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Robert "Bobby" Smith, un monstre errant ne sachant plus quoi faire...
Lun 2 Nov 2015 - 22:35
33 • Américaine • Mineur pour Enterprise Coal Mining Co, Vicco, Kentucky • Travelers
Explique ici en 12 LIGNES MINIMUM le caractère de ton personnage.
Rapport d’évaluation psychiatrique du docteur Newman pour le nouveau patient Robert Smith :
Robert est avant tout un individu profondément sensible et émotif. Il se sent vulnérable et il mobilise constamment ses énergies à prendre des précautions. Il ne peut s'empêcher de réagir d'une façon très émotionnelle à son environnement. Ses sentiments et ses sensations joueront toujours un rôle important dans sa vie, mais c'est à lui de les canaliser, par exemple : de ne les laisser s'exprimer qu'au bon moment. Dans ces conditions, la permanence de ses émotions peut faire sa force, mais elle peut aussi, bien évidemment, être pour lui un handicap. Le patient est incapable de méchanceté. Loué ou calomnié, caressé ou battu, sa réaction est presque toujours ce sourire que des gens pourraient parfois qualifier de stupide.
Robert déteste le mensonge, la duplicité et il tient à sa réputation d'intégrité et de sincérité comme à la prunelle de ses yeux. Sa tolérance est légendaire. Mais il doit combattre sa naïveté et de sa crédulité excessive. En effet, il est très enclin à prendre pour argent comptant tout ce qu'on lui raconte, l'exposant ainsi à bien des déboires et déceptions. Toute sa vie, il cherche à éviter ou à désamorcer les situations de tension ou de conflit. Il fuit les querelles et les disputes comme la peste. Mais quand Robert croit que quelqu’un veut être son ami, il va tout faire pour être le gardien et lui éviter des douleurs physiques ou bien psychologiques. Son instinct de protection est très développé et il couvre du mieux qu'il le peut ses amis. Bien entendu si cet ami venait à le trahir, le doute va submerger Robert et ce dernier va apprendre de ses erreurs justes à la prochaine fois qu’une nouvelle amitié va éclore. Ce n'est jamais l'homme du changement ou des idées nouvelles. Il s'accroche à ses habitudes ancrées, à ses idées arrêtées une fois pour toutes, à l'échelle des valeurs que lui a inculquée son éducation. D'où sa tendance à se montrer exigeant, voire agressif lorsque quelqu'un conteste ou remet en question son comportement. Il est véritablement une bête de travail. Rien ne peut l’éloigner de son lieu de travail très longtemps. Robert est un mélange d’action, de détermination et de contemplation. Le travail ne lui fait pas peur et il méprise ceux qui ne pensent pas comme lui. Levé aux aurores, Robert est éternellement le premier arrivé et le dernier parti. Mais maintenant que sa famille n’est plus, il est de plus en plus casse-cou et audacieux. Il aide ceux qui croisent son chemin. Surtout si c’est une famille. Car il veut empêcher le même drame qu’il a vécu. Quand il est trop abattu, il ressort sa vieille photo de famille pour se redonner du courage et se dit à lui-même « Bientôt nous serons de nouveau ensemble. Je vous aime tant. » Et quand on parle de famille, on doit comprendre sa mère, sa sœur et sa nièce. Car Robert n'a jamais connu l'affection d'une femme et les joies de se faire aimer. Timide et réservé, il n'a jamais pu faire les premiers pas et les dames ne voulaient pas se faire voir avec ce colosse déformer.
Rapport d’évaluation psychiatrique du docteur Newman pour le nouveau patient Robert Smith :
Robert est avant tout un individu profondément sensible et émotif. Il se sent vulnérable et il mobilise constamment ses énergies à prendre des précautions. Il ne peut s'empêcher de réagir d'une façon très émotionnelle à son environnement. Ses sentiments et ses sensations joueront toujours un rôle important dans sa vie, mais c'est à lui de les canaliser, par exemple : de ne les laisser s'exprimer qu'au bon moment. Dans ces conditions, la permanence de ses émotions peut faire sa force, mais elle peut aussi, bien évidemment, être pour lui un handicap. Le patient est incapable de méchanceté. Loué ou calomnié, caressé ou battu, sa réaction est presque toujours ce sourire que des gens pourraient parfois qualifier de stupide.
Robert déteste le mensonge, la duplicité et il tient à sa réputation d'intégrité et de sincérité comme à la prunelle de ses yeux. Sa tolérance est légendaire. Mais il doit combattre sa naïveté et de sa crédulité excessive. En effet, il est très enclin à prendre pour argent comptant tout ce qu'on lui raconte, l'exposant ainsi à bien des déboires et déceptions. Toute sa vie, il cherche à éviter ou à désamorcer les situations de tension ou de conflit. Il fuit les querelles et les disputes comme la peste. Mais quand Robert croit que quelqu’un veut être son ami, il va tout faire pour être le gardien et lui éviter des douleurs physiques ou bien psychologiques. Son instinct de protection est très développé et il couvre du mieux qu'il le peut ses amis. Bien entendu si cet ami venait à le trahir, le doute va submerger Robert et ce dernier va apprendre de ses erreurs justes à la prochaine fois qu’une nouvelle amitié va éclore. Ce n'est jamais l'homme du changement ou des idées nouvelles. Il s'accroche à ses habitudes ancrées, à ses idées arrêtées une fois pour toutes, à l'échelle des valeurs que lui a inculquée son éducation. D'où sa tendance à se montrer exigeant, voire agressif lorsque quelqu'un conteste ou remet en question son comportement. Il est véritablement une bête de travail. Rien ne peut l’éloigner de son lieu de travail très longtemps. Robert est un mélange d’action, de détermination et de contemplation. Le travail ne lui fait pas peur et il méprise ceux qui ne pensent pas comme lui. Levé aux aurores, Robert est éternellement le premier arrivé et le dernier parti. Mais maintenant que sa famille n’est plus, il est de plus en plus casse-cou et audacieux. Il aide ceux qui croisent son chemin. Surtout si c’est une famille. Car il veut empêcher le même drame qu’il a vécu. Quand il est trop abattu, il ressort sa vieille photo de famille pour se redonner du courage et se dit à lui-même « Bientôt nous serons de nouveau ensemble. Je vous aime tant. » Et quand on parle de famille, on doit comprendre sa mère, sa sœur et sa nièce. Car Robert n'a jamais connu l'affection d'une femme et les joies de se faire aimer. Timide et réservé, il n'a jamais pu faire les premiers pas et les dames ne voulaient pas se faire voir avec ce colosse déformer.
