusqu’ou ils vont aller… On sait qu’ils sont au moins deux et qu’ils ont un gosse… si on fonce comme des cons, ce qu’ils veulent… »

Je la regarde en secouant la tête comme pour signifier mon accord avec moi-même. Elle, elle ne sait pas que je ne suis pas tout seul sous ma touffe crânienne. Ca surchauffe presque dans ce qui me sert pas souvent et qu’on appelle cerveau. Bon, après, avec ma lampe frontale, possible que je lui éblouisse bien la gueule aussi.

« Putain… tu sais quoi ? Je pense que toi aussi t’as p’être raison »


Je lui dis ca en la poussant comme si c’était une gamine entre moi et un bocal a bonbon, ouai, j’aurais plus dit rail de coke mais comme je sui clean, on va rester sur la version chocobons. Dès qu’elle a dégagé le placard, j’y entre et, après un petit toctoc, forcement assortie d’un « c’est qui » amusé de ma part, mon coté grand enfant, je fou un putain de coup de pied dans la planche en bois du fond, qui craque bien. Aie !! C’est marrant ca !! Je continue et en trois coups de latte, j’ai explosé le faux mur. La bonne nouvelle, c’est qu’il y a un passage, la mauvaise, c’est que c’est une sorte de couloir bien glauque en vieilles pierres qui va vers le bas alors que le cri du gosse vient de l’étage.

Je me tourne vers la femme avec un air grave, qu’elle ne doit pas forcement voir a cause de la lumière dans sa gueule.

« Si on monte par les escaliers on va se faire tirer comme des lapins si on est pas pris dans un piège avant… j’ai autant envie que toi de courir l’aider et je ne sais même pas si ce passage nous permet de remonter après, mais si on crève on aidera pas le gamin, je pense qu’il vaut mieux tenter un chemin ou les types qui ont organisé le jeu ne nous attendent pas… »


Mais je sais aussi que je vais pas la laisser aller seule si elle préfère foncer comme un sanglier ardennais sur un jeu de quilles.


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Re: haunting night

Dim 31 Jan - 21:57

All I need is some sunshine


J'ai la gueule à chercher des pompes ? Bordel ! Luisa un brin énervée, monta en flèche dans la jauge de l'agacement. Ce Isha lui faisait perdre son sang froid. Alors qu'ils étaient dans une situation où ils devaient carrément rester concentrés. Elle avait de plus en plus peur de crever ce soir. De ne pas pouvoir rentrer et serrer Kerwan dans ses bras. Pourquoi à chaque fois qu'elle sortait surtout en solo, la finalité était angoissante ? Pourquoi ça ne pouvait pas bien se terminer pour une fois. Comme si elle devait toujours faire ses preuves ! Constamment !

Isha commença un discours sans le terminer. Luisa fronça les sourcils avant de faire une grimace Oui j'ai compris. C'est sûr que si on trouve un escalier ils vont pas nous attendre gentiment là haut pour nous servir le café ... La mexicaine cligna plusieurs fois des yeux alors qu'elle fut ébloui par la lampe torche de son binôme. On est pas bien là, faut trouver quoi faire et vite ... sinon on va pas passer la nuit.

En grande angoissée, la crainte repris le dessus. Elle se détourna d'Isha pour cacher sa peur, remettant ses cheveux en place par pur réflexe. Sauf que se dernier la bouscula, Luisa se plaignit sortant du placard avant d'observer le brun s'amuser avec le fond du placard. Non je pense vraiment que ça sert à ... tu fais quoi ? Tu fais trop de bruit ARRÊTE ! Luisa devenait moins optimiste mais le luné lui prouva le contraire.

Je le sens pas, fit-elle en voyant furtivement le regard d'Isha avant de se prendre le halo de la frontale dans les yeux. Elle lui retira d'un coup sec l'engin avant de se réhabituer à la pénombre. Je parie que tu le fais exprès de m'aveugler ! Tiens prend le à la main quand tu veux me parler ...

Elle avait beau retourner la situation dans sa tête, il avait raison. Elle vit le couloir à côté qui donnait sûrement un escalier menant vers l'enfant en danger ... elle essaya de réfléchir au mieux. Je pense que tu as raison oui. Elle embarqua le brun avec elle dans ce fond de placard avant d'en fermer les portes, doucement. Elle recula et analysa J'ai envie de croire que là haut l'enfant n'est pas en danger. Du moins, je pense de moins en moins que c'est le cas. On nous bloque l'entrée, la maison est piégée, tout ça est prémédité. Et nous, on est assez bêtes pour vouloir continuer ...

