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Mar 1 Aoû 2023 - 21:17

Portland - Oregon

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Re: Groupes PNJs

Mar 1 Aoû 2023 - 21:18

Missoula - Montana


New Missoula
432 Campus Dr, Missoula, MT


Cette communauté florissante s'est installée dans le  Washington Grizzly Stadium il y a suffisamment longtemps pour en avoir fait ce qu'il est aujourd'hui: une véritable petite ville fortifiée. Dirigé par le Conseil des Trois, cet endroit a su s'ériger comme symbole de sécurité dans les environs, amenant la plupart des petits groupes environnants à rejoindre New Missoula.

Composée à la manière d'une véritable petite ville, on y trouve différents « quartiers » installés dans les anciens gradins du stade. L'ancien terrain quant à lui accueille le grand marché, place forte du troc dans la région de Missoula attirant nombre de survivants chaque jour, ainsi que les zones de cultures.

Si ce groupe est spécialisé dans le troc ainsi que le ravitaillement, le commerce étant leur principal atout, l'ancien stade n'est pourtant pas un lieu dans lequel il est possible d'entrer et de sortir comme dans un moulin. Vu l'importance donnée par le Conseil des Trois sur la sécurité des lieux, des gardes à l'entrée font le tri et ne laissent passer que ceux qui acceptent de laisser leurs armes à la consigne prévue à cet effet pour pénétrer dans le stade. Un refus d'obtempérer impliquera forcément un renvoi implacable en dehors des limites de la zone contrôlée par New Missoula.

Leur comportement vis-à-vis des gens de l'extérieur est relativement neutre. Ils ne sont pas du genre à se montrer agressifs ou conquérants, mais puisque la sécurité prime sur le reste, ils sont gérés d'une main de fer et personne ne saurait remettre en doute les règles imposées.

Disposition vis-à-vis d'autrui
Le Stade est ouvert aux Travelers, aux membres des Factions et aux Groupes, à condition de respecter les lois sur place.

• La salle du conseil
Installée dans l'ancienne loge VIP du stade, la salle du conseil accueille toutes les réunions du Conseil des Trois. Toutes les décisions importantes pour le groupe sont prises ici. Il arrive également que des rencontres soient organisées pour apaiser de potentielles tensions entre les différents marchants ou autres problèmes du genre au sein de la communauté. Hormis le Conseil des Trois, personne ne peut accéder à cette salle sans y être invité.

• Le marché
Véritable centre névralgique du groupe, le marché est quasiment constamment animé de vie. Les cris pour alpaguer les clients, présenter ses offres résonnent entre les différents stands, invitant chacun à faire sa promotion plus fort que son voisin. On y trouve de tout, et c'est certainement ce qui fait le plus la fierté de ce groupe.

• Les habitations
Organisées un peu à la manière de certains bidonvilles, les habitations sont en quelque sorte les unes sur les autres. Les marches des gradins permettent d'accéder aux différents étages et l'on ne peut réellement prétendre à vivre dans une sorte de villa. Mais après tout, en ces temps de survie, avoir un toit fixe au-dessus de la tête et une zone sécurisée où dormir est le bien le plus précieux au monde.

Clinique
Réservée presque uniquement aux habitants, en dehors de potentielles urgences vitales qui pourraient concerner des gens de passage, la clinique accueille tous les cas qui en ont besoin. Etant le lieu principal du troc de la zone de Missoula, les stocks de médicaments et autres produits de soins sont suffisants pour traiter la plupart des pathologies bénignes. Ayant attiré bon nombre de petits groupes au fil du temps, des médecins sont présents dans le groupe et peuvent procéder à des examens comme des opérations bien qu'ils n'aient pas de salle d'opération à proprement parler.

Sécurité

La sécurité étant primordiale pour New Missoula, de nombreuses personnes sont assignées à des postes de gardes. Tous obligatoirement formés tant au combat rapproché qu'au tir, ils ont une règle stricte: ne laisser personne entrer sans l'avoir fouillé au préalable et avoir placé ses armes en consigne pour toute la durée de son séjour dans le stade. Tout manquement à cette règle pourrait avoir des conséquences dramatiques pour la sécurité des lieux et de ses habitants. En dehors de cela, des patrouilles sont organisées tant autour du stade qu'à l'intérieur afin de s'assurer qu'aucune ombre ne vienne obscurcir le tableau.

Commodités

La plupart des habitations est dotée d'un petit collecteur d'eau de pluie, permettant ainsi à chacun de disposer d'un point d'eau où se laver ou se ravitailler. Pour ce qui est des latrines, des toilettes sèches sont installées et le contenu de celles-ci est récolté pour être transformé par la suite en fumier pour permettre une meilleure pousse des cultures du groupe.

Ressources

New Missoula ayant pour activités principales le troc et le ravitaillement, ils ne manquent pas vraiment de grand chose. Les échanges vont bon train et leur permettent ainsi de maintenir un niveau de vie suffisamment confortable pour tout un chacun. Cependant, ils restent dépendant de leurs trouvailles ainsi que des propositions au marché, ce qui peut amener leurs stocks à fluctuer en fonction des saisons ou des périodes de l'année.

Carte des lieux
Vous trouverez ci-dessous une carte indiquant les différents points importants ainsi que la disposition globale du campement.


Niveaux

Ressources
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Défenses
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Confort
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Les habitants
• Agnes Kindermann (née en 1951)
Agnès est une femme qui a toujours aimé le luxe. Sa cabane dans le Stade est remplie d’art et de choses hors de prix au temps d’avant, mais qui sont fort désuètes de nos jours. Elle n’est pas snobinarde pour autant, au contraire même, elle a toujours été touchée par la misère d’autrui. C’est donc tout naturellement qu’elle s’est portée volontaire pour faire partie du conseil des trois. De par ses innombrables voyages et son âge avancé, elle a su mettre à profit son expérience de vie pour en faire profiter cette petite ville fortifiée. Toujours souriante, elle est très agréable à côtoyer et a toujours quelques anecdotes à raconter.
ft. Celia Weston

• Myles Clemmons (né en 1981)
Myles est un ancien professeur d’ingénierie. Il est indispensable au bon fonctionnement de New Missoula, car c’est grâce à lui que le stade est en bon état, que les constructions en son fort sont solides, durables et sécuritaires. Il fait partie du conseil des trois depuis récemment, s’assurant d’avoir un œil sur tout ce qui touche à la construction et l’entretien des structures. Il est réservé, mais lorsqu’il parle c’est toujours avec justesse et efficacité.
ft. Nyasha Hatendi

• Patrick Landers (né en 1968)
Ancien Marines, c’est le détachement de Patrick qui a d’abord sécurisé le Stade de New Missoula. Rapidement, ils ont eu besoin des civiles et une démocratie a été mise en place plutôt que la loi martiale. En perdant beaucoup de ses hommes au tout début, Patrick n’a pas trop eu le choix d’accepter ce changement. Il ne voit d’un bon œil depuis le temps et cela le soulage de déléguer un peu ce qui ne touche pas à la sécurité de la petite ville. C’est un homme très discipliné et un peu brut par moment, mais il a bon cœur et cherche simplement à protéger tout le monde.
ft. Mark Bonnar
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Re: Groupes PNJs

Mar 1 Aoû 2023 - 21:20

Lewiston - Idaho

Barbarians
621 21st St, Lewiston, ID



Les Barbarians ont établi leur nouveau QG dans un ancien hôtel de Lewiston. Edifice couvert de végétation, le bâtiment semble totalement abandonné vu de l'extérieur, malgré la présence de grandes barricades en bois tout autour du domaine. Groupe de près de 200 personnes, le leader et son bras droit règnent en maitre et s'assurent de la soumission de chacun des membres. La moindre tentative de rébellion se voit tuée dans l'œuf. Par l'utilisation des systèmes de torture moyenâgeuses jusqu'à ce que mort s'ensuive face à la totalité du groupe, les têtes pensantes s'assurent de l'allégeance de tous.

