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Jake « Le Loup Solitaire »
Lun 18 Jan 2016 - 16:03
34 ans • Américain • Charpentier • Traveler
Psychologiquement, Jake est de premier abord une brute et pour ainsi dire un connard qui semble n'en avoir rien à foutre de rien ni de personne si ce n'est se faire plaisir au détriment des autres. Un premier abord qui n'est pas tout à fait vrai, voire même l'inverse.
En le connaissant un peu mieux, on peut s'apercevoir qu'il est à l'écoute des autres, n'hésitant pas à mettre sa propre vie entre parenthèses pour protéger les gens qu'ils considèrent comme ses amis.
On peut dire que parmi sa propre famille qui n'avait pas de temps ou de considération pour la faiblesse et les pleurs, il dût apprendre très tôt à survivre. Ce dans l'unique but de ne pas se faire bouffer, qu'il s'agisse du vol de son assiette pendant les repas, de se faire enfermer dans le placard toute une journée, d'être mis la tête sous l'eau jusqu'à l'étouffement pour le plaisir sadique de ses aînés ou encore de finir la journée couvert de bleus en plus d'une côte fêlée et d'un poignet foulé à l'occasion. Ce qui pouvait être qualifié de largement traumatisant est pourtant ce qui le forgea et en fit un homme fort et solide comme un roc, n'ayant pas peur de prendre des coups dans tous les sens du terme, il considère souvent les autres hommes comme des pédales ne connaissant rien à la misère ni à la douleur, trop peureux de se battre là où lui et ses frères avaient pris pour habitude dès l'adolescence jusqu'à bien plus tard à se battre en groupe avec quiconque leur passait sous la main, provoquant un bordel monstre dans différents bars et boites de nuit principalement.
Particulièrement audacieux, il n'a peur de rien et ne craint pas le risque, ce qui le rend parfois totalement inconscient, complètement fou ou tout simplement déphasé, pouvant faire preuve d'une violence inouïe.
Derrière cette avalanche de défauts et d'abus, Jake est un type qui vit la vie au jour le jour et n'a pas la moindre rancune, pouvant se "fracasser" avec une connaissance et boire une bière avec cinq minutes après, ce qui accroît son coté déjanté-inconscient-imprévisible. Il n'a jamais eu peur de devoir survivre ou de finir sous un pont. Il sait que la vie est courte, qu'il faut en profiter à fond et ne perd pas de temps avec les détails inutiles et les ouins-ouins en tout genre, si quelque chose arrive, c'est que cela devait arriver et il faut faire avec.
Mesurant plus d’un mètre quatre-vingt-dix, Jake fait parti de ces personnes que l’on considère sans hésitation comme impressionnantes, tant d’un point de vue taille que de largeur d’épaule. Il possède une musculature apparente bien que non franche, très bien entretenue et qui ne laisse pas tergiverser sur sa force et ses aptitudes physiques, du moins en apparence. Il possède des trapèzes d’épaules saillants, rehaussant sa mâchoire construite et robuste pour accentuer le côté viril de sa personne, et descendant sur de larges biceps aux stries musculaires visibles. Le reste de son corps n’est que l’harmonie de ce qui est déjà décrit, des abdominaux et quadriceps travaillés, non pas par l’usage intensive d’appareils musculaires mais bien par l’application quotidienne de pratiques sportives. Si l’ensemble pourrait s’avérer comme des atouts certains, sa souplesse lui fait très régulièrement défaut, ne le rendant pas homme de la situation lorsqu'il s’agit de se faufiler dans des lieux exiguës, ou qui exigent une adresse certaine.
Ses yeux sont gris, intensifiant un air à la fois vindicatif et froid. Par ailleurs la profondeur de son regard est saisissante et intense quand il se fixe sur une personne, laissant entrevoir une solidité et une assurance affirmée, convaincu de ce qu'il est et de ce dont il est capable. Cela ne signifie pas qu’il ne sait pas être ou ne peut pas paraître amical ou souriant, mais d’une manière générale et surtout depuis la contamination, il apparaît davantage sur ses gardes, prêt à réagir à la moindre menace, à l’instar d’un loup solitaire constamment en danger.
Sur le menton, une barbe plus ou moins bien entretenue et charismatique, du moins quand il peut se le permettre, les derniers temps n’offrant guère le loisir de pouvoir prendre soin de son apparence. Il préférera alors dans ce cas laisser sa pilosité à demi-sauvage encadrer son visage et adoucir ses traits, qui auraient pu apparaître comme sévères. Il est châtain clair, bien que les dernières années lui aient offertes quelques cheveux blancs au niveau des tempes, se noyant dans des mèches plus claires, même blondes, que d’autres.
