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Ce qui me manque le plus ? Tout.
Lun 7 Déc 2015 - 10:43
26 ans • Américaine • Journaliste • Travellers
Breann est une de ces nombreuses gentilles filles, dont la vie aime bien se moquer allégrement. Même si elle donne l'impression de pouvoir mordre, elle se retrouve malgré tout bien trop souvent en charge de choses n'étant à la base absolument pas de sa responsabilité. Comme on n'est jamais mieux servi que par soi-même de toute manière... Elle courre donc partout, s'agite dans tous les sens et ne reçoit souvent que bien peu de remerciements puisque c'est considéré comme normal venant d'elle. Dire non de façon claire et définitive, elle ne sait pas faire.
Travailleuse acharnée, elle ne souhaitait qu'une chose : se lancer dans une carrière artistique. Elle se voyait bien dessinatrice chez Marvel ou DC comics. Très créative mais manquant d'assurance, elle avait mis du temps pour envoyer son dossier à ces entreprises. Elle attendait avec anxiété la réponse.
Elle a de nombreux amis, participe à de nombreux événements (se retrouve bien souvent à aider d'une façon ou d'une autre les organisateurs), elle aime être entourée. Créature sociable avant tout, Breann fait rire le monde de ses taquineries et parvient à amener une atmosphère conviviale partout où elle se rend. Elle incarne la définition de l'esprit de groupe. Les gens l'aiment, parce qu'elle les prends comme ils sont, on peut tout lui dire en étant certain qu'elle écoutera sans juger. C'est ce qui fait son charme. Alors elle a beau être indécise, s'énerver trop facilement pour pas grand chose et ne pas mâcher ses mots, elle reste une personne fiable et agréable.
Mais avec ce qui se passe en ce moment, elle doit faire face à des choix difficiles. Elle a bien compris que le monde ne lui ferait pas de cadeau, elle ne peut plus s'offrir le luxe d'aider n'importe qui le lui demandant. Breann gère très mal cette perte de tout repère. Très stressée, elle en devient maladroite et n'arrive plus à prendre aucune décision. La panique a tendance à la clouer sur place, et elle est absolument terrifiée par ces choses qui hantent désormais la ville.
L'urgence de la situation l'a forcé à apprendre les bases de la survie, mais malgré sa débrouillardise, Breann reste un poids lourd dont il est difficile de s'occuper. Heureusement, ses yeux sont devenus ses atouts-survie. Dotée d'une excellente vue, Breann voit les choses arriver de loin et repère rapidement les possibles points lui assurant une relative sécurité.
Travailleuse acharnée, elle ne souhaitait qu'une chose : se lancer dans une carrière artistique. Elle se voyait bien dessinatrice chez Marvel ou DC comics. Très créative mais manquant d'assurance, elle avait mis du temps pour envoyer son dossier à ces entreprises. Elle attendait avec anxiété la réponse.
Elle a de nombreux amis, participe à de nombreux événements (se retrouve bien souvent à aider d'une façon ou d'une autre les organisateurs), elle aime être entourée. Créature sociable avant tout, Breann fait rire le monde de ses taquineries et parvient à amener une atmosphère conviviale partout où elle se rend. Elle incarne la définition de l'esprit de groupe. Les gens l'aiment, parce qu'elle les prends comme ils sont, on peut tout lui dire en étant certain qu'elle écoutera sans juger. C'est ce qui fait son charme. Alors elle a beau être indécise, s'énerver trop facilement pour pas grand chose et ne pas mâcher ses mots, elle reste une personne fiable et agréable.
Mais avec ce qui se passe en ce moment, elle doit faire face à des choix difficiles. Elle a bien compris que le monde ne lui ferait pas de cadeau, elle ne peut plus s'offrir le luxe d'aider n'importe qui le lui demandant. Breann gère très mal cette perte de tout repère. Très stressée, elle en devient maladroite et n'arrive plus à prendre aucune décision. La panique a tendance à la clouer sur place, et elle est absolument terrifiée par ces choses qui hantent désormais la ville.
L'urgence de la situation l'a forcé à apprendre les bases de la survie, mais malgré sa débrouillardise, Breann reste un poids lourd dont il est difficile de s'occuper. Heureusement, ses yeux sont devenus ses atouts-survie. Dotée d'une excellente vue, Breann voit les choses arriver de loin et repère rapidement les possibles points lui assurant une relative sécurité.
