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Eric Tucker - Let's put a smile on that face!

Jeu 25 Fév 2021 - 20:33


Eric Tuckertell me more about you

prénom(s) : Eric
nom : Tucker
date de naissance : 9 février 1986
âge : 35 ans

ville de naissance : Seattle
métier : Responsable club de sport
groupe : Pro NE (Les femmes restent à leur place)

avatar : Sam Heughan

what i am

qualites
Coopératif
Déterminé
Ambitieux
Volontaire
Spontané
defaults
Grossier
Manipulateur
Rancunier
Agressif
Macho
Equipement :
Avant NE : Eric va porter beaucoup de vêtements au départ pour ensuite ne garder que le nécessaire à la limite du confortable. Il change de chaussures et troque des baskets contre des rangers. Il porte très souvent une casquette et un manteau avec une grosse écharpe pour l’hiver. L'été une veste en simili cuir et sa casquette restent ses accessoires types.

Son sac de voyage contient : une flasque de bourbon, un cigare, un briquet, un couteau à lame rétractable, un glock 22 avec seulement quelques balles. Quelques biscuits s’il en a, et du papier avec stylo.

A NE : Il garde la totalité de son sac mis à part le bourbon, l'arme et les balles. Il est bien souvent en jean dans la ville avec toujours ses accessoires préférés. Il va changer ses vêtements de "survivants" contre des habits classiques plus confortable à porter.
     
Détails physiques :
Eric est un homme grand : 1m91. Sa couleur naturelle est le roux avec des yeux bleus. Dans sa vingtaine, il est assez carré et musclé grâce à ses séances de muscu et de courses à pied. Durant l’infection, il va perdre pas mal de kilos. Il retrouve le sport et son poids idéal en arrivant à NE.

Il a le regard assez strict mais ne baissera jamais les yeux. Il va continuer à s’entraîner dans le camp pour se maintenir en forme. Eric n’a pas de tatouage. Il garde une barbe ou un bouc de plusieurs jours voire plusieurs semaines lorsque l’envie lui prend. Il a une grosse balafre en haut du bras droit depuis l’altercation avec les bandits à l’église Baptist Church.

Psychologie

Éric est une personne qui peut paraître froide et hautaine au premier abord. Ce qui le caractérise le plus c’est son incapacité à rester insensible. Il va essayer de cacher ses émotions mais si une situation lui échappe, il perd le contrôle. Il va répondre en étant grossier, même si au quotidien il mesure pas ses paroles, et deviendra agressif.

Lorsqu’il est dans la maîtrise, Éric peut être manipulateur pour en venir à ses fins. Se servir des sentiments ou des émotions des autres lorsqu’il le peut, ne lui fait pas peur. Il se sent plus confiant. Car l’homme sûr de lui qu’il dégage n’est qu’un masque et il va tout faire pour se protéger. Il a érigé pas mal de barrières avec le temps qu’il n’est pas prêt de faire tomber.

Faites-lui une crasse et il vous la rendra. Éric est rancunier, et à beaucoup de mal à pardonner. Soyez ami avec lui et il vous prouvera que votre confiance est bien placée. Il vous protégera et s’installera une sorte de bienveillance. Seulement si elle est méritée. C'est quelqu'un de volontaire, il fera le taff et remplira ses missions car c’est ce qu’il aime. Le travail bien fait. Il est coopératif, en équipe il est solidaire. Il aime être entouré des bonnes personnes. Chez lui, il existe une sorte d’ambition. Il va essayer de prouver qu’il en vaut la peine pour monter les échelons. Il aura toujours un but à atteindre dans son esprit. C’est une sorte de fierté qu’il a du mal à dissimuler.

Déterminé, Éric est assez coriace et il ne lâchera pas son objectif. Il est très actif et aura toujours quelque chose à faire. La paresse, très peu pour lui. Et il n’aime pas les fainéants. D’un naturel spontané, il sait mettre son grain de sel et dit ce qu’il pense tout haut. Il agit et seulement après, il réfléchit.