Sa voix est grave et mûre, prenante, résonnant dans sa cage thoracique, apparaissant chaleureuse quand il murmure ou offre une conversation bienveillante, mais plus froide quand il s'énerve.
Côté vestimentaire, Jake s'adapte aux conditions météorologiques. Par exemple, pendant l'été, il est habillé d'un simple pantalon avec un t-shirt blanc ou en hiver, avec un blouson noir et un bonnet. Bref il s'adapte à tout !
Bien évidemment, pendant ses expéditions il porte toujours son sac à dos de randonnée qui contient quelques bandages, quelques boites de conserve, une gourde, une lampe de camping solaire, une corde et des vêtements de rechange.
Parlons de son armement à présent. Ah ça oui, il aime énormément les armes, en passant par le fusil à pompe, la machette ou encore le merlin. La plupart du temps il est équipé d'un couteau de chasse au poing américain , d'un M16 muni d'un silencieux et d'un pistolet 12 mm, accompagnés de quelques munitions.
Concernant son habitat, sa seule maison à présent reste un vieux camping-car qu'il tient de ses parents. Jake s'en sert surtout pour stocker l'essence, ses vêtements de rechange, sa nourriture et ses munitions (même si rares sont-elles en ce moment)
Ses yeux sont gris, intensifiant un air à la fois vindicatif et froid. Par ailleurs la profondeur de son regard est saisissante et intense quand il se fixe sur une personne, laissant entrevoir une solidité et une assurance affirmée, convaincu de ce qu'il est et de ce dont il est capable. Cela ne signifie pas qu’il ne sait pas être ou ne peut pas paraître amical ou souriant, mais d’une manière générale et surtout depuis la contamination, il apparaît davantage sur ses gardes, prêt à réagir à la moindre menace, à l’instar d’un loup solitaire constamment en danger.
Sur le menton, une barbe plus ou moins bien entretenue et charismatique, du moins quand il peut se le permettre, les derniers temps n’offrant guère le loisir de pouvoir prendre soin de son apparence. Il préférera alors dans ce cas laisser sa pilosité à demi-sauvage encadrer son visage et adoucir ses traits, qui auraient pu apparaître comme sévères. Il est châtain clair, bien que les dernières années lui aient offertes quelques cheveux blancs au niveau des tempes, se noyant dans des mèches plus claires, même blondes, que d’autres.
Sa voix est grave et mûre, prenante, résonnant dans sa cage thoracique, apparaissant chaleureuse quand il murmure ou offre une conversation bienveillante, mais plus froide quand il s'énerve.
Côté vestimentaire, Jake s'adapte aux conditions météorologiques. Par exemple, pendant l'été, il est habillé d'un simple pantalon avec un t-shirt blanc ou en hiver, avec un blouson noir et un bonnet. Bref il s'adapte à tout !
Bien évidemment, pendant ses expéditions il porte toujours son sac à dos de randonnée qui contient quelques bandages, quelques boites de conserve, une gourde, une lampe de camping solaire, une corde et des vêtements de rechange.
Parlons de son armement à présent. Ah ça oui, il aime énormément les armes, en passant par le fusil à pompe, la machette ou encore le merlin. La plupart du temps il est équipé d'un couteau de chasse au poing américain , d'un M16 muni d'un silencieux et d'un pistolet 12 mm, accompagnés de quelques munitions.
Concernant son habitat, sa seule maison à présent reste un vieux camping-car qu'il tient de ses parents. Jake s'en sert surtout pour stocker l'essence, ses vêtements de rechange, sa nourriture et ses munitions (même si rares sont-elles en ce moment)
Jake Hokins s'est réveillé pour la première fois le 10 mai 1982 à Denver, au Colorado. Fils d'une grande famille de charpentiers, son avenir était déjà tout tracé, du moins c'est ce qu'il pensait. Mais il ne s'en plaignait pas, il aurait pu finir comme un de ses amis : éboueur ou encore mendiant.
Enfant, il était très renfermé, ne parlant qu'avec les gens qu'il connaissait, autrement dit sa famille.
Son père le battait régulièrement. Une personne normalement constituée devrait haïr ce père, mais pas Jake. Au contraire, il était redevable car c'était lui qui avait forgé son caractère de battant.
Bien évidemment il a eu droit aux services sociaux "Enfant battu", et a du donc être placé en foyer d'accueil mais à chaque fois, il s'enfuyait afin de retrouver la ferme de sa famille. Malheureusement, ce n'était qu'un gosse, il ne savait pas où se trouver la ferme, alors il errait dans les rues jusqu'à ce qu'on le retrouve et qu'on le ramène chez sa "nouvelle famille"
Jusqu'à ses 10 ans donc, Jake passait de foyers en foyers, avec un total de 10 foyers. (quasiment 2 par an)
C'est à cette période que son père récupéra la garde, il avait changé, 5 ans d'abstinence.