D'une rondeur appétissante, toujours apprêtée et maquillée, Breann prend soin d'elle, aime son corps et n'hésite pas à se faire plaisir. Son visage est rond et expressif, ses yeux sont d'une jolie couleur chocolat. Elle adore particulièrement ses cheveux, légèrement bouclés, qu'elle porte lâchés la plupart du temps. Une autre habitude dont elle apprend petit à petit à se défaire, car ils se coincent aux plus mauvais moments sous les bretelles de son sac à dos.
Bien que mesurant seulement un mètre soixante-deux, Breann en impose et, d'une certaine façon, parvient à se rendre plus impressionnante qu'elle ne l'est vraiment. Elle joue un rôle censé effrayer ceux qui ne la connaissent pas en prenant des poses de loubard qui ne correspondent pas du tout à son physique, mais qui par ce contraste, parviennent à fonctionner.
Petite et mignonne comme un cœur, elle attire les regards et ça ne lui déplaît pas. En vérité, elle en a souvent joué, consciente que cet atout pouvait lui ouvrir quelques portes de plus. Elle continue à compter sur cet avantage pour la suite, même si elle n'y croit pas vraiment. Ce n'est pas parce qu'on est mignonne qu'on va avoir droit à plus de choses que les autres, pas vrai ? Et d'un point de vue purement pratique, elle ne servirait à rien. Elle n'a jamais vraiment aimé le sport, ce qu'elle est en train d'immensément regretter maintenant qu'elle doit courir pour sauver sa peau. Elle ne sait pas se battre, ce qui fait d'elle une proie facile.
Dans son sac de randonnée, il y a une tenue de rechange, une serviette ayant perdu toute sa splendeur, une paire de basket pouvant remplacer ses rangers et un sac de couchage. Elle a du abandonner ses autres possessions en hâte. Exit les légers plus qui amélioraient relativement son quotidien. Ce qui lui manque le plus ? Tout.
Bien que mesurant seulement un mètre soixante-deux, Breann en impose et, d'une certaine façon, parvient à se rendre plus impressionnante qu'elle ne l'est vraiment. Elle joue un rôle censé effrayer ceux qui ne la connaissent pas en prenant des poses de loubard qui ne correspondent pas du tout à son physique, mais qui par ce contraste, parviennent à fonctionner.
Petite et mignonne comme un cœur, elle attire les regards et ça ne lui déplaît pas. En vérité, elle en a souvent joué, consciente que cet atout pouvait lui ouvrir quelques portes de plus. Elle continue à compter sur cet avantage pour la suite, même si elle n'y croit pas vraiment. Ce n'est pas parce qu'on est mignonne qu'on va avoir droit à plus de choses que les autres, pas vrai ? Et d'un point de vue purement pratique, elle ne servirait à rien. Elle n'a jamais vraiment aimé le sport, ce qu'elle est en train d'immensément regretter maintenant qu'elle doit courir pour sauver sa peau. Elle ne sait pas se battre, ce qui fait d'elle une proie facile.
Dans son sac de randonnée, il y a une tenue de rechange, une serviette ayant perdu toute sa splendeur, une paire de basket pouvant remplacer ses rangers et un sac de couchage. Elle a du abandonner ses autres possessions en hâte. Exit les légers plus qui amélioraient relativement son quotidien. Ce qui lui manque le plus ? Tout.
"C'est marrant que la plupart des gens vous disent que leur ancienne vie leur semble appartenir à une autre époque. Moi, c'est l'inverse. J'ai l'impression de pouvoir subitement me réveiller, pour me rendre compte que ce n'était qu'un cauchemar drôlement réaliste et que la console de mon ex tourne encore avec la démo de Dead Island toujours en marche.
Moi, je suis journaliste pour un magazine-poubelle. J'ai un peu pris le premier boulot qui me tombait sous la main, j'avais besoin d'argent. Dès que je me réveillerai, il faudra que je me remette à travailler sur mon article... J'ai eu du mal à l'avoir, ce poste, vu le nombre de personnes qui cherchent un emploi, je ne peux pas me permettre de me faire renvoyer.