Concernant ses idées, il les défendra. Il est très attaché à ses opinions. Par exemple, le rôle des femmes pour lui est bien en dessous de celui de l’homme. La société chez NE ressemble à ses pensées et ses avis. Il est donc macho depuis toujours et se sentira toujours supérieur aux femmes. Que l’on vienne lui prouver le contraire. Il aura du respect envers celles qui reconnaîtront leur véritable place au sein de la communauté. Concernant les sentiments, il a été épris d’une seule femme dans sa vie qu’il a perdu de vue. Il lui est difficile de tomber amoureux car il est compliqué, a du mal à se laisser aller mais surtout, il ne se laissera pas avoir une seconde fois  ... surtout pas après son premier mariage raté ...




Story of survival

Pre-apocalypse

Eric est né le 9 février 1986 à l’hôpital du quartier de “West Seattle”. Ses parents ne souhaitant pas connaître le sexe de leur enfant, furent heureux d’avoir un fils. Ils habitaient à la 46e avenue de ce quartier et son enfance s’est passée entourée de sa famille très protectrice envers lui. C’était un enfant débrouillard qui testait ses parents et ses camarades de classe. Comme tout enfant dès l’âge de 5 ans.

A 11 ans, il entrait au South Seattle collège. Il goûtait alors à cette petite liberté qui lui fit le plus grand bien. Mais alors que jusqu’à présent il était bon élève, ses notes chutèrent au plus grand désarroi de ses parents. N’ayant pas pour l’habitude de le punir, son père prit le taureau par les cornes et durant son année scolaire commença à le priver de sortie. Grossière erreur, Eric défia à maintes reprises ses parents en fuguant, tandis qu’au collège, il passait par plusieurs expériences personnelles : le joint, la cigarette et même les filles, vers l’âge de 13 ans.

L’autorité qu’il défiait allant jusqu’à ses camarades et ses professeurs, il fut exclu un temps de l’établissement et son père l'inscrivait dans un collège privé. Dans “cet enfermement”, il étouffait et se rendait compte que ce sentiment existait chez lui depuis tout jeune. I annonça clairement à ses parents qu’il ne souhaitait pas continuer ses études. Ses parents, alarmés, essayaient de le résonner mais sans succès. Après de grosses disputes, son père prit une nouvelle fois les devants et lui proposa d’aller travailler, comme un grand à l’âge de 15 ans avec des conditions à respecter. Sa mère comme d’habitude, prenait la fuite pour ce genre de décision laissant son mari gérer son enfant difficile. Eric avait comme figure maternelle, une femme qui n’était jamais décisionnaire.

Son père avait un ami, Alfred, qui tenait un club de sport. Toute la journée, des personnes venaient s'entraîner dans cet endroit non loin de chez lui. Alfred le prit sous son aile en journée. Eric commençait son expérience dans le monde du travail en récurant les toilettes et les douches. Plusieurs fois il refusa le boulot confié, se confrontant à Alfred, briefé par le père de l’ado. Mais Eric dû se conforter à ces demandes. Face à lui, il avait un homme qui ne lâcherait rien. Eric abandonna et continua à bosser pour ne pas revenir dans un lycée privé, en internat.

2002. Un an s’était écoulé et Eric avait de nouvelles responsabilités. Il rangeait et entretenait le matériel, affichait des évènements concernant les ateliers partout dans le secteur... Vivant entouré toute la journée par des adhérents et des sportifs, il commençait à connaître la majorité des personnes et s'intéressait de plus en plus à la musculation. Alfred, en fier observateur, remarquait l'intérêt du petit et en parlait régulièrement au père d’Eric. Ce dernier ne souhaitait pas que son fils commence un quelconque sport. Et les excuses fusaient : trop jeune et pas assez mature. Alfred fit mine de comprendre mais une fois Eric présent au travail, il lui proposa de tâter un peu des machines. L’adolescent était heureux. C’était leur petit secret.

