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The world belong to the dead
Ven 10 Déc 2021 - 20:05
Seattle
Le ciel est nuageux, l’air est frais de bon matin. L’ambiance est morose, ça ne change pas de d’habitude vous me direz. Les rues sont soit désertes soit envahies d’infectés qui déambulent. Aujourd’hui c’est un mélange des deux, mais il n’y a rien de bien inquiétant … Pour le moment en tout cas. Je ne suis pas encore arrivé à la salle de sport, je dois marcher quelques minutes supplémentaires à mon avis. Je regarde derrière moi, visiblement je ne suis pas suivi … On ne sait jamais ce qui peut arriver de nos jours. Je passe par les coins de la ville habituels, je connais le chemin par cœur à force de venir ici. Cette ville est immense, il faudrait que j’y vive de longues années avant de bien en connaitre les moindres recoins. Je croise quelques rôdeurs dévorant des cadavres à une vingtaine de mètres de moi. Voir cela était surprenant il y a six ans, maintenant c’est mon quotidien, même celui de tous.
Pour qu’on soit tous en sécurité, nous devrions éliminer chaque rôdeur de cette planète. C’est une tâche interminable, je pense qu’on finirait par perdre patience au bout du compte. Les humains sont bien plus dangereux, même s’il n’y aurait plus de morts … On finirait tous par s’entretuer, c’est assez paradoxal finalement. Nous sommes voués à disparaître au fur et à mesure. À moins qu’un miracle ne se produise, cette situation mondiale n’est pas près de s’arranger. Cette ville m’a donnée de l’espoir, plus que j’en avais fut un temps. Le No Man’s Land et The Store se ressemblent énormément, ils ont exactement le même fonctionnement. Ce sont tous les deux des lieux d’échanges pour les survivants … Dans mes souvenirs The Store était bien plus petit que le No Man’s Land, enfin si ma mémoire n’est pas défaillante. Ce serait sacrément inquiétant quand même, je n’ai que vingt-deux petites années. Bon, je ne dois plus être très loin de ma salle de sport favorite. Un sourire se dessine sur mes lèvres quand je repense à mes séances de sport à la salle avec Diego.
Il se vantait d’avoir de plus gros bras et des abdos plus développés que les miens. Je n’ai pas un aussi beau corps que les bodybuildeurs mais je suis satisfait de mes beaux abdominaux et de mes bras plutôt musclés. J’arrive en face de la salle de sport, je vois quelques morts proches des boutiques à proximité mais il n’y a rien d’alarmant.
Je ferme la porte derrière moi, puis je commence à faire ma séance de sport : J’enchaîne les sit-up, les développés couchés et les pompes. Les premières minutes se passent bien, mais pendant que je soulève des haltères je vois la porte de la salle s’ouvrir. Une femme aux longs cheveux châtains entre à l’intérieur, elle a l’air de paniquer.
Je vois des infectés s’approcher des vitres progressivement et je comprends immédiatement pourquoi elle panique. Surpris et emmerdé par le fait que je suis probablement piégé avec ces rôdeurs, je lâche les haltères au sol qui font énormément de bruit ce qui fait sursauter la femme qui se tourne vers moi << Je … Qui êtes-vous ? Je crois qu'on est bien dans la merde >> Dit-je en la regardant avant que mon regard ne pose sur les morts. J’étais sûr d’avoir vu que très peu d’infectés dans le coin, je crois que j’ai mal regardé …
Le ciel est nuageux, l’air est frais de bon matin. L’ambiance est morose, ça ne change pas de d’habitude vous me direz. Les rues sont soit désertes soit envahies d’infectés qui déambulent. Aujourd’hui c’est un mélange des deux, mais il n’y a rien de bien inquiétant … Pour le moment en tout cas. Je ne suis pas encore arrivé à la salle de sport, je dois marcher quelques minutes supplémentaires à mon avis. Je regarde derrière moi, visiblement je ne suis pas suivi … On ne sait jamais ce qui peut arriver de nos jours. Je passe par les coins de la ville habituels, je connais le chemin par cœur à force de venir ici. Cette ville est immense, il faudrait que j’y vive de longues années avant de bien en connaitre les moindres recoins. Je croise quelques rôdeurs dévorant des cadavres à une vingtaine de mètres de moi. Voir cela était surprenant il y a six ans, maintenant c’est mon quotidien, même celui de tous.
Pour qu’on soit tous en sécurité, nous devrions éliminer chaque rôdeur de cette planète. C’est une tâche interminable, je pense qu’on finirait par perdre patience au bout du compte. Les humains sont bien plus dangereux, même s’il n’y aurait plus de morts … On finirait tous par s’entretuer, c’est assez paradoxal finalement. Nous sommes voués à disparaître au fur et à mesure. À moins qu’un miracle ne se produise, cette situation mondiale n’est pas près de s’arranger. Cette ville m’a donnée de l’espoir, plus que j’en avais fut un temps. Le No Man’s Land et The Store se ressemblent énormément, ils ont exactement le même fonctionnement. Ce sont tous les deux des lieux d’échanges pour les survivants … Dans mes souvenirs The Store était bien plus petit que le No Man’s Land, enfin si ma mémoire n’est pas défaillante. Ce serait sacrément inquiétant quand même, je n’ai que vingt-deux petites années. Bon, je ne dois plus être très loin de ma salle de sport favorite. Un sourire se dessine sur mes lèvres quand je repense à mes séances de sport à la salle avec Diego.
