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Scott Norton
Lun 14 Nov 2016 - 3:43
39 ans• Texas • PROFFESSEUR DE PHILOSOPHIE ET ACTIVISTE • TRAVELERS
Liberté, égalité, individualisme, bonheur sont les valeurs qu’entourait Scott Norton dans sa belle société américaine. Mais, lui avait commencé tranquillement à penser qu’elles ne valaient rien. Que l’existence de cet animal possédant une conscience d’elle-même, qu’on appelle homme, était, en fait, marquée par l’illusion donnée que nous somme des personnes distinctes à part entière. Le philosophe critiquait en effet, avant l’apocalypse, la vie que l’homme s’était inventé à partir de sa culture et de sa société. La voyant ainsi comme une série de mensonge que l’humain se racontait pour justifier ses actes absurdes. C’est pourquoi il a investi toute sa carrière à tenter de diffuser sa façon de penser, entre grâce à son livre, car il avait grandement espoir que l’homme pouvait et devait cesser tous ces actes injustes comme la guerre, l’oppression. Autrement dit, il avait espoir que sa révolte porterait fruit. Mais, maintenant que société et culture sont chose du passé, le Professeur Norton en déduisait que l’être humain était maintenant plus près de sa véritable nature. Malgré ce constat, Norton en restait pas moins troublé par ce qu’il voyait. Ayant perdu sa femme il n’eut aucune raison de voir les choses du bon côté. Le contacte constant avec les morts et les vivants qui s’entretuent pour la plupart du temps amena le philosophe à faire sa conclusion : Si, selon lui, l’homme était au plus près de sa véritable nature et que ceci signifiait qu’il s’autodétruirait, alors il n’y a plus d’espoir pour l’humanité.
Ceci entraînera chez Norton une méfiance constante des événements à suivre, vue par lui comme une sorte de réalisme et par les autres comme une sorte de pessimisme. Il n’y a plus aucune ombre de joie chez lui due au fait qu’il est profondément en deuil. Sa conjointe était en effet la seule qu'il lui donnait un petit peut d'espoir qu'il n'est pas trop tard pour améliorer le monde. Lorsqu'il rencontre des personnes, Scott reste avec eux dans le seul but de pouvoir mieux survivre, car sa seule priorité en ce moment c’est de rester en vie. Le professeur a l’espoir que quelque chose pourrait arriver pour lui montrer qu’il a tort sur sa vision négative des choses, c’est pourquoi il ne se soit pas encore enlevé la vie. Outre cela, Norton est encore un philosophe et garde en écrit ces pensés dans son cahier. Il est un être grandement intelligent et rationnel. Il ne mêle que très rarement ses émotions dans ses réflexions et essaie d’être le plus objectif possible. Il pense encore que la raison est l’arme la plus puissante de l’homme, et c’est grâce à cela qu’il survit depuis plus de 5 mois seul.
Ceci entraînera chez Norton une méfiance constante des événements à suivre, vue par lui comme une sorte de réalisme et par les autres comme une sorte de pessimisme. Il n’y a plus aucune ombre de joie chez lui due au fait qu’il est profondément en deuil. Sa conjointe était en effet la seule qu'il lui donnait un petit peut d'espoir qu'il n'est pas trop tard pour améliorer le monde. Lorsqu'il rencontre des personnes, Scott reste avec eux dans le seul but de pouvoir mieux survivre, car sa seule priorité en ce moment c’est de rester en vie. Le professeur a l’espoir que quelque chose pourrait arriver pour lui montrer qu’il a tort sur sa vision négative des choses, c’est pourquoi il ne se soit pas encore enlevé la vie. Outre cela, Norton est encore un philosophe et garde en écrit ces pensés dans son cahier. Il est un être grandement intelligent et rationnel. Il ne mêle que très rarement ses émotions dans ses réflexions et essaie d’être le plus objectif possible. Il pense encore que la raison est l’arme la plus puissante de l’homme, et c’est grâce à cela qu’il survit depuis plus de 5 mois seul.
Scott était à Seattle pour une conférence et était donc, au moment des débuts de la fin, habillé en conséquence. C’est-à-dire « veston/cravate ». Actuellement, il a encore sur le dos son veston bleu marin. Ayant eu de la difficulté à trouver de vêtement chaud, il l'a conserva, car il s’agissait du mieux qu’il avait. Celui-ci était grandement abimé et sale. Les épaulettes sont plus foncées que le reste dû à la pluie, le bras gauche est décousu à la verticale en partant du poignet jusqu’au coude et une tache de sang peut être visible sur la hanche droite. Bref, tout indique qu’il serait grand temps pour lui de trouver une autre veste surtout avec l’hiver qui arrive à grands pas. Il eut néanmoins la chance d’avoir un gilet en laine vert-brun qu’il porte en dessous de son veston. Ses pantalons sont noirs et bouffants et ses souliers sont en cuirs noirs. Il y a aussi accroché à sa ceinture de cuir un canif de pêche, deux mousquetons et une lampe de poche sans batterie. Enfin, il porte à son dos un vieux sac militaire vert d’à peu près 40 litres où est accroché son fusil de chasse à lunette de rapprochement.