Robert est relativement grand, avec de longues jambes puissantes et musclées. Il s'efforce constamment de se dresser de toute sa stature comme s'il résistait à une force invisible qui chercherait à le comprimer ou à l'écraser. Il se déplace et se meut avec lenteur, une lenteur presque étudiée qui exaspérerait les gens pressés ou nerveux. Une puissante et solide ossature, des muscles volumineux et même disproportionnés pour plusieurs rivaux jaloux de sa musculation formidable, des mains géantes et grosses comme des boulets de canons lorsqu'il les ferme pour menacer un être inconscient cherchant à l'affronter, des doigts de la circonférence de saucisses et des pieds extraordinairement pointés vers l'extérieur et des plus stables. Robert a une voix grave et quand il parle il semble mastiquer avec enthousiasme des cailloux. La cage thoracique est bien développée et ce chainon manquant possède un cou aussi large que son crâne et des trapèzes laissant présager une force conséquente dans le haut de ce corps impressionnant. Il dépasse la majorité des gens avec son deux mètres 10 et il fait soupirer de lassitude le pèse-personne avec des chiffres frôlant le 135 kilogrammes. Cette force de la nature peut se vanter d'avoir une santé de fer et une endurance à tout casser, mais il possède un physique de cauchemar.
Quand les gens s'arrêtent à la première impression, ce mastodonte peut sembler être sorti droit des rêves fous d'un savant ayant perdu le contact avec la réalité. Une tête en forme d'œuf, une dentition irrégulière, une mâchoire carrée et viril, des lèvres minces et presque exsangues, une fossette entre ses deux sourcils, des oreilles décollées, une barbe et des cheveux châtains rasé d'une main malhabile et des orbites enfoncées. Il faut rajouter un nombre impressionnants de cicatrices sur les mains, les avant-bras et sur les différentes parties de ce corps hallucinant. Chacune de ces anciennes blessures reflète les combats du passé et les souffrances qui ont permis à Robert de rester vivant dans ce monde chaotique et dangereux. Mais chez les rares personnes dont l'humanité et l'empathie ont su rester intacte, ils peuvent plonger aux travers du regard et contempler ces fenêtres donnant un libre accès à l'âme de cet imposant individu. Lorsque son humeur initiale change, de la mélancolie ou la prudence vers la sympathie ou la joie, Robert à un sourire frappé du sceau de la sincérité pend sur les lèvres du géant et les yeux, aux reflets dansants faisant penser au bleu si profond d'un océan par temps clair, doux et rempli de compassion s'illumine pour repousser la piètre apparence physique et laisse cours à un changement nouveau.
Il préfère, quand il est dans un lieu sécuritaire, porter des vêtements de couleurs pouvant se rapprocher de la terre. Du brun, du noir et du beige si c'est possible. Des bottes de travail et quel que soit les circonstances, ce géant porte sur lui sa ceinture à outils agrémenter de son pieds de biche et à la main sa pelle en acier. Quand il doit sortir, Robert enfile un habit de motard épais et disposant de kevlar pour les chutes, un vieux sac à dos de randonneur qui a appartenu clairement à une femme et un calibre douze ayant une bretelle de chasse. Il doit bien avoir encore une vingtaine de cartouches, mais Bob n'aime aucunement les détonations et préfère régler les différends et les menaces de la bonne vieille méthode. Dans sa poche près de son cœur se trouve une vieille photo aux coins écornés. À l'intérieur du sac à dos, il y a deux rations militaires, une gourde, une bouteille de moonshine, un couteau multi-usage et des babioles plus ou moins importantes mais qui sont rattacher à son passé.
Quand les gens s'arrêtent à la première impression, ce mastodonte peut sembler être sorti droit des rêves fous d'un savant ayant perdu le contact avec la réalité. Une tête en forme d'œuf, une dentition irrégulière, une mâchoire carrée et viril, des lèvres minces et presque exsangues, une fossette entre ses deux sourcils, des oreilles décollées, une barbe et des cheveux châtains rasé d'une main malhabile et des orbites enfoncées. Il faut rajouter un nombre impressionnants de cicatrices sur les mains, les avant-bras et sur les différentes parties de ce corps hallucinant. Chacune de ces anciennes blessures reflète les combats du passé et les souffrances qui ont permis à Robert de rester vivant dans ce monde chaotique et dangereux. Mais chez les rares personnes dont l'humanité et l'empathie ont su rester intacte, ils peuvent plonger aux travers du regard et contempler ces fenêtres donnant un libre accès à l'âme de cet imposant individu. Lorsque son humeur initiale change, de la mélancolie ou la prudence vers la sympathie ou la joie, Robert à un sourire frappé du sceau de la sincérité pend sur les lèvres du géant et les yeux, aux reflets dansants faisant penser au bleu si profond d'un océan par temps clair, doux et rempli de compassion s'illumine pour repousser la piètre apparence physique et laisse cours à un changement nouveau.