Il se vantait d’avoir de plus gros bras et des abdos plus développés que les miens. Je n’ai pas un aussi beau corps que les bodybuildeurs mais je suis satisfait de mes beaux abdominaux et de mes bras plutôt musclés. J’arrive en face de la salle de sport, je vois quelques morts proches des boutiques à proximité mais il n’y a rien d’alarmant.
Je ferme la porte derrière moi, puis je commence à faire ma séance de sport : J’enchaîne les sit-up, les développés couchés et les pompes. Les premières minutes se passent bien, mais pendant que je soulève des haltères je vois la porte de la salle s’ouvrir. Une femme aux longs cheveux châtains entre à l’intérieur, elle a l’air de paniquer.
Je vois des infectés s’approcher des vitres progressivement et je comprends immédiatement pourquoi elle panique. Surpris et emmerdé par le fait que je suis probablement piégé avec ces rôdeurs, je lâche les haltères au sol qui font énormément de bruit ce qui fait sursauter la femme qui se tourne vers moi << Je … Qui êtes-vous ? Je crois qu'on est bien dans la merde >> Dit-je en la regardant avant que mon regard ne pose sur les morts. J’étais sûr d’avoir vu que très peu d’infectés dans le coin, je crois que j’ai mal regardé …
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Re: The world belong to the dead
Ven 10 Déc 2021 - 22:21
Un jour, une nouvelle route, tel était le credo que je m’imposais tous les matins. Aujourd’hui encore le ciel se noyait dans une vague de gris et les températures de mi-saison, chutait chaque jour petit à petit. Rien de bien astronomique non plus, elle ne chutait pas encore en dessous des 5 degrés mais l’air humide et frais nous rappelais que l’été était bel et bien terminé. Les quelques rayons du soleil qui perçait l’épaisse couche de nuage vinrent me réveiller de bon matin. Le rideau de fortune installé sur le cockpit de l’avion n’était pas vraiment opaque, ni même en bon état d’ailleurs. De toute façon je comptais le changer aujourd’hui. Le temps d’enfiler un pull et un jean noir que le café coulé hier était prêt. Que Dieu bénisse les réchaud de survie, une invention bien utile. Une fois prête je me mis à préparer mes affaires. Une nouvelle destination m’attendait aujourd’hui, même si il m’arrivait de me demander pourquoi je faisais ca … Pourquoi m’accrochais-je à ce point la à la vie… j’avais tout perdu...mon homme, mon père et mes filles. A quoi bon lutter en vain ? Parfois je m’épuisais moi-même, je vivais à l’instinct, je sentais que je devais faire certaines choses alors je le faisais.
Avant toute chose je décidais de me rendre à ce que j’appelais : ma safe Zone. Une zone inatteignable par ces maudits infectés. Elle se trouvait au 36ème étages d’un immeuble e la ville et l’on ne pouvait y accéder qu’en escaladant les escaliers à moitié délabrés et en grimpant une échelles de la cage d’ascenseur. J’aimais beaucoup y aller, c’était un endroit calme ou je m’abandonnait souvent. Sculptant par moment , jouant d’un instrument un autre, c’était le moyen que je trouvais pour ne pas perdre la raison. Une longue baie vitrée brisée se trouvait également la. Je pouvais ainsi voir une bonne partie de la ville. Les nuages étaient bas ce matin, je ne pus distinguer grand-chose mais la ville semblait calme. Parfois le vent venait s’engouffrer dans la pièce , me susurrant des mots doux à l’oreille. Je mis du temps à m’y faire, étant constamment sur mes gardes. Avant de repartir je déposa une petite sculpture sur une table au milieu de la pièce, j’avais pris pour habitude de faire ceci pour voir si d’autres que moi passait par la. Une fois il m’est même arrivé de ne pas la retrouvé mais de trouver un briquet vide à la place. C’est ainsi que maintenant je dissimule mes petites sculptures un peu partout, espérant qu’elle réchauffe le cœur des Hommes dans ce vie triste et froide.