Chaque membre est affublé d'un B sur le dos de la main, marqué au fer rouge comme du bétail, le leader s'assure ainsi la possibilité de retrouver quiconque tentera de s'enfuir. Aucun droit à l'erreur, pas de fraternité dans ce type de groupe. La survie et la prospérité du groupe est l'élément le plus important.

Si les Barbarians ont le malheur de croiser votre route, il n'y que deux possibilités : les rejoindre ou mourir dans d'atroces souffrances. Le but des Barbarians est d'avaler les petits groupes, de multiplier leurs effectifs, avec des personnes aptes à travailler pour eux. Pour entrer dans le groupe, il faut jurer une entière soumission au leader ainsi qu'à son bras droit, s'agenouiller et supplier encore et encore pour que le groupe lui accorde la sécurité demandée.

Les premiers temps suivant les recrutements sont exclusivement portés sur des tests des nouveaux éléments, notamment leurs résistances à la torture infligée autant à autrui qu'à eux-mêmes. Les Barbarians fonctionnent à la récompense.

Disposition vis-à-vis d'autrui
Il vaut mieux évitez les alentours du camp des Barbarians, à moins de vouloir les rejoindre... s'ils l'acceptent. Sinon... *couic*

• La salle commune
Rien de bien accueillant, à n'en pas douter, à l'image du groupe et de tout le reste de l'hôtel. Il faut dire qu'il ne s'agit pas de l'accueil du nouveau centre de bien-être à la mode, et les leaders s'assurent que même leur refuge ne soit considéré comme un foyer définitif pour personne. Des tables rongées par le temps sont installées par ci par là, avec des chaises dépareillées tout autour. A l'écart, une plus grande table mieux conservée avec des chaises rembourrées, les rendant bien plus confortables : c'est là que l'élite du groupe se rassemble. Gare à qui tenterait de prendre une place à cette table sans y être convié.

• Les dortoirs
Installés tous au même étage, les dortoirs sont aussi peu confortables qu'ils en ont l'air. Ils offrent à minima l'avantage de ne pas dormir directement par terre et d'avoir un matelas où se reposer. L'intimité n'est pas un concept très appliquée ici, étant donné que quelques dizaines de centimètres à peine séparent les différents lits. Seuls les leaders du groupe se sont octroyés des suites localisées au dernier étage du vieil hôtel, et dont personne d'autre n'est autorisé à y accéder. Personne, hormis les quelques femmes qui sont parfois poussées à froisser leurs draps à la demande des leaders.

• Les salles de torture
Installées dans l'ancienne chaufferie de l'immeuble, les salles de torture sont aussi lugubres qu'austères. Sur le sol et gravées à même les murs, ce sont des traces de sang, des marques d'ongles qui ont raclé à la porte, trahissant le nombre de victimes qui ont essayé de sortir.  Nombreux sont ceux qui s'y retrouvent. Mais rares sont ceux qui en réchappent vivants. Le temps passé dans ces salles est quant à lui indéfini, allant de quelques heures à plusieurs jours si ce n'est semaines, en fonction de la capacité de résistance des victimes qui y sont traînées. Les échos des hurlements résonnent bien souvent des jours après que les actes infames soient commis.

L'entrepôt

Nombreuses étant les communautés qui ont ployé le genou de peur de leurs représailles, les Barbarians utilisent deux anciens garages comme entrepôt. Là sont stockées toutes les ressources et provisions rapportées et récupérées auprès des groupes soumis à leur bon vouloir. Les étagères s'étalent de fond en comble, qu'il s'agisse d'objets futiles ou d'apports alimentaires, tout y passe, pourvu que les Barbarians soient contentés.

L'armurerie

Le nombre exact d'armes contenues par les Barbarians n'est pas spécifié, tant le nombre ne cesse de grossir à chaque communauté visitée. L'inventaire est sans cesse renouvelé, là aussi, les armes s'étalent sur de nombreuses étagères et autres placards refermés : armes blanches, armes contondantes, armes de poing, fusils en tout genre, grenades, boites de munitions qui s'accumulent... ce qui est certain, c'est que les moyens d'attaque ne manquent pas, s'assurer que l'armurerie soit toujours pleine est une priorité pour le groupe.

La cour

C'est une cour intérieure à l'hôtel, seulement accessible par les Barbarians, contenant une cuve de piscine vidée, des espaces verts mal entretenus et des mobiliers extérieurs laissés en place. Rien de folichon, pourtant, la plupart des membres du groupe y passe l'entièreté de leur temps. Il faut dire que des combats sauvages y sont organisés, les Barbarians se querellant sans cesse, misant sur des vainqueurs et les mises à mort des perdants. Le jeu de pouvoir ne s'arrête jamais pour eux, même pas en leur propre sein.

Sécurité

Une grande barricade en bois a été érigée tout autour du domaine. Plusieurs snipers sont postés à chaque étage et des petits groupes de quatre personnes patrouillent à chaque heure du jour et de la nuit chaque recoin du refuge. Deux gardes sont constamment présents aux portes du camp et personne n'entre sans connaitre un membre du groupe ou sans montrer le B rougeâtre qui les qualifient si bien. Aucune arme n'est tolérée dans le bâtiment sans autorisation.

Commodités

Les quelques femmes qui ont la malchance de vivre auprès des Barbarians sont celles devant assurer le nettoyage complet du bâtiment lorsqu'elles ne sont pas dehors à manipuler les autres. Nettoyage des lieux de vies, des dortoirs et organisation des repas. L'environnement se doit d'être propre pour éviter les maladies, choses importantes à éviter pour le leader.
L'électricité est seulement provisoire puisque quelque générateurs ont été récupérés dans les caves du bâtiment et utilisés uniquement en cas de besoin. Le reste du temps, des bougies ou lampe torches sont utilisées la nuit. L'eau courante n'est pas un luxe alors des cuves de récupération de l'eau de pluie sont présentes sur le toit pour s'en assurer la récolte et utilisation. Les toilettes ne sont finalement que des seaux vidés et nettoyés régulièrement par les membres du groupe - principalement par les femmes qui y sont tolérées, donc.

Ressources

Les ressources des Barbarians proviennent surtout des pillages des villes alentours et des groupes qu'ils ont rattachés à leur domaine ou tout bonnement décimé. Boites de conserves, viandes séchées. Entouré de forêts, la chasse et la pèche sont principalement utilisées pour assurer suffisamment de nourriture pour tout le camp. Chaque semaine, une équipe d'une dizaine de personnes est envoyée auprès des communautés qui ont juré allégeance pour remplir les étagères. Nombreux sont les objets, vêtements et meubles réquisitionnés pour le bien du groupe, pour assurer un confort supplémentaire aux Barbarians.

Carte des lieux
Vous trouverez ci-dessous une carte indiquant les différents points importants ainsi que la disposition globale du campement.




