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PRÉDÉFINIS : EMERALD
Mar 31 Jan 2017 - 16:28
Les personnages prédéfinis sont des personnages créés par l'équipe administrative. Leur but consiste à pouvoir agrémenter les posts des joueurs déjà validés mais aussi à faciliter l'intégration des nouveaux membres (qui décideront d’interpréter l'un des prédefs) qui, grâce aux nombreux liens pré-établis, n'auront aucun mal à trouver des partenaires ou des idées de RP.
Tous nos prédéfinis ont un rôle particulier au sein du groupe et contribuent à l'amélioration du train de vie des survivants.
Au même titre qu'un scénario, vous êtes libre de vous inscrire avec le prénom du prédéfini de votre choix. Le reste sera identique qu'en cas d'inscription basique. Vous devrez trouver un nom de famille, écrire votre fiche et que celle-ci soit validée. Si vous souhaitez des informations supplémentaires sur l'un des prédéfinis, vous devrez vous tourner vers l'équipe administrative !
• Le changement d'avatar est possible mais le visage souhaité doit rester dans le même genre d'idée que celui initial. Nous pouvons refuser les visages proposés.• Les informations d'âge, d'origine, de prénom et de métier ne sont pas modifiables.• Le caractère du personnage n'est pas modifiable. C'est à prendre en l'état ou à laisser.• Les points de l'histoire peuvent être changés tant qu'ils ne modifient pas entièrement le personnage. Les faits situés avant l'épidémie (dans la vie d'avant du personnage) sont les seuls à être modifiables. Ceux situés après le début de l’épidémie ne peuvent pas changer puisqu'ils ont été pris en compte dans le jeu.
Aaron • Liam HemsworthAddison • Adelaide KaneBrett • Clint EastwoodCooper • Garrett HedlundLee • James McAvoyRachel • Angelina JolieTara • Jessica Stroup
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Re: PRÉDÉFINIS : EMERALD
Mar 31 Jan 2017 - 16:28
Liam Hemsworth
i've got a war in my mind
"Un chevalier de lumière". C’est certainement en ces termes que le commissaire Gordon aurait parlé d’Aaron. Le jeune homme fait partie de ces personnes à s’être pleinement révélées grâce à l’épidémie. Rien ne l’y prédestinait vraiment et pourtant, c’est un survivant émérite. Si la vie ne l’avait guère malmené jusque-là, le vingtenaire a su faire preuve d’un courage qu’il ne se soupçonnait pas. Très protecteur envers ceux qu’il considère être ses proches, il serait prêt à se mettre au devant du danger pour eux. Il n’a d’ailleurs pas hésité une seule seconde à prendre les armes quand les civils ont décidé de se révolter contre l’autorité en place. Prenant souvent part aux sorties, sa connaissance presque encyclopédique des rues de Seattle et ses talents de conducteur en font un atout indéniable pour les équipes de ravitaillement. Même si lui ne semble pas en prendre conscience. Aaron est exigent, particulièrement avec lui-même, et est sans cesse en quête de reconnaissance, comme s’il avait quelque chose à prouver. Modeste, il ne réalise pas vraiment qu’il contribue beaucoup à la vie dans le camp. Il veut bien faire, peut-être même un peu trop, et son côté perfectionniste le pousse à toujours vouloir en faire plus.
Optimiste, Aaron a tendance à voir le bon côté des choses et des personnes. Cela lui a valu quelques déceptions, notamment dans sa vie sentimentale. Depuis l’épidémie, le portrait est toutefois à faire en demie-teinte. Si de par son ancien métier, il est naturellement sociable, avenant et apprécie être entouré, il sait que le monde a changé. Il se montre dorénavant plus méfiant. Avec les nouveaux venus au lycée d’une part mais plus particulièrement avec les étrangers rencontrés à l’extérieur. Une fois sa confiance obtenue en revanche, son naturel revient au galop. Curieux, il n’aura aucun mal à faire le premier pas et à s’intéresser à la personne, ce qui, selon les histoires des uns et des autres, peut parfois être jugé comme gênant.
→ Aaron est né et a grandi à Seattle.
→ Sa famille fait partie de la classe moyenne et n’est ni particulièrement aisée ni particulièrement pauvre.
→ Enfant sage et obéissant, il ne connaît pas beaucoup de difficultés en grandissant et n’en fait lui-même pas beaucoup.