Il préfère, quand il est dans un lieu sécuritaire, porter des vêtements de couleurs pouvant se rapprocher de la terre. Du brun, du noir et du beige si c'est possible. Des bottes de travail et quel que soit les circonstances, ce géant porte sur lui sa ceinture à outils agrémenter de son pieds de biche et à la main sa pelle en acier. Quand il doit sortir, Robert enfile un habit de motard épais et disposant de kevlar pour les chutes, un vieux sac à dos de randonneur qui a appartenu clairement à une femme et un calibre douze ayant une bretelle de chasse. Il doit bien avoir encore une vingtaine de cartouches, mais Bob n'aime aucunement les détonations et préfère régler les différends et les menaces de la bonne vieille méthode. Dans sa poche près de son cœur se trouve une vieille photo aux coins écornés. À l'intérieur du sac à dos, il y a deux rations militaires, une gourde, une bouteille de moonshine, un couteau multi-usage et des babioles plus ou moins importantes mais qui sont rattacher à son passé.
ton histoire, avant l'épidémie, en 30 LIGNES MINIMUM
Robert naquit il y a 33 ans de cela dans une salle sombre et lugubre du petit hôpital de Whiteville, Kentucky. Déjà disproportionné à la naissance, Robert fut très tôt la risée de son école. D'une taille et d'un poids supérieur à la normale, il était rejeté par ses compagnons de jeu et déjà plusieurs surnoms d'une méchanceté toute enfantine lui furent attribués. Le monstre, Frankenstein, la chose, le laid et une multitude d'autres qualificatifs lui furent adressé et des fois ils furent repris par les adultes. Les seules doses d'affections qu'il reçut de cette période des plus éprouvantes furent celle de sa mère Abby. Son père, après avoir mis de nouveau enceinte la pauvre mère de famille, décida de lever les voiles. Un nouveau rayon de soleil du nom de Rosalia arriva dans la vie tumultueuse de Robert et le jeune gaillard fit tout en son pouvoir pour les protéger et les aider à la hauteur de ses maigres ressources. Les années scolaires se bousculèrent et les mauvais résultats aussi. Le jeune homme, doté déjà d'une force physique effrayante, n'assimilait aucunement les cours théoriques. Il développa un retard chronique et avec sa mère qui éprouvait des misères à rejoindre les deux bouts, Robert décida de laisser les cours. Il venait d'atteindre 13 ans à l'époque, mais sa stature colossale lui permettait aisément de mentir sur son âge véritable. Mais les normes du travail de l'État du Kentucky flairèrent vite la grossière usurpation et le colosse dû poursuivre ses études pendant deux an avant de pouvoir travailler une vingtaine d'heures par semaines. À ses 17 ans, il put enfin laisser les bancs d'étude derrière lui pour se concentrer sur sn avenir dans le domaine des labeurs rémunérés. Il engendra deux emplois pendant les six prochaines années. Un travail dans la construction et l'autre dans l'industrie forestière. Ces fonctions ne demandant guère de scolarité, Robert apprit ces durs labeurs en étant jumeler avec des vétérans de la profession.
Le jeune homme semblait être né pour travailler de ses mains. Dès qu'il apprenait à faire une manœuvre, une tâche ou un travail, le colosse pouvait le recommencer et il ne se trompait pas. Il fit donc de l'électricité, de la charpenterie, de la maçonnerie, un peu de métallurgie, des différences entre les arbres, la nature et même de petites astuces pour trouver des plantes comestibles et médicinales. Mais comme de raison son bagage de surnom et de quolibets traînaient à sa cheville comme un boulet de prisonnier. Il essaya de se bâtir une carapace, une armure pour le protéger des railleries des gens et tout doucement l'idée qu'il fut un monstre s'installa dans son esprit et le géant fut persuadé d'être une créature honni de tous. Les seuls piliers qu'il pouvait se fier étaient sa mère et sa petite sœur. Dans leur regard, l'imposant homme pouvait ressentir un amour et surtout qu'il était humain à leur yeux. Donc il continua à serrer les dents, à rester inerte devant les moqueries et de continuer à travailler. Mais un jour un oncle, un ingénieur à la mine de charbon de Vicco, demanda au colosse de changer de branche. Il pouvait devenir mineur et tripler son salaire. L'oncle en question lui proposa de laisser à la petite famille l'usage d'une maisonnette. Cet homme bon voulait aider les Smith en leur offrant une vie meilleure et Robert sourit alors pour une des premières fois avec une telle ardeur que les spectateurs de la scène ne virent que ce sourire et non l'apparence grotesque du colosse.