Niveaux

Ressources
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Défenses
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Confort
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Les habitants
≡ Zac Wayans - Leader (60 ans)
Ancien psychologue de Castleford High School, dans l'Idaho, Zac a prit l'opportunité dès le début de prendre la tête du groupe. Se servant de ses talents de manipulateur et de son intelligence, Zac s'est rendu le plus important possible. Pragmatique et intelligent, Zac s'est rapidement rendu compte que les plus forts vaincront dans une telle problématique. Régnant sur le groupe d'une main de maitre, il utilise la torture physique et psychologique pour assurer la soumission des membres de son groupe.
Ft Michael T. Weiss
≡ Marius Amir- Bras Droit (60 ans)
Ancien professeur d'histoire au Castleford High School, Marius est un homme sombre que la vie n'a pas épargnée. Dangereuse obsession pour l'époque médiéval, c'est à lui que le groupe doit chacune des méthodes de torture qu'ils utilisent sur chacun des membres. Homme froid et qui n'a pas peur de se salir les mains, il ne se laisse marcher sur les pieds par quiconque. Marius est toujours présent où sont leader est et n'hésite pas à mettre la main à la pâte. Il est celui qui conduit chacune des tortures pour les nouveaux éléments du groupe.
Ft Jason Mantzoukas
≡ Soan Pepper - Responsable Patrouilles (31 ans)
Soan a été récupéré lors du pillage de son groupe en 2020 avec son petit frère. Grand bonhomme qui fait peur sans même lever le petit doigt, il n'a eu d'autres choix que de se soumettre au Leader pour espérer survivre. Soan a rapidement comprit qu'il devait faire ses preuves pour pouvoir monter un peu les échelons et s'est découvert une passion peu commune pour le Waterboarding, torture par la noyade. S'amusant des réflexes que le corps humain met en place pour tenter de survivre. Si ce n'est pas un mauvais bougre au départ, Soan ne veut que la protection de son petit frère et redouble donc d'effort pour que rien ne lui arrive. Responsable des patrouilles, Soan est principalement à l'intérieur du camp et mène du poigne de fer la troupe qu'il dirige.
Ft Brock O'hurn
≡ Tricia Ortiz - Maquerelle (46 ans)
Ancienne professeure d'anglais au lycée Castleford, Tricia fait partie des meubles du groupe. Présente dès sa création, tout portait à croire qu'elle finirait jetée sur le carreau. Il faut dire qu'il lui manque certaines cases, alors qu'elle se faisait constamment éclater la tête par son mari de l'époque, également professeur de sport au lycée. Jusqu'à ce que Marius s'interpose lors d'une dispute, et poignarde l'époux colérique... poussant une Tricia choquée à s'assurer de sa mort en lui plantant le couteau dans le torse des dizaines de fois par la suite. Depuis ? Tricia colle régulièrement aux basques du bras droit du groupe. Et s'il est parfois tentant de se débarrasser d'elle, l'ancienne professeure ne manque pas de talent pour repérer des midinettes exploitables pour les sombres besoins des Barbarians. Attirant ainsi de nouvelles victimes pour ses compagnons, désignant des femmes qui n'auront plus qu'une seule vocation, à partir du moment où Tricia leur font passer les portes du lycée de Castleford.
ft. Tawny Cypress
≡ Joan Cromwell - Conseillère (44 ans)
Au risque d'en surprendre plus d'un, cette ancienne flicarde, travaillant jadis pour la bridage des stups de Seattle, est faite d'un bois extrêmement dur. En dépit de sa plaque, pourtant, Cromwell a toujours trempé dans les mauvais coups. Ripou jusqu'à la moëlle, elle était de ceux qui consommaient sur leur travail, et s'arrangeait pour que les gros poissons échappent à ses patrons. Jusqu'à un beau jour où elle a vendu la peau de ses collègues flicards, histoire de sauver la sienne. Lorsque l'épidémie s'est déclarée, c'est sans surprise qu'elle a cherché à se tirer, terminant sa course jusqu'aux fins fonds de l'Idaho. Choppée par Zac et les siens en 2018, elle aurait dû finir écartelée comme bien d'autres de ses pairs. Au lieu de ça, elle a pourtant réussi à convaincre le leader qu'elle avait toute sa place dans son groupe, jusqu'à suggérer des idées de tourments à infliger pour forcer ses troupes à lui obéir. Jeter mère et enfant sur les rôdeurs, parce qu'il est hors de question de s'occuper de mioches chez les Barbarians ? C'était son idée.
ft. Anna Torv
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Re: Groupes PNJs

Lun 27 Nov 2023 - 20:26

The Giants
700 S Main St, Moscow, ID


Les Giants sont bien loin d'être un groupe très recommandable. Survivants héritiers d'une ancienne safe-zone installée dans l'hôpital au début de l'épidémie, ses habitants ont bien vite abandonné la hiérarchie initiale pour se baser sur une loi bien vite mise en place par leur leader: celle du plus fort. Depuis près de huit ans maintenant, personne n'a jamais été capable de destituer l'homme qui est à la tête de ce groupe et très peu sont ceux qui espèrent encore pouvoir y parvenir un jour.

Cependant, ce n'est pas comme s'il s'agissait du seul vice de ces survivants. Groupe extrêmement militarisé, une ligne de défense faite de mines antipersonnel a été érigée tout autour du périmètre de l'hôpital en plus de hautes barricades ornées de fil barbelé et de pics acérés. Des miradors ont été installés tous les cinquante mètres et l'on y retrouve vingt-quatre heures sur vingt-quatre des militaires armés de fusils d'assaut ou de sulfateuses.

Pour ce qui est de la vie intra-muros, il ne fait pas bon être une femme. Elles sont exploitées, traitées comme des moins que rien et utilisées jusqu'à ce que mort s'ensuive. Elles n'ont le droit de rien faire, ou du moins rien de concret. Préparer les repas, faire la lessive et le ménage, servir de jouet aux hommes lorsqu'ils en ont envie. Voilà tout ce qui les attend. Aux yeux de ceux qui ont le pouvoir: elles ne sont rien et ne le seront jamais. Quant aux personnes de couleur, hommes ou femme, ils sont considérés comme des sous-races. Il est presque impossible de voir l'un d'eux vivre auprès des Giants en tant que citoyen de leur communauté. En réalité, un tout autre sort leur est réservé.

Disposant d'un matériel médical à la pointe de la technologie - celle de 2015 - et de panneaux solaires sur l'entièreté du toit du bâtiment, ils ont accès à des salles d'opération permettant des soins presque aussi efficaces qu'à l'époque. Et cela permet d'ailleurs au médecin en chef du groupe de réaliser ses rêves les plus fous: effectuer des expériences sur des vivants, à grand renfort de greffes de membres d'autres vivants ou de morts, de tests plus saugrenus les uns que les autres... Et quoi de mieux pour cela que des sous-humains ou des femmes?

Disposition vis-à-vis d'autrui
Quiconque n'est pas déjà avec eux est certainement contre eux. Les inconnus, quels qu'ils soient, ne sont pas les bienvenus. Le seul moyen de potentiellement intégrer leur groupe est au préalable d'être capturé par eux puis de faire suffisamment ses preuves.

• Les dortoirs
Pas d'intimité par ici, chacun a droit à son lit et se doit de faire en sorte de le gagner. Les couchettes les plus confortables sont réservés aux forts, les plus faibles n'ont qu'à coucher à même le sol. Les hommes sont bien évidemment séparés des femmes, et celles-ci n'ont accès qu'à des couvertures jetées au sol.

• Les salles de soins
Equipées d'un matériel de pointe, on peut y réaliser des opérations tant que des soins plus basiques. Si la plupart des salles de soins sont accessibles à tout le personnel médical, certaines sont fermées à clé et insonorisées car elles abritent les lieux d'expériences du Docteur Rowse.

• Les salles communes
Des tables et des chaises utilisées tant en guise de réfectoire que comme salles de détente et de jeu. Cartes, dés, il faut bien savoir s'occuper. Comme pour tout, la loi du plus fort prime: les plus faibles se retrouvent fréquemment debout ou assis à même le sol.

Les cellules

Utilisées pour parquer les prisonniers, ceux-ci sont généralement les futurs cobayes pour les expériences du Docteur Rowse. En général, une vingtaine de personnes sont mises par cellule de cinq mètres carrés, qui étaient autrefois les chambres froides des cuisines de l'hôpital. Un décor bien austère et loin d'être rassurant, en somme, où la lumière du jour ne percera jamais.

Les salles de jeux

C'est ainsi que sont appelés les anciens vestiaires qui sont aujourd'hui utilisés pour accueillir les moments de plaisir pris grâce aux femmes. Ces pièces se situant dans les sous-sols, les potentiels cris qui pourraient percer ne risquent pas d'être entendus par qui que ce soit. Et l'avantage d'une grande pièce... C'est qu'il ne manque pas de place. De quoi laisser libre cours aux fantasmes les plus saugrenus.

La salle de réunion

C'est ici que se réunissent les dirigeants du groupe. Que cela soit pour discuter de l'avenir ou bien simplement se congratuler pour ce qu'ils parviennent à faire depuis des années, chacun sait qu'il vaut mieux ne pas essayer de les déranger lorsqu'ils se retrouvent là-bas. Quelle qu'en soit la raison.