→ Dès son plus âge, il se passionne pour les voitures, qui deviennent d’ailleurs rapidement ses jouets préférés.
→ Il se retrouve très tôt derrière un volant puisque son père l’emmène souvent au karting.
→ Sa scolarité se déroule bien elle aussi. Il ne fait pas partie des plus brillants élèves mais obtient la moyenne partout.
→ Il a une petite sœur, de huit ans sa cadette.
→ À seize ans, Aaron obtient son permis haut la main et ses parents lui offrent sa première voiture. Consciencieux, il en prend grand soin.
→ À la sortie du lycée, il a du mal à trouver sa voie et ne se projette pas dans de longues études.
→ Jusqu’à ses vingt-et-un an, il enchaîne les petits boulots et met de l’argent de côté autant que possible pour réaliser un projet futur. À côté de ça, Aaron participe à quelques courses en amateur. Son ami d’enfance, mécanicien, a monté la voiture, lui la conduit.
→ Il a la chance d’obtenir une licence de taxi à vingt-deux ans et parvient à se faire engager dans une compagnie.
→ À vingt-six ans, Aaron se lance finalement dans son projet et utilise toutes ses économies pour monter une petite société de taxi de luxe et acheter le premier véhicule de sa future flotte.
→ Les premiers mois, il découvre les difficultés de travailler à son compte et enchaîne les courses afin de rentrer dans ses frais. Sa relation avec sa copine de l’époque en pâtit.
→ Ses relations amoureuses sont laissées libres mais il devra être célibataire au moment de l’épidémie.
→ Peu de temps avant l’épidémie, sa situation s’est grandement améliorée. Aaron envisage de contracter un prêt pour acheter deux autres véhicules et recruter des conducteurs.
→ Lorsque l’épidémie commence, ses parents sont à Chicago, Illinois en visite chez de la famille. Sa petite sœur, alors à l’université, et lui se réunissent et observent le monde sombrer dans le chaos avant de se décider à rejoindre un camp.
→ Elle meurt très tôt, alors qu’ils sont à deux pas d’Emerald. S’il tente de la protéger, il n’arrive pas à tuer le rôdeur qui l’a eue. Il sera lui-même sauvé par une unité de marines. Incapable d’abandonner le corps de sa sœur, Aaron se voit ramené de force au camp avant qu’elle ne se réanime.
→ Naturellement, il n’a aucun mal à tisser des liens dans le camp.
→ Il participe à la révolte des civils au cours de laquelle il s’illustre. Ce n’est qu’après celle-ci qu’Aaron réalisera pleinement la valeur dont il est capable de faire preuve.
→ Depuis, il compte parmi les ravitailleurs les plus émérites du camp.
no church in the wild
Clive, le bras droit de Jaden, était le leader de l’escouade de marines ayant retrouvé Aaron au début de l’épidémie. C’est aussi lui qui s’est occupé du cadavre réanimé de sa sœur. Et c’est à ses côtés qu’Aaron s’est battu pendant la bataille. Il voit dans le caporal autant un grand frère qu’un véritable mentor. D’une certaine manière, il se sent redevable envers Fitzgerald même si ce dernier lui répète sans cesse qu’il ne lui doit rien. |
Addison a mis le grappin sur Aaron au cours de l’été 2016, quelques mois après être arrivée dans le camp. Il faut dire qu’elle sait y faire lorsqu’elle veut quelque chose. Le jeune homme aura rapidement succombé à ses yeux doux et ses petites attentions. Manipulatrice, l’architecte sait parfaitement le mener par le bout du nez. Aaron, lui, ne se rend pas vraiment compte qu’il donne certainement plus qu’il ne reçoit. Amoureux ? Peut-être. En tout cas, il s’est clairement entiché d’elle et ne dit-on pas que l’Amour rend aveugle ? |
Bien que moindre, l’admiration qu’Aaron a à l’égard de Jaden est presque aussi importante que celle qu’il a pour Fitzgerald. Désireux de toujours bien faire, c’est autant pour Clive que pour lui que le conducteur de taxi se démène autant. C’en est même trop parfois, si bien qu’Aaron est quelque fois un brin envahissant. Aux yeux du blond pourtant, le jeune homme déjà largement fait ses preuves et son besoin de reconnaissance est tout sauf nécessaire. Entièrement dévoué au camp et ses survivants, le meneur sait qu’il pourra compter sur Aaron en cas de besoin. |