Le gosse était complètement désorienté, il l'avait cherché pendant si longtemps et le voilà ici devant lui. Qu'est ce qu'il devait faire ? L'aimer ? Le haïr ? Il était partagé par plusieurs sentiments notamment la rage, la rancune mais aussi le bonheur.
Au final, le bonheur l'emporta, il allait revoir ses frères, sa mère, son oncle, les poules.
Revenu à la ferme, son père lui apprit à concevoir les ossatures des toits, sa mère quant à elle lui apprit quelques astuces campagnardes pour garder son linge propre et à arriver à cuisiner un bon repas à partir de quasiment rien, son oncle lui enseigna l'art de la chasse avec un arc. En effet, sa famille était trop pauvre pour s'acheter un simple fusil, mais c'est tout de même grâce à celui-ci qu'il put apprendre comment réellement survivre en milieu hostile, comment être plus silencieux (même si ce point est à retravailler) et surtout comment devenir précis en pleine peur.
La transition de l'enfance à l'adolescence ne fut pas simple pour Hokins. En effet, il passait le plus clair de son temps à dépasser les limites que ce soit par rapport à l'alcool, à la drogue ou même aux femmes. Car oui, il aimait les femmes autant que les charpentes. Il aimait tout chez elles mais les traitaient comme des moins que rien. Là, encore une fois, il devait ce comportement de son père.
Néanmoins après une mauvaise aventure avec une fille, il décida de ne plus leur manquer de respect car après tout, elles ne servent pas qu'au ménage !
Concernant le travail, il n'était pas du tout poussé par les études. C'était le genre de personnes qui dormaient en cours, qui faisaient des conneries tout le temps. Non lui, sa vocation depuis enfant, c'était charpentier. Il savait quoi faire du bois, comment réparer les ossatures des toits, des menuiseries etc..
Il a donc arrêter tout ce qui se référenciait de près ou de loin à des cours, à partir du lycée.
Passés 20 ans, Jake s'est enfin assagi, revenant sur le droit chemin. C'est d'ailleurs à cette période, qu'il rencontra son grand amour ou plutôt ses grands amours : les étoiles. Il en passait du temps sur le toit de sa baraque pour les observer.
Qui sait, peut-être qu'un jour il trouverait quelqu'un capable de détrôner ces étoiles ?
Bien-sûr il était encore loin d'être prêt à s'engager ou une connerie dans le genre.
Entre 20 et 30 ans, sa vie était totalement monotone même s'il réussit à avoir quelques aventures, par ci par là, rien de concret. Par contre son parcours professionnel fut stupéfiant, tout le monde faisait appel à lui à Denver pour leur toit ou leur menuiseries.
Il gagnait pas des masses mais il était respecté dans le domaine, c'est exactement ce qu'il voulait.
30 ans et des poussières, il décrocha enfin le titre de "Meilleur charpentier de Denver" ce qui était une très bonne distinction : Denver était une grande ville et Dieu sait combien y'en avait des charpentiers.
C'est à ce moment-là qu'il commença à faire des projets à long terme comme par exemple déménager quelqu'un part, trouver une femme ou encore avoir des enfants. Certes 30 ans c'est un peu tard pour se rendre compte de ce genre de choses mais pourquoi pas après tout ? Il n'était quand même pas bon à enterrer. Pas maintenant du moins.
Son choix se porta donc sur Seattle, la célèbre ville dont il rêvait enfant. Seattle la ville des rêveurs...
Enfant, il était très renfermé, ne parlant qu'avec les gens qu'il connaissait, autrement dit sa famille.
Son père le battait régulièrement. Une personne normalement constituée devrait haïr ce père, mais pas Jake. Au contraire, il était redevable car c'était lui qui avait forgé son caractère de battant.
Bien évidemment il a eu droit aux services sociaux "Enfant battu", et a du donc être placé en foyer d'accueil mais à chaque fois, il s'enfuyait afin de retrouver la ferme de sa famille. Malheureusement, ce n'était qu'un gosse, il ne savait pas où se trouver la ferme, alors il errait dans les rues jusqu'à ce qu'on le retrouve et qu'on le ramène chez sa "nouvelle famille"
Jusqu'à ses 10 ans donc, Jake passait de foyers en foyers, avec un total de 10 foyers. (quasiment 2 par an)
C'est à cette période que son père récupéra la garde, il avait changé, 5 ans d'abstinence.
Le gosse était complètement désorienté, il l'avait cherché pendant si longtemps et le voilà ici devant lui. Qu'est ce qu'il devait faire ? L'aimer ? Le haïr ? Il était partagé par plusieurs sentiments notamment la rage, la rancune mais aussi le bonheur.
