How can I thank you?

Ses lèvres se retroussèrent en un sourire malicieux. Le genre de sourire qui trahissait sans doute un peu trop toutes les envies qu’il pouvait avoir alors que ses yeux détaillèrent encore la jeune femme en face de lui. James se demandait si elle avait, ne serait-ce qu’une petite idée de qui il était. De tout ce dont il pourrait avoir envie, voir même besoin. De tout ce dont il faudrait faire preuve pour satisfaire pleinement sa curiosité. Tout ce qui défierait la morale, qui ferait plus que de flirter avec l’immoral. De la luxure au macabre, sans aucune modération. C’était ce qu’il lui faudrait, c’était ce qu’il espérait pouvoir apercevoir chez elle.

- Et si je te dis que je veux tout voir, de toi et de tes talents mais pas ici, c’est trop ? demanda-t-il simplement sans se défaire de son air malicieux

Après tout, c’était elle qui avait évoqué une curiosité à pleinement satisfaire. Lui, il ne faisait que répondre à sa façon. C’était étrangement sincère lorsque l’anglais affirmait vouloir l’ensemble de Lexie et de ses talents. Il ne lui restait qu’à savoir jusqu’où cette jeune femme serait prête à aller pour combler les envies d’un homme à l’esprit malade. Ce même esprit qui lui rappelait de ne pas brûler les étapes, lui rappelait qu’il était dangereux de jouer avec le feu. Il y eu comme un tilt dans son cerveau, une alarme silencieuse qui se déclencha dès lors que Lexie lui retourna sa question sans doute trop intrusive. C’était ce genre de retour de flamme qui pouvait l’embraser, le consumer et réduire à néant tout ce qu’il s’était efforcé de faire pour cacher sa vraie nature depuis son retour à Seattle. Et pourtant, il n’avait pas envie de s’éloigner de cette source incandescente. C’était comme s’il regardait cette flamme danser et qu’il voulait y mêler ses doigts, pour ressentir la chaleur dangereuse de ce feu. Il aurait pu perdre toute contenance devant cette question mais il n’en fît rien. Il garda le sourire et ses yeux ancrés à ceux de Lexie.

- Je sais pas, peut-être, dit-il en haussant les épaules en affichant une moue faussement innocente

Laisser planer le doute, c’était la meilleure option pour l’instant. L’ancien garde du corps opinait doucement du chef alors que la belle brune continuait de se livrer, sans qu’il ne sache dire si elle disait la vérité ou si elle se jouait de lui. Une part de lui murmurait de se méfier et l’autre part était happé par le regard qu’elle avait eu en tuant cette garde. Les yeux ne mentaient jamais.

- J’imagine qu’il n’y a qu’un seul moyen pour toi de vérifier si ce que tu as ressenti était éphémère ou si ça fait parti de toi, lâcha-t-il la voix grave C’est jamais bon de laisser des questions sans réponse, même si c’est des questions qui dérangent…

Il lui avait fallut plusieurs semaines avant d’accepter ce qui couvait en lui. James se souvenait encore du prénom de sa première vraie victime, celle qu’il avait tué de sang froid, celle qui avait abaissé son arme devant lui pour le prendre dans ses bras. Il se souvenait encore cette façon dont il avait refusé d’y croire, cette façon dont il s’était torturé l’esprit avec ses questions silencieuses. Jusqu’à ce que ça ne le ronge de l’intérieur, jusqu’à ce qu’il ne cède à nouveau à cette pulsion. Pour ne plus jamais pouvoir s’arrêter. C’était presque un conseil de sa part que de trouver rapidement les réponses.

Un bref rire lui échappa alors que ses yeux s’écarquillèrent à l’évocation de cette histoire de frère et sœur.

- Il a vraiment failli y croire ou il voulait juste y croire ? demanda-t-il à la fois amusé et interloqué

Bill lui semblait être un homme rusé et intelligent, pas le genre à se laisser berner aisément. Mais à bien y réfléchir, si Lexie était vraiment comme elle prétendait et semblait l’être, ce n’était finalement pas si étonnant. James lui-même parvenait à faire croire de sa bonne foi au dandy, quand bien-même ce dernier y trouvait son compte. Il tiqua cependant en entendant le prénom de Thaïs. La brune la décrivait comme quelqu’un de redoutable. Or, il allait être obligé de côtoyer cette Bastard en particulier, au sein de la milice. Il allait devoir redoubler d’efforts avec celle-ci, qui serait à coup sûr bien plus difficile à duper qu’Isha.

- Mais c’est bon à savoir que tu es une peste et une chipie sans faille

Son sourire réapparut aussi vite dès lors que Lexie lui expliqua dans quoi elle l’imaginait, autre que la vente de savon. Elle n’avait pas totalement tort dans ce qu’elle disait. Elle visait même plutôt juste, si on mettait de côté le fait qu’il était bien souvent celui qui portait le dernier coup et non pas uniquement celui qui faisait disparaître les cadavres.