Ce n’est qu’après la révolte, quand Alex a commencé à se socialiser, qu’ils ont vraiment sympathisé. Pour Aaron, ce n’était pourtant pas faute d’avoir essayer avant ça. Si la brune est longtemps restée fermée, ils sont maintenant bons amis. Ce qui est d’ailleurs très pratique pour l’entente sur le terrain puisque c’est dehors, en ravitaillement, qu’ils passent le plus de temps ensemble. Habitués à travailler de concert, ils forment une bonne équipe. |
Le conducteur a une certaine gêne avec l’électricien. Il l’aime bien, il est sympa mais... Depuis qu’Alex et lui se sont mis ensemble, il se sent parfois un peu de trop dans les ravitaillements. Tenir la chandelle, ça n’est jamais quelque chose de très plaisant, même pour Aaron. Pris séparément pourtant, il l’apprécie. Il est même ravi qu’Alex ait pu trouver quelqu’un. Bien que le couple ne soit pas du genre à roucouler, quand ils font équipe, le jeune homme ne sait plus trop où se mettre et se montre immédiatement plus distant. |
Sans l’équipe de mécaniciens du camp et Cooper en particulier, Aaron aurait certainement beaucoup moins de travail qu’il n’en a à présent. Bien s’entendre avec lui était alors une évidence pour le jeune homme. Ce fut d’ailleurs le cas pendant un temps. Une ombre est cependant venue gâcher le tableau : Addison. Aaron sait que Cooper ne l’aime pas. Cooper sait qu’Aaron l’aime bien. Coincé entre les deux, le conducteur a dû faire un choix et a privilégié sa copine. Si l’ambiance entre les deux est beaucoup plus froide qu’autrefois, elle reste tout de même cordial. |
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Si vous avez des questions concernant ce personnage n'hésitez pas à les poser dans la Section Invité ou à vous adresser directement à l'équipe administrative par MP !
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Re: PRÉDÉFINIS : EMERALD
Mar 31 Jan 2017 - 16:29
28 ANS ≡ AMERICAINE ≡ ARCHITECTE ≡ LIBRE
i've got a war in my mind
Il est très rare d'apprécier moyennement Addie. En général, elle est aimée ou détestée. De par son côté autoritaire et hautain, certains peuvent ne pas apprécier sa façon de parler ou de donner des ordres de manière un peu trop naturelle. Mais la jeune femme à toujours été comme ça. Ambitieuse, elle sait que rien n'arrive gratuitement dans la vie, et s'est toujours battue pour obtenir ce qu'elle voulait.
Dotée d'un certain charme, elle à toujours su en jouer quand elle en avait besoin, qu'il s'agisse d'un entretien d'embauche ou de travailler sur le projet de ses rêves. Légèrement manipulatrice, elle n'hésite donc pas à offrir ses plus belles paroles à son interlocuteur pour obtenir gain de cause, tout simplement pour rallier la personne à ses propres idées. Persuasive, elle sait utiliser les bons arguments et jouer des mots pour maintenir qu'elle à raison. L'épidémie ne l'a pas tant changé que ça finalement. Elle est toujours aussi fière de son parcours, sait à qui elle peut se permettre de donner des ordres ou non, et est toujours aussi bornée. Néanmoins, malgré certains de ses défauts, Addison reste une personne importante au sein du groupe. Inventive, elle n'est jamais à cours d'idée pour renforcer les barricades, créer des pièges sonores pour attirer les rôdeurs loin du lycée, et sera toujours disposée à proposer son aide un peu partout. Volontaire, elle n'a pas peur de se salir les mains pour le bien de la communauté. Elle aime beaucoup jouer de la ruse quand elle se retrouve à devoir partir en ravitaillement, préférant utiliser la discrétion face aux rôdeurs plutôt que la force.
→ Elle est issue d'une famille aisée. Elle s'occupe souvent de sa soeur Ivy, de trois ans sa cadette.
→ Enfant mature, elle à toujours de bonnes notes à l'école, résultats de ses révisions acharnées. Elle comprend rapidement qu'elle se doit de travailler si elle veut obtenir une vie de rêve comme celle qu'on pu lui offrir ses parents au cours de son enfance.
→ A la sortie du lycée et grâce à ses excellents résultats, elle rentre à Yale en section architecture en 2007.
