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Re: Our castle, our house
Dim 6 Mar 2022 - 21:10
Je sais pas exactement comment d'un coup, ça a dégénéré. Je veux dire.. vraiment dégénéré. Parce qu'avant ça, ça avait l'air de pouvoir partir en vrille à tout moment, mais pas comme ça.
Y'a un instant de flottement quand je relève mon haut, et j'espère très fort qu'elle est pas en train de se demander à quel endroit précisément faut planter pour me buter. Est-ce qu'elle est aussi cinglée que ça, prête à me tuer malgré les conséquences ? Et.. juste parce que je me balade dans son putain de Domaine à la con ? Merde. C'est vraiment débile comme façon de mourir.
Je suis encore plus interloqué quand en réponse elle se fout à moitié à poil. Ok, là je suis perdu. C'est quoi le bail ?! Qu'est-ce qu'elle fait, elle veut pas mettre de sang sur ses fringues, c'est ça ?
J'ai à peine le temps d'ouvrir la bouche en posant les yeux sur sa poitrine -forcément-, qu'elle me colle une balayette et que je bascule sur le dos, chute amortie par son matelas. Malgré tout je lâche un grognement en balançant mes bras en arrière pour tenter de me retenir tant bien que mal. Plus mal que bien, d'ailleurs. J'ai rien le temps de capter que cette folle me coince entre ses jambes et que je me retrouve au-dessus d'elle, me redressant aussitôt sues les coudes pour éloigner mon visage du sien.
Je reste littéralement bouche bée quand elle me menace de crier au viol. La garce. Là je suis dans la merde, parce que je vais vraiment avoir du mal à faire croire que c'est elle qui m'a agressé.
- ... mais t'es vraiment une pétasse !!
C'est la seule réaction qui me vient, j'ai même pas le réflexe d'essayer de me dégager sur l'instant. C'est elle qui bouge la première à nouveau, relevant la tête pour écraser ses lèvres aux miennes. Ah ok. Si elle veut jouer sur ce terrain, ça me va aussi. Je claque les dents dans le vide quand elle retombe en arrière, dans une vaine tentative de lui mordre la lèvre. Bien malgré moi je frissonne au contact de ses doigts, en me maudissant intérieurement. Et en maudissant encore plus ce petit merdeux de Milow qui refuse mes avances et me laisse sur la béquille tous les soirs. - Que je m'excuse..? Tu m'as bien regardé, Princesse ? Je me penche vers son oreille pour y murmurer doucement :
- Et qu'est-ce que tu vas faire.. Si je t'empêche de crier ?
Dans la seconde qui suit, c'est moi qui viens coller mes lèvres aux siennes, sans délicatesse. Un contact brusque et qui s'enflamme quasiment aussitôt dans le bas de mon ventre. Ma langue se fraye un chemin entre ses lèvres, frappe ses dents, cherche sa jumelle pour s'y enrouler, et mon souffle se heurte au sien, trop rapide déjà.
Je laisse sa première main passer sur mon ventre, et vient enserrer sa seconde par le poignet, la collant au matelas. Juste histoire d'être sur qu'elle essaye pas de me faire un coup de pute en douce. Mon autre paume court le long de ses côtes pour se glisser sons ses reins, pressant d'avantage mon bassin au sien.
Finalement je quitte sa bouche, restant tout proche cependant, pour lui offrir à mon tour un sourire de petit con.
- Mais si toi t'es gentille, peut-être qu'on va trouver un terrain d'entente temporaire.
Et cette fois je me gêne pas pour attraper sa lèvre inférieure entre mes dents pour y donner un coup de crocs. Après tout c'est elle qui a lancé les hostilités, nan ? Je suis même prêt à continuer à l'insulter pendant qu'on baise, si ça l'amuse.