Robert se démena donc dans ce monde obscur qui lui convenait tellement. Sa sœur se maria et elle accoucha à son tour d'une petite princesse du nom de Sandra. Le couple déménagea dans une ville près de Seattle et le colosse resta avec sa mère au Kentucky. Comme de raison, il apprit un peu de géologie, l'utilisation de la machinerie lourde, de la mécanique et l'usage d'explosifs. Robert accomplissait n'importe quelle tâche avec le sourire, se sentant pour la première fois de sa vie dans un milieu que les gens appréciaient sa force et laissaient de côté son physique ingrat. Même qu’avec ce physique des plus monstrueux, le colosse trouva un second travail pour permettre d'arrondir les fins de mois. Robert fut portier pendant plusieurs années dans un bar des environs. Comme il avait dû apprendre à se défendre très tôt dans sa vie, il put faire face aux clients émécher et au chercheurs de troubles en tout genre. Il récolta plusieurs cicatrices de par ce passé de violence inutile, mais l'imposant homme continua de le faire pour aider les employés de l'établissement qui l'avait un peu adopter. Grâce au chef des portiers, Robert appris plusieurs techniques de combat et un peu de krav. Mais comme de raison, le hasard est un salaud perfide et il semble qu'il déteste de voir le colosse avoir un semblant de bonheur. Et tout fut chamboulé en 2015…
Robert naquit il y a 33 ans de cela dans une salle sombre et lugubre du petit hôpital de Whiteville, Kentucky. Déjà disproportionné à la naissance, Robert fut très tôt la risée de son école. D'une taille et d'un poids supérieur à la normale, il était rejeté par ses compagnons de jeu et déjà plusieurs surnoms d'une méchanceté toute enfantine lui furent attribués. Le monstre, Frankenstein, la chose, le laid et une multitude d'autres qualificatifs lui furent adressé et des fois ils furent repris par les adultes. Les seules doses d'affections qu'il reçut de cette période des plus éprouvantes furent celle de sa mère Abby. Son père, après avoir mis de nouveau enceinte la pauvre mère de famille, décida de lever les voiles. Un nouveau rayon de soleil du nom de Rosalia arriva dans la vie tumultueuse de Robert et le jeune gaillard fit tout en son pouvoir pour les protéger et les aider à la hauteur de ses maigres ressources. Les années scolaires se bousculèrent et les mauvais résultats aussi. Le jeune homme, doté déjà d'une force physique effrayante, n'assimilait aucunement les cours théoriques. Il développa un retard chronique et avec sa mère qui éprouvait des misères à rejoindre les deux bouts, Robert décida de laisser les cours. Il venait d'atteindre 13 ans à l'époque, mais sa stature colossale lui permettait aisément de mentir sur son âge véritable. Mais les normes du travail de l'État du Kentucky flairèrent vite la grossière usurpation et le colosse dû poursuivre ses études pendant deux an avant de pouvoir travailler une vingtaine d'heures par semaines. À ses 17 ans, il put enfin laisser les bancs d'étude derrière lui pour se concentrer sur sn avenir dans le domaine des labeurs rémunérés. Il engendra deux emplois pendant les six prochaines années. Un travail dans la construction et l'autre dans l'industrie forestière. Ces fonctions ne demandant guère de scolarité, Robert apprit ces durs labeurs en étant jumeler avec des vétérans de la profession.
Le jeune homme semblait être né pour travailler de ses mains. Dès qu'il apprenait à faire une manœuvre, une tâche ou un travail, le colosse pouvait le recommencer et il ne se trompait pas. Il fit donc de l'électricité, de la charpenterie, de la maçonnerie, un peu de métallurgie, des différences entre les arbres, la nature et même de petites astuces pour trouver des plantes comestibles et médicinales. Mais comme de raison son bagage de surnom et de quolibets traînaient à sa cheville comme un boulet de prisonnier. Il essaya de se bâtir une carapace, une armure pour le protéger des railleries des gens et tout doucement l'idée qu'il fut un monstre s'installa dans son esprit et le géant fut persuadé d'être une créature honni de tous. Les seuls piliers qu'il pouvait se fier étaient sa mère et sa petite sœur. Dans leur regard, l'imposant homme pouvait ressentir un amour et surtout qu'il était humain à leur yeux. Donc il continua à serrer les dents, à rester inerte devant les moqueries et de continuer à travailler. Mais un jour un oncle, un ingénieur à la mine de charbon de Vicco, demanda au colosse de changer de branche. Il pouvait devenir mineur et tripler son salaire. L'oncle en question lui proposa de laisser à la petite famille l'usage d'une maisonnette. Cet homme bon voulait aider les Smith en leur offrant une vie meilleure et Robert sourit alors pour une des premières fois avec une telle ardeur que les spectateurs de la scène ne virent que ce sourire et non l'apparence grotesque du colosse.
Robert se démena donc dans ce monde obscur qui lui convenait tellement. Sa sœur se maria et elle accoucha à son tour d'une petite princesse du nom de Sandra. Le couple déménagea dans une ville près de Seattle et le colosse resta avec sa mère au Kentucky. Comme de raison, il apprit un peu de géologie, l'utilisation de la machinerie lourde, de la mécanique et l'usage d'explosifs. Robert accomplissait n'importe quelle tâche avec le sourire, se sentant pour la première fois de sa vie dans un milieu que les gens appréciaient sa force et laissaient de côté son physique ingrat. Même qu’avec ce physique des plus monstrueux, le colosse trouva un second travail pour permettre d'arrondir les fins de mois. Robert fut portier pendant plusieurs années dans un bar des environs. Comme il avait dû apprendre à se défendre très tôt dans sa vie, il put faire face aux clients émécher et au chercheurs de troubles en tout genre. Il récolta plusieurs cicatrices de par ce passé de violence inutile, mais l'imposant homme continua de le faire pour aider les employés de l'établissement qui l'avait un peu adopter. Grâce au chef des portiers, Robert appris plusieurs techniques de combat et un peu de krav. Mais comme de raison, le hasard est un salaud perfide et il semble qu'il déteste de voir le colosse avoir un semblant de bonheur. Et tout fut chamboulé en 2015…
Le colosse avait bien entendu parlé de cette nouvelle « maladie » et de tout ce qui se passait, mais il n'en avait cure. Ça ne se pouvait pas se passer ce genre de phénomène. Sa mère adorée était morte il y a deux mois de ça et il s'ennuyait énormément d'elle. L'imposant mineur avait bien visité sa sœur à Hobart depuis, mais il était rendu un électron libre sans aucun atome pour se rattacher. Le personnel du bar était préoccupé par l’arrivé de la chasse qui allaient attirer du tourisme dans la région et les collègues de Robert à la mine planifiaient leur vacances pour leurs familles. Robert savait que Rosalie et Sandra, sa petite sœur bien aimée et sa nièce qu'il pourrait transporter des montagnes pour elle, étaient en sécurité avec Paul. L'homme qui avait épousé sa sœur était un flic dont il va savoir les protéger en cas de problème. Donc plus que le temps avançait et que l'imposant mineur se retrouva seul, avec sa tristesse et sa mélancolie, au fond de la mine à frapper a coup redoubler sur le front de salie avec une ardeur tout a fait mécanique. Un jour, pâle reflet de ceux passés dans un passé autrefois serein, le colosse décida de rejoindre la Tiger Montain state forest pour cueillir des ingrédients pour faire son alcool de contrebande. Dans le même souffle, il pourrait loger chez sa famille à Hobart. Il avait deux jours avec Sandra et ensuite le colosse s’était aventurer dans la montagne pour y passer trois jours. Mais au milieu de la nuit de la seconde journée de communion avec la nature, le mastodonte fut réveillé abruptement par un appel sur son cellulaire. La voix basse et aux mots à peine mâcher, combiner par le réveil brutale d’un sommeil de plomb, répondu au combiné.