Plus les mois défilaient et plus il avait besoin de se défouler le matin. Il alternait donc les séances de muscu avec de la course à pied pour évacuer. Et ça commençait à faire son petit effet. Eric arrivait à se sentir moins frustré, son esprit était un peu plus apaisé concernant sa famille et surtout sa relation avec son père.
Donc à 18 ans, Eric annonçait officiellement à sa famille qu’il faisait des séances de sport . Son père ne su que dire face à la détermination de son fils qui avait pris un peu de muscle en étant de la même taille que lui. Il fut d’accord et ce fut le début de la liberté.

A 19 ans, Alfred le nomma comme son second. Il lui apprit les ficelles de son métier et Eric ne tarda pas à proposer des horaires plus larges. Bien évidemment, il lui proposa également d’ouvrir en soirée pour les grands sportifs qui souhaiteraient s’entraîner un peu plus tard. Alfred accepta. Cette année-là, Eric découchait souvent. Alfred lui proposait régulièrement de dormir chez lui connaissant le froid installé entre le fils et le père.

Durant sa vingtième année, Eric fit la connaissance de mecs de son âge. D’abord avenants et sympas, ils lui proposèrent quelques sorties en soirées. Des soirées très … arrosées. Il tomba dans l’alcool et la drogue en l’espace de quelques semaines. Alfred voyait ce changement, mais estimait que ce n’était qu’une passade. Il délaissait le sport, se délaissait lui-même ainsi que sa santé. Comme s’il voulait se raccrocher à cette nouvelle vie, l’esprit paumé par les stupéfiants ou l’alcool. Fuir la réalité pour s’en créer une nouvelle. Bravant les interdits. Peut-être une conséquence de “ces barrières" que jusqu’à présent, sa famille avait érigé autant dans son éducation que dans un  manque d’affection et de considération de la part de son père. Côté filles, il mettait dans son lit que les plus chaudes. Il savait qu’il plaisait mais il n’était pas du genre collant ou demandeur. Il laissait venir à lui et s’amusait. Il n’ai jamais vraiment tombé amoureux. Juste un sentiment soudain et étrange pour la sœur d’un de ses potes. Isobel. Elle l’attisait que trop bien pour ensuite l’ignorer à plusieurs reprises. Une nuit dans la maison du pote en question, Eric savait ce qu’il avait à faire. Après une grosse soirée, il entra dans la chambre d’Isobel et ne lui dit rien d’autre que “T’es à moi cette fois”. Elle comprit et il passa l’une des plus belles nuits de sa vie. Suite à cela, à chaque fois qu’il la croisait, il en profitait. Des baisers dans le cou jusqu’aux nuits intenses. Jusqu’au moment où elle devait partir pour faire ses études à New-York. Ils ne s’étaient rien promis, mais son départ l’affectait sans vraiment le montrer à quiconque.

Les mois défilaient et Eric commençait à douter. Ses amis ne lui apportaient rien de bon dans sa vie et la fille la plus intéressante était partie. Il eut de longues discussions avec Alfred. La patience de ce dernier a porté ses fruits et il remarquait que son “protégé” n’allait plus aux rendez-vous de ses potes.
Mais un soir, il se retrouvait avec un collègue de la salle de sport en boîte. Son ancien groupe de potes remarqua sa présence et commençait à lui demander des explications sur son changement d’attitude. La tension montait. Une fois que le feu était allumé, Eric ne voulait pas s'arrêter. Une bagarre éclata entre lui et un de ses anciens potes du groupe. Le camarade d'Eric et les autres, les séparèrent. Merci l'alcool ! Au final, le collègue du jeune homme le tira par le bras le forçant à détourner le regard et à récupérer la voiture pour quitter cet endroit.

A 24 ans, Eric remplaçait souvent Alfred dans ces fonctions. Le vieil homme lui avait laissé les clefs et tous ces papiers. Il mourra à la fin de l’année d’une crise cardiaque. Une grande perte pour Eric, très affecté par celui qu’il considérait comme son second père, son mentor, celui qui lui avait donné sa chance ...