Y'a un instant de flottement quand je relève mon haut, et j'espère très fort qu'elle est pas en train de se demander à quel endroit précisément faut planter pour me buter. Est-ce qu'elle est aussi cinglée que ça, prête à me tuer malgré les conséquences ? Et.. juste parce que je me balade dans son putain de Domaine à la con ? Merde. C'est vraiment débile comme façon de mourir.
Je suis encore plus interloqué quand en réponse elle se fout à moitié à poil. Ok, là je suis perdu. C'est quoi le bail ?! Qu'est-ce qu'elle fait, elle veut pas mettre de sang sur ses fringues, c'est ça ?
J'ai à peine le temps d'ouvrir la bouche en posant les yeux sur sa poitrine -forcément-, qu'elle me colle une balayette et que je bascule sur le dos, chute amortie par son matelas. Malgré tout je lâche un grognement en balançant mes bras en arrière pour tenter de me retenir tant bien que mal. Plus mal que bien, d'ailleurs. J'ai rien le temps de capter que cette folle me coince entre ses jambes et que je me retrouve au-dessus d'elle, me redressant aussitôt sues les coudes pour éloigner mon visage du sien.
Je reste littéralement bouche bée quand elle me menace de crier au viol. La garce. Là je suis dans la merde, parce que je vais vraiment avoir du mal à faire croire que c'est elle qui m'a agressé.
- ... mais t'es vraiment une pétasse !!
C'est la seule réaction qui me vient, j'ai même pas le réflexe d'essayer de me dégager sur l'instant. C'est elle qui bouge la première à nouveau, relevant la tête pour écraser ses lèvres aux miennes. Ah ok. Si elle veut jouer sur ce terrain, ça me va aussi. Je claque les dents dans le vide quand elle retombe en arrière, dans une vaine tentative de lui mordre la lèvre. Bien malgré moi je frissonne au contact de ses doigts, en me maudissant intérieurement. Et en maudissant encore plus ce petit merdeux de Milow qui refuse mes avances et me laisse sur la béquille tous les soirs. - Que je m'excuse..? Tu m'as bien regardé, Princesse ? Je me penche vers son oreille pour y murmurer doucement :
- Et qu'est-ce que tu vas faire.. Si je t'empêche de crier ?
Dans la seconde qui suit, c'est moi qui viens coller mes lèvres aux siennes, sans délicatesse. Un contact brusque et qui s'enflamme quasiment aussitôt dans le bas de mon ventre. Ma langue se fraye un chemin entre ses lèvres, frappe ses dents, cherche sa jumelle pour s'y enrouler, et mon souffle se heurte au sien, trop rapide déjà.
Je laisse sa première main passer sur mon ventre, et vient enserrer sa seconde par le poignet, la collant au matelas. Juste histoire d'être sur qu'elle essaye pas de me faire un coup de pute en douce. Mon autre paume court le long de ses côtes pour se glisser sons ses reins, pressant d'avantage mon bassin au sien.
Finalement je quitte sa bouche, restant tout proche cependant, pour lui offrir à mon tour un sourire de petit con.
- Mais si toi t'es gentille, peut-être qu'on va trouver un terrain d'entente temporaire.
Et cette fois je me gêne pas pour attraper sa lèvre inférieure entre mes dents pour y donner un coup de crocs. Après tout c'est elle qui a lancé les hostilités, nan ? Je suis même prêt à continuer à l'insulter pendant qu'on baise, si ça l'amuse.
I am not
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- Derek Watson
Expendables
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- Feuille de personnage
Re: Our castle, our house
Ven 11 Mar 2022 - 8:17
J'pense qu'il s'doute pas que j'ai joué un gros coup d'bluff vu sa tronche. On dirait qu'il s'déconfie comme s'il pensait que j'allais réellement le faire... Ah ça non. J'peux pas m'permettre de rigoler avec ça vu c'qui est arrivé à Emily. C'est un coup à me mettre Faith et Elena en plus de Petee à dos j'pense... Voir plus de monde même.