Commodités

Des réservoirs permettant de récupérer l'eau de pluie ont été installés sur le toit et des travaux ont été réalisés pour qu'ils soient la source principale d'alimentation des sanitaires. Pas de système d'assainissement, les déchêts sont immédiatement envoyés dans une fosse septique débordant dans Pioneer Park.

Ressources

N'étant pas spécialement portés sur la culture, ils obtiennent la majorité de leurs denrées alimentaires par la chasse, la pêche et la cueillette. Bien évidemment, ils n'hésitent pas un seul instant à récupérer les biens de ceux qui pourraient s'approcher un peu trop de leur campement. Après tout, pourquoi gâcher ce que des morts n'utiliseront plus jamais?

Carte des lieux
Vous trouverez ci-dessous une carte indiquant les différents points importants ainsi que la disposition globale du campement.


Niveaux

Ressources
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Défenses
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Confort
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Les habitants
≡ Troy Tingey - Leader
Cet ancien colonel de l'US Army est bien loin d'être un tendre. Militaire accumulant les médailles par le passé, il mène son groupe d'une poigne de fer et compte bien faire entrer ses idéaux dans la tête de chacun. De gré ou de force. Selon lui, seule sa manière de voir les choses est valable et garde à ceux qui oseraient tenter de le contredire. Il fait régner la loi du plus fort et le plus fort: c'est lui.
≡ Dominic Rowse - Médecin en chef
Adepte des progrès de la médecine réalisés par les nazis au cours de la Seconde Guerre Mondiale et ancien médecin chef de l'hôpital dans lequel le groupe s'est établi, il a rapidement vu l'occasion de pouvoir enfin réaliser ses désirs les plus fous. Entre deux opérations ou soins prodigués de manière très conventionnelle aux siens, il mène bon nombre d'expériences toutes plus atroces les unes que les autres sur ses cobayes. Tous humains et bien vivants, évidemment.
≡ Ferdinand Dixon
Cet homme est un chasseur, et aujourd'hui ses proies favorites sont loin d'être les animaux. Toujours en quête de nouveaux défis, il n'hésitera jamais à user de son grade de chef de la sécurité pour ordonner de faire fuir les potentiels intrus simplement dans le but de pouvoir les traquer. Et dès lors qu'il aura pu capturer ses victimes, qui sait ce qu'il adviendra d'elles.


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Re: Groupes PNJs

Lun 27 Nov 2023 - 21:35

The Droplets
Unnamed Road, Post Falls, ID


Les survivants de cette communauté sont en grande partie des rescapés des anciens habitants de la ville de Post Falls ou des travailleurs de la centrale. Lorsque les choses ont dégénéré en 2015, des forces militaires, des policiers et des milices privées ont été dépêchées sur les lieux afin de protéger le barage et d'en assurer le bon fonctionnement le plus longtemps possible. En effet, les installations hydroélectriques de l'endroit ont eu une importance capitale aux yeux du gouvernement qui tenait à ce que cela puisse rester viable autant que faire se peut. Cependant, avec le temps les morts se sont accumulés et la plupart des forces armées présentes sur place ont déserté les lieux, préférant fuir que mourir ici. Ceux qui sont restés ont mis un point d'honneur à continuer leur mission tout en s'adaptant au mieux aux conditions de vie imposées par le monde tel qu'il était devenu.

Les Droplets ont bien vite orienté leur style de survie sur la production, tant en matière d'électricité que de cultures agricoles. Ils ne sont pas du genre à aller piller d'autres groupes pour tenter d'obtenir ce dont ils ont besoin et feront toujours tout ce qui est en leur pouvoir pour l'obtenir de manière "légale" si tant est qu'il y ait encore des lois quelque part. Leur plus grand avantage est certainement d'avoir encore l'électricité et un système d'eau courante grâce à l'usine hydroélectrique et la rivière Spokane sur les berges de laquelle ils sont installés.

Il n'y a aucun prérequis pour vivre avec eux et chacun est le bienvenu. Tout ce qu'il faut c'est accepter de participer aux tâches comme l'agriculture, la pêche, l'entretien du barrage ou de la centrale. Une ambiance presque familiale règne dans le camp et les dirigeants du groupe tiennent à ce que cela soit respecté. Quiconque manquerait à tout cela sera soit recadré, soit orienté vers la sortie en cas de récidive d'un comportement néfaste.

Disposition vis-à-vis d'autrui
Il s'agit d'un groupe pacifiste. S'ils ont bien évidemment des systèmes de défense, comme tout le monde, ils accueillent les gens de passage comme ceux qui souhaitent rejoindre leur groupe si tant est que l'on soit d'accord de mettre la main à la pâte.

• La centrale
Lieu de la plus haute importance dans le camp, il s'agit là de leur source d'énergie. Sans la centrale, entretenue activement et avec application depuis la fin du monde et même avant, il n'y aurait pas d'électricité cela va de soi. De fait, beaucoup sont assignés au travail dans cet endroit que ce soit ceux qui y travaillaient par le passé ou de nouveaux arrivants formés par la suite.

• Les lieux de vie
Un peu à l'écart des barrages, les maisons et lieux communs du groupe semblent presque tirés d'une carte postale. Maisons au bord de l'eau, illuminées dès que la nuit tombe, il serait presque possible de croire que la fin du monde ne les a pas impactés de la même manière que tous les autres. Tout est bien entretenu, décoré, de quoi donner envie et permettre d'accepter chaque nouveau jour passé dans cet endroit presque paradisiaque.

• Les cultures
Que ce soit des fermes hydroponiques ou des champs de plantations, il s'agit là de l'autre majeure partie de l'investissement des membres des Droplets. Chacun doit apprendre à cultiver et s'occuper des plantes qui poussent ici en fonction de la saison. Il s'agit là après tout de leur principale source de ravitaillement.

Commodités

Grâce à l'électricité et aux ingénieurs présents dans le camp, les Droplets disposent de l'eau courante - à un débit limité cependant - et peuvent également profiter de l'eau chaude. Tous les systèmes de chauffage, que ce soit pour la maison ou pour l'eau ou la cuisine, ont été remplacés pour fonctionner uniquement à l'électricité. Pour ce qui est des toilettes, ils utilisent des toilettes sèches et se servent de tout ce qu'ils peuvent rejeter comme composte pour leurs plantations.

Ressources

Etant des agriculteurs, la plupart de leurs denrées alimentaires proviennent du travail de la terre. Puisqu'ils vivent à proximité d'une rivière, ils vivent également de la pêche. Pour ce qui est de la viande, elle est généralement obtenue par la chasse, bien qu'ils n'en mangent que peu, préférant se contenter de ce qu'ils ont à leur disposition.

Sécurité

Le camp n'est peut-être pas aussi sécurisé que pourrait l'être une base militaire, mais il dispose tout de même d'une enceinte de protection délimitant leur territoire et des gardes sont organisées tout au long de la journée et de la nuit pour en assurer la protection. A l'intérieur du camp, seuls les gardes sont autorisés à porter une arme sur eux sauf en cas d'extrême urgence, de danger imminent ou dans le cadre d'un travail nécessitant l'utilisation d'un outil pouvant servir d'arme blanche.

Carte des lieux
Vous trouverez ci-dessous une carte indiquant les différents points importants ainsi que la disposition globale du campement.