Le visage du professeur Norton semble être extrêmement fatigué et vieilli par ses expériences du Nouveau Monde. Il est, en effet, largement mince, creux et la moitié de celui-ci est couvert d’une barbe brune et sèche. Ses cheveux gras son mi — long et entrainer vers l’arrière de sa tête. Avec un tel look, il est peu probable deviner que Scott à moins de 40 ans. Son corps, néanmoins, en laisse croire autrement. Ses longues heures de vélo lui ont valu une bonne forme physique. Il a une musculature raide et allongée qui enveloppe son grand corps mince.
Le visage du professeur Norton semble être extrêmement fatigué et vieilli par ses expériences du Nouveau Monde. Il est, en effet, largement mince, creux et la moitié de celui-ci est couvert d’une barbe brune et sèche. Ses cheveux gras son mi — long et entrainer vers l’arrière de sa tête. Avec un tel look, il est peu probable deviner que Scott à moins de 40 ans. Son corps, néanmoins, en laisse croire autrement. Ses longues heures de vélo lui ont valu une bonne forme physique. Il a une musculature raide et allongée qui enveloppe son grand corps mince.
Norton est né au Texas le 12 mai 1977 dans la ville de Huston. Il s’est intéressé, dès l’âge de 17 ans, à la philosophie. Durant son adolescence, il remettait excessivement tout en question. Il ne put s’empêcher de se demander pourquoi il devait faire ci et ne pas faire cela. Pourquoi les études sont-elles si importantes? Pourquoi est-ce si obligatoire d’avoir des amis pour être heureux? Jusqu’au jour où, lors de son cours de monde contemporain du Lycée, sont professeur lui fît découvrir que plusieurs personnes avaient, eux aussi, grandement posé des questions sur l’existence humaine. Ils s’appelaient des philosophes. Des amoureux de la sagesse, de la pensée et du questionnement. Bien que tout indiquait que des études dans un tel domaine menaient à peu de choses, le jeune homme était décidé à apprendre plus sur cette discipline et à vivre sa vie à se poser des questions et peut être même à y répondre. Il lira alors, pour le plaisir ou pour des fins académiques, tous les livres de philosophies qui ont marqué les pensées occidentales, celui-ci développera une connaissance très approfondie des concepts de la nature humaine, de la politique et des relations sociales. De Socrate, Platon, Aristote à Machiavel, Hobbes, Smith, Rousseau et Voltaire. Bien entendue en passant par Camus, Sartre, Nietzsche et Foucault.
Mais ce n’est pas tout, les études supérieures de Scott furent tout aussi marquées par son activisme passionné. Ce besoin d’agir, de révolte et de faire entendre sa voix vient, sans aucun doute, de son père. Celui-ci était un photographe professionnel qui faisait principalement de la photographie documentaire sur la condition humaine. Il prit des photos au Vietnam lors de la guerre, au Berlin lors de la chute du mur, au Koweït lors de la guerre du Golfe, au Soudan lors de la grande famine et même au Rwanda lors du génocide. De plus que les études que Scott entreprenait mettent en effet la lumière sur les divers problèmes de société que celui-ci, comme son père, ne pouvait supporter de voir sans agir.
C’est alors qu’il s’engageait dans divers comités universitaires qui combattaient contre la pauvreté, la discrimination, le sexisme, l’oppression, etc. Il ira même en voyage en Amérique du Sud, au Guatemala, où il travaillera pour améliorer les conditions de vie des autochtones. Il sera, de même, présent dans plusieurs manifestations contre les 2 guerres du Golfe, le racisme systémique américain, la peine de mort, les prisonniers politiques à travers le monde et même le réchauffement climatique. Bref, de telles expériences lui ont valu une carrière de philosophe bien réputé, sans pour autant cesser sa lutte pour un monde meilleur.
Il écrira un essai fort intéressant nommé La pensée absurde des Hommes, un livre aux allures camusienne expliquant comment l’homme peut être capable de commettre autant d’injustice et comment il pourrait peut-être en finir. Celui-ci lui vaudra un grand succès et la crédibilité pour devenir conférencier et ensuite professeur de philosophie à l’université de Los Angeles, où il avait déménagé depuis le début de ses études. Tout en organisant divers voyages humanitaires à travers la planète avec plusieurs organismes.