Robert- Allo ?
Une voix paniquée lui parvint. C’était celle de sa douce Sandra qui semblait près de l’hystérie.
Sandra- Oncle Bob… Viens nous aider… Les Thompson sont malades… Ils ont mordus papa et ils essaient d’entrer… J’ai peur…
Tout à fait réveiller par la peur retransmit par l’appareil, le cœur du monstre de foire se remplit d’effroi et il laissa sa tente et la majorité de son équipement sur place pour s’habiller et courir vers son véhicule. Il s’en voulait d’avoir quitté sa famille pour aller se perdre dans la nature.
Le trajet entre la Tiger Montain state forest et Hobeart n’était que de deux heure. Mais le regard bleuté du mastodonte se posèrent plus souvent qu'à son tour sur des scènes d'horreurs qu'il ne pourrait que voir dans des films de série B. Des voitures emboutis avec des gens ensanglantés qui erraient sans but autour, des patrouilles de milices populaires qui se pratiquaient au tir à la cible sur tous ce qui semblaient anormales. Et au grand dam de Robert, certain tireurs semblaient trouver des cibles des plus intéressantes des gens de couleurs que les gens qui semblaient malades. Des maisons en feu sans qu'aucun camion de pompiers arrivent sirènes hurlantes. Des meutes de gens qui ressemblaient à des bêtes paniqués qui couraient vers des magasins et ayant des intentions des plus hostiles et chaotiques. Le gaillard ne comprenait pas pourquoi quelques rues dans les villages sur la route semblaient épargner. L'esprit lent comprit alors que c'était surtout des secteurs marchands ou industrielles qui étaient visiter par des émeutes et dont les forces de l'ordre faiblissaient à vue d'œil. Plusieurs étaient armées d'armes de fortunes, mais une grande majorité avaient aussi en mains des fusils et autres monstruosités dévastatrices. Le mineur n'avait aucune arme à feu, juste ses outils de constructions et de forage. Mais c'était mieux ainsi, car le massif homme n'avait aucun talent dans le maniement des armes à poudres noires. Mais l’esprit lent du géant ne comprenait pas ce que le monde pouvaient avoir changer à ce point en deux jours. Il dû s'arrêter acheter de l'essence à une station service et c'est lors de ce ravitaillement que le mineur dû tuer son premier charognard. Le propriétaire, ayant été zombifié par un client mécontent de son service des plus molasses et ce dernier ne s'était pas gêner pour le mordre profondément dans l'avant-bras gauche, attaqua Robert et ce dernier bloqua le râtelier de la goule à quelques centimètres de sa jugulaire. Repoussant sans peine la pathétique créature, Bob essaya de la raisonner. Mais les remarques d'un acteur dans un vieux film surgissent alors dans l'esprit encombré du massif châtain. L'homme de la salle des nouvelles pouvait affirmer que les gens infectées n'étaient plus conscients de ce qui se passait et le seul moyen de se prémunir d'eaux, à part les enfermer à double tour, était de leur faire sauter la tête ou bien de leur casser le cou. L'imposant mineur, se fiant à cette source des plus douteuse au début, car la peur dictait ses actes du moment. Prenant sa pioche dans son haillon de voiture, le musculeux géant planta le pic métallique dans le front de la chose demi-morte. Une peur viscérale et primaire fit en sorte que Robert, les yeux agrandis par l'adrénaline de l'escarmouche, frappa de nombreuses reprises la dépouille au sol pour transformer la tête en une œuvre d'art postmoderne sanglante et complètement éclater. Évitant de son mieux les embûches, à savoir les embouteillages et les barricades de fortunes dans certaines zone de la ville de Rosalie et Sandra, Bob arriva enfin en vue du lieu de résidence de la famille de Robert. Son regard bleuté, le cœur débordant d'espoir et aussi de doutes, se porta sur la rue de la résidence de sa sœur et sa nièce. Mais le désespoir fit faiblir les genoux quand une silhouette clopinant se heurta sans relâche sur la façade d’une maison qui semblait fortifier. Une rue pouvait s'avérer calme, d'autres des gens rouaient de coups un individu ou bien un homme se faisait agresser par des gens qui semblaient à des ivrognes. Après avoir passer des quarter qui ressemblait à ce qu'l pouvait voir dans des reportages téléviser, des scènes filmés à des milliers de kilomètres de chez lui, le colosse arriva en vue de la maison de ses anges. Déglutinant avec peine, l'imposant homme alla chercher son équipement de construction dans la voiture qu'il abandonna ensuite dans la rue. De son pas lent mais déterminé, il se dirigea vers les rues mortellement calmes de la ville. Robert se devait de savoir que le peu d'être chers qui restaient dans sa vie allait bien.