Il veut pas s'excuser ? Pas de soucis, vu comme la situation à tourner en moins d'une seconde, il se doute pas qu'il va s'excuser à la manière dont j'l'entends.
S'il m'empêche de crier hein ? Maintenant qu'il a l'air prompt à répondre à cette demande pour laquelle j'me maudirais seulement après mais là, j'laisse mon corps me dicter mes actes. Ou mes hormones comme dirait certainement ce connard d'Eli... C'est ça qu'il faut qu'j'fasse pour me laisser aller. Pleinement penser à c'qu'on va faire et même fermer les yeux en m'imaginant que le mexicain est revenu vers moi s'il le faut.
Si je suis gentille... Oh non, là j'vais être vilaine.
"Essaye déjà d'me faire gémir, ça sera un bon pas."
Je rétorque avant de retrouver ses lèvres et de glisser ma main en dessous de la ceinture pour commencer à lui asticoter l'oiseau. Bon déjà y'a d'la matière. J'aurais pu en douter...
On a laissé toute la bestialité de notre grief prendre le pas sur c'qui vient d'se passer dans mon plumard mais maintenant que c'est fini... Même si c'était hyper intense. Ca j'l'avoue. Mais... j'pense juste au fait que j'vais devoir changer les draps. Ouais c'était cool, mais j'vais pas lui tamponner "bon coup" sur la tête.
Je me redresse tranquillement, le crâne contre la tête de lit, ramenant mes jambes vers mon buste alors qu'il est encore essoufflé et au dessus de moi et sans prévenir... J'exerce une pression en travaillant sur mes cuisses, les pieds collés au niveau de sa ceinture abdominale pour le repousser violement en dehors du lit.
"Allez hop, ça dégage maintenant !"
J'me redresse quand même sur le lit, essoufflée moi aussi, toujours complètement nue, mais prête à bondir en dehors si le geste lui a pas plu et qu'il veut reprendre la bagarre. Mais j'peux pas m'empêcher d'éclater d'un rire franc. Enfin, c'que m'permet mon propre essoufflement.
C'est la manière dont il s'est cassé la gueule aussi... Il aurait dû s'y attendre non ? On allait pas s'prendre dans les bras et s'câliner comme des amoureux une fois la chose faite.
"J'suis désolé p'tite bite mais tu t'es excusé malgré toi. Et maintenant qu'c'est fait tu m'sers plus à grand chose."
Autant dire, "casse toi d'ma chambre en prenant soin de te resaper" et j'te laisse une chance de trouver tes amis en continuant d'te balader sans rien dire cette fois. Moi j'commence en renfilant mon débardeur déjà et en m'redressant, fesses tournée vers lui, pour chercher une petite culotte dans ma commode.
"Ah... Et si tu t'amuses à raconter ça à qui que ce soit... Tu pourras plus vraiment remettre ça avec personne, qu'on s'entende."
Une fois mon dessous enfilé, je rattrape ma brosse à dent pour mimer un geste de découpe de pénis des plus suggestif. Non sans sourire. Toujours plus honnêtement, plus réellement que celui que j'avais alors que j'rêvais que de l'encastrer.
Il veut pas s'excuser ? Pas de soucis, vu comme la situation à tourner en moins d'une seconde, il se doute pas qu'il va s'excuser à la manière dont j'l'entends.
S'il m'empêche de crier hein ? Maintenant qu'il a l'air prompt à répondre à cette demande pour laquelle j'me maudirais seulement après mais là, j'laisse mon corps me dicter mes actes. Ou mes hormones comme dirait certainement ce connard d'Eli... C'est ça qu'il faut qu'j'fasse pour me laisser aller. Pleinement penser à c'qu'on va faire et même fermer les yeux en m'imaginant que le mexicain est revenu vers moi s'il le faut.
Si je suis gentille... Oh non, là j'vais être vilaine.