A FAIRE

Niveaux

Ressources
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Défenses
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Confort
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Les habitants
≡ Pastora Fonseca - Leader
Ancienne ingénieure cheffe de la centrale hydroélectrique de Post Falls, elle est ici depuis le début de l'apocalypse. Bien consciente de l'importance de l'électricité, encore plus dans ce monde ci, ainsi que de la nécessité d'entretenir le barrage afin d'éviter une potentielle catastrophe, elle dirige son groupe avec douceur et fermeté dans l'unique but de le voir prospérer.
≡ Akida Omehia - Co-Leader
Cet ancien policier était autrefois chargé d'assurer la sécurité des travailleurs de la centrale au début de l'apocalypse. Après que les forces de l'ordre aient déserté la zone, il a décidé de rester et de continuer de protéger les habitants. Aujourd'hui, c'est un homme dévoué pour les siens qui veille à leur sécurité au quotidien.
≡ Louise Gill
Cette ancienne fleuriste de la ville a rapidement fait partie des survivants à rejoindre le groupe au début de l'apocalypse avec ses parents. Si ceux-ci sont aujourd'hui décédés, ils sont tous trois à l'origine des différentes cultures mises en place dans le groupe. Louise est une véritable passionnée qui a à coeur de pouvoir apporter aux siens des produits de la terre tout au long de l'année.


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Re: Groupes PNJs

Dim 27 Oct 2024 - 1:20

San Juan Island - Washington

THE MUTINEERS
Friday Harbor - San Juan Island, 98250 WA


Coupé du monde depuis les prémices de l'épidémie, les habitants de Friday Harbor ont rapidement vu leur population chuter drastiquement. Entre ceux emmenés par les militaires dans un refuge, ceux prenant le dernier ferry pour rejoindre le continent, ou encore ceux que la vieillesse ou la maladie a emporté... Bien plus encore, quand l'armée réquisitionne les derniers navires disponibles pour un pseudo "effort de guerre", condamnant les locaux à ne plus pouvoir quitter Friday Harbor de leur plein gré. Autant dire que les premiers mois furent difficiles, passant de près de deux milles habitants à cent cinquante environ.

Disposition vis-à-vis d'autrui
Méfiants et suspicieux vis à vis de ceux qui viennent du continent, les insulaires peinent à accorder leur confiance au premier venu, et n'hésiteront pas à prendre les armes pour quiconque tenterait de les déloger. En revanche, ils acceptent de laisse gîte et couverts pour quelques nuits aux voyageurs séjournant à l'auberge contre paiement comptant.

• Les lieux de vie
La chute de la population a incité les insulaires à se rejoindre tous ensemble sur un seul et même lieu de Friday Harbor. Précisément sur les quais, car si le brouillard y persiste, la possibilité de réagir en cas d'attaque est également plus rapide. Forcés de déménager de leurs anciens quartiers pour s'installer plus confortablement sur les quais, ces derniers sont renforcés de bois ; parfois même de coques de navire pour se prémunir de potentielles attaques nocturnes de prédateurs ou de pillards qui pourraient surgir à tout moment de la brume, malgré le peu d'espoir de la population de voir un jour d'autres humains parvenir jusqu'ici. De nuit, les docks semblent inhabités, plongés dans le noir par soucis de sécurité.

• L'armurerie
Ancien magasin de pêche où se rencontraient les anciens de la ville, la boutique a été complètement réinventée et pensée pour devenir une petite armurerie sous l'égide de Trish. A défaut de pouvoir se munir d'armes neuves en dehors du matériel militaire laissé sur place, les insulaires ont eu tôt fait de se réinventer. Tridents et filets de pêche repensés des rétiaires de la Rome antique, fusils à harpon... Il en est de même pour les combinaisons et le matériel de plongée professionnel ou de scaphandrier, devenus l'équivalent de protection de haut niveau pour les éclaireurs amenés à devoir achever les rôdeurs ramenés par le courant. Certains os du musée de la baleine ont également été réutilisées pour aider à la confection de lames de poignards.
Trish met un point d'honneur à réparer et remettre en état toute arme devenue abîmée ou obsolète, et n'est jamais contre un peu de troc afin de pouvoir obtenir de nouveaux matériaux pour créer des armes de combats de meilleur état, selon ce que son imagination lui propose.

• Auberge "Le Fletcher"
Anciennement connu sous le nom de Snug Harbor, l'ensemble de petits chalets de bois bordant les quais a eu tôt fait d'être reconverti en quartier général de l'île. Les cheminées permettent de conserver une température agréable été comme hiver dans chaque pièce, et c'est également dans l'accueil de l'auberge que se réunissent les insulaires pour prendre les décisions importantes au sein du groupe : élection, décision, vote général. Par ailleurs, il n'est pas impossible de passer la nuit dans un des chalets à disposition, moyennant la monnaie de l'île en guise de paiement.

Ellen met toujours un point d'honneur à ce que les lieux soient impeccables, et quiconque tenterait de faire l'inverse pourrait éventuellement se faire jeter dans l'eau des docks. Eventuellement.

Les quais
Les quais anciennement boudés de la modernité sont désormais devenus le coeur névralgique de l'île. Que ce soit pour le rassemblement général des survivants proches de la mer, ou bien pour les rondes et patrouilles nocturnes, les quais sont désormais un lieu empli de vies et de bavardages en tout genres que l'auberge d'Ellen aide également à entretenir. C'est souvent en fin de journée que se réunissent la-bas les pêcheurs et ravitailleurs, avant de rejoindre leur habitation ou louer une chambre selon leur degré d'alcoolémie.

Le cimetière aux épaves
Difficile d'expliquer comment c'est possible, mais le courant finit encore et toujours par ramener des épaves de navires. Petits chalutiers, voiliers, sloops... Chacun se voit ramené jusqu'aux Iles San Juan par la force du courant et des vagues. Parfois vide de leur occupants, parfois rempli de goules, chaque épave est minutieusement nettoyée et désossée afin d'en récupérer tout le matériel possible, ne laissant que de grands squelettes métalliques sur les berges.

La criée
Anciennement le coin de pêche favori des anciens, ce dernier à été revisité en véritable vente à l'étalage ou s'entremêlent deux fois dans la semaine les ressources comestibles; crustacés frais, légumes, et parfois même quelques rares conserves trouvées dans le reste des appartements abandonnés. Il n'est pas rare d'y voir également plusieurs pièces de métal récupérés sur les épaves, et chaque achat se fait avec la monnaie insulaire ; des rivets de navires.

Ressources
A défaut de mieux, les insulaires ont appris à se réinventer avec leurs maigres moyens; avisant les épaves autour de leurs îles comme de réelles puits de ressource, que les marins de Friday Harbor ont mis à profit pour le reste de la communauté; acier, métal, bois, parfois même literie et nourriture lyophilisée. Tout à été repensé pour être réutilisée, afin de permettre un semblant d'échange entre les survivants; Certains morceaux de métal retravaillés en épieux faisant désormais office de lance pour permettre de mettre fin aux noyeurs récalcitrants,. Le matériel nautique est quand à lui légion, permettant de remettre à flot quelques petites chaloupes pour pêcher un peu plus loin.

Culture et traditions
Les insulaires ont conservés leurs propres us et coutumes, que des années d'isolement loin du continent n'ont fait que renforcer. Par exemple;

- Toute lumière se doit d'être catégoriquement éteinte aux derniers rayons du soleil, afin de n'attirer aucun noyeur sur les docks.
- Au même titre, la vision d'un navire au loin autrefois bonne nouvelle, est devenu de mauvaise augure. L'apparentant désormais à un potentiel Hollandais volant porteur de mauvais présage. Les derniers navires ayant été vus étant ceux de l'armée... Le péjoratif à pris le dessus sur tout le reste.
- Il est interdit formellement de trinquer avec le moindre verre, au risque de déclencher les foudres d'Ellen. En effet, le bruit du verre teinté attirerait le vent et avec lui, son lot de noyeurs par le gré des courants.
- Si les fleurs portent malheur sur un navire de par leur présence dans les couronnes mortuaires, il n'est pas rare de voir les insulaires déposer des fleurs blanches à la mer, en hommage à leurs disparus. Celles de couleurs rouge, en revanche, sont jetées pour les morts de l'infection.  
- Le capitaine de Friday Harbor est choisi généralement par le biais d'une cérémonie annuelle, qui à lieu au mois de Novembre, quand la brume est la plus épaisse. La tradition veut que le capitaine honore son titre en allant pêcher un squale avec le moins de matériel possible. En cas de réussite, la soirée se poursuite autour d'un festin le soir même, et marque le jour de fête.
- En cas de mariage, naissance ou autre élément important de la vie des insulaires, c'est souvent à lui qu'on se réfère. Il en va de même pour les baptêmes des nouveaux navires, aspergés de vin pour espérer qu'ils n'aient jamais à "goûter le sang".

