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Re: When strangers meet
Mar 3 Mai 2022 - 19:00
En effet mais avec le temps, ça ne me rend pas nostalgique et ça n'est pas douloureux, que je lui souffle avec un sourire en songeant à tout ça. Mon mari me manque notamment parce que nous avions pour habitude de faire tout ça ensemble. Travailler avec lui était un plaisir, notre rituel à nous. C'est sa personne entière qui vient à me laisser vider de mes forces. Mais à force, je crois que j'ai fini par accepter que nous nous reverrons que dans la prochaine vie.J'aimais mon métier, je suis heureuse de pouvoir le refaire ici, et surtout à ce qu'il serve l'intérêt commun, j'ai l'impression d'être utile et de pouvoir plus facilement être comblé, que j'ajoute.
Je porte un regard curieux sur Felix quand il me confie que ses objectifs d'avant n'auraient pas été utile aujourd'hui. Il est jeune, j'imagine sans mal qu'il était encore étudiant lorsque la fin du monde est venue toquer à nos portes à tous.Que voulais-tu faire ? Que je lui demande finalement en fronçant les sourcils, curieuse d'en apprendre plus. Je me revois à son âge, sans peine sans pouvoir m'imaginer aussi ce qui suivrait ensuite.C'est courageux de ta part, d'autant que nous en avons cruellement besoin, que j'ajoute avec un sourire lorsqu'il me parle du rôle qu'il a pris au sein du campement :Tu n'as pas trop croisé de sprinteurs ?
Et je l'écoute parler de ce qu'il envisage en fronçant les sourcils. Il y a une forme d'ambition, c'est bien.En effet, tu te projette énormément, que je lui souffle. Mais on ne peut pas lui en tenir rigueur de toute façon, c'est que nous avons construit quelque chose de bien ici.J'imagine que c'est une bonne chose, ça veut dire que tu te sens à ta place, et que tu as l'impression que tu pourras avoir un avenir, que je lui souffle en haussant les épaules.On ne t'en voudra pas d'y croire, c'est bien, l'optimisme, on en a tous besoin pour aller de l'avant.
Cherokee rose
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Re: When strangers meet
Mer 18 Mai 2022 - 15:15
Peu importe ce qui serait arrivé, dans ce monde. Felix aurait pris des risques que ce soit dans son métier ou maintenant au sein de la communauté. Sa vie est destinée à la prise de risques plus ou moins constantes. C’est cela la vie de survivants ou de pompier.
Il ne faut pas craindre de frôler la mort ou de malheureusement la voir sous son plus mauvais angle. L’humain peut dévoiler ses pires côtés actuellement, alors il faut être une personne un minimum consciente de la dangerosité des survivants que nous croisons. Olivia avoue qu’avec le temps elle n’est pas nostalgique de ce qui est lié à son métier à l’époque et la douleur ne se fais pas vraiment sentir.
Chacun a son propre vécu et des difficultés à vivre ou non avec celui-ci. Felix a eu du mal avec son passé pendant très longtemps, néanmoins en ce moment il ne vit plus avec de la culpabilité profonde en lui. Olivia est heureuse de pouvoir exercer son métier dans cette communauté, elle se sent utile est comblée de pouvoir aider les autres. Elle pose la question sur le métier que Felix aurait souhaiter faire avant la fin d’un monde.
‘’J’aurais voulu être pompier. Aller sauver des vies, c’était ce à quoi j’aspirais. Prendre des risques pour secourir les autres, l’idée me plaisait énormément’’ Un rêve qui s’est effondré avec le reste du monde. Olivia ajoute que c’est courageux d’aller au contact des rôdeurs pour les diriger à une certaine distance du camp. Un sourire bienveillant lui vint aux lèvres lorsqu’il l’entend dire cela.
‘’Je n’en ai vu que très peu, mais ça m’a pas mal marqué. Je me souviens que nous avons dû être plusieurs pour en éliminer un. Je savais qu’ils existent à ce moment-là, je l’ai grâce à d'autres bergers à rôdeurs. Mais entre entendre des histoires sur eux et les voir de ses propres yeux, il y a un fossé entre les deux’’ Les sprinteurs sont impressionnants comparés aux morts plutôt lents dans la majorité.
La cuisinière affirme à Felix qu’il se projette beaucoup. Mais qu’au fond ce n’est pas une mauvaise chose. Il doit se sentir à sa place, il doit avoir l’impression de pouvoir avoir un avenir à The Haven selon elle. C’est complètement vrai, il est heureux ici. Pour rien au monde il ne partirait de Fort Nisqually, sa vie est ici à présent. ''Avez-vous vécu à Seattle ? Je l’appelais la capitale des survivants., avant que … vous savez’’ Demande-t-il en ayant l’air un tantinet triste.