Je rétorque avant de retrouver ses lèvres et de glisser ma main en dessous de la ceinture pour commencer à lui asticoter l'oiseau. Bon déjà y'a d'la matière. J'aurais pu en douter...
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On a laissé toute la bestialité de notre grief prendre le pas sur c'qui vient d'se passer dans mon plumard mais maintenant que c'est fini... Même si c'était hyper intense. Ca j'l'avoue. Mais... j'pense juste au fait que j'vais devoir changer les draps. Ouais c'était cool, mais j'vais pas lui tamponner "bon coup" sur la tête.
Je me redresse tranquillement, le crâne contre la tête de lit, ramenant mes jambes vers mon buste alors qu'il est encore essoufflé et au dessus de moi et sans prévenir... J'exerce une pression en travaillant sur mes cuisses, les pieds collés au niveau de sa ceinture abdominale pour le repousser violement en dehors du lit.
J'me redresse quand même sur le lit, essoufflée moi aussi, toujours complètement nue, mais prête à bondir en dehors si le geste lui a pas plu et qu'il veut reprendre la bagarre. Mais j'peux pas m'empêcher d'éclater d'un rire franc. Enfin, c'que m'permet mon propre essoufflement.
C'est la manière dont il s'est cassé la gueule aussi... Il aurait dû s'y attendre non ? On allait pas s'prendre dans les bras et s'câliner comme des amoureux une fois la chose faite.
Autant dire, "casse toi d'ma chambre en prenant soin de te resaper" et j'te laisse une chance de trouver tes amis en continuant d'te balader sans rien dire cette fois. Moi j'commence en renfilant mon débardeur déjà et en m'redressant, fesses tournée vers lui, pour chercher une petite culotte dans ma commode.
Une fois mon dessous enfilé, je rattrape ma brosse à dent pour mimer un geste de découpe de pénis des plus suggestif. Non sans sourire. Toujours plus honnêtement, plus réellement que celui que j'avais alors que j'rêvais que de l'encastrer.
- Spoiler:
- J'aurais réussi à placer mon asticotage d'oiseau xD
I am an Fucker !
I am an O'Malley !
- Chiara O'Malley
- Survivor
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- Feuille de personnage
Re: Our castle, our house
Sam 12 Mar 2022 - 19:43
A ma décharge, on peut dire que j'avais les hormones en ébullition depuis un petit moment. Ma main droite et moi on s'entend très bien mais à un moment bon, c'est pas non plus le pied quoi.
Alors forcément, quand mademoiselle la garce en chef m'allume, je réagis au quart de tour. Surtout qu'elle m'a bien mis les nerfs juste avant. Je suis pas sûr sûr du lien entre le fait que c'est une connasse et le fait qu'on ait soudainement une pressante envie de baiser, mais je suis certain que des psy se sont penchés sur la question y'a longtemps. peut-être même que Faith en saurait quelque chose. Et peut-être aussi que je m'en bats sérieusement les reins, aussi.
Elle me lance une dernière pique avant de passer aux choses sérieuses et je peux pas m'empêcher de ricaner en douce. J'ai pas de doute sur le fait de la faire gémir. Sans vouloir me vanter.
Rapidement les derniers vêtements sont épars dans la chambre, les corps se chauffent et réchauffent, s'entremêlent sans tendresse. Juste cette rage qui nous anime tous les deux, dont on se décharge par la solution qui nous apportera certainement le moins d'emmerdes. Parce que finir par se taper dessus, ça aurait fait tâche sur la bonne entente déjà toute relative de nos factions.
Ho et, j'ai gagné mon pari. Je l'ai fait gémir. Et pas qu'un peu, hé.
J'en suis encore à reprendre mon souffle, réhaussé sur les coudes au-dessus d'elle. C'est tout juste si l'oiseau n'est pas encore dans le nid. Avant que j'aie le temps de bouger de moi-même, la chieuse se replie pour m'envoyer bouler au bout du lit, dont je me casse la gueule par terre, sur le dos. Je grimace dans un grognement et laisse retomber ma tête sur le plancher le temps de retrouver ma respiration.