Agriculture et alimentation
Le climat n'étant pas propice à un réel potager, c'est une petite serre sans prétentions qui à émergé au coeur de l'île, entretenu principalement par les dernières ressources de légumes frais dont les graines ont été plantés aussitôt dans l'espoir d'y voir croître un minuscule potager. Les légumes et fruits ne sont pas très variés, mais au moins ont-ils réussi à faire pousser un peu de tout en petites quantités: haricots, laitues, pommes de terre, tomates carottes et épinards, mais également quelques fraises, framboises agrumes et pommes. Quand l'hiver s'annonce difficile, le plus gros est rapidement mis en bocaux pour se permettre de survivre plus aisément au cours de la période difficile de l'année.

Par le biais de la serre, le petit groupe parvient à s'autoriser des repas réguliers que la pêche vient rapidement combler; petits poissons, crustacés, fruits de mer.. A défaut de pouvoir pêcher en profondeur, les rivages offrent leur petit lot de nourriture que le groupe s'est empressé de mettre en élevage. De fait, il n'est pas rare de pouvoir observer quelques pièges à poisson en prime des élevages d'ostréiculture et vénéricultures. La plupart des autres groupes d'aliments étant plus difficiles à trouver, c'est principalement le pillage des résidences secondaires, des appartements abandonnés de leurs occupants et des épiceries fines de l'île qui ont permis d'amasser un petit stock de denrées non périssables... Ou quand les épaves étaient encore apte à offrir de précieuses ressources lyophiilsées.
Jalousement gardées sous clés, elles peuvent être servies contre monnaie sonnante et trébuchantes, ou à en petites part égales envers tous les habitants quand la disette fait surface, afin de combler les repas.

Carte des lieux
Vous trouverez ci-dessous une carte indiquant les différents points importants ainsi que la disposition globale du campement.


Niveaux

Ressources
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Défenses
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Confort
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Les habitants
≡ Declan Bellamy - Capitaine (né en 1958)
Les insulaires se plaisent à penser que le Capitaine de la ville descend directement du légendaire Black Sam. Il faut dire qu'entre son accent anglais prononcé et une longue lignée familiale de marins ayant rejoint l'Amérique près de deux cent ans plus tôt, la question pourrait se poser. Mais Declan se moque bien de ce qu'on peut supposer de lui. Ancien marin sur un chalutier de pêche, ce navigateur émérite venait tout juste de prendre sa retraite, quand l'apocalypse à éclaté.
D'un tempérament calme mais ferme, il tient d'une main d'acier les rennes de Friday Harbor et ne cherche pas à négocier avec ceux qui tenteraient de leur nuire. D'un charisme certain, il n'a jamais eu besoin de lever le ton pour se faire entendre, et s'il reste relativement discret sur sa vie d'avant l'apocalypse, son regard dur laisse à penser qu'il en à assez vu pouvoir tenir tête à quiconque. Bourru, peu bavard, il n'en reste pas moins un homme d'action qui n'hésites pas à être éloquent quand la situation l'exige. Une large cicatrice vient barrer son front et sa joue, souvenir d'une sortie de pêche ou son chalutier à été pris dans la tempête. Declan alors marin, aura été l'un des seuls survivants à rejoindre les côtes.

ft. Jim Beaver
≡ Trish White - Armurière (née en 1977)
Qu’on se le dise, malgré ses sarcasmes à outrance, Trish n’est certainement pas la grande comique de l’île. Ses traits durs ont de quoi impressionner, autant qu’ils inspirent parfois la crainte à autrui. Peu loquace quant à sa vie avant l’épidémie, sa renommée est pourtant plus grande qu’elle, sa carrière d’antan aussi. Jadis membre des Marines, c’est probablement ce qui l’a façonnée si durement, sa méfiance étant exacerbée, à tel point que parfois, l’on se demande si elle ne serait pas tout simplement paranoïaque.
Il faut dire que rare sont les personnes qui ont su s’arracher la confiance de Trish ou sa sympathie. Reconvertie comme armurière par la force des choses, elle ne plaisante pas en affaires – ses prix sont non-négociables, et son commerce lui appartient pleinement. Si ses clients sont mécontents de ses tarifs, la brune se fera un plaisir de leur pointer la porte du doigt ; voire de les jeter dehors elle-même. Sa boutique est tenue d’une main de fer, et elle s’assure de ne jamais manquer de rien. Et malgré sa mauvaise humeur générale, Trish est pleinement acceptée par les habitants de Nublar, qui ne peuvent se passer de son expertise au quotidien.

ft. Rosario Dawson  
≡ Ellen Devoe - Aubergiste (née en 1979)
La tenancière de la plus grande, et surtout unique, auberge de Friday Harbor est à l’origine un petit bout de femme qui était probablement vouée à mourir dès les prémices de l’apocalypse. Son passé est connu de tous, principalement parce qu’elle a pendant longtemps été prise en pitié par autrui. Femme battue pendant des années, elle a perdu ses enfants en bas-âge juste avant que l’épidémie ne se déclenche, et comptait se laisser sombrer sous les coups de son mari. Mais ce dernier aura finalement péri dans de mystérieuses circonstances au début de l’année 2016. Disparaissant un bon matin dans les eaux sombres entourant l’île, c’est ce qui aura sonné la reconstruction d’Ellen. Très vite, sitôt que l’homme fut évincé du tableau, la femme Devoe imposa le respect. Intima aussi l’entraide, alors qu’elle en vint à raviver la flamme de l’île, prenant la tête de sa précieuse auberge, gérée d’une main de maître.
Le lieu est aujourd’hui considéré comme le point d’ancrage de Nublar. Les plus grosses réunions s’y tiennent, sous son œil aguerri. Et si, officiellement, Ellen ne fait pas partie des têtes pensantes du groupe, c’est pourtant naturellement que son opinion est sondée, autant que son écoute est estimée.

ft. Melanie Lynskey
≡ William O'Reilly - Technicien (né en 1974)
Bill - comme il aime à se faire appeler - est sans nul doute l'homme le plus occupé de la ville après Declan. Ancien mécanicien dans la marine marchande, l'homme à toujours mis un point d'honneur à diriger les opérations menant à désosser les épaves alentour de l'île ... Et s'assurer que les volontaires à sa suite survivent à ces expéditions. Amputés d'une jambe suite à une attaque de rôdeurs, il marche désormais à l'aide d'une béquille ou d'une jambe de bois, quand ses douleurs fantômes le lui tolèrent. Froid et d'un naturel sarcastique, Bill n'en reste pas moins un homme incapable de tenir en place au sein de sa ville. Soucieux de la sécurité des siens, il est le premier à avoir utilisé les coques des navires chavirés pour renforcer les barricades bordant Friday Harbor, afin de s'éviter de mauvaises surprises.

ft. Toby Stephens
≡ Nancy Bellamy - écumeuse (née en 1994)
Fille unique du Capitaine, Nancy à longtemps été mise de côté par son père pour être préservée. Mais faite du même bois que lui, elle à rapidement réussi à se faire une place au sein des équipes de bénévoles afin de piller les épaves. D'une nature enjouée et presque insouciante, elle dénote un peu avec le caractère plus réservé de son père. Souvent en vadrouille parmi les épaves, elle s'arrange toujours pour y errer un petit temps. Anciennement plongeuse en apnée, elle regrette l'époque ou elle pouvait plonger librement dans les eaux alentours sans risquer de ne jamais revoir la surface. Si elle donnerait tout pour sa ville, il n'empêche que parfois, elle se rêve à d'autres horizons. Bien plus ouverte à l'idée de voir un jour débarquer de nouveaux survivants.  