→ A 24 ans, elle obtient sa licence d'exercice d'architecte, qui lui permet de commencer à trouver un travail.
→ En 2013, elle quitte New York pour Seattle, ou un cabinet d'architecte lui propose un emploi. Elle commencera d'ailleurs une petite histoire d'amour avec un de ses collègues, Warren, mais cela ne durera pas longtemps.
→ Elle mène une vie relativement tranquille, s'acharnant au travail dans le but d'être rapidement promue.
→ Peu avant le début de l'épidémie, on lui propose d'assurer la conduite générale des travaux pour la construction d'un immeuble. Malheureusement, les travaux seront rapidement abandonnés à cause de toute cette histoire de malades agressifs.
→ Ne pouvant pas rejoindre ses parents à New York, Addison est envoyée dans un camp de survivant a la fin du mois d'Octobre en compagnie de sa petite soeur Ivy, venue la voir pendant ses congés.
→ Si au début, le petit groupe de survivants s'assure qu'ils finiront par s'en sortir, ces derniers déchantent rapidement en se rendant compte que les réseaux sont coupés, et que la situation semble échapper au gouvernement.
→ A la fin du mois de Février 2016, le camp est attaqué par un petit groupe de rôdeur. Ce soir là, peu de personne en réchappe et Addison parvient tout de même à s'en sortir in extremis avec sa soeur.
→ Elles finissent par survivre sur les routes sans grand succès. La nourriture vient à manquer et Ivy finit par mourir de faim et de froid mi-Mars. C'est quand sa soeur revient sous forme de rôdeur qu'Addison comprend qu'une morsure n'est pas la seule option pour se transformer.
→ Elle est retrouvée par le groupe d'Emerald Freedom en Avril 2016, à bout de force.
→ Depuis, elle participe régulièrement au renforcement des barricades et autres structures entourant le lycée, grâce à son ancien métier.
no church in the wild
Il n'aura pas fallu bien longtemps pour qu'Addison prenne Aaron dans ses filets. Il faut dire que la brune connait ses atouts et sait en jouer. Si elle le trouvait un temps soit peu à son goût, elle voyait surtout en lui la cible idéale. Gentil garçon. Prêt à se plier en quatre pour l'élue de son cœur. Qui la ferait se sentir importante. Apprécié de beaucoup. Proche des meneurs du groupe. C'est surtout ça qui l'intéresse chez le jeune homme : son amitié avec Fitzgerald mais plus encore avec Preston. Elle voit dans ce soi-disant "petit ami" un moyen de se rapprocher du pouvoir. |
Addison aime penser que Tara lui ressemble. Une femme forte, qui sait ce qu'elle veut et sait se faire respecter. Elle se trompe grandement. Sans le savoir, elle a trouvé en Tara une fille presque aussi douée qu'elle en mensonge. Malgré que l'idée qu'elle se fasse de la policière soit fausse, une réelle amitié les lie. Sans doute que si Tara se décidait à lui avouer la vérité, Addison comprendrait. |
Le chat et la souris. C'est un peu comme ça qu'on pourrait définir leur relation. Tout les deux charmeurs, ils sont souvent en train de se chercher. Sous-entendus coquins, petites piques, œillades... Ils jouent énormément à se tourner autour. Si un oeil extérieur pourrait mal interpréter la chose, entre Lee et Addison c'est pourtant très clair : tout ceci n'est qu'un jeu. Cette amitié leur va très bien comme tel et ni l'un ni l'autre n'a envie de plus. |
Allez savoir pourquoi, Addison a pris Thalia en grippe dès son arrivée à Emerald. Sans doute la trouve-t-elle trop ennuyante et effacée. Critiquer la mère de famille est devenue un des passe-temps favoris de l'architecte. La zoologiste n'est pourtant pas bête mais la brune adore la rabaisser et lui faire penser le contraire. Hautaine, Addison la prend sans cesse de haut et n'hésite jamais à lui cracher son venin à la face. |
Il ne l'aime pas et elle ne l'aime pas non plus. Ça, c'est le moins qu'on puisse dire. Si Addison arrive, de manière générale, à assez bien berner son monde, elle n'a pas réussi à le berner lui. Cooper, lui, se laisse un peu moins duper par la gente féminine et a vu clair dans son jeu dès qu'elle s'est mise à tourner autour d'Aaron. Il l'évite et c'est tant mieux. Elle craint par dessus tout qu'il parvienne à convaincre Aaron de la duplicité de la brune. |