Le sang du colosse se figea quand il arriva devant la résidence qu’il l’avait toujours su le charmer autrefois. Parti la petite résidence modèle avec la clôture blanche à l’entrée. Bonjour la porte entrevoute avec du sang coagulé sur la poignée et la façade de pierre grise barbouillé de peinture organique. Le cœur immense du mineur s’apprêta alors à recevoir une nouvelle cicatrice des plus douloureuses. Car à l’intérieur tout était paisible. Hésitant, son lourd poids faisant craquer le plancher de manière presque sinistre, il entra dans la maison. Appelant d’une voix faible Rosalie et Sandra, il découvrit le carnage dans le salon. Les trois corps partiellement dévoré gisaient pêle-mêle au milieu des meubles brisés qui désignait une bagarre féroce. La tête des gens que le monstre de foire tenait le plus au monde avait été explosé par surement des balles de pistolets et une tristesse à faire fendre les pierres s’empara alors de Robert. Il se laissa tomber à genoux et des cristaux liquides de rage et de peine inondèrent alors son faciès monstrueux. Après quelques temps, sa peine se communia en dévotion et en instinct de préservation. Le colosse devait rendre une sépulture décente à ses êtres chers et ensuite se cacher de la vue des gens et des êtres bizarre qui essaient de le mordre. Avec sa monstrueuse apparence, les gens pourraient le confondre avec les méchants se dit-il en prenant une pelle et en creuser dans le jardin familiale pour donner le dernier repos à ceux qui voyaient l’humain derrière le monstre. Athée, il ne put que parler aux esprits de Sandra et de Rosalie, leur promettant de les rejoindre bientôt car il était perdu sans eux. Prenant un peu d’équipement ici et là dans la maison aux milles douleurs, ne jetant pas un coup d'œil à la place vacante de son véhicule volée, le colosse s’enfonça dans les bois environnant en écoutant la radio cracher des avertissements d’évacuation vers Seattle et de prudence. Soulevant ses épaules massives, le colosse se dit que les militaires avaient agis trop lentement pour empêcher à sa sœur et sa nièce de mourir, alors il n’irait pas se cacher avec eux. L’esprit lent pensa alors que c’était la saison de la chasse, mais les cervidés devraient être tranquille ces temps-ci, les humains étant devenu la proie d’un étrange mal…
Robert- Allo ?
Une voix paniquée lui parvint. C’était celle de sa douce Sandra qui semblait près de l’hystérie.
Sandra- Oncle Bob… Viens nous aider… Les Thompson sont malades… Ils ont mordus papa et ils essaient d’entrer… J’ai peur…
Tout à fait réveiller par la peur retransmit par l’appareil, le cœur du monstre de foire se remplit d’effroi et il laissa sa tente et la majorité de son équipement sur place pour s’habiller et courir vers son véhicule. Il s’en voulait d’avoir quitté sa famille pour aller se perdre dans la nature.
Le trajet entre la Tiger Montain state forest et Hobeart n’était que de deux heure. Mais le regard bleuté du mastodonte se posèrent plus souvent qu'à son tour sur des scènes d'horreurs qu'il ne pourrait que voir dans des films de série B. Des voitures emboutis avec des gens ensanglantés qui erraient sans but autour, des patrouilles de milices populaires qui se pratiquaient au tir à la cible sur tous ce qui semblaient anormales. Et au grand dam de Robert, certain tireurs semblaient trouver des cibles des plus intéressantes des gens de couleurs que les gens qui semblaient malades. Des maisons en feu sans qu'aucun camion de pompiers arrivent sirènes hurlantes. Des meutes de gens qui ressemblaient à des bêtes paniqués qui couraient vers des magasins et ayant des intentions des plus hostiles et chaotiques. Le gaillard ne comprenait pas pourquoi quelques rues dans les villages sur la route semblaient épargner. L'esprit lent comprit alors que c'était surtout des secteurs marchands ou industrielles qui étaient visiter par des émeutes et dont les forces de l'ordre faiblissaient à vue d'œil. Plusieurs étaient armées d'armes de fortunes, mais une grande majorité avaient aussi en mains des fusils et autres monstruosités dévastatrices. Le mineur n'avait aucune arme à feu, juste ses outils de constructions et de forage. Mais c'était mieux ainsi, car le massif homme n'avait aucun talent dans le maniement des armes à poudres noires. Mais l’esprit lent du géant ne comprenait pas ce que le monde pouvaient avoir changer à ce point en deux jours. Il dû s'arrêter acheter de l'essence à une station service et c'est lors de ce ravitaillement que le mineur dû tuer son premier charognard. Le propriétaire, ayant été zombifié par un client mécontent de son service des plus molasses et ce dernier ne s'était pas gêner pour le mordre profondément dans l'avant-bras gauche, attaqua Robert et ce dernier bloqua le râtelier de la goule à quelques centimètres de sa jugulaire. Repoussant sans peine la pathétique créature, Bob essaya de la raisonner. Mais les remarques d'un acteur dans un vieux film surgissent alors dans l'esprit encombré du massif châtain. L'homme de la salle des nouvelles pouvait affirmer que les gens infectées n'étaient plus conscients de ce qui se passait et le seul moyen de se prémunir d'eaux, à part les enfermer à double tour, était de leur faire sauter la tête ou bien de leur casser le cou. L'imposant mineur, se fiant à cette source des plus douteuse au début, car la peur dictait ses actes du moment. Prenant sa pioche dans son haillon de voiture, le musculeux géant planta le pic métallique dans le front de la chose demi-morte. Une peur viscérale et primaire fit en sorte que Robert, les yeux agrandis par l'adrénaline de l'escarmouche, frappa de nombreuses reprises la dépouille au sol pour transformer la tête en une œuvre d'art postmoderne sanglante et complètement éclater. Évitant de son mieux les embûches, à savoir les embouteillages et les barricades de fortunes dans certaines zone de la ville de Rosalie et Sandra, Bob arriva enfin en vue du lieu de résidence de la famille de Robert. Son regard bleuté, le cœur débordant d'espoir et aussi de doutes, se porta sur la rue de la résidence de sa sœur et sa nièce. Mais le désespoir fit faiblir les genoux quand une silhouette clopinant se heurta sans relâche sur la façade d’une maison qui semblait fortifier. Une rue pouvait s'avérer calme, d'autres des gens rouaient de coups un individu ou bien un homme se faisait agresser par des gens qui semblaient à des ivrognes. Après avoir passer des quarter qui ressemblait à ce qu'l pouvait voir dans des reportages téléviser, des scènes filmés à des milliers de kilomètres de chez lui, le colosse arriva en vue de la maison de ses anges. Déglutinant avec peine, l'imposant homme alla chercher son équipement de construction dans la voiture qu'il abandonna ensuite dans la rue. De son pas lent mais déterminé, il se dirigea vers les rues mortellement calmes de la ville. Robert se devait de savoir que le peu d'être chers qui restaient dans sa vie allait bien.