Au final, le bonheur l'emporta, il allait revoir ses frères, sa mère, son oncle, les poules.
Revenu à la ferme, son père lui apprit à concevoir les ossatures des toits, sa mère quant à elle lui apprit quelques astuces campagnardes pour garder son linge propre et à arriver à cuisiner un bon repas à partir de quasiment rien, son oncle lui enseigna l'art de la chasse avec un arc. En effet, sa famille était trop pauvre pour s'acheter un simple fusil, mais c'est tout de même grâce à celui-ci qu'il put apprendre comment réellement survivre en milieu hostile, comment être plus silencieux (même si ce point est à retravailler) et surtout comment devenir précis en pleine peur.
La transition de l'enfance à l'adolescence ne fut pas simple pour Hokins. En effet, il passait le plus clair de son temps à dépasser les limites que ce soit par rapport à l'alcool, à la drogue ou même aux femmes. Car oui, il aimait les femmes autant que les charpentes. Il aimait tout chez elles mais les traitaient comme des moins que rien. Là, encore une fois, il devait ce comportement de son père.
Néanmoins après une mauvaise aventure avec une fille, il décida de ne plus leur manquer de respect car après tout, elles ne servent pas qu'au ménage !
Concernant le travail, il n'était pas du tout poussé par les études. C'était le genre de personnes qui dormaient en cours, qui faisaient des conneries tout le temps. Non lui, sa vocation depuis enfant, c'était charpentier. Il savait quoi faire du bois, comment réparer les ossatures des toits, des menuiseries etc..
Il a donc arrêter tout ce qui se référenciait de près ou de loin à des cours, à partir du lycée.
Passés 20 ans, Jake s'est enfin assagi, revenant sur le droit chemin. C'est d'ailleurs à cette période, qu'il rencontra son grand amour ou plutôt ses grands amours : les étoiles. Il en passait du temps sur le toit de sa baraque pour les observer.
Qui sait, peut-être qu'un jour il trouverait quelqu'un capable de détrôner ces étoiles ?
Bien-sûr il était encore loin d'être prêt à s'engager ou une connerie dans le genre.
Entre 20 et 30 ans, sa vie était totalement monotone même s'il réussit à avoir quelques aventures, par ci par là, rien de concret. Par contre son parcours professionnel fut stupéfiant, tout le monde faisait appel à lui à Denver pour leur toit ou leur menuiseries.
Il gagnait pas des masses mais il était respecté dans le domaine, c'est exactement ce qu'il voulait.
30 ans et des poussières, il décrocha enfin le titre de "Meilleur charpentier de Denver" ce qui était une très bonne distinction : Denver était une grande ville et Dieu sait combien y'en avait des charpentiers.
C'est à ce moment-là qu'il commença à faire des projets à long terme comme par exemple déménager quelqu'un part, trouver une femme ou encore avoir des enfants. Certes 30 ans c'est un peu tard pour se rendre compte de ce genre de choses mais pourquoi pas après tout ? Il n'était quand même pas bon à enterrer. Pas maintenant du moins.
Son choix se porta donc sur Seattle, la célèbre ville dont il rêvait enfant. Seattle la ville des rêveurs...
Seattle la ville des malheurs, dirait-il à présent.
Septembre 2015 •
Jake commençait sa petite vie dans un appart "pas si mal que ça" selon lui. En effet il avait une belle cuisine, un beau salon, une jolie chambre et de magnifiques toilettes.
Reconnu à Denver, il n'eut pas trop de mal à se faire embaucher par une entreprise de charpentiers.
Son rêve le plus fou était de monter sa propre entreprise même s'il n'avait pas les diplômes requis.
jour 1 • (09/10/15)
Il y avait toujours des rumeurs comme quoi des gens à Seattle étaient devenus fous. Un tas de conneries.
Jake n'était soucieux que de sa famille qui devait venir l'aider au déménagement.
jour 2 • (10/10/15)
A peine avoir installé la télé, on entend quelques fait divers comme quoi il y avait bel et bien un incident, mais rien de grave à priori. Les journalistes restent flous.
jour 3 • (11/10/15)
Ce jour là, il décida d'aller au bar non pas pour draguer, mais pour fêter son déménagement avec tout le groupe.
jour 4 • (12/10/15)
Quand on allume la radio, on entend que les agresseurs sont toujours pris de folie. Mais ça reste bizarre cette histoire quand même
Seattle commence à s'inquiéter, et Jake également. Il demanda alors à sa famille de partir plus tôt, bien-sûr celle-ci refusa.
Grave erreur.
jour 5 • (13/10/15)
La situation dégénère, on entend qu'il y a un nouveau virus qui apparaît. Mais on ne sait pas ce que c'est ni d'où il provient.