Lors de ces années prometteuses, Scott fonda une famille avec sa femme Norma Smith, d’origine écossaise, qu’il rencontra durant la convention européenne des droits de l’homme. Ils étaient tous deux animés par ce besoin de faire sa part pour améliorer les choses, pour combattre l’absurdité humaine. Néanmoins, Norma n’était pas une intellectuelle, mais une artiste du cinéma. Elle a même remporté un prix au festival de Canne pour son film The stranger qui racontait l’histoire d’un immigrant africain de Londres, dans les années 50, condamné à mort pour un crime qu’il aurait commis. Un film émouvant abordant plusieurs sujets comme le racisme, l’ethnocentrisme et même la conception du bien et du mal. Tout en faisant preuve de grande rigueur artistique et de nouveauté cinématographique. Scott et Norma furent alors tous les deux profondément attirez par leurs empathies communes pour l’humain et par leur vivacité d’esprit. C’est ainsi qu’ils deviendront partenaire et de vie et partenaire professionnelle. Ils travailleront ensemble dans divers projets de film, de voyage humanitaire et de campagnes de sensibilisations. N’empêchant pas l’un décrire un essai philosophique et l’autre de réaliser d’autres films.
Et c’est plutôt ceci qui résume la vie du professeur activiste Scott Norton jusqu’aux événements d’Octobre 2015. Scott se trouvait à Seattle avec sa femme Norma pour le travail. Le philosophe pour une convention du livre philosophique et sa femme pour l’accompagner et trouver du financement pour son prochain film documentaire sur l’indépendance des femmes africaines. Ils avaient pris un avion à partir de Los Angeles et avaient atterri le 12 octobre. Leurs billets de retour étaient prévus pour le 20 octobre…
Mais ce n’est pas tout, les études supérieures de Scott furent tout aussi marquées par son activisme passionné. Ce besoin d’agir, de révolte et de faire entendre sa voix vient, sans aucun doute, de son père. Celui-ci était un photographe professionnel qui faisait principalement de la photographie documentaire sur la condition humaine. Il prit des photos au Vietnam lors de la guerre, au Berlin lors de la chute du mur, au Koweït lors de la guerre du Golfe, au Soudan lors de la grande famine et même au Rwanda lors du génocide. De plus que les études que Scott entreprenait mettent en effet la lumière sur les divers problèmes de société que celui-ci, comme son père, ne pouvait supporter de voir sans agir.
C’est alors qu’il s’engageait dans divers comités universitaires qui combattaient contre la pauvreté, la discrimination, le sexisme, l’oppression, etc. Il ira même en voyage en Amérique du Sud, au Guatemala, où il travaillera pour améliorer les conditions de vie des autochtones. Il sera, de même, présent dans plusieurs manifestations contre les 2 guerres du Golfe, le racisme systémique américain, la peine de mort, les prisonniers politiques à travers le monde et même le réchauffement climatique. Bref, de telles expériences lui ont valu une carrière de philosophe bien réputé, sans pour autant cesser sa lutte pour un monde meilleur.
Il écrira un essai fort intéressant nommé La pensée absurde des Hommes, un livre aux allures camusienne expliquant comment l’homme peut être capable de commettre autant d’injustice et comment il pourrait peut-être en finir. Celui-ci lui vaudra un grand succès et la crédibilité pour devenir conférencier et ensuite professeur de philosophie à l’université de Los Angeles, où il avait déménagé depuis le début de ses études. Tout en organisant divers voyages humanitaires à travers la planète avec plusieurs organismes.
Lors de ces années prometteuses, Scott fonda une famille avec sa femme Norma Smith, d’origine écossaise, qu’il rencontra durant la convention européenne des droits de l’homme. Ils étaient tous deux animés par ce besoin de faire sa part pour améliorer les choses, pour combattre l’absurdité humaine. Néanmoins, Norma n’était pas une intellectuelle, mais une artiste du cinéma. Elle a même remporté un prix au festival de Canne pour son film The stranger qui racontait l’histoire d’un immigrant africain de Londres, dans les années 50, condamné à mort pour un crime qu’il aurait commis. Un film émouvant abordant plusieurs sujets comme le racisme, l’ethnocentrisme et même la conception du bien et du mal. Tout en faisant preuve de grande rigueur artistique et de nouveauté cinématographique. Scott et Norma furent alors tous les deux profondément attirez par leurs empathies communes pour l’humain et par leur vivacité d’esprit. C’est ainsi qu’ils deviendront partenaire et de vie et partenaire professionnelle. Ils travailleront ensemble dans divers projets de film, de voyage humanitaire et de campagnes de sensibilisations. N’empêchant pas l’un décrire un essai philosophique et l’autre de réaliser d’autres films.