Le sang du colosse se figea quand il arriva devant la résidence qu’il l’avait toujours su le charmer autrefois. Parti la petite résidence modèle avec la clôture blanche à l’entrée. Bonjour la porte entrevoute avec du sang coagulé sur la poignée et la façade de pierre grise barbouillé de peinture organique. Le cœur immense du mineur s’apprêta alors à recevoir une nouvelle cicatrice des plus douloureuses. Car à l’intérieur tout était paisible. Hésitant, son lourd poids faisant craquer le plancher de manière presque sinistre, il entra dans la maison. Appelant d’une voix faible Rosalie et Sandra, il découvrit le carnage dans le salon. Les trois corps partiellement dévoré gisaient pêle-mêle au milieu des meubles brisés qui désignait une bagarre féroce. La tête des gens que le monstre de foire tenait le plus au monde avait été explosé par surement des balles de pistolets et une tristesse à faire fendre les pierres s’empara alors de Robert. Il se laissa tomber à genoux et des cristaux liquides de rage et de peine inondèrent alors son faciès monstrueux. Après quelques temps, sa peine se communia en dévotion et en instinct de préservation. Le colosse devait rendre une sépulture décente à ses êtres chers et ensuite se cacher de la vue des gens et des êtres bizarre qui essaient de le mordre. Avec sa monstrueuse apparence, les gens pourraient le confondre avec les méchants se dit-il en prenant une pelle et en creuser dans le jardin familiale pour donner le dernier repos à ceux qui voyaient l’humain derrière le monstre. Athée, il ne put que parler aux esprits de Sandra et de Rosalie, leur promettant de les rejoindre bientôt car il était perdu sans eux. Prenant un peu d’équipement ici et là dans la maison aux milles douleurs, ne jetant pas un coup d'œil à la place vacante de son véhicule volée, le colosse s’enfonça dans les bois environnant en écoutant la radio cracher des avertissements d’évacuation vers Seattle et de prudence. Soulevant ses épaules massives, le colosse se dit que les militaires avaient agis trop lentement pour empêcher à sa sœur et sa nièce de mourir, alors il n’irait pas se cacher avec eux. L’esprit lent pensa alors que c’était la saison de la chasse, mais les cervidés devraient être tranquille ces temps-ci, les humains étant devenu la proie d’un étrange mal…
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John DeSantis♦ <bott>Dannyboy</bott>
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♦ Robert
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♦ Mineur
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Re: Robert "Bobby" Smith, un monstre errant ne sachant plus quoi faire...
Lun 2 Nov 2015 - 22:39
Rebienvenue ici !
J'espère que tu me reconnaîtra ^^
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Re: Robert "Bobby" Smith, un monstre errant ne sachant plus quoi faire...
Lun 2 Nov 2015 - 22:40
*cours et saute sur le dos de Bob*
Enfin te voilà!!!!!!!!
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Re: Robert "Bobby" Smith, un monstre errant ne sachant plus quoi faire...
Lun 2 Nov 2015 - 23:52
Rebienvenue !
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Re: Robert "Bobby" Smith, un monstre errant ne sachant plus quoi faire...
Mar 3 Nov 2015 - 0:12
Le retour de mon copain Bob
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Re: Robert "Bobby" Smith, un monstre errant ne sachant plus quoi faire...
Mar 3 Nov 2015 - 2:16
Salut Monsieur Bobby !!
Je vais m'occuper de ta fiche. La qualité de ton écriture et l'originalité de ton perso n'est plus un secret depuis longtemps, mais je n'ai jamais eu l'occasion de te le dire personnellement donc maintenant c'est fait ! J'aime beaucoup !
Le soucis majeur que j'ai avec ta fiche, et tu ne me contrediras pas je crois, c'est que tu as repris quasi intégralement celle que tu avais faite pour le contexte précédent. Pour rappel, dans le nouveau contexte, l'épidémie a commencé il n'y a que quelques jours seulement et elle débute en 2015. Cela se ressent très vaguement dans la personnalité, un peu dans la description physique, mais ces dernières peuvent presque passer. La première vraie coquille apparaît à la fin de ta partie pre apo, quand tu dis que l'épidémie se déclenche en 2011.
C'est donc ensuite toute la partie post apo qu'il faudra intégralement revoir, j'en ai peur ! Tu peux peut-être t'en sortir sans effectuer trop de changement. Relis bien la nouvelle chrono donc pour t'aider. Et le contexte aussi peut-être. Il faut surtout retenir que la maladie n'est pas limitée à Seattle, mais est bien généralisée au pays dès le début, et qu'il est encore beaucoup trop tôt pour que les gens sachent exactement ce qu'il se passe. Il n'y a pas non plus de véritables hordes, mais il est complètement possible de croiser des infectés.
Sinon fais attention aussi, Seattle est à 2000 miles de Chicago et donc les 8h de route nécessaires depuis le Kentucky se transforment en presque 40h de route ^^ Si on ajoute que le pays est en train de sombrer, je pense que ça fait vraiment trop loin pour avoir déjà rejoint la région Pacifique et retrouvé tes proches décimés. Je te conseillerai de faire Robert venir de l'Idaho, du Montana, ou d'un état beaucoup plus près de celui de Seattle, où il pourrait plus aisément faire la route !