Au bout d’une trentaine de minute j’étais enfin redescendu, prenant gare ù je mettais les pieds afin de ne pas tomber. J’avais pour habitude d’éviter les avenues et axes principaux de circulation mais je ne sais pourquoi, aujourd’hui je fis autrement. Je ne le remarqua d’ailleurs as tout de suite mais l’atmosphère avait changée...comme plus lourde...plus menaçante. Je ne m’y attarda pas...et pourtant j’aurai du. J’ai pour habitude de suivre mon intuition, il s’avère généralement bon et cette fois-ci je l’ignora totalement. Ce fut une grosse erreur, surtout au détour d’une ruelle lorsque je tomba sur une horde. Une bonne centaine de rôdeurs déambulaient la tous en rythme. Au vue de l’anarchie et du désordre qui s’immisça dans leur rang, j’en conclu qu’ils n’étaient pas plus prêt de me voir que moi de tomber sur eux. Je ne réfléchis pas, je me suis mis à détaller , cherchant un endroit sûr ou m’abriter le temps que la marée de mort passe. Une bâtisse au loin semblait correspondre à ma recherche et malgré l’avance que j’avais sur eux, la horde se rapprocha. J’entrai pile à temps pour que la horde ne me voit plus, du moins l’espérais-je de tout mon cœur. Tout de même en proie à la panique, je ne réalises pas tout de suite ne pas être seule. Une fracassant bruit de métal m’arracha un cri de stupeur. Faisant instinctivement volte face, je porta une main à ma jambière sur laquelle était rangé mon couteau. Je vis un jeune homme, une vingtaine d’année tout au plus, je venais de le piéger avec moi. Le bruits des haltères résonnèrent suffisamment pour attirer la vague de mort sur nous. Reprenant mon souffle , les mains sur mes jambes , la tête vers le bas, je lui lance un regard désolé
Je ne compris pas tout de suite qu’il s’adressa à moi et je fis le tour de la salle avant de comprendre
« Je ...Je suis une humaine comme toi, je te rassures... » Hésitante à se présenter, elle se fit finalement violence, au point ou ils en étaient « Je m’appelle Rin …j’espère que tu as été sage...Noël est en avance ! » Je me mordis la lèvre suite à cette remarque dont on aurait pu se passer , je dois vraiment apprendre à parler avec les gens ou je vais finir par tous me les mettre a dos avant de connaître leur nom !
Avant toute chose je décidais de me rendre à ce que j’appelais : ma safe Zone. Une zone inatteignable par ces maudits infectés. Elle se trouvait au 36ème étages d’un immeuble e la ville et l’on ne pouvait y accéder qu’en escaladant les escaliers à moitié délabrés et en grimpant une échelles de la cage d’ascenseur. J’aimais beaucoup y aller, c’était un endroit calme ou je m’abandonnait souvent. Sculptant par moment , jouant d’un instrument un autre, c’était le moyen que je trouvais pour ne pas perdre la raison. Une longue baie vitrée brisée se trouvait également la. Je pouvais ainsi voir une bonne partie de la ville. Les nuages étaient bas ce matin, je ne pus distinguer grand-chose mais la ville semblait calme. Parfois le vent venait s’engouffrer dans la pièce , me susurrant des mots doux à l’oreille. Je mis du temps à m’y faire, étant constamment sur mes gardes. Avant de repartir je déposa une petite sculpture sur une table au milieu de la pièce, j’avais pris pour habitude de faire ceci pour voir si d’autres que moi passait par la. Une fois il m’est même arrivé de ne pas la retrouvé mais de trouver un briquet vide à la place. C’est ainsi que maintenant je dissimule mes petites sculptures un peu partout, espérant qu’elle réchauffe le cœur des Hommes dans ce vie triste et froide.
Au bout d’une trentaine de minute j’étais enfin redescendu, prenant gare ù je mettais les pieds afin de ne pas tomber. J’avais pour habitude d’éviter les avenues et axes principaux de circulation mais je ne sais pourquoi, aujourd’hui je fis autrement. Je ne le remarqua d’ailleurs as tout de suite mais l’atmosphère avait changée...comme plus lourde...plus menaçante. Je ne m’y attarda pas...et pourtant j’aurai du. J’ai pour habitude de suivre mon intuition, il s’avère généralement bon et cette fois-ci je l’ignora totalement. Ce fut une grosse erreur, surtout au détour d’une ruelle lorsque je tomba sur une horde. Une bonne centaine de rôdeurs déambulaient la tous en rythme. Au vue de l’anarchie et du désordre qui s’immisça dans leur rang, j’en conclu qu’ils n’étaient pas plus prêt de me voir que moi de tomber sur eux. Je ne réfléchis pas, je me suis mis à détaller , cherchant un endroit sûr ou m’abriter le temps que la marée de mort passe. Une bâtisse au loin semblait correspondre à ma recherche et malgré l’avance que j’avais sur eux, la horde se rapprocha. J’entrai pile à temps pour que la horde ne me voit plus, du moins l’espérais-je de tout mon cœur. Tout de même en proie à la panique, je ne réalises pas tout de suite ne pas être seule. Une fracassant bruit de métal m’arracha un cri de stupeur. Faisant instinctivement volte face, je porta une main à ma jambière sur laquelle était rangé mon couteau. Je vis un jeune homme, une vingtaine d’année tout au plus, je venais de le piéger avec moi. Le bruits des haltères résonnèrent suffisamment pour attirer la vague de mort sur nous. Reprenant mon souffle , les mains sur mes jambes , la tête vers le bas, je lui lance un regard désolé
Je ne compris pas tout de suite qu’il s’adressa à moi et je fis le tour de la salle avant de comprendre
« Je ...Je suis une humaine comme toi, je te rassures... » Hésitante à se présenter, elle se fit finalement violence, au point ou ils en étaient « Je m’appelle Rin …j’espère que tu as été sage...Noël est en avance ! » Je me mordis la lèvre suite à cette remarque dont on aurait pu se passer , je dois vraiment apprendre à parler avec les gens ou je vais finir par tous me les mettre a dos avant de connaître leur nom !