J'ai toujours aimé dessiner, d'aussi loin que je m'en souvienne. Dans l'appartement familial, le couloir de l'entrée en a une belle démonstration. Merci, moi de six ans, et encore merci à toi, papa, de m'avoir laissé sans surveillance avec des marqueurs indélébiles. Mais le résultat n'étant pas si mal et surtout amusant, mes parents l'ont gardé et le montrent encore à leurs amis. Et surtout aux miens.
J'en ramenais tout le temps, notre appartement était devenu le café du coin de l'école. Je n'étais pas l'élève la plus populaire, mais j'avais de bonnes relations avec tout le monde. Pas d'embrouilles, jamais. Peut-être grâce à la carrure de bûcheron canadien de mon père et le poste de directrice de ma mère. Mais je préfère penser que c'est seulement grâce à mon don inouï de me rendre sympathique. Il ne s'est rien passé de très particulier durant mon enfance ou mon adolescence, quand j'y repense, je ne suis jamais sortie du moule. Tout ce que je voulais, c'était terminer tout ça au plus vite pour pouvoir me consacrer à ma passion.
Je n'ai pas fait d'études d'art. Non, je me suis contentée d'une école de journalisme à Denver, ma ville natale, pour satisfaire mes parents. Enfant unique oblige. Mon rêve leur semblait trop irréaliste pour me baser uniquement sur lui, j'avais besoin d'un "vrai" diplôme selon eux. Je m'y suis donc pliée, parce que je n'ai jamais osé leur tenir tête avant ces derniers mois. Au final, ce que j'en retire, c'est une jolie dette et la capacité de faire passer un fait divers inintéressant pour l'affaire du siècle.
Et après les études, plus ou moins bien réussies, je me suis envolée à New York, des rêves plein la tête. C'est toujours comme ça quand on arrive dans cette ville de toute manière, pas vrai ? Mais rien ne s'est passé comme prévu, je me suis fait avoir par mon ex. Il avait trouvé une nana un peu trop poire capable de lui fournir un toit et de la nourriture gratuitement, mais la nana, elle n'aime pas particulièrement se faire prendre indéfiniment pour une bille. Mes économies ont bien souffert, mais j'ai réagi avant de me retrouver vraiment sans aucune ressource. New York ne me correspondait pas, je m'y étais brulé les ailes.
Je me suis donc de nouveau envolée, cette fois-ci vers Seattle, refusant de revenir à Denver après la dispute que j'avais eu avec mes parents, où je leur signifiais enfin clairement qu'à vingt-six ans, j'avais le droit de choisir ce que je voulais vraiment faire de ma vie. Je pense qu'on peut dire que je me suis maintenant bien installée. J'ai un super petit appart' avec une baignoire, pas trop loin de mon lieu de travail, j'ai de supers amis, un super job, une super télé, un super livreur... Oui, j'ai hâte de me réveiller et de retrouver tout ça.
Mais j'ai beau me pincer chaque matin, je me réveille toujours dans mon sac de couchage, à peine reposée."
Moi, je suis journaliste pour un magazine-poubelle. J'ai un peu pris le premier boulot qui me tombait sous la main, j'avais besoin d'argent. Dès que je me réveillerai, il faudra que je me remette à travailler sur mon article... J'ai eu du mal à l'avoir, ce poste, vu le nombre de personnes qui cherchent un emploi, je ne peux pas me permettre de me faire renvoyer.
J'ai toujours aimé dessiner, d'aussi loin que je m'en souvienne. Dans l'appartement familial, le couloir de l'entrée en a une belle démonstration. Merci, moi de six ans, et encore merci à toi, papa, de m'avoir laissé sans surveillance avec des marqueurs indélébiles. Mais le résultat n'étant pas si mal et surtout amusant, mes parents l'ont gardé et le montrent encore à leurs amis. Et surtout aux miens.
J'en ramenais tout le temps, notre appartement était devenu le café du coin de l'école. Je n'étais pas l'élève la plus populaire, mais j'avais de bonnes relations avec tout le monde. Pas d'embrouilles, jamais. Peut-être grâce à la carrure de bûcheron canadien de mon père et le poste de directrice de ma mère. Mais je préfère penser que c'est seulement grâce à mon don inouï de me rendre sympathique. Il ne s'est rien passé de très particulier durant mon enfance ou mon adolescence, quand j'y repense, je ne suis jamais sortie du moule. Tout ce que je voulais, c'était terminer tout ça au plus vite pour pouvoir me consacrer à ma passion.