Elle inspira profondément avant de dire Faut qu'on sorte. Ce couloir mène forcément quelque part à l'extérieur. Mais faut pas traîner. Ils ont dû entendre tes coups de pieds. Alors Luisa prit la tête de ce tunnel et descendit. Ils bifurquèrent à droite avant de prendre à gauche. Le tunnel remonta légèrement. C'est bon signe, fit-elle. Soudain elle sursauta, sentant quelque chose passer sur son pied : un rat. Bordel !!

Mais le pire n'était pas le rat. Derrière eux, ils entendirent des voix. Encore lointaines mais pas pour longtemps ...


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Re: haunting night

Dim 7 Fév - 0:34

Celui qui se créer des ouverture


Je me sens fier de moi mais l’autre râle encore. Pourquoi qu’elle est pas contente ? c’est vrai quand y’en a marre de tomber sur des meufs quand ca part en couilles, je les comprends pas ces machins la toujours ronchonner dès que j’ouvre la bouche. Comment ca je fais trop de bruit ?

« Parce que tu crois qu’ils ne savent pas que nous sommes là ? Y’a de grandes chances qu’on ait été invités au final »

Vu tout ce qui nous tombe dessus depuis qu’on est arrivé, l’idée que cela soit un énorme attrape couillons est quand même pas complément con. Mais une chose est sûre, entre les coups de feu et les pièges qu’on a déclenchés, coté discrétion, c’est mort, on est grillé. Quand elle me dit qu’elle le sent pas, je plisse le nez et confirme :

« Ouai, je suis d’accord avec toi, ca sent pas la rose, pas sur qu’ils aient aérée dernièrement, mais va pas falloir faire le nez délicat princesse. »

Ca sent même l’œuf pourri ce tunnel. Je fronce les sourcils quand elle s’énerve pour la frontale, je lève les yeux aux ciels en grognant avant de baisser la tête pour pas qu’elle se le prenne dans la gueule. Avec un ton digne d’un « gnagnagna bisque bisque rage » je lui réponds :

« Si je la prends à la main je saurais moins bien tenir mon épée grosse maline ! »

Voila, on se connait pas depuis 2 heures et c’est déjà la scène de ménage, ca commence par tu m’éblouis, tu fais trop de bruits et ca se termine par, t’as qu’a te faire à manger tout seul et, arrête de tuer les gens avant de leur dire bonjour !! Toutes les mêmes. Je la regarde avec gravité quand elle parle du môme. J’avoue que je partage ses craintes. On est p’être en train de le condamner à un sort funeste ou a plus de souffrance, mais crever en route n’aidera personne. J’hoche la tête quand elle arrive aux mêmes conclusions que moi.

« Ecoute, on trouve la sortie, tu te barres et je te jure que je vais gérer pour savoir pour le gosse ok ? »

Nous nous engouffrons dans le tunnel et elle me fait le coup des dames d’abord. Surement une technique pour que je lui matte le cul, vu qu’au moment ou ca ‘est passé j’étais celib, y’a de grandes chances que je n’ai pas voulu la vexer en regardant pas. Je la suis sans trop me poser de questions, elle a l’air de savoir ou elle va. Quand elle se met a hurler je la plaque contre le mur peu délicatement pour passer devant elle, l’épée a la main, prêt a en découdre, avant de réaliser que c’est a cause d’un rat tout ce cirque. Sans deconner ?!! Je me marre en embrochant le rongeur et me tourne vers elle, oubliant, encore, ma frontale pour lui dire, en pouffant :

« Bah alors ? On a peur de Mickey Mouse ? »

J’ai pas le temps de virer le rat de ma lame que je redresse la tête en même temps qu’elle. Il y a des voix non loin. Visiblement, qu’on ne prenne pas les chemins prévus par les organisateurs de festivités agace si j’en crois les intonations.

« Dépêche… »

Je lui chope la main et part vers l’avant, sans faire grand cas de savoir ou ca va déboucher. L’odeur est de plus en plus forte et écœurante, mais les pas de ceux qui nous suivent me laissent a penser que l’ont se posera des questions plus tard. Avec des armes a feu, dans un tunnel aussi étroit, on offre des cibles trop faciles, et puis, Mauricette est trop longue pour que je ne suis pas gêné si j’ai besoin de me battre.

Non, on ne fuit pas vraiment, on va juste voire ailleurs si on y est, rien a voir. Avec l’écho impossible d’être surs que nos poursuivants soient a distance ou pas. J’entends une salve qui me fait sursauter et accélérer alors que nous arrivons… a un cul de sac ???? MAIS NON QUOI !!!!!

