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5 participants

from the shadow to the light - Nico Porter.

Mar 8 Juin 2021 - 18:36


Nico PorterWelcome to Apocalyse now

prénom(s) : Nico, ouais c'est pas tous les jours qu'on entend ce prénom pour une nana. Mais c'est le miens et je suis très fière de le porter.
nom : Porter. Cela aurait pu être bien pire non ? En tous les cas ça me va très bien. Il me vient de mon paternel qui était un père fantastique.
date de naissance : C'est un magnifique 04 août que je débarque la tête pleines de rêves. (1989)
âge : 32 ans. Promis j'ai encore toutes mes dents !
ville de naissance : Détroit, cette ville magnifique qui a connu une crise majeure mais qui a su rester forte jusqu'à ce mois d'octobre 2015.
métier : Avant tout cela, j'étais comment dire... Youtubeuse Gaming ! Ouais mais c'est réellement un boulot à plein temps du moins pour l’époque… C’était y a si longtemps.
groupe : Travelers.
avatar : imogen poots
what i am

qualites
Débrouillarde
Curieuse
Intelligente
Courageuse
Autonome
defaults
Direct
Méfiante
Impatiente
Familière
Rancunière
Equipement :
Des vêtements amples pour plus de liberté de mouvement, la base de toute survie dans notre monde non ? Ou alors ce n’est que dans le miens ! En même temps faut pas se leurrer, il ne reste plus grand-chose à se mettre sous la dent de nos jours alors tant que c’est ample, ça me va. Mon arme de prédilection est une machette, surement d’origine militaire en regardant la qualité de fabrication. Trouver sur un cadavre ronger jusqu’à la moelle d’où mon doute, mais tant qu’elle coupe, tranche, perce, je m’en tape un peu. Il m’a fallu pas mal de temps pour m’y faire mais après bon nombre de rôdeurs à trépassé sous les coups de ma machette, je suis devenue assez performante pour neutraliser les morts d’un seul coup net. En même temps à force de tapoter comme une dingue sur mon clavier à l'époque sur WOW ça doit apporter de la force, parce que je vous assure, passer des heures pour venir à bout d'un boss, c'est pire que faire du sport. Bien évidement j’ai une arme de poing, un glock 19 9mm et un chargeur rarement plein.

Un sac à dos de randonnées ultra solide tenant fermement sur mon dos, parce que je ne pars jamais sans lui. Il y a toute ma vie dedans, enfin ce qu’il en reste, de ma vie d’avant. Une rare photo de ma famille au complet, mon téléphone portable qui ne fonctionne plus depuis un bail mais c’est pour le fun de me dire que j’ai quelques choses de l’ancien monde. Quelques vivres et ustensiles utile pour nous les travelers, genre un ouvre boite, un couteau suisse. Bref des choses qui me seront utiles tout simplement lorsque je pars sur les routes.
Details physiques :
D’un petit mètre soixante, d’un poids d’une cinquantaine de kilos, me rendant à coup sûr rapide et assez furtive sur les routes. Je suis un petit corps frêle dans ce monde apocalyptique mais je vous assure que je m’en sors aisément, du moins pour le moment. Mes cheveux sont blond tirant sur du châtain clair, d’une taille somme toute pas trop longue histoire qu’un rôdeur ne puisse passe me faire passer pour Raiponce en tirant dessus pour venir me grailler.

J’ai quelques cicatrices sur le haut de mon corps dû à cette apocalypse de malheur, j’essaie toujours de les gardés cachées. Mes yeux sont d’un joli bleu, lorsque le soleil pénètre mon iris, le tout scintille d’un bleu ultra clair.


Psychologie

Débrouillarde : Depuis toute petite, je suis la fille qui est plutôt habile de ses mains, c’est peut-être l’hérédité reçu de mon paternel qui était ingénieur et qui pouvait tout réparer, il pouvait réellement tout faire de ses mains. C’est aussi pour cela que j’ai failli suivre la même voie que mon père avant de finir sur Youtube.

Curieuse : Qui a dit que la curiosité était un vilain défaut ? Moi je trouve que c’est une jolie qualité, j’aime découvrir les choses, il faut être curieux dans la vie pour pouvoir réellement la croquer à pleine dent. Je suis comme une môme, dès que je vois un truc que je ne connais pas, je fonce telle la gamine de 5 ans s’émerveillant devant le parc de Disney pour la première fois.

