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Selene Sweetnam ~ Le début de l'enfer

Sam 7 Nov 2015 - 23:57


Selene Sweetnamtell me more about you

prénom(s) : Selene
nom : Sweetnam
date de naissance : 13 septembre 1995
âge : 20 ans

ville de naissance : San Francisco
métier : étudiante en musicologie
groupe : travelers

avatar : Kaya Scodelario

what i am

qualites
Sensible
Empathique
Maligne
Attentive
Déterminée
defaults
Lunatique
Méfiante
Têtue
Manipulatrice
Téméraire
Equipement :
Elle ne pensait pas partir pour très longtemps, non… c’est pour ça qu’elle n’avait emporté que des conserves, une lampe torche et un de ces grands couteaux de cuisine. L’illusion de la sécurité. Elle avait bien compris que c’était la merde, que tout de devenait dangereux, mais elle ne savait pas se servir des armes à feux… alors le smith & wesson de son père resta sagement à sa place dans un tiroir du salon.
     
Details physiques :
Selene est un peu plus grande que la moyenne. 1m70… ou 72… qu’importe, il y a bien longtemps qu’elle ne s’est pas mesurée. Elle ne pèse pas plus de 57kg ou 59 après les fêtes de fin d’année. En fait, sa corpulence a quelque chose d’assez proche de celle d’une poupée en porcelaine. On la croirait fragile, prête à facilement voler en éclat.

Elle ne s’était jamais trouvée jolie. A son goût, son teint d’ivoire était bien trop pâle, ses cheveux auburn trop indisciplinés, son front un peu trop grand et ses lèvres trop fines. Toutefois, elle aimait ses yeux bleu topaze, assez purs, mais trop froids. Etrange quand on pensait au concert d’émotion qui jouait continuellement dans ses entrailles : ses pupilles étaient glacées, comme des vitres dressées pour protéger ce qu’il y avait à l’intérieur. La jeune femme reconnait également qu’elle a de belles jambes et ne se plaint pas trop de ses fesses – ou de ses hanches – alors que sa poitrine est un sujet plus délicat à aborder.

En guise de signe distinctif, il y a un  tatouage. Une phrase en fait, écrite en style en style manuscrit juste sur son cœur : « Si tu ne veux pas que la peur du mal te hante, alors il te faudra incarner le mal en personne ». Pourquoi ? Peut-être parce qu’il se dégage de cette déclaration une force sombre, démente même, et aussi une espèce de défi philosophique. Peut-on échapper à la peur ? Une question qui n’a jamais été plus adaptée qu’à ce mois d’octobre…

Dans sa façon de s’habiller, Selene se situerait entre un style rock et grunge. Elle aime les vestes en vieux jean, les tee-shirts avec des artworks sombre, les Doc’martens, les chemises masculines, les slims délavés… Quand elle a été obligée de partir de chez elle, il n’y avait dans son sac que le strict minimum : un ou deux rechanges de dessous, un vieux pantalon aux motifs militaires, trois vieux tee-shirts. Ce fameux jour, elle portait un bustier blanc avec une tête de mort, un boléro sombre, un short en jean, des collants noirs en laine fine et des rangers.

Psychologie

Si on pouvait résumer sa personnalité à quelques mots, on pourrait dire que Selene est une artiste écorchée, l’âme à fleur de peau. Une musicienne pour être exact. Ses maux, comme ses émotions, ne peuvent pas toujours être définis, mais ils peuvent être symbolisés par des notes, des sons, des mélodies. Elle est un papillon de nuit, un oxymore même : cherchant la lumière jusqu’à s’y brûler les ailes, ou bien espérant la rédemption au bout d’un couloir de ténèbres. On peut donc la définir comme quelqu’un d’hyper-sensible. Chacune de ses émotions est exacerbée à lui faire mal, non pas par faiblesse, plutôt parce que ses sens émotionnels sont incroyablement développés. Si elle n’a aucun antécédent psychiatrique avéré, il y a de fortes chances que dans un environnement apocalyptique, les digues de sa raison montrent des signes de fragilités. Qui sait comment on peut évoluer dans un univers aussi extrême ?

Pourtant, Selene est de nature plutôt discrète, voire mystérieuse. Elle a tendance à écouter beaucoup et à parler peu. Comme si chaque mot avait un prix qu’elle n’était pas certaine de vouloir payer. Ses colères sont rares, elle est du genre à intérioriser, à bouillir, mais n’a pas pour habitude de laisser éclater sa violence envers les autres de façon physique.

