Je déteste l'injustice sous toutes ses formes et lorsque j'en suis témoin, je me met facilement en colère au point que j'en viens rapidement aux mains. On me dis souvent que je devrais prendre le temps de réfléchir avant d'agir, mais j'ai beau tenté de travailler là dessus, je ne tiens pas plus de trois heures. Je suis doué avec mes mains au point que j'étudie la poterie et le travail du verre depuis deux ans maintenant. Je crois que c'est seulement lorsque j'ai de l'argile ou du verre chauffé que je me montre calme et posé, car en temps normal je suis une vrai boule de nerfs qui cours dans tout les sens pour trouver un petit quelque chose à faire. Je suis aussi un jeune homme discret qui n'aime pas vraiment parler de toutes les personnes qui sont restées dans son pays où j'aurai dû retourner. Je parle très bien la langue du pays alors je n'ai aucun mal à comprendre les autres ou encore à dire ce que j'ai envie. En cas de danger, il est hors de question pour moi de rester en arrière en laissant les autres faire face. Je vais les aider, mais je n'ai pas toujours en tête que je risque de mourir. Je suis une personne rancunière envers les gens alors il ne faut pas s'étonner que je laisse les personnes en question se débrouiller seule. Je suis comme cela. J'aide tant que je peux tant que personne ne s'amuse à me prendre pour une bille. Depuis le jours où j'ai compris que la poterie était faite pour moi, j'ai voulu voir ce que je pouvais faire de mes mains. J'ai appris les basse de la mécanique et de construction en tout genre grâce à cela. J'avoue que je n'en suis pas aussi fan que la sculpture, mais je ne rechigne pas à faire ces deux activités. Je suis donc une personne pouvant jouer sur plusieurs tableaux sans la prétention d'être un as dans les deux domaines.

→ qualities.
Juste
Serviable
Polyvalent
Amical
Courageux
Sincère → defects.
Bagarreur
Irréfléchi
Secret
Ne tient pas en place
Rancunier
Impatient

Je suis un jeune homme basique. Je suis assez grand et maigrichon pour mon âge. J'ai une fine barbe sur mon visage qui ressemble encore à celui d'un adolescent. J'ai les yeux noisette et les cheveux brun foncé. Je porte des vêtements qui sont facilement qualifiable de tenue de motard alors que je n'ai pas la moindre moto ou tout autre véhicule à deux roues. Pour me défendre, j'ai un couteau de cuisine trouvé dans le restaurant où se trouvait la conférence artistique et un un fusil militaire trouvé dans la rue, mais il ne me sert actuellement à rien puisque je n'ai plus la moindre balle à mettre dedans.

Je suis né à Lyon il y a maintenant vingt deux ans de cela. Je suis arrivé une année après mon grand frère, Liam et deux avant ma petite soeur, Sandrine. J'aimais jouer à la bagarre avec Liam et je ne passais pas vraiment de temps avec Sandrine pendant les dix premières années de ma vie. Je crois que c'était simplement parce que je n'étais pas un grand fan des jeux comprenant une poupée. J'étais un peu rebelle envers mes parents en prenant un malin plaisir à faire le contraire de ce qu'il me disais. Un jour, mon père avait comprit me petit manège. Il me sortait le contraire de ce qu'il voulait que je fasse. J'avais douze ans à ce moment là et depuis ce petit jeu, j'ai commencer à écouter se que mes parents me disait. Je n'étais pas un très bon élève alors lorsque j'eus seize ans, je me suis mis à sécher les cours avec les copains. Nous nous rendions au parc et fumions des cigarettes bon marché en buvant des bières que nous transvidions dans des canettes de soda pour donner les change. La combine dura moins d'une année. Un jour, des jeunes plus âgés que nous nous demandèrent un coup de main en échange de quelques joints. Nous n'avions pas encore testé alors ce ne fut pas surprenant de nous voir accepter. Le travail en question était de vider deux caves qui contenaient des objets électroniques comme des mp3 ou encore des ordinateurs. Nous nous étions fait prendre et cela nous causa pas mal d’ennuis. Mes amis et moi dûmes faire des travaux d’intérêt général et cela fut beaucoup moins fun que dans la série Misfits que nous aimions tous regarder à cette époque. Je fus suivit par un éducateur qui me donnais la sensation de s'en foutre pas mal de ma petite personne et qui m'obligea à prendre des cours du soir dans un domaine de mon choix. Je pouvais choisir entre mathématique renforcé ou Anglais alors ce fut ce dernier qui me parus le moins pénible. La prof était une jeune femme assez mignonne et cela me poussa à être assidu en cours et à bosser. Ce fut de cette manière qu'en moins d'un an je parlais parfaitement la langue. Heureusement, je finis par comprendre que mon comportement était destructeur et ne servait pour ainsi dire pas à grand chose. Ce fut deux ans plus tard, lors d'une exposition artistique que ma  mère m'obligea à voir que je me suis rendu compte que je trouvais la sculpture sur verre et argile vraiment splendide. Je me suis trouvé un maître d'apprentissage en la personne de monsieur Martin et grâce à lui, je devins assez bon comme verrier. Peu de temps avant l'épidémie, il me proposa un voyage à Seatle afin que de participe à un conférence portant sur les ouvertures culturelles offertes par l'art où se trouverait pas mal de bon sculpteurs connus dans le monde entier. J'en étais ravi, mais pour être franc, je n'aurais pas pris l'avion si j'avais su ce qui allait advenir de notre planète.