ft. Amanda Fix
≡ Longfellow - Navigateur  (né en 1958 )
Arrivé sur l'île en avril 2024 suite à un naufrage dont il s'avère être l'unique survivant, l'ancien marin donne l'impression d'avoir vécu plusieurs vies. En haute mer avec son équipage au moment de l'apocalypse, il est le seul à rejoindre la côte en vie ... Sans qu'on ne sache réellement pourquoi. Et sans doute que des mois d'isolement en mer sans nourriture, doivent changer un homme ? Nul n'en sait d'avantage sur la question, mais le navigateur reste cependant éloigné de toute viande rouge ou blanche. D'un tempérament plutôt bourru, il n'est pourtant pas le dernier pour partager un verre à l'auberge, et l'on pourrait presque penser qu'il à passé toute sa vie ici, vu comment il à été rapidement apprivoisé par les insulaires.

ft. Geoffrey Rush
≡ Sydney Moreau - Timmonière  (née en 1994 )
D'un naturel avenant et jovial, Syd cache derrière son sourire un lourd passé dont elle ne souhaite pas parler. Ancienne timonière au sein de l'US Navy, c'est en refusant de rejoindre la surveillance du complexe scientifique pour rester aider les civils.
Se faisant accusée de désertion, et jetée au complexe pour servir à des expériences. Rare survivante parmi les cobayes, sa fuite du complexe la pousse à développer une amnésie traumatique alors qu'elle revient à FH au début de l'hiver. Peinant à expliquer d'ou elle vient, les insulaires la pensent alors survivante des ruines de la ville, traumatisée par ses premiers mois en solitaire. Il n'est pas rare qu'elle possède des flash de son séjour au complexe, quoi qu'elle se soit assurée que jamais personne ne l'apprenne, terrorisée à l'idée de se rappeler de tout ce qui à pu se passer la-bas, sous terre.

ft. Cristin Millioti
≡ Miguel Jimenez - Médecin de bord (né en 2000)
C’est par la force des choses que Miguel est devenu le médecin de Friday Harbor. Son vieux père se mourant d’un cancer qui ne peut guère être soigné avec les ressources actuelles, c’est seulement depuis quelques mois que le jeune homme a trouvé la force de prendre sa place. Formé de père en fils, parce qu’il a toujours assisté aux consultations de son paternel, parce qu’il a toujours suivi précieusement ses conseils et lu attentivement ses carnets de notes, Miguel continue néanmoins d’apprendre constamment à mieux agir pour sa communauté. Pas toujours en confiance avec lui-même, le médecin requiert parfois d’être rassuré sur ses propres prises de décision.
Et quand bien même les habitants de Nublar se fient à son diagnostic, parfois, le fils Jimenez aspire à une autre vie. Outre l’épidémie qu’il a quasiment toujours connue, il est de ces rares résidents qui aimeraient croiser d’autres visages, et découvrir le vaste univers. Le monde ne peut se résumer qu’à cette petite île, et le médecin aspirerait plutôt à explorer les terres occidentales qu’à marcher dans les pas de son père par dépit. Sans réellement se douter qu’ailleurs, le monde est particulièrement cruel.

ft. Julio Peña


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Re: Groupes PNJs

Dim 27 Oct 2024 - 1:20

Skinwalkers
3200 Kitsapp, WA



"And he asked him,
- What is thy name? And he answered, saying,
- My name is Legion: for we are many.
And he besought him much that he would not send them away out of the country."

Disposition vis-à-vis d'autrui
Ce sont les skinwalkers qui recrutent les leurs. Ayant souvent un coup d'avance sur leurs futures recrues, certains détails étant importants à leur yeux pour espérer les avoir avec eux. Ancien métier, caractéristique physique, capacité d'adaptation... Desdemona ne laisse rien au hasard, soucieuse de posséder les meilleures recrues possibles. Néanmoins, et sans que l'on ne sache précisément pourquoi, Desdemona possède un code d'honneur propre à elle seule. Si elle n'éprouve aucune pitié pour le monde entier, jamais un seul campement possédant de jeunes enfants ou des personnes âgées à été attaqué... Sans doute parce que leur présence est d'avantage un poids qu'un réel lieu de ressources à piller ? Nul ne le sait. Et ni Dez ni Magnus, ne comptent évoquer ce sujet avec quiconque. L'accord est tacitement suivi et respecté de chacun, au risque de subir la colère de la rouquine.

• Les logements
Au sein de l'ancien immeuble entièrement nettoyé de ses morts, il n'est pas difficile de pouvoir récupérer un appartement entier pour soi. Chacun possédant son intimité et son lieu de vie - quand les autres n'essaient pas de s'immiscer en douce, du moins - permettant un semblant de confort. Le mobilier y est sans doute un peu vieillot, mais à le mérite de ne pas avoir été rongé par l'humidité ou volé par des survivants, tant le lieu semblait à l'abandon de l'extérieur. Chaque appartement possède à minima un lit ou un matelas, et si cuisines et salles de bains ne sont pas forcément en état, au moins le lieu reste t-il un endroit avec des murs solides, et un plafond qui ne semble pas sur le point de s'écrouler.

- [url=Chambre de Dawn]Chambre de Dawn[/url]
- [url=Chambre de Avelina]Chambre de Avelina[/url]
- [url=Chambre de Heather]Chambre de Heather & Madalena[/url]
- [url=Chambre de Kassandra]Chambre de Kassandra[/url]

• Le musée des horreurs
My dear dolly polly shut your eyes
C'est l'ancien studio du concierge de l'immeuble, qui à été rénové pour accueillir ... Un véritable musée des horreurs, pour quiconque ne connaît pas le mode de vie des skinwalkers. Ossements humains, lanières de cuir, vêtements éparses ... Ici, sont généralement déposés les restes des victimes, réutilisées afin d'en faire des armes quotidiennes, et parfois même des outils; aiguilles, boucle de ceinture, ou encore de quoi renforcer des protections d'armures. Rien n'est laissé à l'abandon, tant par soucis d'effacer toute preuve de leurs méfaits que pour s'assurer de ne rien perdre d'utilisable.  

• La boucherie
Autrefois, la boucherie du quartier avait une réputation déplorable, parfois même soupçonnée de fournir de la viande douteuse. Aujourd'hui ? La viande y est toujours particulièrement douteuse, mais le taudis est devenu une véritable petite firme familiale ou les victimes sont déposés et préparés en conséquences. Pour les plus affamés du groupe, comme pour les bêtes ou certaines petites communautés survivants difficilement à Kitsap, qui n'est jamais contre un peu de protéine dans son repas. Personne ne connaît l'origine de la viande, supposant naturellement qu'il s'agit de gibier paissant alentour des ruines.  

• La cour de jeux
My dear dolly polly shut your eyes
La première chose qui frappe en entrant dans cette cour, c'est l'odeur ferreuse qui y règne. Si le sang des victimes y est constamment nettoyé, l'odeur semble ne jamais vouloir s'en aller. C'est l'ancienne cour de l'immeuble, située à l'abri des regards indiscrets qui permet de faire ici les "recrutements" des nouveaux arrivés. Parfois en duel, parfois face à un rôdeur, parfois simplement un interrogatoire en bonne et dûe forme... Les méthodes de recrutement sont nombreuses, et varient en fonction des survivants récupérés. Mais une chose est néanmoins sûre, c'est qu'il n'est pas rare que l'horreur s'y déroule sur un malentendu..

Geôles
Les anciennes caves de l'immeuble ont été réaménagées en guise de minuscules prisons, pour tout éventuel ennemi à conserver en vie sur du long terme. Le condamnant à tenir debout ou tout juste assis à défaut de mieux, affaiblissant la personne en la privant d'un réel sommeil réparateur. Quand les rats ne viennent pas leur courir dessus ...  

Salle du matériel
Située très à part dans l'une des caves réaménagée, cette pièce très sobre conserve tout ce qui pourrait éventuellement aider à faire parler les prisonniers ; accessoires de métal remaniés en instruments de torture, serre câble ou encore aiguilles à coudre ... Autant dire quand dans le domaine de la souffrance, les Skinwalkers semblent avoir une imagination illimitée.  