- T'as vraiment cru que je comptais rester, princesse ? Tu t'prends vraiment pas pour de la merde ma parole..
C'est fou comme on est vite retombé dans nos échanges précédents, tiens. Comme quoi, une partie de jambes en l'air ne résout pas tout. Je me redresse finalement en m'étirant, cherchant mes fringues pour les renfiler sans me presser, roulant des yeux à son commentaire. J'te sers plus à rien ? je pourrais en dire autant en fait. Je m'étais pas vidé les couilles depuis un moment. Je sautille pour renfiler mon jean avant de récupérer mon débardeur, relevant les yeux vers elle et son arme de taularde.
- Et rassure-toi, je vais pas aller me vanter de m'être tapé la traînée du coin. Je recule vers la sortie pour m'éviter des représailles et lui offre mon plus beau sourire en ajoutant : C'est pas tout ça, mais j'ai toujours pas trouvé la piaule d'Alex et Daemon.
Et je passe la porte que je claque derrière moi avant de m'éloigner dans le couloir.
Alors forcément, quand mademoiselle la garce en chef m'allume, je réagis au quart de tour. Surtout qu'elle m'a bien mis les nerfs juste avant. Je suis pas sûr sûr du lien entre le fait que c'est une connasse et le fait qu'on ait soudainement une pressante envie de baiser, mais je suis certain que des psy se sont penchés sur la question y'a longtemps. peut-être même que Faith en saurait quelque chose. Et peut-être aussi que je m'en bats sérieusement les reins, aussi.
Elle me lance une dernière pique avant de passer aux choses sérieuses et je peux pas m'empêcher de ricaner en douce. J'ai pas de doute sur le fait de la faire gémir. Sans vouloir me vanter.
Rapidement les derniers vêtements sont épars dans la chambre, les corps se chauffent et réchauffent, s'entremêlent sans tendresse. Juste cette rage qui nous anime tous les deux, dont on se décharge par la solution qui nous apportera certainement le moins d'emmerdes. Parce que finir par se taper dessus, ça aurait fait tâche sur la bonne entente déjà toute relative de nos factions.
Ho et, j'ai gagné mon pari. Je l'ai fait gémir. Et pas qu'un peu, hé.
J'en suis encore à reprendre mon souffle, réhaussé sur les coudes au-dessus d'elle. C'est tout juste si l'oiseau n'est pas encore dans le nid. Avant que j'aie le temps de bouger de moi-même, la chieuse se replie pour m'envoyer bouler au bout du lit, dont je me casse la gueule par terre, sur le dos. Je grimace dans un grognement et laisse retomber ma tête sur le plancher le temps de retrouver ma respiration.
- T'as vraiment cru que je comptais rester, princesse ? Tu t'prends vraiment pas pour de la merde ma parole..
C'est fou comme on est vite retombé dans nos échanges précédents, tiens. Comme quoi, une partie de jambes en l'air ne résout pas tout. Je me redresse finalement en m'étirant, cherchant mes fringues pour les renfiler sans me presser, roulant des yeux à son commentaire. J'te sers plus à rien ? je pourrais en dire autant en fait. Je m'étais pas vidé les couilles depuis un moment. Je sautille pour renfiler mon jean avant de récupérer mon débardeur, relevant les yeux vers elle et son arme de taularde.
- Et rassure-toi, je vais pas aller me vanter de m'être tapé la traînée du coin. Je recule vers la sortie pour m'éviter des représailles et lui offre mon plus beau sourire en ajoutant : C'est pas tout ça, mais j'ai toujours pas trouvé la piaule d'Alex et Daemon.
Et je passe la porte que je claque derrière moi avant de m'éloigner dans le couloir.
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