J'étais dans un pays que je ne connaissais pas vraiment lorsque tout à changer sur terre. Les gens qui dirigeaient l'hotel nous demandèrent de rester bien au chaud et j'avoue que les images qui nous parvenait via le petit écran ne nous poussaient pas vraiment à faire autrement. Nous avons donc tenter de continuer la conférence comme cela était prévu afin de s'occuper la tête. Pourtant au bout de deux jours, nous ne pouvions plus continuer. Un retardataire tomba malade et tout le monde fut mit en quarantaine dans les chambres et j'étais ravi de partager la mienne Monsieur Martin qui était pour moi une sorte de figure rassurant et paternel. Nous parlions de ce que nous avions laissé en France. Au début parler de ma famille ne me dérangeais pas, mais au fil du temps je devins nostalgique. Nous fûmes donc de nouveau mit en quarantaine et cela ne me plus pas, car cette fois ci je fus tout seul dans ma chambre.
Deux semaines après que nous étions en quarantaine et sans que je comprenne vraiment comment cela arriva, le retardataire se balada dans les couloirs en contaminant toutes personnes tentant une sortie malgré l'interdiction. Ce fut comme cela que Monsieur Martin se fit avoir malgré sa prudence. Nous étions tout de même assez nombreux pour nettoyer les lieux. pendant sept mois, nous étions en sécurité dans l'hotel. Je faisais partie de l'équipe qui sortait pour trouver tout ce qui pouvait être utile. Un jour l'un d'entre nous se fit mordre, mais personne ne le sus, car ce dernier n'en informa personne. De retour à l'hotel, il alla directement dans sa chambre. Il y resta un moment avant que tout parte de nouveau en cacahouète. Pendant qu'il se faisait dévorer par certaine personne avec qui j'avais conversé lors de la conférence, je me suis déplacé jusqu'au cuisine afin de tenter de trouver de quoi me défendre. Deux autres personnes eurent la même idée alors nous primes ce qui nous tombaient sous les doigts. Je trouvais, de cette manière mon couteau de cuisine qui reste le plus souvent dans le creux de ma main. A trois, nous sommes parvenus à sortir de l'hotel au bout de trois jours, car nous devions nous montrer prudents. Une fois dehors nous prîmes des chemins différents. Je n'avais pas vraiment envie de devoir prendre soins de quelqu'un tant que je n'en savais pas plus. Depuis, je me ballade de rue en rue pour tenter de comprendre, mais les choses étaient de pire en pire. Je bougeais sans arrêt sans vraiment savoir où aller, mais je ne me sentais pas la force de quitter le confort de la ville. Il se passa prêt de trois semaines avant qu'un soir, je vis des soldats se faire avoir, mais l'un d'entre eux me montra comment mettre un terme à la marche des morts. En effet, il enfonça son couteau dans la tête de celui qui lui faisait face sans prendre garde aux deux qui arrivaient par derrière. Après avoir attendu une petite heure que les morts quittent les lieux, je pus récupérer un fusil sur un corps avant que ce dernier ne se relève. Je ne savais pas me servir de cet arme à ce moment là et c'est sans doute à cause de cela que l'accident se produisit le lendemain. Je ne sais pas comment j'ai fais, mais je me suis tirer une balle dans le pied au bout de deux heures avec le fusil entre les main. Cela faisait un mal de chien. Se fut Sandra qui me trouva presque tout de suite après le drame. J'avais perdu une grande quantité de sang et cela me fis perdre connaissance. Lorsque je repris conscience, je me trouvais dans un grenier sur un matelas entourer d'une dizaine de personne. Je ne connaissais personne, mais je me sentais en famille en leur compagnie alors je décida de rester avec eux. Lorsque mon pied n'était plus douloureux quand il entrait en contact avec le sol, Max, le plus âgé d'entre nous conduisit les homme de la tribut à l'extérieur de la ville dans une voiture tout terrain pour nous apprendre à tirer avec nos armes respectifs. Au début, je n'étais pas à l'aise avec la manipulation du fusil, mais il me mit en confiance et au bout de quelques séance de tir, il ne faisait plus le moindre doute que je savais m'en servir convenablement. Pendant prêt de quatre mois, nous restions cachés dans les greniers en changeant d'endroit tout les quinze jours environs. Un soir pourtant, tout s'écroula. Les bouffeurs de cervelle parvinrent à entrer et le carnage se produisit. Seul Sandra et moi nous sortîmes de là avant de nous faire dévorer. Elle ne fut put du tout la même après. Il faut dire que son frere et son père se trouvaient parmi ceux qui ne survécurent pas à l'attaque des bouffeurs de cervelles. Une semaine plus tard, elle se suicida pour les rejoindre. Depuis un peu moins d'un mois maintenant, je fais tout pour rester en vie tout en essayant de ne pas me transformer en monstre tout en refusant de me servir de la solution de facilité. Je ne sais pas trop combien de temps je vais parvenir à survivre, mais je compte bien tout faire pour que la tâche de me tuer ne soit pas des plus simple.