Il parlent de situation sous-contrôle, mais Jake n'est pas con à ce point, il sait très bien qu'elle est tout sauf sous-contrôle. Sa famille également, mais elle ne veut toujours pas le laisser seul.
jour 6 à 10 • (du 14/10/15 au 18/10/2015)
Putain, que se passe-t-il dans cette ville ?
On voit des militaires patrouiller sans cesse, des rebellions, et même un communiqué du président nous informant encore une fois, que la situation est sous-contrôle.
Seattle sombre de plus en plus.
jour 11 à 16 • (du 19/10/15 au 24/10/2015)
On ne peut plus partir de Seattle, c'est quoi ce bordel ?
La famille Hokins décide de se barricader dans l'appartement suite à la demande du gouvernement. Ils sont persuadés d'être plus en sécurité ici que dehors ou dans un camp militaire.
jour 17 à 19 • (du 25/10/15 au 27/10/2015)
Il faut qu'on bouge d'ici maintenant ! C'est devenu n'importe quoi !
Ils décident de partir avec le camping-car en rassemblant le peu de vivres qu'ils avaient, des vêtements de rechange et quelques médicaments/bandages, sans oublier l'arc de son oncle.
Octobre 2015 •
Ce mois est la période la plus sombre du charpentier..
C'était une nuit d'hiver. Une belle nuit pleine d'étoiles qui brillent là haut, au firmament, mais dont leur éclat est terni et voilé par la lune, si belle, si ronde. Une lune pleine qui dardent ses rayons argentés à qui veut bien les admirer. Ses rayons traversant les nuages puis la voûte des arbres pour plonger vers le sous bois. Finissant par taper sur ce qui ressemble à une vieille cabane en bois délabrée, si vieille et si reculée au sein de la forêt que plus personne ne s'en sert depuis bien longtemps. Du moins c'est ce que nous pensions.
« Hé frérot ! Elle est parfaite c'te baraque, j'en ai vraiment marre du camping car. Allez venez on s'pose le cul ici ! » Mike, 16 ans le benjamin, se ruait déjà à la vieille porte en bois de la cabane. Pour une fois, sa décision fut l'unanimité parmi la famille. Samuel et Keegan suivaient le pas en aidant leur petit frère à défoncer la poignée rouillée. Il y avait ensuite le père, la mère puis l'oncle. Mais pas Jake, non lui surveillait leurs arrières, sous l'ordre direct du chef de la famille :
« Jake, tu surveilles ! » C'était injuste, pourquoi ça devait être lui l'appât à "humains contaminés" ?
Quelques instants plus tard, il entendait des cris. Mais oui c'était les cris de sa mère !
« Maman ! Putain ! » Il se rua dans la première pièce de la cabane qui se trouvait être un couloir sombre menant à un escalier tout aussi sombre. Avançant donc à toute vitesse jusqu'à l'escalier, il put entendre un autre cri venant cette fois-ci de son frère Mike, puis de nombreux coups de feu. Il était saisi alors de deux sortes de peur : l'inquiétude pour sa famille, et la plus honteuse de toutes : la peur de mourir. Ainsi, il ralentit l'allure jusqu'à marcher le plus silencieusement possible sur les planches de bois du premier étage, qui craquelaient sous ses pieds.
« Haha ! Encore des ploucs ! Oh mais attendez, ils ont du matos.. Les gars, on a notre repas ! Harvey, file moi l'ouvre-boite »
Au son de cette voix, Jake avait compris, mais peut-être qu'il s'était trompé ? Non il ne s'était pas trompé, mais il voulait en être sûr. Il se déplaçait de la manière la plus furtive possible jusqu'à se placer à côté de la porte à demi-ouverte, qui menait à la pièce. Il s'agissait de la seule pièce éclairée du chalet, elle était simple. Mais son regard ne s'éternisa pas sur son décor, mais plutôt ce qu'elle y enfermait, soit 3 gosses de 18 à 23 ans, armés jusqu'aux dents. En abaissant son champs de vision, il remarqua une quantité inimaginable de sang qui ruissela jusqu'à ses chaussures, menant aux corps inertes de sa famille, pillés et empilés les uns sur les autres. Machinalement, il sortit son 22 mm de son holster dorsal d'un mouvement circulaire de sa main droite, puis il visa le crâne du gosse qui se nommait Harvey et appuya sur la gâchette près de 2 fois d'affilée. Harvey tomba raide et les autres commençaient à tirer sur la porte. Heureusement pour Jake, ils n'étaient pas précis et gaspillaient des balles.
« Merde ! C'est quoi ça ! Hé, montre toi fils de pute ! »
Le charpentier envoya un coup de pied contre la porte afin de l'ouvrir, changeant ainsi d'angle de vue. Il visait alors chacun des crânes pour tirer avec une rage folle, les tuant un à un.