Elle le veut. Depuis son arrivée au camp, elle ne rêve que de finir dans ses bras. Pas uniquement parce que l'homme la fait craquer, non, ça se serait que du bonus. C'est avant tout pour la position qu'il occupe qu'elle aimerait bien l'attraper dans sa toile. Mais Monsieur est marié. Et n'a visiblement aucune intention d'aller voir ailleurs. Complètement insensible à ses charmes, ses petites minauderies discrètes n'ont aucune emprise sur lui. Bien que sa place au sein du camp soit assurée, ne pas avoir de pouvoir sur le blond fait que cette place n'est pas aussi plaisante qu'elle pourrait être. Et comme Addison aime bien se sentir puissante et importante, c'est bien ça qui l'embête. |
Addison déteste Maxine au plus haut point. L'institutrice a tout ce dont elle rêve. Elle a Jaden. Elle a même un enfant de lui ce qui les rend, elle autant que leur mariage, quasiment intouchables. Et elle jouit d'une position particulière au sein du lycée. C'est la Première Dame après tout. Jalouse, elle envie clairement sa place et est particulièrement mauvaise avec elle. Addison ne se rend même pas compte qu'elle se tire une balle dans le pied à agir ainsi. |
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Re: PRÉDÉFINIS : EMERALD
Mar 31 Jan 2017 - 16:29
Clint Eastwood
i've got a war in my mind
Brett est un homme comme on en fait guère plus. C’est un vieux de la vieille comme on dit et le reflet de son époque. Avant tout, Brett est quelqu’un avec un profond sens des valeurs – valeurs qu’il a tenté d’inculquer à ses fils. Au cœur de celles-ci, l’honnêteté, la droiture, l’honneur tiennent une place importante. Élevé dans la tradition protestante, il est ce qu’on pourrait appeler un "bon chrétien". Respectueux, poli, il est du genre à servir du "M’dame" même aux femmes qu’il connaît bien. Ayant grandi à la campagne à une période où les Hommes ne disposaient pas de toute la technologie actuelle pour leur faciliter la vie, Brett est particulièrement débrouillard et arrive à bricoler un peu tout et n’importe quoi avec les moyens du bord. Un homme se doit d’être bricoleur après tout, non ? Car ça aussi, c’est une caractéristique de son époque. Pour lui, un homme est un homme, une femme est une femme. Machiste, il considère donc que certaines tâches ne sont pas du ressort de la gente féminine. À cela s’ajoute une caractère des plus renfermés. On ne partage pas ses problèmes quand on est un homme. On les garde pour soi et on les règle.
Deux garçons, un bon mariage, une affaire qui marche, vétéran du Viêt Nam... Un beau parcours, même s’il ne s’en vante pas sur tout les toits. Malgré son humilité, Brett ne reste pas moins extrêmement fier de ce qu’il a accompli dans sa vie et ne tolère que des petits gars avec encore la merde au cul puissent le prendre de haut. Il a fait la guerre lui. Il a été l’homme de la famille. Son expérience fait qu’il est parfois un brin paternaliste, en particulier avec Cooper qu’il considère encore par moment comme un enfant. Travailleur et combatif, Brett déteste qu’on lui rappelle son âge. Il est vieux, pas complètement impotent.
Si grâce à la présence de Coop, il avait réussi à maintenir la tête hors de l’eau après le décès de son épouse, l’ancien est devenu plus sombre avec l’apocalypse. Il n’est dit nulle part dans la Bible que les morts se relèvent et sa foi en Dieu a été remise en cause. Brett croyait en une armée forte, honorable, censée être au service de la nation et de ses citoyens. Ce dont il a été témoin à Emerald l’a complètement désabusé.
→ Brett est né dans le Kansas, à Salina, en 1935
→ Il provient d’une famille modeste et, grandissant dans le milieu rural des années 40, il ne fréquente pas longtemps les bancs de l’école.
→ Mobilisé sur le front européen lors de la Seconde Guerre mondiale, son père est absent une partie de son enfance.
→ À ses seize ans, il rejoint le garage dans lequel travaille son paternel depuis la fin de la guerre.
→ Las de son travail et désireux de voir autre chose que le Kansas, il rejoint le Corps des Marines à 25 ans, en 1960.