Et c’est plutôt ceci qui résume la vie du professeur activiste Scott Norton jusqu’aux événements d’Octobre 2015. Scott se trouvait à Seattle avec sa femme Norma pour le travail. Le philosophe pour une convention du livre philosophique et sa femme pour l’accompagner et trouver du financement pour son prochain film documentaire sur l’indépendance des femmes africaines. Ils avaient pris un avion à partir de Los Angeles et avaient atterri le 12 octobre. Leurs billets de retour étaient prévus pour le 20 octobre…
Scott et Norma avaient entendu parler des certains cas de violences inhabituelles à travers le pays avant de partir pour Seattle, mais n’en avaient pas vraiment fait un cas. Ils partirent tout de même pour Seattle sans trop d’inquiétude et avec la certitude qu’ils reviendraient à Los Angeles. Ils arrivèrent alors le 12 octobre, la journée où entendissent parlés de corps mort à l’hôpital qui disparaissait et même se relevait. Bien que Norma fût très troublée, Scott n’en fit pas inquiet, pour lui il y avait une explication bien banale et l’affaire sera réglée d’ici 2-3 jours. Ils seront néanmoins pris au piège dans l’état de Washington lorsque leur billet de retour sera annulé et que les trafics aériens seront fermés.
La situation se dégradait de plus en plus au centre-ville, où se trouvait leur hôtel, avec les manifestations et les cas de violence qui se multipliait. L’activiste ne prit aucunement parti aux manifestations, car il ne voyait pas en quoi se révolter ouvertement dans les rues envers quelque chose que personne ne comprend pouvait aider la situation. Il décida plutôt d’aller louer une voiture et de se réfugier chez un de ses anciens collègues de travail vivant dans les banlieues à quelques kilomètres à l’est de l’aéroport pour s’éloigner du centre-ville. Il se nommait Henri et les accueillis avec grande générosité dans sa petite maison où il vivait seul.
Vers le 20 octobre, le jour où le couple aurait dû rentrer chez eux si rien de tout cela n’était arrivé, des forces de l’armé commencèrent à créer un périmètre sécurisé. La loi martiale venait d’être mise en place et Scott, Norma et Henri voyaient le quartier de banlieue se transformer en camps de réfugiés. C’est à ce moment que Scott avouera à lui-même que la situation est réellement critique. Il n’avait pas encore osé voir ce qui se passait comme une crise, mais en voyant les chars d’assaut, les hélicoptères et les hommes armés défiler dans les rues pour se diriger vers le centre-ville qui semblait devenir de plus en plus anarchique, il comprit qu’il était peut-être temps de voir la situation comme grave. Et c’est à ce moment qu’il commencera à avoir réellement peur, à ne pas se sentir en sécurité. Il eut donc l’idée de partir vers un environnement plus sûr. Plus éloigné de la ville au moins. Il demanda à son ami Henri s’il connaissait un lieu relativement sécuritaire, celui-ci lui informa que sa famille possède un petit chalet éloigné sur Sunrise Beach, à 1 heure de route.
Mais Henri ne voulait pas y aller, il ne voyait pas le point de quitter la sécurité de sa maison et ne voulais pas risquer de la voir réquisitionner par l’armé. Après 5 jours à essayer de le convaincre de les suivre lui et Norma, Henri finira par donner à Scott les clefs de son chalet pour qu’ils puissent lui « emprunter » jusqu’à que les choses aient mieux. C’est ainsi que le 25 octobre, Norma et Scott quittèrent les banlieues pour se diriger vers le sud où se trouvait la fameuse cabane à Henri.
Sur la route, ils rencontrèrent et affrontèrent leurs premiers groupes de rôdeurs. En effet, pris dans un embouteillage, Scott vit un homme, un père de famille, se faire attaquer par 3 autres personnes qui semblaient être les fameux morts vivants. Scott sortit de sa voiture pour venir en aide au malheureux. Il entamera un combat pathétique et complètement inutile, faute de ne pas savoir quoi faire, et il survivra de justesse. Malheureusement, il regardera cet homme se faire dévorer vivant par les 3 rôdeurs. Complètement traumatisé, il retourna dans sa voiture rejoindre Norma et décida qu’il est temps de trouver une route alternative. Ils perdront leur voiture à cause d’un bête accrochage et devront terminer le trajet à pied.
Ils se rendirent tant bien que mal au fameux chalet en début novembre. Il s’agissait d’une vieille cabane situer sur le bord de la mer. Elle était petite, avait seulement un étage, peu de fenêtres, un lit double, un foyer, une vieille cuisinière et plusieurs draps. Le couple, en fouillant le petit chalet, trouvèrent une arme de chasse à longue vue, des munitions, des boites de conservent et une trousse de premiers soins. Étant éloigné, entre la plage et la forêt cet abri était parfait pour y rester en attendant que les choses se calment.