Sécurité
Le secteur est constamment surveillé jour et nuit par des veilleurs. Posté aux quatre coins du campement, ils restent camouflés dans la nature pour ne jamais être repérés, quitte à parfois imiter des appels à l'aide pour piéger plus facilement des survivants égarés. Si certains peuvent être invités à échanger et commercer avec eux, les esseulés en revanche ont peu de chance d'en ressortir un jour. Recrutés ou assassinés, selon le champ des possibilités...

Commodités
Les commodités du groupe sont relativement désuètes, presque issues d'un ancien temps, mais n'en restent pas moins relativement robustes. Le plus luxueux de leur matériel réside principalement en maquillages, vêtements et prothèses pour permettre d'imiter et prendre l'apparence de quiconque afin de ne jamais se faire repérés. Il reste encore plusieurs appartements de disponibles au sein de l'immeuble, que le groupe prends soin de laisser aussi impeccable que le reste des habitations. La salle commune est désormais placée dans le hall principal de l'immeuble, et les réunions importantes se font au dernier étage, dans l'appartement de Desdemona et Magnus, ou sont régulièrement mis en place les réunions et plans d'attaque. Desdemona à l'appartement le plus grand, à défaut d'avoir le plus luxueux, soucieuse que ses troupes soient toujours prêts à l'attaque.

Ressources
Sans grande surprise, la viande est l'atout principal du camp de par leurs élevages de cochons. L'eau potable est précieusement conservée et l'eau de pluie récupérée sert pour les douches et autres commodités. Pour le reste ? Le plus gros relève principalement de pillages réguliers, leur permettant d'avoir des accès constants à des vivres fraîches.

Carte des lieux
Vous trouverez ci-dessous une carte indiquant les différents points importants ainsi que la disposition globale du campement.


Niveaux

Ressources
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Défenses
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Confort
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Les habitants
≡ Desdemona. (48 ans)
Leader

Nul ne sait qui elle à été un jour. Et à dire vrai ? Sans doute que plus personne n'est en vie, pour espérer le dire. Desdemona traîne un lourd passé traumatique derrière elle, suffisamment pour qu'elle se soit reconstruite entièrement son identité. Si elle semble par bien des aspects douce et fragile, la rouquine n'en reste pas moins une femme manipulatrice, et persuasive. Suffisamment pour avoir à ses ordres bon nombre de membres de son camp qui feraient tout pour elle. Persuasive et maternelle, elle est une véritable poigne d'acier enfermé dans un gant de velours, qui n'hésitera jamais à prévoir plusieurs plans d'avances pour s'assurer de gagner la bataille. Elle ne déroge cependant pas à une règle simple; on ne touche pas aux enfants, ni aux personnes âgées. Les autres en revanche ne possèdent aucune pitié de sa part. Il n'est pas rare de la voir parfois fixer le vide comme si un souvenir de son ancienne vie lui revenait avec force en mémoire, quoi qu'elle n'en ai jamais soufflé un mot à quiconque, hormis peut-être Magnus. Et lui même, ne serait pas du genre à trahir celle qu'il aime d'un amour intense, malgré la folie qui se devine dans son regard.
ft. Ruth Connell.
≡ Magnus. (52 ans)
Leader - Designer pour Rolex

Anciennement cadre dans l'entreprise rolex, Magnus n'a jamais eu à souffrir de l'apocalypse, ayant la possibilité de pousser d'autres personnes bien avant lui dans les crocs des rôdeurs quand le besoin s'en faisait sentir. Il est souvent confondu comme chef de groupe, tant par son charisme naturel que pour protéger Desdemona au péril de sa vie. Bras droit de cette dernière, il n'y à bien que ses sentiments pour elle qu'il ne semble pas chercher à cacher. Il à conservé une apparence très propre et soignée tant dans sa coiffure que ses vêtements. D'un naturel patient et imperturbable, son ancien boulot à fait de lui une sorte de caméléon social capable de s'adapter à tout type de dialogue, atout non négligeable pour s'enquérir d'informations sur de potentiels groupes à piller. Et s'i lsemble parfaitement maître de ses émotions, Magnus ne cache cependant pas un côté violent doublé d'un sarcasme à toute épreuve.
Depuis l'attaque de la prison en Mai 2024, il possède un doigt en moins à la main gauche.
ft. James Marsters.
≡ Artorius. (51 ans)
Bras droit - Concierge

Par le passé, Artorius à un temps été concierge au sein de la prison pour femmes de Gig Harbor. Avantage non négligeable, quand il fallût trouver des issues pour y rentrer et attaquer les habitants de l'intérieur. Autrefois secret et maladivement angoissé par les contacts sociaux, il à changé du tout au tout au moment de l'apocalypse sitôt qu'il a compris que plus rien ne pouvait l'empêcher de devenir qui il voulait. Il rencontre Desdemona quelques années seulement après l'épidémie et malgré toute ses tentatives, la rouquine ne lui a jamais accordé autre chose que de l'amitié. Ses penchants sadiques font de lui un excellent bourreau pour faire parler les gens, quand il n'est pas occupé à essayer de faire tomber Magnus d'une manière ou d'une autre pour récupérer sa Desdemona. Entièrement dévoué à la leader, les skinwalkers pourraient bien brûler s'ils pouvaient lui permettre de l'obtenir.
ft. Matt Smith.
≡ Gloria. (39 ans)
Doubleuse

Difficile d'imaginer qu'un jour, Gloria était l'une des doubleuses les plus réputées de son secteur. Anime, dessin animé, jeux vidéos ... Mais le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle n'est pas dépaysée depuis qu'elle à appris à manier le plus parfaitement possible la voix de tous ceux qui viennent à croiser sa route, pour apprendre à ses alliés comment faire égalemement. La faim à sans doute eu raison d'elle, après des années à se retrancher dans un vieil immeuble qui lui à fait succomber au cannibalisme. Unique survivante de son groupe, elle à rejoint les skinwalkers sitôt que Desdemona lui a assuré qu'elle n'aurait plus jamais faim; Lui autorisant même de céder à ses pulsions quand la viande n'est pas encore achevée. D'un naturel affable et souriant, peu se doutent de la violence dont elle est réellement capable.

ft. Elisabeth Moss.
≡ Vulpes. (33 ans ans)
Eclaireur - Etudiant en prothèse faciale

Il était promis à une excellente carrière dans la chirurgie réparatrice, avant que tout ne bascule. Dernier homme debout de la résidence universitaire ou il était étudiant avant que le camp ne devienne une petite safe zone à la sortie de Tukwila, Vulpes est un des premiers skinwalkers. Vouant une loyauté sans faille à Magnus qui l'a récupéré pour le sauver d'une mort certaine, l'étudiant à rapidement pris en confiance auprès de son mentor. Narcissique, irréfléchi et avec un véritable penchant pour la cruauté, l'attaque de Gig manque de le faire tuer par Phoebe qui lui brise le nez à coup de pierres. Désormais balafré sur toute la longueur de son visage, il voue une haine sans nom à la brune et son petit ami, les jugeant coupable de ces cicatrices qui le dévisage.
ft. Basil Eidenbenz
≡ Decimus. (38 ans)
Profiler à la BAU

Stratège, froid, vindicatif. Decimus n'a jamais été réputé pour ses bavardages, quoi que chaque mot qui sorte de sa bouche semble être capable de tuer. Analyste et sans vergognes, l'ancien profiler à rapidement compris que son ancien boulot serait sa force, dès lors que Dez l'a invité à rejoindre son groupe... Contre un combat à mort avec son ancien partenaire de la BAU. Decimus n'a pas hésité une seconde avant de l'achever d'une balle dans la tête, et n'a jamais regretté son geste, parfaitement lucide sur le concept de la survie. Véritable homme de l'ombre, il est celui qu'on appelle dès lors qu'il faut se salir un peu les mains, et s'assurer que le travail soit bien fait.
ft. Phil Bozeman


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