Au lieu de ralentir je cours encore plus vite sans lâcher la main de la fille. Au point ou on en est, il faut faire ce pari fou qui est que ca n’a aucun sens que le mur devant nous soit fermé, que je crois voir un filet de lumière passer par un interstice du mur. Au dernier moment, c’est épaule en avant que je charge… et gagne mon coup de bluff !

La palissade n’est qu’un meuble léger qui n’a surement pas demandé de se prendre un moi lancé comme un boulet de canon. Il se couche de suite. Le hic, c’est qu’avec l’élan que je nous ai fait prendre, bah, c’est la chute. J’ai le reflexe de tirer la fille, contre moi en tombant pour servir de coussin d’amortisseur et, a peine sommes nous arriver au sol, je nous roule boule sans lui laisser le temps de comprendre, sous ce qui a l’air d’être une sorte de table pleine de végétation. J’éteints ma lampe attend qu’elle fasse de même. Au moins, dans la pénombre de la nuit, nous sommes a couvert…

Pourtant… un truc cloche. On est dans la végétation non ? Alors pourquoi ca pue autant ? Alors que nos poursuivants débarquent, sans que je relâche la fille que je tiens sous moi, dans un souci de protection, mes yeux d’habituent a l’obscurité assez pour que je comprenne que nous sommes dans une sorte de gigantesque serre verdoyante. Ces connards ont la main verte. Par contre, j’ai le nez trop en l’air pour voir ce que Luisa ne sait surement pas manquer, sous les étals de verdure et la ou nous sommes cachés, il y a la raison de ce piège.

« Tu as vu ou ils sont passés ?
- Non… mais ils ne doivent pas être loin !!
- Déployez vous !! Essayez de les chopper vivants si vous le pouvez.
- Je remets l’enregistrement ?
- Non, je pense qu’ils ont deviné, soyez sur vos gardes. On a besoin d’eux pour les plantations. »



Je tique en me demandant en quoi ils ont besoin de nous. Je veux dire, on a pas des gueules de fermier, quoique, elle peut être, je sais pas, mais moi je suis pas un cul terreux de Charles Ingalls. Je n’ai pas vu les cadavres qui servent d’engrais, certains encore en état de zombie, d’autres pas encore vraiment morts dans ce piège végétal. Je suis trop occupé a compter les types qui sortent du tunnel. Ils ont des armes, ils sont 6…  et pour le moment ils n’ont pas l’air de vouloir chercher près de la sortie et semble vouloir fouiner dans les allées, c’est notre chance.

la serre en moins vert que dans le rp:


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Re: haunting night

Mer 24 Fév - 20:07

All I need is some sunshine

Ils en été arrivés à la même conclusion. Tout ceci n'était qu'un piège sordide pour attirer des personnes comme eux. Complètement naïfs. Luisa savait qu'elle était un brin manipulable par les sentiments et les émotions. Du moins, elle essayait de contrôler tout ça pour paraître moins "influençable". Perdu pour cette fois. Mais entendre le cri d'un enfant et passer à côté de la maison sans rien risquer, n'était pas humain. Elle pouvait se sentir coupable d'y être allée, l'inverse aurait été encore plus grave à ses yeux. Néanmoins, elle n'avait pas à culpabiliser d'y avoir attiré Isha. Cet homme était fou. Tant dans les gestes que dans les mots.

Luisa fronça donc les sourcils lorsque le mot "princesse" et "grosse maline" sortirent de sa bouche. En parlant d'épée..., fit-elle en troquant son Beretta contre son couteau de chasse. Autant garder les balles, j'en aurais peut-être besoin ... Ils s'engouffraient dans le tunnel, Luisa en avant. Alors qu'Isha était force de proposition concernant la découverte du piège, la mexicaine se renfrogna Laisse tomber je pense vraiment que c'est un coup monté pour nous attraper. Et puis comment je pourrais savoir que tu as bien vérifier pour l'enfant en danger si je pars ? Tu crois vraiment que je partirais sans comprendre ? C'était mal la connaître.

Pour le coup, les tunnels n'étaient pas le meilleur endroit pour bien se faufiler et quitter ses sous-sols de malheur. Surtout qu'ils dégageaient une odeur immonde. Mais Luisa était bien plus concentrée à gagner sa liberté et ... à tomber sur ce foutu rat ! Ça m'a surprise !! Répondit la trentenaire sur les nerfs. Couteau en avant, elle commençait à perdre patience. Lorsqu'ils les entendirent...