Intelligente : Je fais partie des gens possédant un QI supérieur à la normal, à l’âge de 12 ans il était de 136. C’est bien au-dessus de la moyenne, pourtant, j’étais comme les autres, de mon point de vue il n’y avait rien de plus. Mes parents pensaient sincèrement à mon bien en m’envoyant dans une école pour surdoués, malheureusement, ce n’était pas mon cas.

Courageuse : Est-ce vraiment du courage que j’avais en moi, de la bravoure ? Je n’hésite jamais à foncer dans le tas lorsque je le dois. Surtout maintenant que c’est l’apocalypse, j’ai comme cette impression que j’étais faite pour ce monde au final. Je me dois d’être forte, d’être assez courageuse pour survivre dans ce monde difficile parce qu’il le faut, parce que je l’avais promis à mes parents avant qu’il n’y laisse leurs vies. J’avais toujours le courage de faire ce qu’il faut quand il le fallait.

Autonome : L’autonomie, l’indépendance est une chose vitale pour moi, depuis l’âge de 18 ans, j’avais déjà mon appartement, je savais ce que je voulais faire dans la vie et je n’avais besoin de personne pour me lancer dans l’aventure Youtube. J’ai toujours su tracer ma propre route sans suivre une tierce personne, genre mes parents, je fais  ce que je veux quand je le veux.

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Direct : J'ai l’habitude de dire aux autres ma façon de penser, de dire ce que je ressens quitte à blessé autrui. Vaut mieux toujours dire ce que l’on pense plutôt que de faire comme tous les autres pour rentrer dans le moule de la société en se faisant passer pour quelqu’un qu’on n’est pas. C’est surement pour cela que je n’ai jamais eu réellement beaucoup d’amis dans ma courte existence.

Impatiente : C’est ce qui me caractérise depuis un long moment, je suis toujours pressée pour tout et n’importe quoi. Je déteste attendre quelque chose, on dit souvent que la patience est une vertu ! J’avoue que pour moi, la patience n’a jamais était mon fort depuis aussi loin que je me souvienne. Je revois les scènes que je faisais subir à mes parents pour savoir ce qu’ils avaient acheté comme cadeaux… Ce n’est pas une partie de moi que j’adore. Je n’aime pas les surprises en réalité, parce que je veux tout savoir à l’avance, ce qui gâche l’effet de la surprise.

Méfiante: La méfiance, sérieux ? Je l’ai toujours été depuis longtemps mais une évolution en hausse après notre apocalypse. La cause ? Bah juste l’apocalypse, entre les rôdeurs qui veulent te graillé tel le dernier paquet de chips lays et le reste de l’humanité qui n’était pas glorieuse avant tout cela, de nos jours elle est encore bien pire alors oui ! Je suis méfiante comme pas deux. J’ai du mal à accorder ma confiance à quiconque, se lié d’amitié avec moi n’est pas simple mais une fois que vous l’avez, comptez sur moi pour n’importe quoi !

Familière : Ah c’est quelque chose qui me colle à la peau depuis un baille maintenant, je ne connais pas le vouvoiement, je tutoie directement et je suis assez familière avec n’importe qui. Non pas que je prenne les gens de haut, que je ne montre aucun respect aux autres, juste je reste moi-même en toutes circonstances. La familiarité est ma voie tout simplement, je ne me prendrais jamais la tête à ne pas m’y tenir.

Rancunière: La rancune, le genre de rancune tenace qui me colle à la peau. Je suis surement l’une des dernières nanas les plus rancunières de ce monde. D’ailleurs ce trait de moi, va de pair avec la méfiance car je me méfie toujours de tout le monde par peur d’être blessée ou autre. Si on s’en prend à moi, ma rancune vous poursuivra jusqu’au bout de la planète, de la galaxie, bref de toute part. D’ailleurs, j’aime être particulièrement odieuse et piquante avec quiconque m’ayant fait une crasse.





Story of survival

Pre-apocalypse


* Detroit - 1989 : C’est l’année de ma naissance, c’est l’été, il fait beau, il fait chaud, les larmes de joie de ma mère me coulant sur le visage. Ils avaient tant galéraient pour avoir un enfant, par chance, ils ont eu la plus magnifique des petites filles.

* Detroit - 1994 : Cinq petites années que je foule la terre pour le plus grand bonheur de mes parents. Le verdict tombe au sujet de ma mère, elle ne pourrait plus jamais avoir un autre enfant. C’est triste, pourtant elle était si contente de m’avoir dans sa vie, que cette nouvelle ne l’avait pas ébranlée pour autant.