Il ne faut pas craindre de frôler la mort ou de malheureusement la voir sous son plus mauvais angle. L’humain peut dévoiler ses pires côtés actuellement, alors il faut être une personne un minimum consciente de la dangerosité des survivants que nous croisons. Olivia avoue qu’avec le temps elle n’est pas nostalgique de ce qui est lié à son métier à l’époque et la douleur ne se fais pas vraiment sentir.
Chacun a son propre vécu et des difficultés à vivre ou non avec celui-ci. Felix a eu du mal avec son passé pendant très longtemps, néanmoins en ce moment il ne vit plus avec de la culpabilité profonde en lui. Olivia est heureuse de pouvoir exercer son métier dans cette communauté, elle se sent utile est comblée de pouvoir aider les autres. Elle pose la question sur le métier que Felix aurait souhaiter faire avant la fin d’un monde.
‘’J’aurais voulu être pompier. Aller sauver des vies, c’était ce à quoi j’aspirais. Prendre des risques pour secourir les autres, l’idée me plaisait énormément’’ Un rêve qui s’est effondré avec le reste du monde. Olivia ajoute que c’est courageux d’aller au contact des rôdeurs pour les diriger à une certaine distance du camp. Un sourire bienveillant lui vint aux lèvres lorsqu’il l’entend dire cela.
‘’Je n’en ai vu que très peu, mais ça m’a pas mal marqué. Je me souviens que nous avons dû être plusieurs pour en éliminer un. Je savais qu’ils existent à ce moment-là, je l’ai grâce à d'autres bergers à rôdeurs. Mais entre entendre des histoires sur eux et les voir de ses propres yeux, il y a un fossé entre les deux’’ Les sprinteurs sont impressionnants comparés aux morts plutôt lents dans la majorité.
La cuisinière affirme à Felix qu’il se projette beaucoup. Mais qu’au fond ce n’est pas une mauvaise chose. Il doit se sentir à sa place, il doit avoir l’impression de pouvoir avoir un avenir à The Haven selon elle. C’est complètement vrai, il est heureux ici. Pour rien au monde il ne partirait de Fort Nisqually, sa vie est ici à présent. ''Avez-vous vécu à Seattle ? Je l’appelais la capitale des survivants., avant que … vous savez’’ Demande-t-il en ayant l’air un tantinet triste.
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Re: When strangers meet
Mer 1 Juin 2022 - 1:58
J'ai un rire surpris à sa remarque, pas sûre de bien comprendre dans quel sens fonctionne ce garçon. Ce qu'il peut être étrange lorsqu'il s'y met !Et dans quel monde un pompier n'est pas utile ? Que je lui demande en fronçant les sourcils, vraiment étonnée qu'il ose penser ainsi. Il m'aurait dit "trader" par exemple ou même "vendeur chez Primark", j'aurais entendu que niveau pertinence du métier, ça n'était pas totalement ça... Mais pompier ?Tomeo était pompier, et crois-moi, il n'y a pas plus utile ici que lui, que je lui souffle.
J'ai un soupir en y songeant, surtout confuse qu'il voit les choses de cette manière. Sérieusement, c'est étrange.Il sait gérer des blessures urgentes. Il y a quelques années, un incendie a pris. Sans sa présence, nous aurions pu perdre tout le campement, que j'ajoute simplement en haussant les épaules. Il faut reconnaitre lorsque les choses sont vraies, et pour le coup, il est certain que sans l'homme, nous aurions eu de très gros ennuis. Il y a par ailleurs eu des blessés sérieux ce soir-là.Effectivement oui, c'est beaucoup plus impressionnant, et rien ne peut vraiment nous préparer psychologiquement à ça, que j'ajoute simplement. Même si nous nous entrainons à ne pas perdre nos moyens, il est sûr que ça n'a rien de simple d'affronter des choses qu'on ne peut qu'imaginer. J'ai un soupir, venant me frotter la joue un instant :Oui, dès que nous sommes revenus nous installer en Amérique avec mon mari, nous sommes arrivés à Seattle, que je lui explique en haussant les épaules.
Tout ça remonte à très loin, je ne sais pas si ça vaut la peine de s'appesantir là-dessus. Ce n'est pas comme si j'allais quitter la région aujourd'hui de toute façon :Je viens de Chicago à la base, c'était une grande ville aussi, très sympa, que j'ajoute simplement.Tu viens de la région aussi ?