En 5 mois, Norma et Scott deviendront de plus en plus habitués à ce monde bien qu’ils étaient presque totalement isolés, ils ont chacun eu à tuer une poignée de rôdeur pour survivre lors de leurs récupérations de vivres. Ils étaient beaucoup plus à l’aise avec leur arme à feu et leurs couteaux. Bien qu’ils aient froid, ils réussissent à se garder au chaud à l’aide du foyer et des draps. Tout semblait aller pour le mieux, Scott avait même recommencé à écrire dans un journal qu’il avait trouvé. Il tentait de comprendre ce qui se passait chez l’homme, qu’elle était sa future dans ce monde, etc. Le couple formait une équipe d’enfer par leur entraide et leur moral. Néanmoins, leur isolement du reste du monde allait tirer à sa fin.
Durant une nuit froide, Norma fut réveillée par une voiture qui se parqua directement à côté du chalet. Celle-ci s’empressa de verrouiller la porte et d’avertir son mari. Les deux s’approchèrent de la fenêtre en armant la carabine et tentèrent de voir à l’extérieure. Ils virent dans la pénombre 3 hommes armés s’approcher furtivement vers le chalet. Scott face à cela entamera un dialogue avec les étrangers : « Qui va là? ». Un des hommes dans la pénombre répondra : « Scott? »
En effet, il s’agissait de Henri, mais celui-ci ne semblait pas aussi généreux et accueillant que la dernière fois. Henri est les deux étrangers ne baisseront pas leurs armes et ordonneront au couple de quitter immédiatement, il s’agit de leur chalet et ils content le récupérer. Scott, bien qu’il ait été isolé de la ville depuis 3 mois, n’est pas stupide, il risquerait grandement sa vie et celle de sa conjointe à quitter cet emplacement. En posant un regard sur Norma, apeurée, il comprit qu’il devait, par tous les moyens, protéger le peu de sécurité qu’ils avaient. C’est alors qu’il tira au pied de Henri, en lui criant de rebrousser chemin. Henri repoudrera par une fusillade qui forcera le couple à fuir pour survivre.
Malheureusement, durant la fuite, Norma sera touchée. Norton tentera de la sauver, mais, après quelques heures, elle succombât à sa blessure. Norton, pour la première fois de sa vie, vivait un énorme drame. Sachant qu'elle se transformera bientôt, ce n'est pas difficultés que Norton plenta son couteau dans le crane de sa défunte femme. Norma était la seule raison pourquoi il n’avait pas encore totalement d’espéré depuis 5 mois de survie. Il ne pouvait pas croire qu’elle soit morte, qu’elle ait été assassinée. Norton sera pris d’une telle colère, qu’il perdra tout sens de rationalité. Il avait qu’une idée en tête : tuer ceux qui ont assassiné sa femme.
La nuit suivante, après avoir enterré sa défunte femme, il retournera au chalet où Henri et ses compagnons étaient déjà bien installés. Durant leurs sommeille, il bloqua la porte de l’extérieure et mis le feu au bâtiment. Norton restera près pour veiller à ce que les hommes ne puissent pas s’échapper. Il entendra les cris désespérés des hommes brulant jusqu’à leur mort. L’assassinat de ces 3 hommes ne reviendra jamais à l’esprit de Norton. Il vivra le moment pleinement, en se réjouissant et en les maudissant, mais à la suite, jamais il ne voudra repenser à cette terrible nuit. Non pas par remords, mais pour garder son sang-froid. Car maintenant, le vrai combat allez commencer. Bien sûr un combat contre les bandits et les rôdeurs. Un combat pour la survie. Mais avant tout : un combat avec lui-même à savoir si l’absurdité de ce monde vaut la peine d’être vécue.
À partir de ce jour, Norton perdra espoir. Le suicide est, pour lui, à la foi objet de désir et objet de dégoût. Ce qui le tiendra en vie sera le souvenir de Norma et de son enthousiasme, l’espoir qu’elle avait tenté de lui donner lors de son vivant. Norton continuera son combat pour la survie, seul, en vagabondant d’un lieu à l’autre pendant tout le printemps et l’été, soit 4 mois. Il croisa d’autres survivants, mais ne rentrait jamais en contact avec eux. Mais il eut un moment où il n’a pas pu éviter un groupe.
En effet, 7 bandits le capturèrent durant son sommeil alors qu’il était campé dans un boisé. Ils le dépouilleront de son arme et de sa nourriture pour ensuite le garder prisonnier sous prétexte qu’ils ont besoin d’un gens pour faire diversion avec les rôdeurs pendant qu’ils dévaliseraient des commerces. Norton, bien qu’il fût réellement dans la merde, n’a pu s’empêcher de commenter comment ce groupe était complètement stupide de ne pas simplement créer eux même la diversion sans appâts humains. Mais les bandits lui répondirent que tant qu’avoir à le tuer, car selon eux le garder en vie était un risque pour leur groupe, pourquoi le rendre utile avant.