Je n'ai pas fait d'études d'art. Non, je me suis contentée d'une école de journalisme à Denver, ma ville natale, pour satisfaire mes parents. Enfant unique oblige. Mon rêve leur semblait trop irréaliste pour me baser uniquement sur lui, j'avais besoin d'un "vrai" diplôme selon eux. Je m'y suis donc pliée, parce que je n'ai jamais osé leur tenir tête avant ces derniers mois. Au final, ce que j'en retire, c'est une jolie dette et la capacité de faire passer un fait divers inintéressant pour l'affaire du siècle.
Et après les études, plus ou moins bien réussies, je me suis envolée à New York, des rêves plein la tête. C'est toujours comme ça quand on arrive dans cette ville de toute manière, pas vrai ? Mais rien ne s'est passé comme prévu, je me suis fait avoir par mon ex. Il avait trouvé une nana un peu trop poire capable de lui fournir un toit et de la nourriture gratuitement, mais la nana, elle n'aime pas particulièrement se faire prendre indéfiniment pour une bille. Mes économies ont bien souffert, mais j'ai réagi avant de me retrouver vraiment sans aucune ressource. New York ne me correspondait pas, je m'y étais brulé les ailes.
Je me suis donc de nouveau envolée, cette fois-ci vers Seattle, refusant de revenir à Denver après la dispute que j'avais eu avec mes parents, où je leur signifiais enfin clairement qu'à vingt-six ans, j'avais le droit de choisir ce que je voulais vraiment faire de ma vie. Je pense qu'on peut dire que je me suis maintenant bien installée. J'ai un super petit appart' avec une baignoire, pas trop loin de mon lieu de travail, j'ai de supers amis, un super job, une super télé, un super livreur... Oui, j'ai hâte de me réveiller et de retrouver tout ça.
Mais j'ai beau me pincer chaque matin, je me réveille toujours dans mon sac de couchage, à peine reposée."
" Tous les matins, c'est la même chose. Quand le soleil se lève, je remballe mes affaires et je commence ma litanie. Nuit agitée, souvenirs au complet. « Je m'appelle Breann Yates, j'ai vingt-six ans, je suis née à Denver le vingt-neuf février 1989. Je suis Américaine. Je suis toujours en vie. » La base, rassurante, immuable. Viennent ensuite les détails. Moins importants, mais qui m'aident. Tim, c'est toujours le passage difficile. Je continue si je suis, malgré ma nuit, en forme. Je passe si je suis déjà fragile. Mais ce matin, j'ai besoin de me souvenir.
J'y croyais pas à cette histoire, vous savez. Je me suis laissée complètement prendre par surprise, comme quasiment tout le reste du monde. Mais on ne peut pas me reprocher de ne pas y avoir cru : des morts revenus à la vie pour dévorer les vivants ? Sérieusement ? Mère Nature a vraiment une dent contre l'humanité.
J'étais à Seattle quand tout a commencé. Je venais rendre visite à mon meilleur ami, qui m'a ouvert, blanc comme un linge, et qui m'a dit de but en blanc ce qui se passait. Je lui ai rit au nez, mais il ne plaisantait pas. Son oncle, qui travaillait dans un hôpital, disait que les morts se relevaient. Et son oncle, ce n'était pas le petit rigolo du coin qui aime crier « Au loup ! » pour rien. On a passé une semaine à préparer nos sacs, même si je refusais d'y croire. Et puis il y a eu l'allocution du Président. A ce moment-là, j'ai commencé à me dire que Tim n'avait pas tort. On a volé de l'essence. On a volé une voiture. Il m'a fait faire le plein de conserves. C'était tout simplement fou, et pourtant, j'ai suivi le mouvement.
Alors qu'on allait quitter la ville, on s'est heurtés à un barrage de militaires et c'est là que je me suis dit qu'il ne plaisantait pas. On l'a contourné, on s'est enfuis vers leur maison secondaire parce qu'il avait déjà tout prévu. On y a retrouvé sa famille. Et de là, on a assisté à la fin du monde. La radio débite en boucle des messages qui ne servent à rien. Des gens sont venus toquer à notre porte, mais l'oncle de Tim avait formellement interdit qu'on prenne avec nous d'autres personnes. Et puis, peu à peu, ces choses sont arrivées. On s'est fait encerclés, les défenses n'ont pas tenues. Et ce qui s'est passé après, je préfère ne pas m'attarder.