→ Il part au Viêt Nam en 64, lorsque les États-Unis s’investissent pleinement dans la guerre.
→ Cinq ans plus tard, c’est là-bas qu’il rencontrera sa future femme, Lauryn, une infirmière militaire de douze ans sa cadette.
→ En 71, il passe sergent et change d’affectation. Il rejoint le 1/9 Marines et le couple déménage en Caroline du Nord.
→ Ils ont un premier garçon, Paul, en 72.
→ Brett quitte le Corps en 73. Il a alors 38 ans. Le couple retourne s’installer à Salina où Brett reprend le garage de son vieux père.
→ En 82, ils ont un second fils sur le tard, Cooper.
→ Brett mène une existence tranquille les années suivantes.
→ Paul déménage à Seattle en 96 pour son travail.
→ À 65 ans, en 2000, Brett laisse la gérance du garage à Cooper. Il continuera tout de même d’y travailler pour s’occuper.
→ Sa femme meurt des suites d’un cancer du sein en 2005.
→ Suite à son divorce, Paul est dans une phase difficile. Quelques jours avant que le gros de l’épidémie ne commence, Cooper et Brett ferment le garage et prennent de vacances pour lui rendre visite à Seattle.
→ Père et fils rejoignent le camp d’Emerald à sa mise en place par l’armée.
→ Jusqu’en Février, ses connaissances en mécanique sont mises à profit par les militaires.
→ Contre sa volonté, ses fils le forcent à ne pas prendre part au soulèvement. Pendant l’affrontement, il se trouve donc dans le gymnase du lycée et assiste, impuissant, au massacre d’une bonne partie des civils. Paul décède au cours de la bataille. Il mettra quelques temps à se relever de cette perte.
→ Ayant appris que même ceux décédés de mort naturelle se relèvent, il s’inquiète de se voir mourir dans son sommeil. Il fait chambre à part et s’enferme dans la pièce la nuit.
→ Depuis, malgré son âge, il participe autant que possible à la vie dans le camp. Son fils et lui ont à charge les véhicules du camp.
no church in the wild
Cooper est le second fils de Brett et de ses deux enfants, c’est celui dont il se sent le plus proche. L’ayant eu sur le tard, il s’est souvent montré très strict avec lui et tout deux ont eu quelques conflits générationnels. Malgré l’âge de Coop, il lui arrive encore de le traiter comme un enfant, surtout lorsqu’ils travaillent ensemble. Au fond de lui, même s’il ne le reconnaîtra jamais devant son cadet, Brett est heureux que ce dernier soit resté à ses côtés jusqu’à maintenant. Il en est fier et l’aime autant qu’un père peut aimer son enfant. |
C’est en 71, après son affectation au 1/9 Marines, que Brett a rencontré le père de Jaden, John Preston. Ce dernier était l’un des soldats sous le commandement du sergent. Les deux ont sympathisé et, s’ils ne se sont jamais revus après la guerre, ont gardé contact pendant quelques années, des lettres, quelques coups de fil, avant que le temps et la distance ne fassent leurs œuvres. Ce n’est qu’en voyant le tatouage de Jay et après quelques discussions que Brett a assemblé les pièces du puzzle et compris que le blond était le fils de son vieux frère d’armes. Depuis lors, une certaine amitié les lie. |
Qu’on se le dise, la mécanique, c’est une affaire d’hommes. Le cambouis sur les mains, c’est pas pour les bonnes femmes. Il la sait plutôt douée dans leur domaine mais ça, le vieux est pas encore prêt à le reconnaître. Si Brett ne déteste pas particulièrement Cheyenne, il a quand même bien du mal à travailler avec elle. Et l’amérindienne et son caractère bien trempée le lui rendent bien, ce qui l’agace d’autant plus. Il ne va quand même pas se laisser marcher sur les pieds par une gamine. |
Brett apprécie particulièrement Job et se retrouve un peu en lui. Tout les deux chrétiens. Tout les deux anciens militaires. Le fait est que le jeune homme a un peu redoré le blason après le piètre exemple donné par Moore et ses hommes. Brett apprécie le militaire et les conversations qu’ils peuvent avoir mais sait son moral assez vacillant. Aussi tente-il tant bien que mal de se montrer à l’écoute et de le soutenir dans ses moments de doutes. |