Après ça, Eric fut le gérant du club tout entier. Il y fait quelques arrangements. Lui avait redonné une seconde vie. Il vivait seul avec quelques conquêtes par ci par là. Des filles sans grande importance pour lui qu’il jetait dès qu’il s’en était lassé. Il s’était éloigné de ses parents mais ils vivaient dans le même secteur. Il avait quelques amis sur qui il pouvait compter qui adorait le lieu et de ce qu’il en avait fait. Eric était devenu un homme mature et déterminé mais avec un sale caractère.


Post-apocalypse


13.10.2015
En salle de sport, des adhérents lui parlaient de ce qui se passait à l'extérieur. Des violences à répétition. Pour Eric, ce n’était pas le moment de penser à ça, il devait préparer des portes ouvertes dans son club d’ici deux semaines. Pourtant, il s'apercevait de la présence irrégulière des forces de police dans le quartier, sans vraiment l’inquiéter.

18.10.2015
Présence des forces militaires. Allocution du président. Eric ferma à contre cœur la salle et l’événement fut annulé. Sa mère l’appela pour lui dire qu’ils avaient des provisions, s’inquiétant pour son fils alors que les nouvelles entre les membres de la famille étaient rares. Des amis le contactait également pour lui dire que dans Seattle c’était un peu la merde et que l’atmosphère était anxiogène.

21.10.2015
Eric inquiet, appela sa mère. Mais elle ne répondit pas. Il sortit et courut jusqu’à chez eux, à 2 kilomètres du club. Mais il n’avait pas mesuré l’ampleur du phénomène et des dégâts. Il y avait des bouchons à des kilomètres. Il croisait des gens paniqués. Le jeune homme courait comme si la vie de ses parents en dépendait. Arrivé devant la maison de son enfance, il vit la porte ouverte. Ce n’était pas normal, la voiture était toujours là. Il entra en les appelant. Pour seule réponse, derrière la baie vitrée fermée qui donnait au jardin, il vit le visage décomposé de son père, à moitié déchiqueté, du sang sur ses vêtements et dans sa gueule. Entre ses dents, il pouvait voir encore des bouts de chair humaine. Eric resta sur place, choqué, impossible de bouger. Il ne respirait plus, ses yeux avaient imprimé pour l’éternité cette vision d’horreur. Son père donna un coup à la vitre en poussant un râle alarmant. Eric comprit que ce n’était plus son père. Il alla dans le garage et s’empressa de prendre une batte de baseball. En sortant, son père n’était plus derrière la baie vitrée mais bien présent dans la maison. Eric pouvait l’entendre. Ce dernier passa par la fenêtre de la cuisine pour lui échapper mais son père le poursuivit. Il couru à travers les rues de son quartier. Il avait semé son père (ou s’était-il arrêté pour poursuivre une autre personne).

Regardant en arrière, il n’avait pas vu que de son côté droit une masse fonça sur lui. Il tomba contre le capot d’une voiture se protégeant avec la batte. D’un coup de pied bien placé, il fit reculer l’homme et asséna un violent coup dans son crâne. La mâchoire ayant craqué, l’infecté tomba raide au sol. Eric horrifié autant par ce qu’il voyait que par son geste, mit quelques minutes avant de se reprendre. Il croisa ensuite des personnes en uniforme qui l’envoyait dans un bâtiment à l’abri des rôdeurs. Ce soir-là, il pleura, pour la première fois, la perte de ses parents et toute cette horreur qui venait de naître. Ce sera la dernière fois qu’il se montrera aussi émotif...

Quelques jours en confinement dans une sorte de foyer avant de les embarquer dans un autre camp plus grand, Eric n'était plus que l’ombre de lui-même. Un homme et une femme du nom de Charley et Tim, étaient chargés de donner à manger aux réfugiés. Ils se rapprochèrent d’Eric, seul dans son coin, pour lui faire la conversation durant quelques temps.

Dehors, ils pouvaient entendre des hurlements. Même la nuit. Le bâtiment n’était plus en sécurité à partir du moment où les râles ... venaient de l'intérieur. Ce fut la pagaille, Eric se leva pour prévenir le couple et se barrer par une porte de service car tout le monde se poussait vers les deux sorties principales. Une fois dehors, ils prirent la direction du Sud de la ville sans se retourner.