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Re: The world belong to the dead
Sam 11 Déc 2021 - 1:00
L’inconnue me répond qu’elle est humaine, ça me semble assez évident oui. Elle se présente par la suite, elle s’appelle Rin avant de me dire qu’elle espère que j’ai été sage car Noël est en avance ! C’est le genre de phrase que me disait Tess quand on était au lit, ça me met assez mal à l’aise d’entendre cette phrase de la part d’une inconnue même si c’est pour tout autre chose. Je souris légèrement en me forçant pour réagir à sa blague, je rougis ensuite en repensant à des moments intimes dont je me souviens avec Tess à cause de la phrase de Rin. Je passe une main derrière ma tête, embarrassé … << Je vois ça, le père noël a été plus que généreux >>
Dis-je en lâchant un petit rire nerveux. Le malaise est à son comble … Ce serait dommage de mourir dans cette salle de sport avec tout ses rôdeurs à l’entrée. Au moins je ne mourrais pas seul … Je préférerai tout de même rester en vie. Mourir n’est pas la meilleure des options, certes le monde s’est effondré … Mais, je veux me battre jusqu’au bout, je veux mourir de vieillesse comme mes grands-parents. La vie à plein de choses à offrir, j’ai encore des choses à découvrir. << Je m’appelle Felix >> Dis-je en souriant un petit peu et en levant en même ma main vers le haut que je baisse juste après. J’ajoute << Je pense qu’on n’a pas d’autre choix que de se faire confiance si on veut sortir d’ici … >>
La confiance est un bien grand mot actuellement, la méfiance est vitale pour survivre mais dans cette situation-là la confiance est bien plus importante que n’importe quel autre chose. << Je n’ai pas vraiment de solutions pour nous sortir de ce pétrin, si vous avez des idées je vous écoute … >> Nous avons largement le temps de réfléchir ce n’est pas aujourd’hui que les infectés vont s’éloigner pour nous laisser en paix. Ils ne nous lâcheront jamais, ils seront encore en train de marcher à notre mort. Nous, les survivants ne somment pas parfaits non plus … Certains ont faits des choses inimaginables alors en cette période de fin du monde, c’est la fête pour les personnes qui ont de très mauvaises intentions. N’importe qui peut céder à ses pulsions meurtrières et à d’autres envies plus sombres. Je crois que je vais reprendre ma séance de sport ça me fera du bien et ça pourrait m’aider à réfléchir. << Faites comme chez vous >>
Dis-je en levant les bras pour compléter ma phrase. Je reprends mes pompes une par une. Je fais une pause au bout de la cinquantième pompe, je me laisse tomber sur le côté totalement essoufflé. << Il y a quelques semaines j’ai réussi à attirer des rôdeurs à l’aide d’un réveil … Ça m’a sauvé la vie mais de toute façon je n’ai pas de piles sur moi et ce n’est pas dans une salle de sport qu’on trouvera un réveil … >> Je n’ai pas mille et une solutions miracle qui me viennent en tête, contrairement à la dernière fois on a que trop peu d’espace pour éviter les rôdeurs … On est beaucoup trop près d’eux. Il n’y a aucune chance qu’un survivant se pointe et vienne nous sauver … On n’est pas dans un film, la réalité est dure et cruelle. J’aimerais trouver quelque chose n’importe quoi …
Dis-je en lâchant un petit rire nerveux. Le malaise est à son comble … Ce serait dommage de mourir dans cette salle de sport avec tout ses rôdeurs à l’entrée. Au moins je ne mourrais pas seul … Je préférerai tout de même rester en vie. Mourir n’est pas la meilleure des options, certes le monde s’est effondré … Mais, je veux me battre jusqu’au bout, je veux mourir de vieillesse comme mes grands-parents. La vie à plein de choses à offrir, j’ai encore des choses à découvrir. << Je m’appelle Felix >> Dis-je en souriant un petit peu et en levant en même ma main vers le haut que je baisse juste après. J’ajoute << Je pense qu’on n’a pas d’autre choix que de se faire confiance si on veut sortir d’ici … >>
La confiance est un bien grand mot actuellement, la méfiance est vitale pour survivre mais dans cette situation-là la confiance est bien plus importante que n’importe quel autre chose. << Je n’ai pas vraiment de solutions pour nous sortir de ce pétrin, si vous avez des idées je vous écoute … >> Nous avons largement le temps de réfléchir ce n’est pas aujourd’hui que les infectés vont s’éloigner pour nous laisser en paix. Ils ne nous lâcheront jamais, ils seront encore en train de marcher à notre mort. Nous, les survivants ne somment pas parfaits non plus … Certains ont faits des choses inimaginables alors en cette période de fin du monde, c’est la fête pour les personnes qui ont de très mauvaises intentions. N’importe qui peut céder à ses pulsions meurtrières et à d’autres envies plus sombres. Je crois que je vais reprendre ma séance de sport ça me fera du bien et ça pourrait m’aider à réfléchir. << Faites comme chez vous >>