- Tu as une imagination sans faille aussi ou seulement un très bon flair ? la questionna-t-il avec un air mystérieux

L’escort boy leva les yeux au ciel, feinta la modestie.

- J’aimerai bien te dire que je suis la seule raison des nombreuses ventes mais je crois que ces produits sont tellement rares que même le type là-bas pourrait en vendre

D’un coup de menton, il désigna un homme au physique plus que disgracieux accoudé au bar alors que ses yeux se fixaient sur les lèvres de la jeune femme.

La serveuse à la chevelure de feu vint alors leur ramener les verres commandés. James la remercia d’un sourire devenu courtois, et, dans les secondes qui suivirent, Lexie répondit à la question qu’il venait de lui poser. Il haussa les sourcils, à nouveau intrigué par tout ce qu’elle lui disait.

- Je sais pas si on va bien s’entendre alors… Parce qu’à ce niveau on semble être un peu pareil. J’ai toujours besoin d’être diverti et je reste jamais sur un échec, je supporte pas échouer. Alors si on en vient à jouer au même jeu, soit on va s’opposer, soit on va devoir s’allier, lâcha-t-il avec un regard entendu

Ses doigts se refermèrent sur son verre qu’il se décida à vider d’une traite, montrant son impatience. L’alcool commençait doucement à imprégner ses veines mais il n’en était qu’au début. Ce même alcool qui décuplait ses envies.

- Ça te dirait pas qu’on en prenne pour la route et qu’on aille voir ailleurs, pour s’amuser ? dit-il sans même essayer de dissimuler son avidité. De tout.      

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How can I thank you?

Cet échange aux allures innocentes qui se déroulait autour de cette table était aussi enivrant que dangereux. James savait qu'aucun Bastard n'était à sous-estimer, malgré leurs airs et Lexie ne semblait pas vouloir déroger à la règle. Mais la notion du danger de l'anglais était biaisée par sa psychopathie, son désordre émotionnel le rendait sourd aux alarmes qui auraient pu sonner dans son crâne. Il ne voyait que l'attrait pour la belle brune, il ne pensait qu'à ses idées paradoxales, absurdes qu'il voulait exaucer. Ses yeux glissaient sur la brune, sans réellement se cacher avant de s'arrêter sur le bandage qu'elle désignait.

- Ça me va aussi si ma curiosité est satisfaite de façon parsemée. Ça permettra même à mon imagination de fonctionner un peu jusqu'à... dans quelques jours alors ?

L'ancien garde du corps était du genre patient et à dire vrai, si on oubliait les fois où il perdait pieds dans un torrent de folie, il était plutôt du genre à prendre son temps pour savourer encore plus les choses. Chaque parcelle d'un corps, vivant comme mourant. La précipitation avait cette fâcheuse tendance à gâcher le plaisir. Tout comme à cet instant précis où James n'aurait eu qu'à opiner du chef, avouant à Lexie qu'il ne connaissait que trop bien ce sentiment. Ou, au contraire, il n'aurait eu qu'à mentir, nier le fait qu'il ne comprenait pas. Mais à la place de ça, il préférait laisser une petite brèche dans ce masque qu'il souhaitait sans faille. Ne rien dire, laisser seulement sous-entendre ou planer un doute.

- Peut-être, répéta-t-il d'une voix neutre alors que son visage affichait la même neutralité.

Seule une petite étincelle espiègle dansait doucement dans ses prunelles. Si Lexie avait vraiment ressenti ce qu'elle disait, elle finirait bien par comprendre que lui aussi était sur cette voie. Il y était même déjà bien trop loin. Peut-être que d'ailleurs venait-il là aussi d'aller trop loin à en juger par le visage qu'affichait Lexie.

Il haussa nonchalamment les épaules à ses dires, enfouissant ce frisson d'excitation que ne demandait qu'à courir sur sa peau.

- J'ai pas vraiment parlé d'y aller doucement mais sûrement, là, ça s'apparenterait plus à un jeu du coup...

Et quel délicieux jeu cela représentait. Dans le fond, ce n'était pas le moment fatidique qui donnait le plus de plaisir. C'était un savant mélange de tout, s'apparentant à un orgasme montant crescendo pour finir en apothéose. Ôter la vie n'était réellement grisant que si la partie était aussi longue que savoureuse, bruyante que délicieuse.

- Je te dis simplement que tu ne peux pas rester avec autant d'interrogations en tête. C'est un coup à devenir folle...

Mais la folie avait peut-être déjà gagné la jeune femme, tout comme elle avait gagné son esprit à lui. James n'aimait pas se (faire) qualifier de fou. Il avait seulement une façon différente de voir, de ressentir, de vivre les choses. Une vision que peu de personne comprenait, moins encore ressentait.