C’est par après que le groupe capturera deux autres hommes. Deux frères : George et Noah Watanabe. Les deux avaient plusieurs années de différence, mais se ressemblaient beaucoup dans leur caractère pragmatique et fier. Scott acceptait peu à peu le sort qui lui était réservé, pensant qu’il n’y avait possibilité de s’en sortir. Il n’en était pas très troublé non plus. Mais, lors du moment de vérité. Lorsque les bandits relâchèrent leurs prisonniers sur un groupe de morts-vivants pour qu’ils puissent avoir la voie libre vers un centre commercial, George et Noah n’acceptèrent pas leurs destins. Ceux-ci, en ramassant des armes improvisées par terre, feront tout ce qu’ils peuvent pour combattre et survivre. Norton, pour la première fois depuis la mort de sa conjointe, combattra avec ardeur pour sa survie en suivant l’exemple des deux frères. Et ce sera par miracle qu’ils réussiront à s’en sortir et à retourner le plan des bandits contre eux. Soit en attirant le plus de morts-vivants possible à l’entrée. Il en suivra à une fuite vers le campement plus ou moins abandonner des bandits où le plus jeune frère, Noah, sera tué par une balle. George, paralysé par la mort subite de son frère, se ressaisira après que Norton est tenter de le convaincre de laisser le corps de son frère pour éviter de se faire tuer par les rôdeurs où les bandits qui était sans aucun doute en approche. Une sorte de manière de rendre la pareille à ce vieil homme qui lui avait, d’une façon, donné la force à sauver sa vie. Scott ne sait pas si George sait que les mords, mordu ou pas, se transforme. Mais il n'avait pas le temps de lui expliquer. Il fallait partir au plus vite.
C’est ainsi que le trio devenu un duo se rendit jusqu’à l’endroit où les bandits vivaient pendant qu’ils étaient dans la région. Une fois là-bas, Scott et George réussirent à éliminer celui qui montait la garde assez facilement, ce qui leur permit ensuite de récupérer leur équipement. Ils partirent ensuite vers le Nord, essayant de rejoindre la ville pour trouver un endroit où ils pourraient décider que faire pour le futur. Il faut noter que le campement des bandits était situé dans les environs de South Hill, au sud de Tacoma. Ils se dirigèrent alors vers Tacoma, où ils se trouvent encore à ce jour.
La situation se dégradait de plus en plus au centre-ville, où se trouvait leur hôtel, avec les manifestations et les cas de violence qui se multipliait. L’activiste ne prit aucunement parti aux manifestations, car il ne voyait pas en quoi se révolter ouvertement dans les rues envers quelque chose que personne ne comprend pouvait aider la situation. Il décida plutôt d’aller louer une voiture et de se réfugier chez un de ses anciens collègues de travail vivant dans les banlieues à quelques kilomètres à l’est de l’aéroport pour s’éloigner du centre-ville. Il se nommait Henri et les accueillis avec grande générosité dans sa petite maison où il vivait seul.
Vers le 20 octobre, le jour où le couple aurait dû rentrer chez eux si rien de tout cela n’était arrivé, des forces de l’armé commencèrent à créer un périmètre sécurisé. La loi martiale venait d’être mise en place et Scott, Norma et Henri voyaient le quartier de banlieue se transformer en camps de réfugiés. C’est à ce moment que Scott avouera à lui-même que la situation est réellement critique. Il n’avait pas encore osé voir ce qui se passait comme une crise, mais en voyant les chars d’assaut, les hélicoptères et les hommes armés défiler dans les rues pour se diriger vers le centre-ville qui semblait devenir de plus en plus anarchique, il comprit qu’il était peut-être temps de voir la situation comme grave. Et c’est à ce moment qu’il commencera à avoir réellement peur, à ne pas se sentir en sécurité. Il eut donc l’idée de partir vers un environnement plus sûr. Plus éloigné de la ville au moins. Il demanda à son ami Henri s’il connaissait un lieu relativement sécuritaire, celui-ci lui informa que sa famille possède un petit chalet éloigné sur Sunrise Beach, à 1 heure de route.
Mais Henri ne voulait pas y aller, il ne voyait pas le point de quitter la sécurité de sa maison et ne voulais pas risquer de la voir réquisitionner par l’armé. Après 5 jours à essayer de le convaincre de les suivre lui et Norma, Henri finira par donner à Scott les clefs de son chalet pour qu’ils puissent lui « emprunter » jusqu’à que les choses aient mieux. C’est ainsi que le 25 octobre, Norma et Scott quittèrent les banlieues pour se diriger vers le sud où se trouvait la fameuse cabane à Henri.