Hiver 2015 - 2016 - SEATTLE
Ils faisaient froid et Charley ne pouvait plus faire la nomade étant malade. Le petit groupe se barricadait définitivement dans une maison assez excentrée. Durant quelques mois, ils se servirent de la batte, manche à balai et autre, pour tuer des rôdeurs sur leur chemin ou pour faire face à des groupes qui se servaient dans les pharmacies, supermarchés et même boutique de fringues avant eux. L’apocalypse était bien là. Ce qui renforça le caractère d’Eric. Ils croisèrent assez souvent les gueules des rôdeurs morts au sol mais aussi des gens comme eux qui n’ont pas eu la chance de survivre.

Mai 2016
La survie était le seul moyen de vivre et pour le moment personne n'avait essayé de forcer leurs planques. Certains rôdeurs tournaient autour sans savoir qu’à l'intérieur 3 personnes essayaient de vivre normalement.
Charley et Eric pendant un temps se tournèrent autour. Charley très entreprenante, s’amusait avec le côté macho d’Eric pour lui en faire voir de toutes les couleurs. Le jeune homme céda pour lui montrer qu’il était bien plus entreprenant qu’elle ne l’était. C'était le début de leur liaison.

Août 2016 - Sud de SEATTLE
Le secteur où ils étaient confinés ne leur offrait plus rien de sûr et surtout plus de vivres. Ils prirent leurs affaires, volèrent une voiture pour faire route au sud de Seattle et ainsi pouvoir retrouver plus de nourriture et de médicaments avant l’hiver prochain. Sur la route, c’était un désastre pour les yeux et le moral. Ils fuyaient quelques groupes, ainsi que des coups de feu qui se perdirent à quelques avenues de leur position. Le trio visitaient des boutiques, des cabinets médicaux et des supermarchés. Les morts commençaient à affluer en grand nombre. Le groupe arrivait à ne pas se faire piéger. Ils firent escale au Riverton Park Untd Methodist Church et se barricadèrent. Le lieu avait été visité. Ils se cachèrent alors dans une partie de l'église en prenant soin de ne laisser aucune trace.

Concernant la relation entre Charley et Eric, c’est lui qui menait la danse et le faisait bien savoir. Cela lui donnait un peu de normalité dans ce monde. Mais il devenait de plus en plus pressant et Charley commençait à le craindre. Elle se rapprocha un peu plus de son ex compagnon Tim, sans en dévoiler davantage sur sa relation ambiguë avec Eric.

Décembre 2016 - Riverton Park Untd Methodist Church
Eric s’en était pris violemment à Charley, jaloux de son rapprochement avec Tim avec qui elle venait de coucher ! Dans un excès de colère, Eric prit Tim par le col pour le soulever comme un malpropre. Il le balança à terre, pour lui donner des coups de poings au visage, ce qui couvrait les cris de Charley. Une fois le sang bien présent sur le visage de la victime, il se retourna et vit la jeune femme pétrifiée. Un dernier regard noir en sortant de la chambre et Eric prit ses affaires afin de quitter les lieux définitivement, avec les armes, les vivres et en mode solo.

Printemps 2017 - Sud de SEATTLE
Durant cette période, Eric était simplement nomade. Il essayait d’éviter les grands groupes car les gens, pour une boîte de conserve, pouvaient tuer. Même lui, en y réfléchissant … Le monde a clairement changé et Eric commençait à se demander si cette vie n’allait pas être éternelle. La fatigue et la faim au quotidien se faisaient sentir. Il fouillait les appartements et les maisons. Il passa la fin de l'hiver et le printemps dans un appartement en ayant fait le plein de couvertures des habitations voisines.

Juillet 2017 - Quartier Glendale
Eric rencontra un autre homme sur les routes. Après l’avoir esquivé de bien des manières, il comprit qu’il ne serait pas un poids pour lui. Le Monsieur en question savait bien se défendre. Et pour cause, il traînait avec une mitraillette qu’il avait volée sur un corps sans vie d’un flic. Ils fuyaient donc le Sud pour trouver un petit repère dans le quartier Glendale.