Toutefois, la jeune femme n’est pas une bonne poire, loin de là. Elle n’oublie pas et sans être mortellement rancunière, elle saura trouver des moyens détournés voire sournois de renvoyer la balle. Dans un sens, sa discrétion est autant un état de fait qu’un masque perpétuel : être prise pour une timide, voire une ingénue, n’était-ce pas le meilleur moyen d’éloigner tout soupçons ? Qui la penserait capable de se servir des sentiments des autres pour arriver à ses fins ? Qui percerait l’ombre qui rôde dans ses pensées ? A défaut d’être un modèle de force physique, elle avait bien d’autres atouts ; et sa capacité à comprendre les émotions des autres l’aide beaucoup.    

Elle n’est pas surdouée, mais elle est plutôt maligne. C’est peut-être ce qui l’a aidé à survivre au début, qui sait ? Elle comprend assez vite, s’adapte assez vite aussi et réagit en conséquence. Pas de là à savoir du jour au lendemain comment allumer un feu avec des pierres, ou comment panser efficacement une plaie ouverte. Non. Elle fait simplement preuve d’une logique efficace quand il est question de survie. Car c’est de cela qu’il est question, pas vrai ? De ne pas mourir… jamais, et quoiqu’il en coûte.

Pourtant, cela ne signifie pas qu’elle ne prendrait aucun risque. Même si le confort et la sécurité toute prête sont attirants, elle ne se sentira vivre que sur le fil du rasoir ; en regardant la mort dans les yeux et lui dressera le majeur. Pour ne plus avoir peur de faire des cauchemars, elle pourrait bien choisir d’en devenir un…




Story of survival

Pre-apocalypse

Le premier souvenir que Selene avait de sa vie, c’était le jour de sa mort. Elle s’en souvenait parce que c’était là que tout avait commencé, comme si avant cela, sa vie n’avait été qu’un brouillon qu’une main divine avait froissé pour le mettre au propre. Il y avait l’odeur du sang, de la poudre, et cette douleur atroce qui la consumait toute entière. Le ciel à ce moment était d’une étrange clarté, le gris métallique d’un automne sans soleil. Sans sentiment, terne et triste. Elle avait 9 ans et ne pouvait pas bouger, sa voix était déjà morte dans sa gorge. Un bourdonnement dans ses oreilles couvrait les hurlements, les exclamations de voix et les sirènes lointaines. Bientôt, son corps fragile déclara forfait, alors elle ferma les yeux…

Née en 1995, Selene Sweetnam et ses parents habitaient à San Francisco, à la jointure entre Mission District et Bayview. Ils n’étaient pas bien riches : sa mère était secrétaire pour un minuscule cabinet d’avocats qui peinait à joindre les deux bouts et son père était employé dans l’épicerie d’une station routière. Une famille sans problème, affreusement banale, se débattant, comme beaucoup d’autres, dans les aléas de la société. La petite était bien élevée, à défaut d’être gâtée, un peu en avance sur les camarades de son âge à l’époque, et appréciait beaucoup les Disneys. Son préféré était le Livre de la jungle, elle connaissait toutes les chansons par cœur.  

C’était une fin d’après-midi d’octobre comme les autres, en rentrant de l’école avec sa mère, que l’accident arriva. A la sortie du bus, à moins de trois rues de leur maison : elles se retrouvèrent au mauvais endroit au mauvais moment, c’est-à-dire trop proche des tirs de deux bandes rivales qui se disputaient un territoire pour écouler de la drogue. Tout avait été très vite : quelques insultes, six coups de feu, quatre balles perdues, deux avaient touché Alicia Sweetnam, et l’autre sa fille, à l’épaule droite.

Selene s’était réveillée à l’hôpital. Son bras était douloureux, elle était faible, mais son pronostic vital n’était pas engagé. Sa mère en revanche, n’avait pas eu cette chance. La gamine avait entendu les pleurs étouffés de son père avant de le voir, mais il lui avait fallu plusieurs jours pour pleinement réaliser l’ampleur du désastre. L’altercation n’avait été qu’un fait divers parmi d’autres, relégué en page 10 du journal local, mais ça avait certainement été le tournant majeur de l’adolescente qu’allait devenir Selene.