Puis il s'assit contre la porte, recouverte d'impacts de balles, et gueula :
« AAAAAAHHH ! Venez me chercher ! Allez-y ! »
On était le 15 novembre 2015 et c'est ce jour-là que Jake avait perdu son identité et devint le Loup Solitaire.
Après des jours d'errance Hokins sombrait dans ce qu'on appelle la folie passagère, incapable de se contrôler, incapable de penser.
Puis la lucidité accompagnée de la douleur et de la culpabilité, revinrent.
Cette lucidité entraîna le Loup solitaire dans plusieurs états (qui durèrent chacune 3 jours hormis la rédemption) :
- D'abord la dépression
« Je n'arrive même plus à me rappeler qui j'étais, qui je suis. Qu'est-ce qui me différencie d'eux après tout ? Si seulement on était restés à Denver, peut-être y'aurait-t-il une chance que tout soit resté dans l'ordre ?
Je n'ai plus vu personne depuis cette fameuse nuit où d'autres humains ont assassiné ma famille. Suis-je le seul survivant ? Y'a-t-il d'autres personnes ? Est-ce que tous les autres sont dans les camps ?
Chacune de ces questions me hantent l'esprit, mais malgré tout j'avance. Suis-je fou d'avancer dans un monde comme celui-ci, où tout le monde meurt les uns après les autres ?
Je ne rêve pas d'un monde meilleur, ce monde a toujours été de la merde et ce sera toujours de la merde. Mais j'aimerais vivre, plutôt que survivre..»
Jake Hokins, Le Loup Solitaire
- Ensuite la colère
Après avoir trouvé une grande hache dans le jardin du chalet, Jake vint fracasser celle-ci dans la cuisine, puis dans les meubles du salon, et ensuite dans les murs porteurs du chalet. Après avoir suffisamment amoché le chalet, il sortit rapidement avant que celui ne s'effondre, puis il prit un des bidons d'essence pour en étaler sur toute la zone du chalet et lâcha son briquet sur le sol
- Et enfin la redemption
Le charpentier lança un dernier regard au chalet qui s'enflammait sous ses yeux, les mains pleines de sang, pour aller jusqu'au camping car familial et démarra celui-ci.
Novembre 2015 •
Au début du mois, un "homme contaminé" s'approchait dangereusement du camping car de Hokins. C'est la première fois qu'il devait tuer une de ces choses pour avoir la vie sauve. De la façon la plus direct qui soit, il prit son couteau de chasse au poing américain qu'il plaça du côté couteau de chasse, puis l'enfonça d'une violence inouïe dans le crâne de "l'homme contaminé"
Jake avait la rage de vaincre, de survivre, c'était la plus belle des libérations.
Décembre 2015 •
De nombreux problèmes commençaient à se poser : pour commencer, la présence de plus en plus abondante d"hommes contaminés", ensuite le manque de nourriture et d'eau, de munitions et enfin la solitude.
Solitude qu'il oublia très rapidement : ce n'est pas une tapette.
Pour les vivres, la solution était simple : il fallait élargir le périmètre de distance des expéditions.
Janvier 2016 •
Il remontait donc vers la ville, peut-être y'avait-il encore des rescapés ? Non, n'espérez pas qu'il veuille faire connaissance avec d'autres personnes, lui c'est un peu le barbare qui pille, qui tue et qui ensuite continue sa route, mais qui sait peut-être quelqu'un pourrait le faire changer d'avis ?
Septembre 2015 •
Jake commençait sa petite vie dans un appart "pas si mal que ça" selon lui. En effet il avait une belle cuisine, un beau salon, une jolie chambre et de magnifiques toilettes.
Reconnu à Denver, il n'eut pas trop de mal à se faire embaucher par une entreprise de charpentiers.
Son rêve le plus fou était de monter sa propre entreprise même s'il n'avait pas les diplômes requis.
jour 1 • (09/10/15)
Il y avait toujours des rumeurs comme quoi des gens à Seattle étaient devenus fous. Un tas de conneries.
Jake n'était soucieux que de sa famille qui devait venir l'aider au déménagement.
jour 2 • (10/10/15)
A peine avoir installé la télé, on entend quelques fait divers comme quoi il y avait bel et bien un incident, mais rien de grave à priori. Les journalistes restent flous.
jour 3 • (11/10/15)
Ce jour là, il décida d'aller au bar non pas pour draguer, mais pour fêter son déménagement avec tout le groupe.
jour 4 • (12/10/15)
Quand on allume la radio, on entend que les agresseurs sont toujours pris de folie. Mais ça reste bizarre cette histoire quand même
Seattle commence à s'inquiéter, et Jake également. Il demanda alors à sa famille de partir plus tôt, bien-sûr celle-ci refusa.