Pour Brett, ce n'est pas possible. Ce n'est pas possible pour un humain d'être aussi empoté physiquement parlant. Encore plus pour un homme. Si il y a bien une question qui taraude le vieux, c'est comment Lennon a fait pour obtenir son diplôme de médecine. Non parce que vu comme il est gauche, c'est quand même dangereux de lui laisser un scalpel dans les mains à celui-là. Ayant été quelques fois témoin de ses maladresses, Brett refuse catégoriquement que Ian soit son médecin et préfère d'ordinaire se tourner vers Rachel, Emerson ou Bates. Il l'aime pourtant bien hin. Mais pas dans l'infirmerie. |
Et puis lui là... Non mais qu’est-ce que c’est que ce zouave ? Brett a beaucoup de mal avec le jeune homme depuis son arrivée au camp. Il le trouve un peu trop effacé, un peu trop passif, un peu trop doux. Un peu trop femmelette quoi. Le vieux n’a qu’une envie : le secouer. Mais c’est pour son bien. C’est pour l’endurcir ! |
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Re: PRÉDÉFINIS : EMERALD
Mar 31 Jan 2017 - 16:30
Garrett Hedlund
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Les chiens ne font pas des chats, dit-on. Dans le cas de Cooper, cette affirmation n’est ni tout à fait vraie, ni tout à fait fausse. On retrouve beaucoup du père dans le fils. C’est de Brett que Coop a hérité sa débrouillardise. Avec un paternel comme le sien, difficile de ne pas savoir se servir de ses dix doigts. De lui aussi qu’il tient son côté combatif, même si ça n’est pas vraiment le mot juste. À ce stade, cela tient beaucoup plus de l’acharnement.
C’est bien simple : Cooper a horreur que quelque chose lui résiste. Peu importe la situation, que ce soit au travail ou ailleurs, lorsque ça arrive, il essaie et essaie et essaie encore jusqu’à parvenir à une solution. C’est un battant, Coop', il ne baisse jamais les bras. Moins calme que son père, dans ce genre de circonstances, mieux vaut ne pas l’emmerder et le laisser tranquille. Colérique, il est du genre à faire voler les objets à travers la pièce ou taper dans des murs pour se passer les nerfs. Sa colère et ses autres sentiments sont d'ailleurs très tenace. D'un naturel têtu, Cooper a des avis bien arrêtés sur les choses et n'hésite pas à le faire savoir lorsqu'il estime avoir raison. Beaucoup moins à cheval que son père sur les bonnes manières, Coop' a un langage des plus fleuris. Râleur, il n’est pas du genre insultant mais jure facilement à voix haute pour montrer son mécontentement.
Si de primes abords, il n’apparaît pas comme une personne sympathique, quand on apprend un peu à le connaître, Cooper se révèle être tout l’inverse. Drôle, il n’est jamais à court de blagues pour détendre un peu l’atmosphère. Les situations dramatiques où tout le monde garde son sérieux, très peu pour lui. Cet acharnement dont il fait parfois preuve, il l’a également pour ses hobbies. Coop se passionne pour des tas de choses. Quand un sujet éveille son intérêt, il va généralement essayer d’en connaître tous les détails. En résulte un homme qui, sous une apparence un peu bourrue, est en réalité très cultivé. Cela a été le cas de la mécanique qui n’a guère plus de secrets pour lui. Une chance pour Emerald puisqu’il gère l’équipe chargée d’entretenir les véhicules du camp.
→ Cooper est né en 1982 à Salina dans le Kansas.
→ Il est le fils de Brett et a un grand frère, Paul, de dix ans son aîné.
→ Plus agité que son frère, c’est un enfant par moment difficile.
→ Cooper traîne souvent dans les pattes de son père et fait avec lui des bricolages d’enfants.
→ Moins porté sur les études que son frère, il a des résultats tout juste passable à l’école.
→ À douze ans, il commence à apprendre la mécanique avec son vieux dans le garage qu’il tient.
→ Au secondaire, Coop se lance dans des études professionnelles afin de parfaire ses connaissances et d’obtenir un diplôme de mécanicien. Son frère, lui, a quitté le domicile familial pour le travail.
→ À la fin de ses études, désireux de voir un peu de pays, il se lance pendant quelques mois dans un road-trip à travers les États-Unis.
→ De retour à Salina, il commence réellement à travailler au garage avec son père.