Octobre 2017
Il aura suffit d’une seule nuit. D’un seul rôdeur. Un adolescent infecté était rentré par une petite ouverture dans une sorte de cagibi pour remonter jusqu’à l'endroit où les hommes dormaient. Son ami se fera mordre. Eric prit le couteau de sous l'oreiller pour liquider le mort. Le jeune homme pleurait énormément. Eric ne savait pas quoi faire. Le laisser là ou le tuer...

Encore indécis, Eric prépara le véhicule devant la maison avec le reste des vivres (disons 3 fois rien). Son ami une fois dehors lui tendit son arme. Tucker mis un moment avant d’appuyer sur la détente sans aucune émotion apparente sur son visage ...

Novembre 2017
Cette période marqua un tournant dans l'esprit d'Eric. Sur la route, il fut encerclé par un groupe de 6 personnes. Armés, il capitula et donna son sac et ses armes. Il le passèrent à tabac. Mais Tucker fit mine d'être touché violemment après quelques coups et tomba au sol, simulant une vraie défaite. Une fois le groupe loin de lui, il se leva essayant de se cacher le plus possible pour ne pas attirer ni les membres du clan, ni les rôdeurs. Il les suivait à la trace et attendait le bon moment pour riposter et récupérer ses biens. Cachés dans un entrepôt, Eric se mêla au groupe, tous s'étaient endormis. A l'aide de sa ceinture, il étrangla à côté d'un pylône celui qui avait pris le tour de garde. C'est la première fois qu'il tua un homme en bonne santé et de sang froid ... mais cela ne lui fit absolument rien. Aucun sentiment, aucune émotion ne se dévoilait sur son visage. La normalité maintenant c'était de survivre par tous les moyens. Il récupéra son arme et tira sur tous les hommes qui n'ont pas eu le temps de se lever pour se défendre. Le canon s'arrêta sur le visage d'une femme qui tenait son fils d'une douzaine d'années dans les bras.

Il prit ses affaires et pas mal de vivres dans le sac, la mère et le fils le regardant avec pitié. Il laissa au garçon, et non pas à la mère, un couteau, des balles et une arme non chargée ainsi que deux boîtes de conserves, avant de se tirer. Au visage froid, aux prunelles bleus sans vie, il jeta un dernier coup d’œil vers cette petite famille. Elle pouvait s'en sortir si elle partait maintenant, avant que les morts envahissent le lieu où les coups ont été tirés.

Hiver 2017 - 2018
Il était livré à lui-même une nouvelle fois, mais survivait assez bien. Pendant la tempête, il avait trouvé refuge dans un studio au-dessus d’un restaurant. Mais plus les semaines passaient et plus l'homme prenait de plus petites portions de nourriture pour avoir des restes les jours suivants. Il ne voulait pas se laisser aller. Du moins pas encore. Déterminé à trouver des vivres, il sortait de plus en plus longtemps et de plus en plus loin. Avec la neige présente, il n'avait pas trop de mal à s'hydrater. Mais une matinée alors qu'il n'avait pas mangé depuis plusieurs jours, le vent était tellement fort que ces forces ne le maintenaient plus debout. Un genoux à terre, il ne se souvenait plus de sa perte de connaissance ...

Quelques heures après s'être écroulé, un groupe d'une dizaine de personnes l'avait récupéré. Le diagnostic était bon : il allait vivre. Pendant plusieurs semaines, le clan l'avait maintenu au chaud et il avait repris des forces. Il leur en était reconnaissant et devînt ami avec certains d'entre eux. Par contre, il avait perdu définitivement ses armes qui étaient restés planqué dans l'ancien studio...