Grave erreur.
jour 5 • (13/10/15)
La situation dégénère, on entend qu'il y a un nouveau virus qui apparaît. Mais on ne sait pas ce que c'est ni d'où il provient.
Il parlent de situation sous-contrôle, mais Jake n'est pas con à ce point, il sait très bien qu'elle est tout sauf sous-contrôle. Sa famille également, mais elle ne veut toujours pas le laisser seul.
jour 6 à 10 • (du 14/10/15 au 18/10/2015)
Putain, que se passe-t-il dans cette ville ?
On voit des militaires patrouiller sans cesse, des rebellions, et même un communiqué du président nous informant encore une fois, que la situation est sous-contrôle.
Seattle sombre de plus en plus.
jour 11 à 16 • (du 19/10/15 au 24/10/2015)
On ne peut plus partir de Seattle, c'est quoi ce bordel ?
La famille Hokins décide de se barricader dans l'appartement suite à la demande du gouvernement. Ils sont persuadés d'être plus en sécurité ici que dehors ou dans un camp militaire.
jour 17 à 19 • (du 25/10/15 au 27/10/2015)
Il faut qu'on bouge d'ici maintenant ! C'est devenu n'importe quoi !
Ils décident de partir avec le camping-car en rassemblant le peu de vivres qu'ils avaient, des vêtements de rechange et quelques médicaments/bandages, sans oublier l'arc de son oncle.
Octobre 2015 •
Ce mois est la période la plus sombre du charpentier..
C'était une nuit d'hiver. Une belle nuit pleine d'étoiles qui brillent là haut, au firmament, mais dont leur éclat est terni et voilé par la lune, si belle, si ronde. Une lune pleine qui dardent ses rayons argentés à qui veut bien les admirer. Ses rayons traversant les nuages puis la voûte des arbres pour plonger vers le sous bois. Finissant par taper sur ce qui ressemble à une vieille cabane en bois délabrée, si vieille et si reculée au sein de la forêt que plus personne ne s'en sert depuis bien longtemps. Du moins c'est ce que nous pensions.
« Hé frérot ! Elle est parfaite c'te baraque, j'en ai vraiment marre du camping car. Allez venez on s'pose le cul ici ! » Mike, 16 ans le benjamin, se ruait déjà à la vieille porte en bois de la cabane. Pour une fois, sa décision fut l'unanimité parmi la famille. Samuel et Keegan suivaient le pas en aidant leur petit frère à défoncer la poignée rouillée. Il y avait ensuite le père, la mère puis l'oncle. Mais pas Jake, non lui surveillait leurs arrières, sous l'ordre direct du chef de la famille :
« Jake, tu surveilles ! » C'était injuste, pourquoi ça devait être lui l'appât à "humains contaminés" ?
Quelques instants plus tard, il entendait des cris. Mais oui c'était les cris de sa mère !
« Maman ! Putain ! » Il se rua dans la première pièce de la cabane qui se trouvait être un couloir sombre menant à un escalier tout aussi sombre. Avançant donc à toute vitesse jusqu'à l'escalier, il put entendre un autre cri venant cette fois-ci de son frère Mike, puis de nombreux coups de feu. Il était saisi alors de deux sortes de peur : l'inquiétude pour sa famille, et la plus honteuse de toutes : la peur de mourir. Ainsi, il ralentit l'allure jusqu'à marcher le plus silencieusement possible sur les planches de bois du premier étage, qui craquelaient sous ses pieds.
« Haha ! Encore des ploucs ! Oh mais attendez, ils ont du matos.. Les gars, on a notre repas ! Harvey, file moi l'ouvre-boite »
Au son de cette voix, Jake avait compris, mais peut-être qu'il s'était trompé ? Non il ne s'était pas trompé, mais il voulait en être sûr. Il se déplaçait de la manière la plus furtive possible jusqu'à se placer à côté de la porte à demi-ouverte, qui menait à la pièce. Il s'agissait de la seule pièce éclairée du chalet, elle était simple. Mais son regard ne s'éternisa pas sur son décor, mais plutôt ce qu'elle y enfermait, soit 3 gosses de 18 à 23 ans, armés jusqu'aux dents. En abaissant son champs de vision, il remarqua une quantité inimaginable de sang qui ruissela jusqu'à ses chaussures, menant aux corps inertes de sa famille, pillés et empilés les uns sur les autres. Machinalement, il sortit son 22 mm de son holster dorsal d'un mouvement circulaire de sa main droite, puis il visa le crâne du gosse qui se nommait Harvey et appuya sur la gâchette près de 2 fois d'affilée. Harvey tomba raide et les autres commençaient à tirer sur la porte. Heureusement pour Jake, ils n'étaient pas précis et gaspillaient des balles.