* Detroit - 1999 : Avec mon père, on se lance dans un projet d’école totalement fou, entre son cerveau et le miens bien que petit mais vraiment efficace. On avait réussi à crée de toutes pièces, une réplique d’un volcan avec un système d’écoulement de fausse lave plutôt réaliste. Je pouvais voir la fierté de mes parents lorsque j’avais reçu la meilleure note de la classe et de l’école pour ce projet.

* Detroit - 2001 : C’est à l’âge de mes douze ans qu’on me diagnostique selon un test de QI, Supérieur ! Un QI de 136 ce n’est pas commun pour le reste de l’humanité, alors je pouvais voir la fierté de mes parents en apprenant qu’ils avaient une gamine surdouée. Pour moi, ce n’était pas la même chose car j’aimais être la nana qu’on ne voit pas, celle qui passe inaperçu aux yeux du reste du monde, sauf de ceux de mes parents, à la maison. Pourtant cela n’a pas servi mes intérêts qu’ils m’envoient dans une école pour surdouée peu de temps après ce fameux test.

* Detroit - 2006 : C'est à ce moment que ma vie prends une autre dimension, une voie que personne ne soupçonnait d'arriver et pourtant c'était bien le cas. Bien que j’essayais de m’intégrer dans mon école, je m’étais fait quelques potes qui me montrer pas mal de vidéo Youtube, des vidéos sur du gaming et c’est à ce moment-là que l’amour du jeu vidéo a prit le pas sur mes études. En quelques temps seulement j’étais déjà une accro du jeu vidéo, j’avais comme ce don pour être performante sur n’importe quels games.

* Detroit - 2010 : J’ai du mal à gérer les jeux vidéo et les cours, faut que je fasse un choix, pour mes parents ma carrière était déjà toute tracée et se devait d’être celle d’une ingénieure. Je n’étais pas de cet avis visiblement, pour ma part c’était autre chose que je voulais faire. Finissant mes études pour être diplômée en ingénierie avant de prendre une toute autre direction.

* Detroit - 2011 : Après quelques gros tournois sur WOW, sur CS, je m’étais fait une petite place dans le milieu du gaming, puis être une nana parmi tant de mec, je vous jure que ça peut également aider comme ne pas vous aider si vous voyez ce que je veux dire. Avant les rôdeurs, ont avaient les dalleux, a-t-on perdu au change ? Je ne pense pas dans le fond, l’un comme l’autre n’est pas mieux.

* Detroit - 2013 : Voici l’année du Saint Graal pour moi ! Cette année marque un grand tournant au moment d’ouvrir une chaine Youtube en streamant pas mal sur des jeux. Je ne savais pas si c’était mes perfs, ma bouille aussitôt angélique aussitôt démoniaque surtout quand je galère à venir à bout d’un boss ou alors mes vidéos dans les dessous des tournois professionnel. Bref ! Je suis devenue bien plus visionnés en quelques mois qu’un clip d’Eminem… Bon la fin est un mensonge mais c’est pour vous dire à quel point c’était rapide. Youtube, ça monte vite tout comme ça peut descendre vite alors je n’avais qu’un rêve que cela perdure le plus longtemps possible.

* Detroit – octobre 2015 : Mon succès avait donc perdurait jusqu’à ce que cette saleté d’apocalypse ne gâche tout. On ne peut pas vivre sa life tranquillement sans qu’une fin du monde zombifié ne vienne tout foutre en l’air. J’ai toujours était douée dans les jeux mais est-ce la même dans la real life ? J’avais déjà plus de savoir grâce aux jeux de survie qu’un mou du gland qui rester devant fast and furious non ? Assurément.


Post-apocalypse


* Seattle – 2015 : Ce n’est pas facile tous les jours, entres les rôdeurs et les survivants qui chasse tout le monde pour de la bouffe, des munitions, pour le plaisir.  Je ne me rappelle même plus pourquoi on avait foutu les pieds à Seattle juste avant l’apocalypse. Ah oui pour l’anniversaire d’un cousin que je ne voyais quasiment jamais. Depuis toute cette merde,  mon père et moi étions assez habiles de nos mains afin de pouvoir remettre en état les véhicules qu’on pouvait croisés sur notre chemin. Mon père avait également en tête de m’apprendre tout un tas de truc utile si jamais quelques choses devait leurs arrivés. Une chose était ressortie dans ce périple, le lien avec mes parents qui était plus fort que jamais.