Voilà, bon courage pour ces modifications ! Si tu as la moindre questions, n'hésite pas !
Je vais m'occuper de ta fiche. La qualité de ton écriture et l'originalité de ton perso n'est plus un secret depuis longtemps, mais je n'ai jamais eu l'occasion de te le dire personnellement donc maintenant c'est fait ! J'aime beaucoup !
Le soucis majeur que j'ai avec ta fiche, et tu ne me contrediras pas je crois, c'est que tu as repris quasi intégralement celle que tu avais faite pour le contexte précédent. Pour rappel, dans le nouveau contexte, l'épidémie a commencé il n'y a que quelques jours seulement et elle débute en 2015. Cela se ressent très vaguement dans la personnalité, un peu dans la description physique, mais ces dernières peuvent presque passer. La première vraie coquille apparaît à la fin de ta partie pre apo, quand tu dis que l'épidémie se déclenche en 2011.
C'est donc ensuite toute la partie post apo qu'il faudra intégralement revoir, j'en ai peur ! Tu peux peut-être t'en sortir sans effectuer trop de changement. Relis bien la nouvelle chrono donc pour t'aider. Et le contexte aussi peut-être. Il faut surtout retenir que la maladie n'est pas limitée à Seattle, mais est bien généralisée au pays dès le début, et qu'il est encore beaucoup trop tôt pour que les gens sachent exactement ce qu'il se passe. Il n'y a pas non plus de véritables hordes, mais il est complètement possible de croiser des infectés.
Sinon fais attention aussi, Seattle est à 2000 miles de Chicago et donc les 8h de route nécessaires depuis le Kentucky se transforment en presque 40h de route ^^ Si on ajoute que le pays est en train de sombrer, je pense que ça fait vraiment trop loin pour avoir déjà rejoint la région Pacifique et retrouvé tes proches décimés. Je te conseillerai de faire Robert venir de l'Idaho, du Montana, ou d'un état beaucoup plus près de celui de Seattle, où il pourrait plus aisément faire la route !
Voilà, bon courage pour ces modifications ! Si tu as la moindre questions, n'hésite pas !
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Re: Robert "Bobby" Smith, un monstre errant ne sachant plus quoi faire...
Mar 3 Nov 2015 - 3:28
Dwight A. Momsen a écrit:Rebienvenue ici !
J'espère que tu me reconnaîtra ^^
Comment je pourrais oublier une personne de ta qualité! J'espère pouvoir écrire de nouveau avec toi!
Juliane Lyndey a écrit:*cours et saute sur le dos de Bob*
Enfin te voilà!!!!!!!!
Et oui me voilà et j'en suis très heureux! *Fais le cheval pour la grande joie de la magnifique jeune dame!*
Arthur E. McLeod a écrit:Rebienvenue !
Merci pour cet accueil!
Nara S. Turner a écrit:Le retour de mon copain Bob
Je suis heureux de revenir Nara et je suis emballé de te voir aussi heureuse! J'espère que nos personnages vont pouvoir se rencontrer!
Christina Karlson a écrit:Salut Monsieur Bobby !!
Je vais m'occuper de ta fiche. La qualité de ton écriture et l'originalité de ton perso n'est plus un secret depuis longtemps, mais je n'ai jamais eu l'occasion de te le dire personnellement donc maintenant c'est fait ! J'aime beaucoup !
Je suis heureux que tu ne me vois pas en ce moment Christina, car je rougis complètement!
Christina Karlson a écrit:Le soucis majeur que j'ai avec ta fiche, et tu ne me contrediras pas je crois, c'est que tu as repris quasi intégralement celle que tu avais faite pour le contexte précédent. Pour rappel, dans le nouveau contexte, l'épidémie a commencé il n'y a que quelques jours seulement et elle débute en 2015. Cela se ressent très vaguement dans la personnalité, un peu dans la description physique, mais ces dernières peuvent presque passer. La première vraie coquille apparaît à la fin de ta partie pre apo, quand tu dis que l'épidémie se déclenche en 2011.
C'est donc ensuite toute la partie post apo qu'il faudra intégralement revoir, j'en ai peur ! Tu peux peut-être t'en sortir sans effectuer trop de changement. Relis bien la nouvelle chrono donc pour t'aider. Et le contexte aussi peut-être. Il faut surtout retenir que la maladie n'est pas limitée à Seattle, mais est bien généralisée au pays dès le début, et qu'il est encore beaucoup trop tôt pour que les gens sachent exactement ce qu'il se passe. Il n'y a pas non plus de véritables hordes, mais il est complètement possible de croiser des infectés.
Sinon fais attention aussi, Seattle est à 2000 miles de Chicago et donc les 8h de route nécessaires depuis le Kentucky se transforment en presque 40h de route ^^ Si on ajoute que le pays est en train de sombrer, je pense que ça fait vraiment trop loin pour avoir déjà rejoint la région Pacifique et retrouvé tes proches décimés. Je te conseillerai de faire Robert venir de l'Idaho, du Montana, ou d'un état beaucoup plus près de celui de Seattle, où il pourrait plus aisément faire la route !
Voilà, bon courage pour ces modifications ! Si tu as la moindre questions, n'hésite pas !
Je ne peux te contredire, une fin de semaine de GN combiné à un manque chronique de sommeil m'a fait faire ce faux pas... J'ai corriger la première coquille relevé pour 2015. Ensuite j'ai déplacé la famille de Robert à Hobart, près de Seattle. Mon colosse était en visite chez eux et il était en randonné pour des ingridents dans un parc nationale à proximité. Donc il était couper du monde pour deux-trois jours, le temps que le chaos s'installe. J'espère que les corrections seront appropriés... Merci pour l'évaluation...
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