Dis-je en levant les bras pour compléter ma phrase. Je reprends mes pompes une par une. Je fais une pause au bout de la cinquantième pompe, je me laisse tomber sur le côté totalement essoufflé. << Il y a quelques semaines j’ai réussi à attirer des rôdeurs à l’aide d’un réveil … Ça m’a sauvé la vie mais de toute façon je n’ai pas de piles sur moi et ce n’est pas dans une salle de sport qu’on trouvera un réveil … >> Je n’ai pas mille et une solutions miracle qui me viennent en tête, contrairement à la dernière fois on a que trop peu d’espace pour éviter les rôdeurs … On est beaucoup trop près d’eux. Il n’y a aucune chance qu’un survivant se pointe et vienne nous sauver … On n’est pas dans un film, la réalité est dure et cruelle. J’aimerais trouver quelque chose n’importe quoi …
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Re: The world belong to the dead
Sam 11 Déc 2021 - 12:55
Visiblement embarrassé au premier abord , le jeune homme, Félix, d’après le nom qu’il m’a donné, se force à rire. Un rire nerveux semble t’il. Il faut vraiment que je fasse des efforts en terme de communication sérieusement … Et malgré le malaise qui s’installait, je ne pouvais qu’acquiescer dans son sens. En effet le destin nous avait gâté. A deux contre une centaine de morts ne ressentant ni fatigue ni douleur …. Cela semblait perdu d’avance. Qu’elle idée aussi de venir me cloîtrer dans cette salle. Réfléchis avant d’agir Rin ! C’est la base première de la survie bla bla bla…. J’en arrive même à me faire des remarques à moi même …
Vient alors le moment où il parle de confiance et inexorablement je me braque. Je me retrouve dans une situation similaire à il y a quelques années: enfermée dans un local avec un ou des hommes. Ma chance ici c’est qu’il ne semble pas perverti et dirigé par un ego grossissant dans son pantalon. Je chasse alors mentalement les mauvaises images affluant dans ma tête. Je ne devais pas me tourmenter avec le passé mais progresser avec l’avenir. Je reste cependant méfiante, il me semble particulier calme au vu de la situation … peut être a t’il une botte secrète qu’il garde précieusement caché? Sa façon de parler me perturbe également … il me donne l’impression d’être une grande mère … ce qui étrangement me fit sourire.
« Tu peux me tutoyer tu sais … à moins que tu préfères que l’on s’en tienne au vous … même si je t’avoue que j’ai l’impression de passer pour une vieille »
C’est quand je le vis reprendre sa séance de sport comme si de rien n’était que je blêmis. Avait il conscience de se qui nous attendait la , dehors ! Dehors mais oui … voilà pourquoi il était calme , les infectés étaient bloqués par une barrière physique. Bien que cela semblait anodin, cela nous laissait surtout du temps pour réagir. Visiblement il semblait bien connaître ce lieu. L’aisance avec laquelle il s’entraînait et sa phrase : faites comme chez vous. Il était clairement familier a ce lieu , c’était une aubaine , il devait bien connaître le bâtiment et les environs
« Tu sais de combien de sortie le bâtiment dispose ? Un accès au toit ou au égout ? »
J’essaie de réfléchir le plus vite possible , à m’en donner mal au crâne
« C’est vraiment ingénieux le coup du réveil … il fallait y penser ! »
C’est vrai qu’un bruit sourd pourrait les détourner, du moins suffisamment longtemps pour fuir. « La dernière fois que je me suis retrouvé piégé par une horde … j’ai mis le feu au bâtiment … je m’en suis sortie de justesse à vrai dire …peut être que l’alarme incendie du bâtiment serait suffisamment bruyant pour perturbée leur ouïe …? »
Vient alors le moment où il parle de confiance et inexorablement je me braque. Je me retrouve dans une situation similaire à il y a quelques années: enfermée dans un local avec un ou des hommes. Ma chance ici c’est qu’il ne semble pas perverti et dirigé par un ego grossissant dans son pantalon. Je chasse alors mentalement les mauvaises images affluant dans ma tête. Je ne devais pas me tourmenter avec le passé mais progresser avec l’avenir. Je reste cependant méfiante, il me semble particulier calme au vu de la situation … peut être a t’il une botte secrète qu’il garde précieusement caché? Sa façon de parler me perturbe également … il me donne l’impression d’être une grande mère … ce qui étrangement me fit sourire.