* Seattle – 2017 : Seattle n’est pas mieux qu’une autre ville en y repensant, mais partir autre part serait surement de la perte de temps et mon père n’était plus en état pour que l’on puisse partir d’ici. Un groupe nous avaient attaqués un soir, mon père avait était blessé à sa jambe droite. De nos jours, les soins ne sont plus ce qu’ils étaient, malheureusement trouver de quoi réellement le soigné n’était pas chose facile.

* Seattle – fin 2018 : Un soir pluvieux, le nature se déchainé tout comme l’appétit des rôdeurs de plus en plus nombreux se faisait ressentir au fil du temps que l’on passés à survivre avec mes parents. En route, on s’était fait quelques amis, qui nous avaient rejoints dans une grande maison délabré mais qui avait son utilité. Du bruit venait d’en dehors, les fortifications de fortune n’avait pas tenu face à une horde de rôdeurs ayant la dalle. Les premiers à y passés étaient le couple rencontré il y a quelques mois sur la route. Fonçant donc vers notre passage en cas d’attaque, le paternel et sa jambe blessé n’avançait pas assez vite malgré la lenteur des infectés mais la horde était assez grosse pour nous foncés dessus de toutes parts de la bâtisse. C’est alors que mon père se sacrifie pour que l’on puisse passer, ma mère et moi, dans ce fameux passage. Malheureusement ma mère venait de subir une morsure au niveau de l’avant-bras en refermant la porte. Fonçant donc nous mettre à l’abri le plus rapidement possible, ma mère était de plus en plus fiévreuse chaque minute qu’on passer à courir.

* Seattle – 2019 : Me voilà arpentant les rues seule, sans personne, ma mère avait succombé de sa morsure, comme tout le monde au final. J’ai dû m’en occupé moi-même… Entendez par-là ce que vous voulez, dans le fond je m’en tape. C’est à ce moment que je suis devenue méfiante de tout, sur le fait que d’être seule ne m’apporterait aucune peine de perdre quiconque en ce monde. C’est un raisonnement qui pouvait se tenir compte tenu de notre espérance de vie actuel. On finit tous de la même manière, on s’entre-tue, les infectés nous bouffe et on se relève, je pars du principe que si j’envisageais d’en finir, rien de mieux qu’une balle dans le crâne et j’aurais au moins la certitude de finir comme je l’entends. Puis j'avais promis à mon père de toujours survivre, quoi qu'il arrive, j'essaierais donc de tenir cette promesse le plus longtemps possible, il avait donné sa vie pour que je puisse survivre alors... avais-je d'autre choix.

* Seattle – fin 2020 : Je suis toujours en vie… Je ne cesse de faire des allers-retours, en quête de vivre histoire de faire du troc dans le no man’s land. La survie n’est pas toujours simple, même de manger à sa faim n’est plus aussi aisé qu’auparavant. Sur les routes on croise toujours du monde, bon ou mauvais, des personnes qui deviennent des connaissances et qui te proposes de venir dans leurs groupes. Moi dans un groupe ? Est-ce faisable après tout ce temps seul ? Je n’en savais rien. J’aime être seul pour le moment, je ne pense pas rejoindre de groupe car forcément en rejoignant un groupe, on s’attache à des gens qui finisse soit pas crevé, soit par te trahir, un monde sans foi ni loi ! Où la survie prime sur l’amitié. La solitude me sied bien, je n’ai de compte à rendre à personne, personne pour venir me faire chier, je me suffis à moi-même on dirait même si ce n’est pas tous les jours faciles…

* Seattle – avril 2021 : Ce jour où les tirs pouvaient se faire entendre sur plusieurs kilomètres à la ronde. Le no man’s land n’a jamais été un endroit sécuritaire, c’est un lieu d’échange, un lieu où se reposer en ne fermant qu’un œil. Mais ce jour-là ! Trainant jamais trop loin du lieu, j’avais entendu les tirs, j’avais entendu de la bouche d’autre que les membres d’un groupe, appeler « New Eden » s’étaient fait butés par des types cagoulés et armés jusqu’aux dents. Ce n'est pas moi qui irait me mêler de cela, je préfère rester en mode solitaire, me rendre invisible aux yeux de tous, voilà mon crédo pour le moment.


Survie


Parce que son quotidien n’est jamais identique, peu importe, chaque jours est bien différent du précèdent. Voici quelques consignes, quelques règles pour être un bon Traveler.