Je n'ai plus personne, mais au moins, je suis toujours en vie. Et j'ai bien l'intention de le rester aussi longtemps que possible. En attendant, il faut continuer à marcher tous les jours, en priant pour trouver un abri correct avant que le froid n'essaye de me tuer lui aussi. Seattle est est tout près, je peux le faire.
C'est ça, ma motivation. Et tous les matins, elle me permet de me lever et de me remettre en route."
J'y croyais pas à cette histoire, vous savez. Je me suis laissée complètement prendre par surprise, comme quasiment tout le reste du monde. Mais on ne peut pas me reprocher de ne pas y avoir cru : des morts revenus à la vie pour dévorer les vivants ? Sérieusement ? Mère Nature a vraiment une dent contre l'humanité.
J'étais à Seattle quand tout a commencé. Je venais rendre visite à mon meilleur ami, qui m'a ouvert, blanc comme un linge, et qui m'a dit de but en blanc ce qui se passait. Je lui ai rit au nez, mais il ne plaisantait pas. Son oncle, qui travaillait dans un hôpital, disait que les morts se relevaient. Et son oncle, ce n'était pas le petit rigolo du coin qui aime crier « Au loup ! » pour rien. On a passé une semaine à préparer nos sacs, même si je refusais d'y croire. Et puis il y a eu l'allocution du Président. A ce moment-là, j'ai commencé à me dire que Tim n'avait pas tort. On a volé de l'essence. On a volé une voiture. Il m'a fait faire le plein de conserves. C'était tout simplement fou, et pourtant, j'ai suivi le mouvement.
Alors qu'on allait quitter la ville, on s'est heurtés à un barrage de militaires et c'est là que je me suis dit qu'il ne plaisantait pas. On l'a contourné, on s'est enfuis vers leur maison secondaire parce qu'il avait déjà tout prévu. On y a retrouvé sa famille. Et de là, on a assisté à la fin du monde. La radio débite en boucle des messages qui ne servent à rien. Des gens sont venus toquer à notre porte, mais l'oncle de Tim avait formellement interdit qu'on prenne avec nous d'autres personnes. Et puis, peu à peu, ces choses sont arrivées. On s'est fait encerclés, les défenses n'ont pas tenues. Et ce qui s'est passé après, je préfère ne pas m'attarder.
Je n'ai plus personne, mais au moins, je suis toujours en vie. Et j'ai bien l'intention de le rester aussi longtemps que possible. En attendant, il faut continuer à marcher tous les jours, en priant pour trouver un abri correct avant que le froid n'essaye de me tuer lui aussi. Seattle est est tout près, je peux le faire.
C'est ça, ma motivation. Et tous les matins, elle me permet de me lever et de me remettre en route."
passeport :recensement de l'avatar. - Code:
Kat Dennings <bott>Breann Yates</bott>
recensement du prénom. (prénom utilisé uniquement)- Code:
Breann
recensement du nom. (nom utilisé uniquement)- Code:
Yates
recensement du métier. - Code:
Journaliste
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Re: Ce qui me manque le plus ? Tout.
Lun 7 Déc 2015 - 10:58
OMG CET AVATAR
Mmmmh... Bienvenue parmis nous et bon courage pour le peu qu'il te manque sur ta fiche.
Mmmmh... Bienvenue parmis nous et bon courage pour le peu qu'il te manque sur ta fiche.
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Re: Ce qui me manque le plus ? Tout.
Lun 7 Déc 2015 - 11:00
Bienvenue ici, j'espère que tu t'y plairas
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Re: Ce qui me manque le plus ? Tout.
Lun 7 Déc 2015 - 11:14
Oh, merci beaucoup ! C'est chouette de se faire souhaiter la bienvenue aussi rapidement, vous êtes des n'amours <3
Edit: Fiche terminée, j'espère que tout ira !
Edit: Fiche terminée, j'espère que tout ira !
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Re: Ce qui me manque le plus ? Tout.
Lun 7 Déc 2015 - 11:41
Euh... Bienvenue sur le forum... fais attention à toi ok?
L'être à l'apparence repoussante se cache de nouveau dans l'obscurité bienfaitrice...
L'être à l'apparence repoussante se cache de nouveau dans l'obscurité bienfaitrice...
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