Cherokee rose
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Re: When strangers meet
Mar 12 Juil 2022 - 18:41
Sa phrase sur l’utilité des pompiers dans un tel monde arrache un rire à la femme en face. Elle lui demande étonnée, dans quel monde les pompiers ne sont pas utiles ? Elle explique par la suite que Tomeo étant pompier à l’époque est bien plus utile qu’il le pense.
Felix la croit mais se dit que sans gros matériel et une grosse équipe … Comment peut-il avoir autant d’utilité, d’efficacité sans tout ce qui représentait les pompiers ait disparu. Il se sent embarrassé d’avoir dit une connerie et Olivia argumente sur les compétences de Tomeo acquices grâce à son métier.
L’homme a apparemment sauvé le camp d’un terrible incendie et s’il n’était pas ici à ce moment-là … Les choses auraient pris une tout autre tournure d’après la femme. ‘’Désolé, je me disais simplement que comme les pompiers n’ont plus vraiment accès à leur matériel, et qu’ils ne travaillent plus en équipe.
Il se peut que ce soit davantage compliqué de gérer ce genre d’événement par exemple’’ Dit-il en haussant les épaules. Olivia affirme que de rencontrer ses fameux sprinteurs est impressionnant. De véritables bêtes qui dévorent tout ceux et celles qui croisent leur chemin. Une mutation du virus certainement, qui sait nous ne sommes pas peut-être pas au bout de nos surprises.
La femme vient de Chicago, c’est clairement à l’autre bout du pays. Elle en a dû faire de la route pour arriver jusqu’à l’état de Washington. Elle doit avoir ses raisons pour déménager à une telle distance comme n’importe qui. Elle enchaine en posant une question similaire à Felix. ‘’Je suis né à Olympia et j’y ai grandi. Je n’ai jamais eu de problèmes là-bas. Je vivais dans une famille aisée, dans un milieu normal.
J’étais l’élève modèle, celui qui était bon en cours mais qui n’en faisait pas trop non plus pour ne pas être sous les radars des brutes’’ Cette période parait si lointaine aujourd’hui, à la limite d’une autre vie.
Tout a tellement changé depuis l’arrivée des morts qui marchent. ‘’Vous vous êtes déjà imaginée ce que vous seriez devenue aujourd’hui si le drame qui s’est produit n’était pas arrivé il y a bientôt sept années de cela ?’’ Demande-t-il en ayant l’impression d’être un peu trop rêveur sur les bords. Il passe sa main sur son menton en tentant d’imaginer les possibilités, de cette vie rêvée qu’il n’aura jamais.
Felix la croit mais se dit que sans gros matériel et une grosse équipe … Comment peut-il avoir autant d’utilité, d’efficacité sans tout ce qui représentait les pompiers ait disparu. Il se sent embarrassé d’avoir dit une connerie et Olivia argumente sur les compétences de Tomeo acquices grâce à son métier.
L’homme a apparemment sauvé le camp d’un terrible incendie et s’il n’était pas ici à ce moment-là … Les choses auraient pris une tout autre tournure d’après la femme. ‘’Désolé, je me disais simplement que comme les pompiers n’ont plus vraiment accès à leur matériel, et qu’ils ne travaillent plus en équipe.
Il se peut que ce soit davantage compliqué de gérer ce genre d’événement par exemple’’ Dit-il en haussant les épaules. Olivia affirme que de rencontrer ses fameux sprinteurs est impressionnant. De véritables bêtes qui dévorent tout ceux et celles qui croisent leur chemin. Une mutation du virus certainement, qui sait nous ne sommes pas peut-être pas au bout de nos surprises.
La femme vient de Chicago, c’est clairement à l’autre bout du pays. Elle en a dû faire de la route pour arriver jusqu’à l’état de Washington. Elle doit avoir ses raisons pour déménager à une telle distance comme n’importe qui. Elle enchaine en posant une question similaire à Felix. ‘’Je suis né à Olympia et j’y ai grandi. Je n’ai jamais eu de problèmes là-bas. Je vivais dans une famille aisée, dans un milieu normal.
J’étais l’élève modèle, celui qui était bon en cours mais qui n’en faisait pas trop non plus pour ne pas être sous les radars des brutes’’ Cette période parait si lointaine aujourd’hui, à la limite d’une autre vie.
Tout a tellement changé depuis l’arrivée des morts qui marchent. ‘’Vous vous êtes déjà imaginée ce que vous seriez devenue aujourd’hui si le drame qui s’est produit n’était pas arrivé il y a bientôt sept années de cela ?’’ Demande-t-il en ayant l’impression d’être un peu trop rêveur sur les bords. Il passe sa main sur son menton en tentant d’imaginer les possibilités, de cette vie rêvée qu’il n’aura jamais.
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