L’année suivante, son père décida de s’éloigner de leur maison de San Francisco pour chasser le fantôme de son épouse et choisit Seattle. Pour l’occasion, il offrit à sa fille un vieux piano droit acheté dans une brocante pour trois fois moins que son prix d’origine. Elle en avait envie depuis qu’elle avait retrouvé l’usage de son bras, comme si le traumatisme avait ouvert une blessure dans son âme qu’elle savait instinctivement comment soigner. L’assistante social qui l’avait brièvement suivie après l’incident avait encouragé son père dans ce sens alors…        

Il fallait travailler deux fois plus pour pouvoir payer des leçons de piano à la fillette de 10 ans, mais ce n’était pas si désagréable pour le père veuf trop jeune. Il savait taire son propre chagrin pour que le sourire de Selene ne s’efface jamais de son visage ivoirin. Entre l’école et la musique, son accident devint simplement un accroc dans son passé, un épisode sombre, mais rien qui ne l’empêchait de vivre. Elle ne souffrait ni de trouble post-traumatique, ni d’une terreur quelconque, et les seules larmes qui l’accompagnaient parfois dans sa quête du sommeil étaient celles du manque de sa mère.

Au début de l’adolescence, vers 13 ans, Selene était comme toutes les filles de son âge, un peu plus sombre peut-être. Elle n’avait pas beaucoup d’amis ou en tout cas, pas énormément auxquels elle tenait vraiment. Les cours ne l’intéressaient plus beaucoup, ses notes tombèrent pour friser avec la moyenne. Le récit de son accident fascinait un peu, certains allaient jusqu’à compatir, et jouer de ses malheurs pour attirer l’attention devint un jeu sinistre auquel elle se laissa prendre. Vers ses 15 ans, commença cette phase où elle fumait en cachette, plus par sentiment d’autodestruction – et pour se faire accepter – que par réelle envie. C’est aussi l’époque où la musique devint une véritable obsession. Auprès de ses camarades, elle feignait bouder le classique pour se gaver de metal, de rock et d’électro.

A 16 ans, elle se fit tatouer sans l’accord de son père, par le grand frère d’un binôme de classe. Un type de 19 ans qui avait su lui parler, lui retourner la tête, et lui voler sa virginité quand elle n’était pas sûre de vouloir la perdre. Elle avait longtemps pleuré après ça, n’avait pas voulu manger  pendant deux jours et avait même sécher une journée entière de cours. Sa première vraie douleur d’adolescente, plus déchirante que la balle qu’elle avait pris des années auparavant.

Finalement, comme on se réveille d’une crise, Selene s’est ressaisie le jour où elle a sut avec certitude ce qu’elle voulait faire : étudier la musicologie ; devenir pianiste ou travailler dans la culture. Pour aller à l’université, il lui fallait une bourse, qu’elle obtint en se remettant au travail suffisamment sérieusement pour mettre ses notes au niveau. A la fac, elle laissa tomber la plupart des gens qu’elle connaissait, arrêta de fumer, de traîner avec des types borderline et de dresser son accident en étendard. A la place, on découvrit une étudiante simple, écorchée mais discrète, qui écoutait les Butcher Babies sur son smartphone en rentrant des cours mais se mettait à jouer du Liszt sur son vieux piano une fois de retour chez elle. En parallèle, elle travaillait à la consigne d’une salle de concert pour se faire de l’argent de poche les weekends et certains soirs de semaine.

L’année de ses 20 ans, elle aurait pu avoir son premier diplôme, si seulement rien n’était arrivé…

ON THE HIGHWAY TO

Post-apocalypse

Après le début de l’épidémie, les choses se s’étaient passées avec une vitesse effrayante. Selene se souvenait avoir suivi les premiers cas de violence évoqués avec un désintérêt froid. Les agressions, les incidents, ça arrivaient tout le temps aux Etats-Unis, n’en était-elle pas un bon exemple ? Pourtant, les choses s’accélérèrent et quand l’information jaillit sur internet, elle ne put pas ne pas se sentir concernée. Le chaos semblait encore irréel, hors d’atteinte, et pourtant : dans le monde, comme dans sa propre ville, des gens perdaient la tête.

C’était le 12 octobre 2015. Son père l’avait appelée pour lui dire de ne pas l’attendre pour manger : il était bloqué dans les transports et ne savait pas quand il pourrait rentrer. Ce que la jeune femme ne savait pas, c’était que dans ce métro, l’un des passagers que tout le monde croyait endormi s’éveillera soudain pour s’attaquer à ses voisins. Le premier eut la gorge arrachée et le deuxième, Tony Sweetnam, se fit mordre au bras jusqu’au sang. Le forcené fut maitrisé, mais cela ajouta grandement au retard du père de Selene.  

En fait… il ne reviendrait jamais.