Sur la route, ils rencontrèrent et affrontèrent leurs premiers groupes de rôdeurs. En effet, pris dans un embouteillage, Scott vit un homme, un père de famille, se faire attaquer par 3 autres personnes qui semblaient être les fameux morts vivants. Scott sortit de sa voiture pour venir en aide au malheureux. Il entamera un combat pathétique et complètement inutile, faute de ne pas savoir quoi faire, et il survivra de justesse. Malheureusement, il regardera cet homme se faire dévorer vivant par les 3 rôdeurs. Complètement traumatisé, il retourna dans sa voiture rejoindre Norma et décida qu’il est temps de trouver une route alternative. Ils perdront leur voiture à cause d’un bête accrochage et devront terminer le trajet à pied.
Ils se rendirent tant bien que mal au fameux chalet en début novembre. Il s’agissait d’une vieille cabane situer sur le bord de la mer. Elle était petite, avait seulement un étage, peu de fenêtres, un lit double, un foyer, une vieille cuisinière et plusieurs draps. Le couple, en fouillant le petit chalet, trouvèrent une arme de chasse à longue vue, des munitions, des boites de conservent et une trousse de premiers soins. Étant éloigné, entre la plage et la forêt cet abri était parfait pour y rester en attendant que les choses se calment.
En 5 mois, Norma et Scott deviendront de plus en plus habitués à ce monde bien qu’ils étaient presque totalement isolés, ils ont chacun eu à tuer une poignée de rôdeur pour survivre lors de leurs récupérations de vivres. Ils étaient beaucoup plus à l’aise avec leur arme à feu et leurs couteaux. Bien qu’ils aient froid, ils réussissent à se garder au chaud à l’aide du foyer et des draps. Tout semblait aller pour le mieux, Scott avait même recommencé à écrire dans un journal qu’il avait trouvé. Il tentait de comprendre ce qui se passait chez l’homme, qu’elle était sa future dans ce monde, etc. Le couple formait une équipe d’enfer par leur entraide et leur moral. Néanmoins, leur isolement du reste du monde allait tirer à sa fin.
Durant une nuit froide, Norma fut réveillée par une voiture qui se parqua directement à côté du chalet. Celle-ci s’empressa de verrouiller la porte et d’avertir son mari. Les deux s’approchèrent de la fenêtre en armant la carabine et tentèrent de voir à l’extérieure. Ils virent dans la pénombre 3 hommes armés s’approcher furtivement vers le chalet. Scott face à cela entamera un dialogue avec les étrangers : « Qui va là? ». Un des hommes dans la pénombre répondra : « Scott? »
En effet, il s’agissait de Henri, mais celui-ci ne semblait pas aussi généreux et accueillant que la dernière fois. Henri est les deux étrangers ne baisseront pas leurs armes et ordonneront au couple de quitter immédiatement, il s’agit de leur chalet et ils content le récupérer. Scott, bien qu’il ait été isolé de la ville depuis 3 mois, n’est pas stupide, il risquerait grandement sa vie et celle de sa conjointe à quitter cet emplacement. En posant un regard sur Norma, apeurée, il comprit qu’il devait, par tous les moyens, protéger le peu de sécurité qu’ils avaient. C’est alors qu’il tira au pied de Henri, en lui criant de rebrousser chemin. Henri repoudrera par une fusillade qui forcera le couple à fuir pour survivre.
Malheureusement, durant la fuite, Norma sera touchée. Norton tentera de la sauver, mais, après quelques heures, elle succombât à sa blessure. Norton, pour la première fois de sa vie, vivait un énorme drame. Sachant qu'elle se transformera bientôt, ce n'est pas difficultés que Norton plenta son couteau dans le crane de sa défunte femme. Norma était la seule raison pourquoi il n’avait pas encore totalement d’espéré depuis 5 mois de survie. Il ne pouvait pas croire qu’elle soit morte, qu’elle ait été assassinée. Norton sera pris d’une telle colère, qu’il perdra tout sens de rationalité. Il avait qu’une idée en tête : tuer ceux qui ont assassiné sa femme.
La nuit suivante, après avoir enterré sa défunte femme, il retournera au chalet où Henri et ses compagnons étaient déjà bien installés. Durant leurs sommeille, il bloqua la porte de l’extérieure et mis le feu au bâtiment. Norton restera près pour veiller à ce que les hommes ne puissent pas s’échapper. Il entendra les cris désespérés des hommes brulant jusqu’à leur mort. L’assassinat de ces 3 hommes ne reviendra jamais à l’esprit de Norton. Il vivra le moment pleinement, en se réjouissant et en les maudissant, mais à la suite, jamais il ne voudra repenser à cette terrible nuit. Non pas par remords, mais pour garder son sang-froid. Car maintenant, le vrai combat allez commencer. Bien sûr un combat contre les bandits et les rôdeurs. Un combat pour la survie. Mais avant tout : un combat avec lui-même à savoir si l’absurdité de ce monde vaut la peine d’être vécue.