« Tu peux me tutoyer tu sais … à moins que tu préfères que l’on s’en tienne au vous … même si je t’avoue que j’ai l’impression de passer pour une vieille »
C’est quand je le vis reprendre sa séance de sport comme si de rien n’était que je blêmis. Avait il conscience de se qui nous attendait la , dehors ! Dehors mais oui … voilà pourquoi il était calme , les infectés étaient bloqués par une barrière physique. Bien que cela semblait anodin, cela nous laissait surtout du temps pour réagir. Visiblement il semblait bien connaître ce lieu. L’aisance avec laquelle il s’entraînait et sa phrase : faites comme chez vous. Il était clairement familier a ce lieu , c’était une aubaine , il devait bien connaître le bâtiment et les environs
« Tu sais de combien de sortie le bâtiment dispose ? Un accès au toit ou au égout ? »
J’essaie de réfléchir le plus vite possible , à m’en donner mal au crâne
« C’est vraiment ingénieux le coup du réveil … il fallait y penser ! »
C’est vrai qu’un bruit sourd pourrait les détourner, du moins suffisamment longtemps pour fuir. « La dernière fois que je me suis retrouvé piégé par une horde … j’ai mis le feu au bâtiment … je m’en suis sortie de justesse à vrai dire …peut être que l’alarme incendie du bâtiment serait suffisamment bruyant pour perturbée leur ouïe …? »
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Re: The world belong to the dead
Sam 11 Déc 2021 - 21:55
Rin me dit que je peux la tutoyer, car elle a l’impression d’être une vieille dame. Moi et mes habitudes de vous vouvoyer … Ça ne changera jamais. Elle me demande de combien de sorties le bâtiment dispose et c’est là que je m’en souviens d’un élément que j’ai littéralement zappé de ma mémoire. Il y a une porte qu’on ne voit pas dans l’immédiat en entrant dans la salle de sport, elle est cachée par un mur, à côté duquel il y a un petit espace pour passer.
Elle me dit que mon idée avec le réveil est ingénieuse, ce qui me fait plaisir et un peu rougir. Elle enchaîne en me racontant que la dernière fois qu’elle s’est retrouvée piégée par une horde … Elle a dû mettre le feu à tout un bâtiment … Wow … C’est … Je n’ai jamais eu à le faire, encore heureux. Elle a réussi à s’en sortir de peu … Heureusement. Rin pense que l’alarme incendie pour nous aider à perturber leur ouïe. Je me demande si c’est une bonne idée … Je ne sais pas trop quoi en penser
<< Juste au fond de la pièce, à gauche … Une porte est on peut dire un peu cachée derrière ce mur. Il y a une clé insérée dans la serrure de la porte, je n’ai jamais osé entrer à l’intérieur … Parce que j’ai cru entendre des rôdeurs grogner. >> Dis-je en pointant mon doigt dans la direction du mur qui cache la porte. << Je veux bien essayer d’y aller, soit tu viens avec moi soit tu restes ici le temps que je découvre ce qu’il y a dedans >>
Je me déplace prudemment vers la porte en tournant la clé dans le bon sens pour ouvrir la porte, j’appuie sur la poignée puis je pousse la porte lentement. Je vois un escalier qui doit donner sur un sous-sol. Je descends les premières marches, c’est super sombre dans la pièce … J’entends des grognements d’infectés … Je me dis que je devrais demander à Rin si elle a une lampe torche mais je me casse la gueule avant de pouvoir me retourner pour remonter. Ma tête heurte le sol, bam … Je me réveille au sous-sol … je suis allongé, en levant la tête je croise le regard de Rin qui est accroupie à ma droite << Qu’est-ce qu’il pouvait arriver de pire ? … Je voulais te demander si t’as une lampe torche mais j’ai à peine eu le temps d’y penser que je me suis rétamé … >> Dis-je en grimaçant à cause d'une forte douleur que je ressens au niveau du crâne. Je passe ma main sur mon front et en regardant ma main je vois du sang ... << Merde ... Je saigne beaucoup ? >>
Elle me dit que mon idée avec le réveil est ingénieuse, ce qui me fait plaisir et un peu rougir. Elle enchaîne en me racontant que la dernière fois qu’elle s’est retrouvée piégée par une horde … Elle a dû mettre le feu à tout un bâtiment … Wow … C’est … Je n’ai jamais eu à le faire, encore heureux. Elle a réussi à s’en sortir de peu … Heureusement. Rin pense que l’alarme incendie pour nous aider à perturber leur ouïe. Je me demande si c’est une bonne idée … Je ne sais pas trop quoi en penser
<< Juste au fond de la pièce, à gauche … Une porte est on peut dire un peu cachée derrière ce mur. Il y a une clé insérée dans la serrure de la porte, je n’ai jamais osé entrer à l’intérieur … Parce que j’ai cru entendre des rôdeurs grogner. >> Dis-je en pointant mon doigt dans la direction du mur qui cache la porte. << Je veux bien essayer d’y aller, soit tu viens avec moi soit tu restes ici le temps que je découvre ce qu’il y a dedans >>