Les premiers jours de quarantaine, ce n’était qu’une absence. Comme quand quelqu’un est parti en vacances. La jeune femme n’a pas essayé de retourner en cours dès le cinquième jour d’épidémie : elle ne pouvait plus tourner la tête sans croiser une voiture de police, les médias matraquaient de ne pas sortir et dans tous les cas, les enseignements de son université étaient suspendus. Quand elle avait encore l’espoir de voir revenir son père, Selene se souvenait avoir passé des heures à tuer le temps en travaillant la fantaisie impromptue de Chopin. Ses interminables – et magnifiques – cascades de notes lui donnaient encore du fil à retordre.

Puis vint la nouvelle. Au moment où les militaires ont commencé à arriver et que les premières émeutes éclataient : elle comprit que Tony Sweetnam ne rentrerait pas. Etrange. Cette sensation de ne plus rien avoir. L’étudiante se sentait vide, lâchée dans le vide, dans un monde en train de se consumer dans la violence. Les jours s’étiraient, interminables, et les nuits se peuplaient peu à peu de cauchemars. Les rumeurs qui remontaient de la rue, à n’importe quelle heure, étaient terrifiantes. Depuis combien de temps n’avait-elle pas mis un pied dehors déjà ?  

Parfois, hallucinations olfactives, Selene sentait à nouveau l’odeur du sang. Le sang…

On devait être autour du 26 octobre quand on frappa à la porte. La jeune femme resta interdite un moment : ça faisait un moment que ça n’était pas arrivé. Engourdie par cet exercice, elle se leva et fila lentement ouvrir. C’était Daven Mcbrooke. Un voisin. Normalement, il vivait avec sa femme et ses filles mais ce jour là, il n’avait pas l’air dans son assiette. Il semblait nerveux, transpirait, et le regard curieux qui scruta l’appartement avant de se poser sur l’étudiante lui fit froid dans le dos.

La suite fut un ensemble chaotique que même Selene peinait à remettre dans l’ordre. La façon dont il avait prétexté vouloir emprunter du lait pour ses filles, le bras en sueur qui enserra sa gorge quand elle eut le dos tourné, la morsure instinctive qu’elle parvint à lui infliger pour se libérer, le couteau qu’elle avait attrapé dans un élan désespéré, la confusion des corps… et Daven qui s’effondre, maladroitement poignardé dans la gorge. Elle n’avait pas su détourner ses yeux bleus de sa victime qui agonisait, produisant d’infâmes gargouillis. Là était la folie humaine, à ses pieds, et il ne serait pas le seul…

Ce jour là, elle eut beau se laver les mains, la sensation immonde d’être souillée ne partait pas. L’odeur du sang non plus. Elle était entêtante, à rendre folle. Alors moins d’une heure après, elle était dehors… parce que désormais, la violence s’était introduite dans son foyer : elle n’avait plus rien.

Survie

N/A

time to met the devil

• Pseudo (sur internet) : N-mantic
• Âge irl : Who knows
• Présence : TOUT LE TEMPS
• Personnage : Inventé [x] / scénario/prédef [ ]
• Comment avez-vous découvert le forum ? très moche
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? moi-même
• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum Oui [ ] / Non [x]
• Crédits (avatar et gifs) Plein de gens

• Code du règlement We are the walking dead

fiche (c) langouste.
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Re: Selene Sweetnam ~ Le début de l'enfer

Dim 8 Nov 2015 - 0:01

Bienvenue parmi nous Selene Sweetnam ~ Le début de l'enfer 1342238320
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Re: Selene Sweetnam ~ Le début de l'enfer

Dim 8 Nov 2015 - 0:09

Bienvenue o/
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Re: Selene Sweetnam ~ Le début de l'enfer

Dim 8 Nov 2015 - 0:21

Le monstre de foire lève timidement une main immense dans un tentative de salutation et un sourire gêner apparait sur le faciès monstrueux de Bobby. Le colosse détourne son regard de la charmante dame.

Euh... Bienvenue et bonne chance... Euh... Fais attention à toi ok?
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Re: Selene Sweetnam ~ Le début de l'enfer

Dim 8 Nov 2015 - 0:36

Bienvenue !
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Re: Selene Sweetnam ~ Le début de l'enfer

Dim 8 Nov 2015 - 4:06

Merci à vous Very Happy
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Re: Selene Sweetnam ~ Le début de l'enfer

Dim 8 Nov 2015 - 8:08

Bienvenue ici !

J'aime beaucoup la façon dont t'écris :smile2:
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Re: Selene Sweetnam ~ Le début de l'enfer

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