À partir de ce jour, Norton perdra espoir. Le suicide est, pour lui, à la foi objet de désir et objet de dégoût. Ce qui le tiendra en vie sera le souvenir de Norma et de son enthousiasme, l’espoir qu’elle avait tenté de lui donner lors de son vivant. Norton continuera son combat pour la survie, seul, en vagabondant d’un lieu à l’autre pendant tout le printemps et l’été, soit 4 mois. Il croisa d’autres survivants, mais ne rentrait jamais en contact avec eux. Mais il eut un moment où il n’a pas pu éviter un groupe.
En effet, 7 bandits le capturèrent durant son sommeil alors qu’il était campé dans un boisé. Ils le dépouilleront de son arme et de sa nourriture pour ensuite le garder prisonnier sous prétexte qu’ils ont besoin d’un gens pour faire diversion avec les rôdeurs pendant qu’ils dévaliseraient des commerces. Norton, bien qu’il fût réellement dans la merde, n’a pu s’empêcher de commenter comment ce groupe était complètement stupide de ne pas simplement créer eux même la diversion sans appâts humains. Mais les bandits lui répondirent que tant qu’avoir à le tuer, car selon eux le garder en vie était un risque pour leur groupe, pourquoi le rendre utile avant.
C’est par après que le groupe capturera deux autres hommes. Deux frères : George et Noah Watanabe. Les deux avaient plusieurs années de différence, mais se ressemblaient beaucoup dans leur caractère pragmatique et fier. Scott acceptait peu à peu le sort qui lui était réservé, pensant qu’il n’y avait possibilité de s’en sortir. Il n’en était pas très troublé non plus. Mais, lors du moment de vérité. Lorsque les bandits relâchèrent leurs prisonniers sur un groupe de morts-vivants pour qu’ils puissent avoir la voie libre vers un centre commercial, George et Noah n’acceptèrent pas leurs destins. Ceux-ci, en ramassant des armes improvisées par terre, feront tout ce qu’ils peuvent pour combattre et survivre. Norton, pour la première fois depuis la mort de sa conjointe, combattra avec ardeur pour sa survie en suivant l’exemple des deux frères. Et ce sera par miracle qu’ils réussiront à s’en sortir et à retourner le plan des bandits contre eux. Soit en attirant le plus de morts-vivants possible à l’entrée. Il en suivra à une fuite vers le campement plus ou moins abandonner des bandits où le plus jeune frère, Noah, sera tué par une balle. George, paralysé par la mort subite de son frère, se ressaisira après que Norton est tenter de le convaincre de laisser le corps de son frère pour éviter de se faire tuer par les rôdeurs où les bandits qui était sans aucun doute en approche. Une sorte de manière de rendre la pareille à ce vieil homme qui lui avait, d’une façon, donné la force à sauver sa vie. Scott ne sait pas si George sait que les mords, mordu ou pas, se transforme. Mais il n'avait pas le temps de lui expliquer. Il fallait partir au plus vite.
C’est ainsi que le trio devenu un duo se rendit jusqu’à l’endroit où les bandits vivaient pendant qu’ils étaient dans la région. Une fois là-bas, Scott et George réussirent à éliminer celui qui montait la garde assez facilement, ce qui leur permit ensuite de récupérer leur équipement. Ils partirent ensuite vers le Nord, essayant de rejoindre la ville pour trouver un endroit où ils pourraient décider que faire pour le futur. Il faut noter que le campement des bandits était situé dans les environs de South Hill, au sud de Tacoma. Ils se dirigèrent alors vers Tacoma, où ils se trouvent encore à ce jour.
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matthew mcconaughey♦ <bott>Votre pseudo</bott>
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♦ Norton
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Re: Scott Norton
Lun 14 Nov 2016 - 4:39
Matthew est excellent ! Et le caractère que tu lui as attribué, j'adoopte direeeecte ! Bienvenue par iciii Scoott
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Re: Scott Norton
Lun 14 Nov 2016 - 11:17
Bienvenue parmi nous!
Bien hâte de découvrir ce personnage qui m'a l'air bien sympathique!
Bien hâte de découvrir ce personnage qui m'a l'air bien sympathique!
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Re: Scott Norton
Lun 14 Nov 2016 - 11:38
Bienvenuuue !
Contente de revoir McConaughey pris **
Contente de revoir McConaughey pris **
Je sais pas si ça m’est déjà arrivé, enfin, on va essayer de ramasser tous les morceaux et de recommencer à zéro, ça va pas être facile mais on est tous ensemble maintenant et je me sens bien.
- Yulia Iojov
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