Luisa se sentit tirée d'un coup ! Isha lui avait pris la main pressant le pas. Elle n'eut pas le temps de retirer sa main que son cœur fit un bon dans sa poitrine. Des coups de feu. Ils étaient tout près. Ils s'arrêtèrent enfin ... mais c'était sans issue. Non, non, non, NON !! Luisa mis sa main libre sur sa tête alors qu'Isha avait découvert quelque chose MAIS QU'EST-CE QUE TU FOUS BORDEL !! Elle n'eut pas le temps d'avoir des explications, ni de regarder en arrière voir s'ils étaient tout près, que le brun l'attira contre lui après avoir défoncé le mur, chutant sur le débris. Luisa eut un hoquet de surprise, fermant les yeux si fort. Impossible de comprendre en une fraction de seconde. Le duo fit une roulade jusque sous une table.

Enfin, elle ouvrit les yeux et regarda autour d'elle. Elle se mit à tousser légèrement mais prit une grande inspiration. Elle éteignit également la lampe torche et garda son couteau dans la main. Je sais pas d'où tu sors toi mais t'es complètement taré. Elle toussa encore mais réalisait que ce n'était pas à cause de ce qu'avait fait son binôme. La chute ... tout ça. C'était à cause de l'odeur de putréfaction. Ça venait clairement d'ici et à regarder tout autour, ils pouvaient largement deviner les projets de leurs ennemis. Mon dieu ... elle essayait de gesticuler Fait gaffe tu m'écrases ! dit-elle en fermant automatiquement sa bouche dès qu'ils arrivaient. Elle ne vit que les chaussures. Isha et elle étaient aux aguets, bien planqués. Le cœur de la mexicaine manquait un battement. Ils avaient donc leur réponse concernant l'enfant. Merde ... fit-elle tout bas.

Heureusement, les mecs partaient au fond de ce qui ressemblait fortement à une serre. La végétation était bien dense. Ça aurait pu être notre tour .. dit Luisa tout en comprenant qu'ils se servaient de leur victime pour source de vie à leur serre. C'est pas que dit la mexicaine, mais là il faut y aller, faut qu'on se tire avant que je vomisse. Enfin elle se tourna, se mit à quatre pattes en regardant absolument dans tous les sens. Les mecs étaient au fond leurs voix étaient étouffés par la serre. Il faut qu'on aille vers la sortie à l'exterieur de la serre, on est tout proches. Je retourne pas dans ce putain de tunnel !

Suis-moi, fit-elle à son acolyte elle avança à 4 pattes sous les tables. Des tuyaux passaient à travers leurs jambes. Heureusement, une partie de la table dessous était cachée par la végétation. Une fois arrivés au bout de la table, le groupe revînt au moment où Luisa apercevait la sortie qui était carrément de l'autre côté.

- Je veux deux hommes dans le tunnel au cas-où ils soient remontés. Sean, avec moi on sort de la serre et on va tâter le terrain à l'exterieur. Vous deux restez ici et regardaient absolument partout. Je rappelle que je les veux vivants dans la mesure du possible !

Ils se dispersaient. Mais les deux hommes dans la serre regardaient sous les tables. Luisa en profitait pour changer de place. Elle sortit de sous la table longeant la rangée en restant courbée. Un homme était tout près donc pas moyen de changer de rang. Elle se cacha au plus proche de la végétation et l'homme passa devant elle, mais en essayant de le prendre par derrière, ce dernier ce retourna et lui donna une baffe. Je t'ai trouvé sale conne Il l'a prit par les cheveux et la fit valdinguer sur une des tables. La mexicaine manquait d'air, désarçonnée, mais elle eut le bon réflexe. Toujours son couteau de chasse en main, elle se redressa alors qu'il commençait à lui tenir le cou et asséna un violent coup de lame dans la nuque de l'homme. Ce dernier mis une main sur la plaie, sa gorge se remplissant se sang. Aucun son ne sortit, et il s'écroula au sol. La trentenaire n'eut pas le temps de réfléchir à cette conclusion : que cela faisait très longtemps qu'elle n'avait pas tué d'homme ... vivant.

Elle se remit les idées en place cherchant Isha du regard ...

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Re: haunting night

Dim 14 Mar - 15:56

Celui qui est paumé


Bon, souvent la vie, ca va pas comme je le veux, et quand je dis souvent, j’entends presque toujours. Je suis pas fan de la verdure mais je vais pas tarder a être encore plus affreusement après cette soirée de cauchemar. Parce que franchement si je ne suis pas fan des fantômes, rien avoir avec toutes les saloperies bien plus tangibles que mère nature sait nous envoyer dans la tronche, et pourquoi vous me parer de ragnagna ? C’est quoi le rapport ?