Printemps 2018 - Eatonville
Eric arrive à bien s'intégrer malgré quelques têtes qui ne lui plaisait guère.  Il arrivait à se faire remarquer. Il essayait de résoudre quelques affaires en essayant de passer pour le gentil, mais son agressivité prenait le dessus. Certains de la bande essayait de le recadrer, connaissant mieux le phénomène. N'empêche, Eric faisait toujours le sale boulot. Un homme de la bande se faisait mordre, il le tuait. Tomber nez à nez avec des mal lunés, et il en faisait son affaire.

Avec deux véhicules, le groupe descendit au Sud et fit plusieurs escales dont à Eatonville. Ayant fait le tour du terrain, ils tombèrent sur un groupe bien planqué à la Baptist Church. Après discussion, le groupe d'Eric choisissait de rester à l'église avec les autres survivants.

Automne 2018 - Baptist Church
L'entente était cordiale mais pas avec tout le monde. Noah était prêt à s'en faire des ennemis avant leur intégration à l'église, Eric n'oubliait pas ce détail... Ils en venaient souvent aux mains. Depuis, ils n'arrivaient plus à s'entendre. Eric ne pouvait vraiment pas supporter Noah et son petit caractère d'homme saint.

Une nuit, des pillards avaient essayé de s'introduire dans l'église. Après avoir fait des dégâts, le reste avait pris la fuite. Eric perdit le plus courageux des hommes qui lui avait sauvé la vie ... il récupéra son Glock. Le trentenaire était prêt à aider pour reconstruire les barricades, pour protéger son nouveau lieu de vie.

Mars 2019 - New Eden
Il fallait des vivres pour subvenir aux besoins des survivants. Les temps étaient difficiles. Alors lorsqu'un un autre groupe s'était présenté à eux pour parler de New Eden, Eric n'a pas réfléchis longtemps avant d'accepter. Vivre en communauté n'était pas vraiment son fort, mais la survie avant tout.

Octobre 2019
Eric avait appris les coutumes, les lois et la politique de NE. Et il se sentait bien. Même très bien. Il avait repris des forces, du poids, il reprenait doucement le sport, il se sentait bien et il n'avait plus à voir la gueule de Noah tous les jours !

Depuis un mois, Eric travaille dans la prison. Ce n'était pas un boulot fait pour tout le monde. Sa force de caractère et son mental lui permettait de voir cela comme un boulot tout a fait banal. Il était fier de pouvoir contribuer à la bonne marche de New-Eden !

La seule chose qui le faisait chier dans cette communauté, c'était le mariage. Des conquêtes c'était le pied, mais le mariage ... il voyait cela comme de l'enchainement. Mais il se laissa aller. Ce mois-ci on lui avait présenté la fille d'un voisin. Il l'a trouvait jolie, très agréable à regarder. Mais le regard de la jeune femme était aussi froid que celui d'Eric ...

Début 2020 - New-Eden
Eric et la jeune femme au nom de Juliana, se marièrent. Ils n'avaient aucun sentiment l'un pour l'autre. Eric n'essayait pas de faire d'efforts. Et Juliana ne pouvait aimer un homme qui prenait les femmes pour des moins que rien. Juste une fois, il l'a pris par les sentiments, lui promettant de la protéger et de changer en étant moins macho et égoïste. Ça a duré un temps, et Juliana est tombé enceinte. Mais sincèrement, à long terme il se détacha de ses engagements. Et depuis qu'il la vit traîner avec une amie qu'il surveillait de près, car elle n'était pas du tout d'accord avec les fondamentaux de NE, il n'arrêtait pas d'être très désagréable avec son épouse.

Mais la nouvelle de sa grossesse au mois de Juin fit l'effet d'une bombe chez Eric et remet tout en question quant à ses responsabilités.

Aout 2020
Juliana avait fait la pire chose. La pire erreur. Alors qu'elle était enceinte de deux mois, sa femme pris la décision d'avorter. Avec l'aide d'une amie à elle, elle ôta la vie à son enfant. A cause d'Eric, de la personne qu'il est, de NE et sa politique. Quelle éducation aurait-il eut ? Ce n'est pas l'éducation qu'elle souhaitait pour son enfant. Mais ça Eric, n'en saura jamais rien ... Après quelques semaines, elle ne pouvait cacher plus longtemps son acte. Elle a été jugée et condamnée sous le regard d'Eric.