- Mais peut-être juste te rendre compte que sans l'adrénaline du moment, les choses sont différentes pour toi ? Si ta vie n'est plus menacée par telle personne mais que tu l'as à ta merci, les sensations seraient peut-être différentes et moins grisantes que ce que tu dis avoir ressenti ? Peut-être que ça serait tout l'inverse ou alors peut-être que tu n'en serais pas capable sur le coup

L'escort boy n'avait pas choisi ce terme au hasard. Il voulait, inconsciemment, placer cette idée de défi à Lexie. Si elle était aussi joueuse qu'elle disait, peut-être voudrait elle se prouver le contraire. Pourtant, d'un coup d'oeil, il aperçut le mouvement de recul de la jeune femme. Il avait sans doute été trop rapide.

- Je sais pas qui pourrait aimer ça mais j'en ai rencontré assez dans ma vie pour savoir que c'est aussi malsain que possible. Plus rien ne m'étonne dans le fond

Par chance, le mouvement de recul qu'avait eu la Bastard n'était finalement pas un mouvement de fuite. Elle continuait même à répondre aux questions de l'anglais, éclaircissant alors une des questions silencieuses qu'il se posait. Elle était donc une ancienne détective privée. Un métier qui, pour James et ses secrets, pourrait se révéler risqué.

- Moi? Dit-il en pointant son indexe sur son torse Ça me rassure dans un sens, que même une détective privée n'arrive pas a me cerner. C'est une déformation professionnelle que j'ai prise et faut croire que les habitudes ont la vie dire. Quand j'étais garde du corps, on nous avait appris à ne jamais rien laisser paraître. C'est con un garde du corps qui panique ou qui est un livre ouvert tu vois le genre ?

Mais si elle voulait avoir l'opportunité de lire ce livre, elle aussi allait devoir se livrer. Il ne prendrait jamais le risque de tout gâcher pour une partie de jambes en l'air ou pour prendre du plaisir à la voir jouer des lames sur quelqu'un. Et pour cela, il fallait un terrain plus neutre. Alors, il lui proposa d'aller s'amuser ailleurs. Il la scruta un court instant, attendant presque patiemment sa réponse. Le visage de Lexie se rapprocha et ses lèvres finirent par atterrir sur sa joue. Un sourire en coin vint ourler les lèvres de James alors qu'il pivota légèrement le visage de Lexie, bien proche du sien. Il fixa ses lèvres une fraction de seconde puis la brune se leva. Il ne tarda pas à suivre le pas, se levant à son tour.

- Tu verras lâcha-t-il lentement.

Le britannique marcha jusqu'au comptoir pour se procurer une bouteille, mettant cela négligemment sur le compte des Devil's Rejects. Ils n'auront qu'à donner un ou deux savons en plus, accompagné d'un paquet de cigarettes et les comptes seraient bons. Bouteille en main, il adressa un signe de tête à Lexie pour qu'elle le suive.

- Faudra rouler un peu lui dit-il en ouvrant sa voiture

Une fois installé derrière le volant, il ouvrit la bouteille pour en prendre une longue rasade puis la tendit à Lexie.

Les routes étaient encombrées tant pas des carcasses de véhicules que par les morts, il fallut un peu moins d'une heure pour arriver à destination. La baie Elliott n'était plus qu'à quelques longs mètres de là et au loin, on pouvait deviner la célèbre Grande roue, abîmée, totalement hirs services mais toujours debout. James n'avait pas choisi ce coin par hasard, il le savait infesté de morts vivants et surtout occupé par un petit groupe de malfrats violents, voleurs et violeurs qui avait été dégagé du No man's land par la milice il y a de cela une semaine. L'anglais stoppa la voiture et se pencha lestement sur Lexie pour ouvrir sa portière, ses yeux cherchant les siens.

- T'es prête à t'envoyer en l'air? dit il la voix pleine de sous-entendu en désignant la grande roue qui ne tournerait plus d'un coup de menton

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How can I thank you?

Les sourires devenaient de moins en moins courtois, pour laisser place à des esquisses plus lourdes en sous-entendus. Ce genre de sourire qui pouvait parfois en dire plus que les mots, plus lourds de sens. Les deux survivants semblaient vouloir jouer sur le même terrain. Sur un terrain aussi imprudent que brûlant, enveloppé d'un spectre mystérieux. Car c'était bien ce que représentait la belle brune aux yeux de James. Un nouveau terrain de jeu mais surtout une bulle énigmatique, malgré l'assurance qu'elle dégageait, qu'il aimerait faire exploser. Et lorsque sa curiosité était piquée à vif, que les rouages se mettaient en place, il savait mieux que quiconque qu'il était impossible de faire machine arrière. Lexie, sans le savoir, appuya ses pensées en affirmant qu'il était quelqu'un de mystérieux, lui aussi.