Bref, on est dans cette espèce de serre avec plein de machins qui me plaisent pas qui poussent sur des tables, plutôt bien planqués malgré l’urgence, enfin, je trouve. Je reste complétement concentré sur les types qui débarquent en essayant de mesurer mes chances contre eux. Evidement, je me dis que je sais me les fumer tranquillou si j’avais pas la greluche a protéger. Rappelez vous, je suis le genre de mec qui pense qu’il est capable d’encercler 10 personnes a lui tout seul.

J’essaye, d’ailleurs de la garder plaquer sous moi au cas ou ca pétarade et de la faire taire quand elle se met a gesticuler dans tous les sens au risque de nous faire prendre, sans trop faire gaffe qu’elle a presque le nez dans un engrais vraiment dégueulasse. Ok, mon prénom veut dire « celui qui protège » mais c’est pas préciser que je fais ca dans la dentelle comme dans les films d’autrefois. Je suis plutôt du genre a faire de la pâtisserie a la truelle coté finesse.

Quand ils s’éloignent je reporte mon attention sur la femme qui semble bouleversée. Je vois bien qu’elle est retournée sans trop savoir si c’est ma présence virile ou juste le fait qu’elle sent que je l’ai sauvée de vilains messieurs. Pourquoi elle me menace de vomito ?

« T’as raison ca schingle mais je suis pas sur que ca soit le bon moment. »

Ouai, magie des dés et d’un échec critique, je vois que dalle a ce qui était sous la table avec moi et qui fait que la femme est surement pas rassurée. D’ailleurs, je vois même pas ou est la sortie, non le seul truc qui me saute au yeux c’est cette espèce de feuille de plante de merde qui m’empêche de zieuter nos adversaires. Putain ?!!! Ils sont où ces débiles ?!!!!!!!

La fille veut que je la suive, je me dis que, même si on sait tous que c’est la pire idée du monde parce que le sens de l’orientation des femelles c’est un peu comme leur sens de l’humour quand on parle de leur cul : inexistant quoi, mais bon, j’ai pas d’autre plan pour le moment.

J’arrive a presque être discret malgré que je dois gérer une épée qui est un peu encombrante pour cet exercice de me faufiler a 4 pattes. Je fais au mieux pour suivre la meuf avant de faire une grimace. Je sais pas dans quoi j’ai mis la mains, mais c’est poisseux et gluant. Je fais une grimace en retirant ma main sans comprendre que c’est de la matière cervicale qui couvre ma main. Pour moi c’est de la merde de plante verte.

« Si tu fais ca pour que je matte ton cul je crois que le moment est mal choisi… putain, je sais pas dans quoi en rampe là, mais le ménage laisse a désirer. C’est gerbant leur truc… »

Le temps que j’essaye de m’essuyer, v’la que l’autre s’est faite la malle. Putain, si c’est a cause de son cul qu’elle se la joue gazelle effarouchée, fallait causer avant. J’hésite a faire un « oh mademoiselle » mais la voix des types raisonnent et je découvre qu’ils sont plus pres que je ne le pensais. Bon, ils essayent de s’organiser, c’est bien gentil ca, mais faut que je retrouve la nana moi et la sortie aussi ca serait pas mal.

C’est la que j’entends qu’ils ont retrouvé « la sale conne », c’est pas sympa, mais je pense de suite a la fille qui était avec moi, pas que je la pense sale ni conne, enfin, on se connais pas encore assez. Bon, bah, vous savez quoi, on arrête les conneries, ils sont que 6 non ? Et moi, je suis avec Mauricette !!! Pis je sais pas trop si elle est démerde a foufoune, enfin, si, je sais que non, c’est qu’une fille.

Avec un rugissement qui va attirer les autres sur moi, je sors de ma cachette et fond sur les deux qui sont pas loin. Le premier se fait juste trancher en deux, le deuxième a pas le temps de se retourner que sa tête vole pendant que je me retrouve couvert de sang. Aucune idée d’où est la fille. J’essaye de regarder partout pour trouver ou elle est, imaginant qu’elle est en prise avec ces tarés.

« PUTAIN SI VOUS LA TOUCHEZ JE VAIS VOUS SAIGNER !! »


Ouai, je me doute pas qu’elle s’est sauvée toute seule, par contre j’entends des pas qui arrivent vers moi et, pour le moment, je ne fais rien pour me cacher, risquant de me faire prendre comme un con, tellement je suis en panique de trouver la gonzesse.

« VENEZ VOUS BATTRE AVEC UN VRAI ADVERSAIRES SALES ENFOIRÉS!!!!!!! »


HRP:

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