Une dernière fois, elle verra ses pupilles qui lui lançait des flammes. Celles de Juliana signalaient que tout était de sa faute à lui. Lui qui n'a pas su l'aimer correctement. Eric traumatisé, voyait ça comme une trahison. Il ne culpabilisait pas concernant l'acte. La faute revenait exclusivement à Juliana. Il la voyait souffrir après sa crucifixion. Il se permit de se laisser aller un peu, chez lui à l'abri des regards.

Pour la suite, Eric essayait de reprendre sa vie. Il y arrivait. Cette épreuve était la goutte d'eau. Il se renferma un peu. Il espérait qu'un jour il serait compris. Les mois passaient et il se sentit un brin coupable de ne pas avoir su l'aimer. Peut-être que ça aurait tout changé ... Peut-être qu'il aurait changé.


Survie


Eric a repris sa routine d'antan : petit footing en matinée avec quelques séances de muscu. Il part bosser en général avec une certaine motivation. Un geste suspect et il recadre. Pareil pour un mot de travers. La prison n'est pas franchement une partie de rigolade mais il arrive à gérer en tant normal.
Il bosse avec d'autres mecs sur le même lieu, ils se permettent de se retrouver bien souvent le soir pour décompresser.

S'il y a besoin d'aide pour réparer, porter des équipements en lien avec ces fonctions ou pas, il répond présent. Dans la ville, Eric côtoie des femmes. Certaines d'entre elles sont des conquêtes. Le mariage en lui même lui fait un peu peur. Il angoisse de ce qui pourrait arriver après. A t-il vraiment peur d'aimer, peur de l'échec une nouvelle fois ? Ce sont les questions qu'il se pose actuellement.

D'avoir un supérieur ne le gène en rien, pareil pour les gars haut placés. C'est enfin le retour à une société correcte. Tant qu'il peut contribuer à cette communauté tout en lui foutant la paix, il ne cherchera pas les ennuis. A part si on le titille trop...

time to met the devil

• Pseudo (sur internet) : Toujours juju
•  Age irl : Ça se dit plus après 30
• Présence : Régulière
• Personnage : Inventé [X] / scénario/prédef [ ]
• Comment avez-vous découvert le forum ? Je sais plus
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? Moi même
• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum Oui [ ] / Non [X]
• Crédits (avatar et gifs) gogole et juju

• Code du règlement code validé par Jill

fiche (c) langouste.
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Re: Eric Tucker - Let's put a smile on that face!

Jeu 25 Fév 2021 - 20:41

R'bienvenuuue ! =D
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Re: Eric Tucker - Let's put a smile on that face!

Jeu 25 Fév 2021 - 20:42

Re Bienvenue Eric !!! cheers
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Re: Eric Tucker - Let's put a smile on that face!

Ven 26 Fév 2021 - 0:10

Yeah !!! Re-bienvenue !!! hellmo



Semper Fidelis



I am an American, fighting in the forces which guard my country and our way of life. I am prepared to give my life in their defense.
I will trust in my God and in the UNITED STATES OF AMERICA

KoalaVolant
Benjamin Blackbird
Benjamin Blackbird
New Eden | Sénateur
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Re: Eric Tucker - Let's put a smile on that face!

Ven 26 Fév 2021 - 8:27

Voilà une personne bien peu fréquentable :smile10:
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Re: Eric Tucker - Let's put a smile on that face!

Ven 26 Fév 2021 - 9:23

Re-bienvenue !
On dirait que New Eden te plaît bien (en même temps ça se comprend Eric Tucker -  Let's put a smile on that face! 2101447028 )
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Re: Eric Tucker - Let's put a smile on that face!

Ven 26 Fév 2021 - 11:21

Rebienvenuuuue !



Us against them
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Tori H. Watanabe-Hayworth
Tori H. Watanabe-Hayworth
Inglorious Fuckers
Administratrice
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Re: Eric Tucker - Let's put a smile on that face!

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