- Ça serait bien trop facile et bien moins amusant si tu savais tout d'un coup, ce soir tu penses pas? On aurait plus aucune excuse pour se revoir

Parce qu'après tout, après avoir satisfait sa curiosité, les choses paraissaient bien plus dérisoires. C'était le chemin du savoir qui était intéressant, c'était de gratter pour obtenir les informations qui était grisant. C'était de donner de sa personne pour connaître les tréfonds d'un personne, de sa personnalité qui rendait le jeu plus amusant. Un peu comme l'anglais était excité à l'idée de se dire que la jeune femme était indécise sur ce qu'elle ressentait face au meurtre qu'elle avait commis chez les Divas. Face à l'éclair de folie qui avait si joliment illuminé ses yeux sombres. Cette étincelle si belle qui ne trompait pas un œil déjà averti. La réponse qu'elle semblait chercher était déjà dans ses iris. James se contenta toute fois d'hocher la tête, soutenant son regard sans sourciller à cette demande.

- Si tu penses avoir besoin de moi, je t'aiderai à savoir si tu es vraiment... Malsaine dit-il dans un sourire en coin.

Le britannique l'aiderait à savoir ce qu'il était presque persuadé d'avoir vu cette nuit là. Il l'aiderait et bien plus s'il le fallait. Il pourrait l'initier, il pourrait la faire progresser dans cette voie macabre et délicieuse si c'est ce qu'elle désirait réellement.

La suite de la conversation le conforta dans cette idée qu'avec elle, comme avec d'autres, ses deux plus grands plaisirs pourraient être possibles. Il inclina doucement le visage, avec un regard qui ne mentait pas sur ses aspirations avec elle.

- La garde rapprochée ou très rapprochée, c'était aussi mon deuxième métier...Tu pourras te payer mes services, les premières fois seront offertes pour toi

Sur ces mots, il lui rendit son clin d'oeil malicieux. Il y a bien longtemps que James ne se faisait plus payer pour ses services et ce n'était pas avec Lexie qu'il allait recommencer. À moins que le fait de payer pour ça ne fasse partie d'un des fantasmes de la sulfureuse brune, il s'y plierait avec un plaisir non dissimulé.

Mais ce soir, il ne serait pas question de paiement. Il serait question de savoir jusqu'où Lexie était prête à aller, sur tous les niveaux. James, lui, ne dévoilerait bien sûr pas tout de suite. Il commencerait doucement, s'adapterait au rythme de la jeune femme avant de la pousser lentement dans la direction que lui souhaitait. La bastard n'avait pas froid aux yeux et accepta de le suivre sans, paraissait-il, se poser de question. Après tout, il n'était qu'un inconnu pour elle mais elle le suivit dans sa voiture. Tous ces petits indices qu'elle distillait, inconsciemment ou non, James les notait scrupuleusement.

Assis derrière le volant, la bouteille en main, un rire échappa à l'escort boy à la réflexion de la brune.

- Tu penses que ça changerait quelque chose que ce soit interdit ?

La réponse était toute évidente. Ça ne changerait rien, bien au contraire. Existait-il quelque chose de plus exaltant que l'interdit ? Même sur des choses aussi futiles que de boire au volant, l'interdit avait cet aspect piquant, cet aspect qui faisait courir l'adrénaline encore un peu plus vite dans les veines. Et c'était un peu cette sensation qui gagnait James. Il avait l'impression qu'être avec Lexie était une sorte d'interdit. Elle était bien trop proche de Bill, elle pourrait le faire tomber au moindre faux pas de sa part mais dès lors que sa lèvre inférieure se retrouva doucement coincée entre les dents de la brune; il n'avait qu'une envie : progresser encore un peu plus dans cet interdit.

- J'ai hâte de savoir ce dont tu es prête à faire, là. Tout de suite dit-il en se penchant encore un peu plus sur elle.

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How can I thank you?

Ses lèvres se plaisaient à explorer la peau de la belle brune, découvrant avec avidité ce corps qui allait devenir son nouveau terrain de jeu le temps d’un soir. Ses yeux, eux, n’étaient pas en reste. James scrutait, détaillait la moindre réaction que pourrait avoir Lexie. Le moindre tressaillement, le moindre geste qui pourrait l’aiguiller sur ce qu’elle ressentait à cet instant. Un long frisson d’excitation lui parcourut l’échine alors que son regard fut attiré par les mains de la jeune femme. Ces mêmes mains qui venaient de lâcher le rebord. Ces mêmes mains qui venaient de lâcher prise. Beaucoup de chose, à ce moment, venaient se bousculer dans l’esprit de l’anglais.

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