Je me déplace prudemment vers la porte en tournant la clé dans le bon sens pour ouvrir la porte, j’appuie sur la poignée puis je pousse la porte lentement. Je vois un escalier qui doit donner sur un sous-sol. Je descends les premières marches, c’est super sombre dans la pièce … J’entends des grognements d’infectés … Je me dis que je devrais demander à Rin si elle a une lampe torche mais je me casse la gueule avant de pouvoir me retourner pour remonter. Ma tête heurte le sol, bam … Je me réveille au sous-sol … je suis allongé, en levant la tête je croise le regard de Rin qui est accroupie à ma droite << Qu’est-ce qu’il pouvait arriver de pire ? … Je voulais te demander si t’as une lampe torche mais j’ai à peine eu le temps d’y penser que je me suis rétamé … >> Dis-je en grimaçant à cause d'une forte douleur que je ressens au niveau du crâne. Je passe ma main sur mon front et en regardant ma main je vois du sang ... << Merde ... Je saigne beaucoup ? >>
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Re: The world belong to the dead
Lun 13 Déc 2021 - 13:07
Je pense l’avoir assommé avec toutes mes questions, avais-je vraiment le choix ? Non ! Une armée de morts nous fonçait dessus , on avait pas le temps de prendre du temps. Tout pouvait arriver désormais et il m’arrivais de me surprendre à fixer la porte d’entrée. j’avais peur, bien que je cherchais à ne rien laisser paraître devant ce jeune. Félix me sortit de mes pensées en me parlant d’une potentielle issue, une porte dérobée. Ce serait tellement parfait, mais le hic, c’est qu’il pense y avoir entendu des rôdeurs. Quitte à choisir, je préfère un ou deux infectés qu’une bonne centaine.
Son courage me surprend, même en sachant ce qu’il s’y cache derrière, il est prêt à prendre le risque, il me laisse même le choix de l’accompagner ou non. Je suis quelque peu réticente tout de même mais pendant que je réfléchis j’entends un vacarme sans nom dans cette direction. Félix venait de tomber, et il ne s’était pas loupé.!je le distinguait à peine du haut des escalier alors je sorti ma dynamo. Je me mis à la rechargr pendant quelques minutes, être en panne de lumière dans le noir entre les infectés ne m’excitait pas des masses. Aussitôt fait je descendis à mon tour, prudemment jusqu’à arriver à lui. Venant m’accroupir pour m »asurer que tout allait bien , je le vis grimacer. Un filet de sang coulait de son front. Il me restait bien quelques bouts de tissus chiffonés dans mon sac. Je m’en servais justement pour arrêter le sang lors d’une blessure ou pour fabriquer une attelle au besoin. Je lui tendis alors le bout de tissus pour qu’il s’essuie.
« C’est assez superficiel, ne t’en fais pas » Lui chuchotais-je. Le boxon précédemment provoqué etait déjà source suffisante d’ennuis, nul besoin d’en rajouter
« Tu sais ou ca mène au moins ? Je n’ai pas pensé à regarder le plan d’évacuation du bâtiment... »
Je n’étais pas rassuré à l’idée de m’aventurer comme ça vers l’inconnu incertain mais le manque de choix nous aiguillai vers ce point. Me redresant alors je lui tends une main amicale por l’aider à se relver également .
« Bon ...plus qu’à avancer maintenant ... »
Son courage me surprend, même en sachant ce qu’il s’y cache derrière, il est prêt à prendre le risque, il me laisse même le choix de l’accompagner ou non. Je suis quelque peu réticente tout de même mais pendant que je réfléchis j’entends un vacarme sans nom dans cette direction. Félix venait de tomber, et il ne s’était pas loupé.!je le distinguait à peine du haut des escalier alors je sorti ma dynamo. Je me mis à la rechargr pendant quelques minutes, être en panne de lumière dans le noir entre les infectés ne m’excitait pas des masses. Aussitôt fait je descendis à mon tour, prudemment jusqu’à arriver à lui. Venant m’accroupir pour m »asurer que tout allait bien , je le vis grimacer. Un filet de sang coulait de son front. Il me restait bien quelques bouts de tissus chiffonés dans mon sac. Je m’en servais justement pour arrêter le sang lors d’une blessure ou pour fabriquer une attelle au besoin. Je lui tendis alors le bout de tissus pour qu’il s’essuie.
« C’est assez superficiel, ne t’en fais pas » Lui chuchotais-je. Le boxon précédemment provoqué etait déjà source suffisante d’ennuis, nul besoin d’en rajouter
« Tu sais ou ca mène au moins ? Je n’ai pas pensé à regarder le plan d’évacuation du bâtiment... »
Je n’étais pas rassuré à l’idée de m’aventurer comme ça vers l’inconnu incertain mais le manque de choix nous aiguillai vers ce point. Me redresant alors je lui tends une main amicale por l’aider à se relver également .