Un : Toujours dormir que d’un œil, toujours avoir un toit sur la tête et si ce n’est pas possible, se trouver un endroit en hauteur avec qu’une seule entrée, qu’une seule sortie.

Deux : Toujours se méfié des autres, j’entends par-là, les survivants qui sont bien plus dangereux que les infectés, mais moins qu’une horde.

Trois : On vise toujours la tête en premier… C’est toujours-là qu’il faut viser. Pourquoi certaines personnes s’évertuent à viser autre part ? La base, c’est le cerveau, tout le monde sait-ça ! Comme dans les jeux, la tête fait plus de dégâts.

Quatre : Lève-toi chaque jour comme si c’était ton dernier jour sur terre… Ce qui fait que tu es h24 en mode 100%. Toujours sur tes gardes, toujours à l’affut, c’est éreintant, mais jusqu’à maintenant je suis toujours-là.

Cinq : Utiliser son arme à feu qu’en dernier recours, toujours privilégié les armes blanches, contondantes, parce que les armes à feux font du bruit. Qui dit bruit, dit rôdeurs.

Six : C’est bête… mais toujours regarder derrière soi ! On ne sait pas sur qui, sur quoi on peut tomber.

Six Bis : à ajouter à la règle précédente… Pensez également à regarder sur les côtés aussi.

Sept : Toujours protéger ses membres à l’aide de renfort, cuire, métal, bois, plastique, cela peut vous sauvez lors d’une morsure. Au détriment de la liberté de mouvement !

Huit : Engager le combat que si vous êtes sûre de pouvoir le gagner.

Neuf : Il y aura toujours de nouvelles règles, parce que la vie de survivaliste est semé de nouveautés, de défis et de bien d’autres choses.

Mon quotidien est de suivre quelques règles, quelques précautions afin de pouvoir revenir vivante de n’importe quelles excursions. Ma vie se trouve sur la route, je n’ai aucunement de chez moi, je dois toujours être à cent pour cent de mes capacités.

Copie du bloc-note de Nico Porter, Traveler.

time to met the devil

• Pseudo (sur internet) : shadow
• Âge irl : 33 ans.
• Présence : 5/7
• Personnage : Inventé [ x ] / scénario/prédef [ ]
• Comment avez-vous découvert le forum ? tops sites.
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? Le thème !
• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum Oui [ x ] / Non [ ]
• Crédits (avatar et gifs) Tag / Bazzart / Google.

• Code du règlement HE WHO SAT ON IT HAD THE NAME

fiche (c) langouste.
Invité
Anonymous
Invité
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Re: from the shadow to the light - Nico Porter.

Mar 8 Juin 2021 - 18:38

Bienvenue ici !
Bon courage pour ta fiche !


On my skin
Witness Marks


Jacob E. Ross
Jacob E. Ross
Administratrice
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Re: from the shadow to the light - Nico Porter.

Mar 8 Juin 2021 - 18:39

Merci Razz
Invité
Anonymous
Invité
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Re: from the shadow to the light - Nico Porter.

Mar 8 Juin 2021 - 19:13

Bienvenue à bord et bon courage pour ta fiche ! :smile34: :smile35:



bienvenue sur le forum !


Te voilà fraîchement inscrit(e) sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si tu comptes jouer un Remnants et que ton personnage est intégré au camp avant juillet 2019 dans son histoire, il se peut que celui-ci ait été vacciné contre le virus qui transforme en rôdeur. Pour savoir si c'est le cas, rendez-vous ici.

6 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

7 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.



Bonne rédaction !


N'hésite pas si tu as des questions ! =D
Invité
Anonymous
Invité
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Re: from the shadow to the light - Nico Porter.

Mar 8 Juin 2021 - 19:13

Merci à toi :smile16:
Invité
Anonymous
Invité
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Re: from the shadow to the light - Nico Porter.

Mar 8 Juin 2021 - 19:20

Bienvenue Nico, bonne rédac à toi ! Wink


I am Wrath
I am War
I am Death
Avelina De Luca
Avelina De Luca
Administratrice
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Re: from the shadow to the light - Nico Porter.

Mar 8 Juin 2021 - 19:43

Bienvenue Nico ! Si tu as besoin d'aide ou d'infos pour rédiger ta fiche n'hésite pas à me contacter par mp, je serais ravi d'être ton parrain Wink



I'd Kill Them All

Hayden Keynes
Hayden Keynes
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Re: from the shadow to the light - Nico Porter.

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