« Merde ! C'est quoi ça ! Hé, montre toi fils de pute ! »
Le charpentier envoya un coup de pied contre la porte afin de l'ouvrir, changeant ainsi d'angle de vue. Il visait alors chacun des crânes pour tirer avec une rage folle, les tuant un à un.
Puis il s'assit contre la porte, recouverte d'impacts de balles, et gueula :
« AAAAAAHHH ! Venez me chercher ! Allez-y ! »
On était le 15 novembre 2015 et c'est ce jour-là que Jake avait perdu son identité et devint le Loup Solitaire.
Après des jours d'errance Hokins sombrait dans ce qu'on appelle la folie passagère, incapable de se contrôler, incapable de penser.
Puis la lucidité accompagnée de la douleur et de la culpabilité, revinrent.
Cette lucidité entraîna le Loup solitaire dans plusieurs états (qui durèrent chacune 3 jours hormis la rédemption) :
- D'abord la dépression
« Je n'arrive même plus à me rappeler qui j'étais, qui je suis. Qu'est-ce qui me différencie d'eux après tout ? Si seulement on était restés à Denver, peut-être y'aurait-t-il une chance que tout soit resté dans l'ordre ?
Je n'ai plus vu personne depuis cette fameuse nuit où d'autres humains ont assassiné ma famille. Suis-je le seul survivant ? Y'a-t-il d'autres personnes ? Est-ce que tous les autres sont dans les camps ?
Chacune de ces questions me hantent l'esprit, mais malgré tout j'avance. Suis-je fou d'avancer dans un monde comme celui-ci, où tout le monde meurt les uns après les autres ?
Je ne rêve pas d'un monde meilleur, ce monde a toujours été de la merde et ce sera toujours de la merde. Mais j'aimerais vivre, plutôt que survivre..»
Jake Hokins, Le Loup Solitaire
- Ensuite la colère
Après avoir trouvé une grande hache dans le jardin du chalet, Jake vint fracasser celle-ci dans la cuisine, puis dans les meubles du salon, et ensuite dans les murs porteurs du chalet. Après avoir suffisamment amoché le chalet, il sortit rapidement avant que celui ne s'effondre, puis il prit un des bidons d'essence pour en étaler sur toute la zone du chalet et lâcha son briquet sur le sol
- Et enfin la redemption
Le charpentier lança un dernier regard au chalet qui s'enflammait sous ses yeux, les mains pleines de sang, pour aller jusqu'au camping car familial et démarra celui-ci.
Novembre 2015 •
Au début du mois, un "homme contaminé" s'approchait dangereusement du camping car de Hokins. C'est la première fois qu'il devait tuer une de ces choses pour avoir la vie sauve. De la façon la plus direct qui soit, il prit son couteau de chasse au poing américain qu'il plaça du côté couteau de chasse, puis l'enfonça d'une violence inouïe dans le crâne de "l'homme contaminé"
Jake avait la rage de vaincre, de survivre, c'était la plus belle des libérations.
Décembre 2015 •
De nombreux problèmes commençaient à se poser : pour commencer, la présence de plus en plus abondante d"hommes contaminés", ensuite le manque de nourriture et d'eau, de munitions et enfin la solitude.
Solitude qu'il oublia très rapidement : ce n'est pas une tapette.
Pour les vivres, la solution était simple : il fallait élargir le périmètre de distance des expéditions.
Janvier 2016 •
Il remontait donc vers la ville, peut-être y'avait-il encore des rescapés ? Non, n'espérez pas qu'il veuille faire connaissance avec d'autres personnes, lui c'est un peu le barbare qui pille, qui tue et qui ensuite continue sa route, mais qui sait peut-être quelqu'un pourrait le faire changer d'avis ?
passeport :♦ recensement de l'avatar. - Code:
Stephen Amell ♦ <bott>Jake Hokins</bott>
♦ recensement du prénom. - Code:
♦ Jake
♦ recensement du nom. - Code:
♦ Hokins
♦ recensement du métier. - Code:
♦ Charpentier
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Re: Jake « Le Loup Solitaire »
Lun 18 Jan 2016 - 16:51
Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :
1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours . Un délai supplémentaire peut être accordé par un Administrateur.
2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.
3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.
4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des solitaires, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.
5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.
6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.
Bonne rédaction !
Bonne rédaction !
Bienvenue !
Si tu as la moindre question, n'hésite pas !
Par contre, ton avatar n'est pas aux normes. On demande une taille de 200 pixels de largeur sur 320 de hauteur. Si jamais tu ne peux pas en trouver ou que en faire à la bonne taille, fais-moi signe je t'en ferai un ^^
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