« Bon ...plus qu’à avancer maintenant ... »
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Re: The world belong to the dead
Lun 13 Déc 2021 - 14:28
Rin me tend un bout de tissu, j’essuie le sang qui coule de mon front avec, en grimaçant légèrement. Elle me répond que la blessure n’est que superficielle, elle me rassure. Ce n’est pas maintenant que je vais mourir, une morsure d’un rôdeur aurait été plus mortelle. Elle me demande si je sais où mène le sous-sol ? Peut-être à des égouts, je ne suis pas sûr et certain. Pendant que je suis perdu dans mes pensées, elle me tend sa main pour m’aider à me relever. Je n’hésite pas et j’appuie ma main sur la sienne pour me relever. << Ça mène probablement à des égouts, qui sait ? >>
Je m’enfonce dans l’obscurité de la pièce, sans savoir où je me dirige et sur quoi je marche. Je me stoppe net quand je sens que je touche quelque chose de dur avec mon pied droit … Ça a l’air d’être un truc en métal … << Rin … T’as de quoi m’éclairer, par ici ? >> Je crois que j’ai trouvé un truc … Je l’entends se rapprocher et éclairer ce que j’ai touché juste avant. La lumière est faible mais j’arrive à voir ce qu’il y a … Une échelle qui mène à … Des égouts ? << Bingo >>
Je pourrais la laisser partir devant moi et l’attendre afin d’avoir des informations sur ce qu’il pourrait avoir en-dessous de ces échelles … Mais en tant qu’homme et gentleman mon devoir est de prendre des risques sans que la femme n’en ai à prendre. << Tu pourrais me prêter une lampe torche ? Je vais descendre en premier. Je vois ce qu’il y a dessous et je ferais le ménage au cas où il y a des infectés, tu n’as rien à faire … Je m’occupe de tout. >>
Elle me tend une lampe torche rechargeable que je range dans ma poche. J’inspire et j’expire puis je dis avant de descendre << Souhaite moi bonne chance … Ou dis moi ‘’merde’’ ça marche aussi >> Dès que je suis descendu de l’échelle, je fais recharger la lampe torche rechargeable au cas où puis j’avance avec prudence. J’entends des grognements à ma gauche, j’éclaire donc de ce côté sans hésiter et devant moi se trouve des barreaux en fer. Trois morts sont derrière et se collent contre, la main dépassant des barreaux. Ils ne peuvent rien faire à cette distance, je vais les ignorer. Je continue tout droit, et j’aperçois au loin …
À approximativement une dizaine de mètres au fond un mur. Dès que j’arrive au fond des égouts je tourne ma tête vers la gauche et vers la droite … Je comprends alors qu’on a deux direction et un choix à faire. Je vais devoir en discuter avec Rin. Je retourne rapidement vers l’échelle puis je dis à Rin << Il n’y a rien de bien inquiétant, il y a juste trois infectés mais ils ne peuvent rien nous faire de là où ils sont … Et aussi il y a deux passages au fond des égouts … Tu peux venir … >> Je l’attends en bas, quelle direction prendre ?
Je m’enfonce dans l’obscurité de la pièce, sans savoir où je me dirige et sur quoi je marche. Je me stoppe net quand je sens que je touche quelque chose de dur avec mon pied droit … Ça a l’air d’être un truc en métal … << Rin … T’as de quoi m’éclairer, par ici ? >> Je crois que j’ai trouvé un truc … Je l’entends se rapprocher et éclairer ce que j’ai touché juste avant. La lumière est faible mais j’arrive à voir ce qu’il y a … Une échelle qui mène à … Des égouts ? << Bingo >>
Je pourrais la laisser partir devant moi et l’attendre afin d’avoir des informations sur ce qu’il pourrait avoir en-dessous de ces échelles … Mais en tant qu’homme et gentleman mon devoir est de prendre des risques sans que la femme n’en ai à prendre. << Tu pourrais me prêter une lampe torche ? Je vais descendre en premier. Je vois ce qu’il y a dessous et je ferais le ménage au cas où il y a des infectés, tu n’as rien à faire … Je m’occupe de tout. >>
Elle me tend une lampe torche rechargeable que je range dans ma poche. J’inspire et j’expire puis je dis avant de descendre << Souhaite moi bonne chance … Ou dis moi ‘’merde’’ ça marche aussi >> Dès que je suis descendu de l’échelle, je fais recharger la lampe torche rechargeable au cas où puis j’avance avec prudence. J’entends des grognements à ma gauche, j’éclaire donc de ce côté sans hésiter et devant moi se trouve des barreaux en fer. Trois morts sont derrière et se collent contre, la main dépassant des barreaux. Ils ne peuvent rien faire à cette distance, je vais les ignorer. Je continue tout droit, et j’aperçois au loin …
À approximativement une dizaine de mètres au fond un mur. Dès que j’arrive au fond des égouts je tourne ma tête vers la gauche et vers la droite … Je comprends alors qu’on a deux direction et un choix à faire. Je vais devoir en discuter avec Rin. Je retourne rapidement vers l’échelle puis je dis à Rin << Il n’y a rien de bien inquiétant, il y a juste trois infectés mais ils ne peuvent rien nous faire de là où ils sont … Et aussi il y a deux passages au fond des égouts … Tu peux venir … >> Je l’attends en bas, quelle direction prendre ?
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