→ Son quotidien se divise généralement entre le travail et les sorties le soir avec sa bande de potes.
→ Quand il prend des vacances, Cooper les passe généralement à l’étranger.
→ Il ne mène pas forcément une vie trépidante mais il en est pleinement satisfait. Il peut se vanter de se lever chaque matin pour aller faire un travail qui lui plaît.
→ À trente-et-un ans, il rencontre une femme avec qui il entretiendra une relation des plus sérieuses.
→ Deux ans plus tard, le couple commence à faire des projets d’avenir : mariage, enfant.
→ Après le divorce de Paul, Brett et Cooper décide de passer quelques jours à Seattle pour le soutenir. Prise par le travail, la copine de Cooper ne peut les accompagner. L’épidémie et le gel du trafic aérien leur empêchera tout retour.
→ Paul habitant près du lycée Garfield, père et fils rejoignent le camp de survivants qui y est établi. N’ayant aucune nouvelle de sa compagne, Coop a bien du mal avec la situation mais finira par se faire une raison.
→ En janvier, il ne supporte plus le régime des militaires et n’hésite pas à prendre les armes lorsque ces derniers franchissent la ligne rouge. Si son frère et lui ont réussi à convaincre leur père de ne pas participer, Paul est malheureusement l’une des victimes de la révolte.
→ Jaden lui confie l’équipe en charge de l’entretien des véhicules. Lorsque Cooper ne travaille pas sur l’un d’eux, il prend part à la défense du camp et se joint parfois aux ravitaillements.
→ Cooper fait partie des quelques personnes blessées par les animaux échappés du zoo.
no church in the wild
C’est son père. Que dire d’autres ? Il l’aime autant qu’un fils peut aimer son père. Même si ça l’énerve quand il le traite encore comme un gamin. Même s’il se fait du mouron pour sa santé, son âge, le fait qu’il ne soit pas aussi rapide que les plus jeunes et qu’il puisse un jour, tomber aux mains des rôdeurs. Son père est l’une des rares choses qui le préoccupe réellement. |
De tous, Lee est certainement le membre du camp avec qui il s’entend le mieux. Coop adore la bonne bouffe alors forcément, c'est plutôt bien d'être pote sympathiser avec le gars qui prépare ce qu’il y a dans leurs assiettes. Ils ont commencé à discuter avant la révolte et se sont battus côte à côte pendant. Ayant beaucoup de points communs, les deux sont depuis comme cul et chemise. Ils traînent souvent ensemble, rigolent, blaguent, causent des un des autres. |
Une nuit d’été, le capot d’une voiture, elle seulement vêtue d’une chemise à carreaux, lui entre ses cuisses... C’est ainsi qu’il s’imagine passer la nuit avec Sally. Ou les nuits. Cette femme-là a beau avoir dix ans de plus que lui, ses courbes lui font sacrément tourner la tête. Le problème ? La belle est mariée. Possessif, Coop sait que malgré les penchants libertins du couple Lockharts, il aura du mal à la partager. Alors il se retrouve un peu le cul prit entre deux chaises. D’un côté, il laisserait bien libre court à sa tentation. D’un autre, il sait que son mariage avec Wade finira par lui poser problèmes. Et pour ne pas que son attirance se voit trop, Cooper n’a rien trouvé de mieux que de se comporter avec elle comme un mufle. De là à savoir si la brune est dupe... |
Rosaleen, c’est un peu la douceur incarnée à ses yeux. S’il ne l’envisage pas comme la femme parfaite car justement trop douce, Coop apprécie néanmoins beaucoup la jeune femme. C’est certainement avec la rouquine qu’il a les conversations les plus sérieuses. En juillet, il a fait partie des quelques personnes partie à sa recherche. Attristé par le viol qu’elle a subi, il se montre très prévenant avec elle depuis. |
Celle-là, il peut clairement pas la piffer, ce qui tombe plutôt bien puisque c’est réciproque. Il y a quelque chose chez cette nana qui l’agace au plus haut point. Peut-être que c’est à cause de ses manières de princesse. Peut-être que c’est parce qu’il la sent fausse et manipulatrice. Certainement les deux. Cooper trouve qu’elle mérite des claques. Il ne serait pas contre être celui qui les donne d'ailleurs. D'ordinaire, il la fuit comme la peste, justement pour éviter toute esclandre. |
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Re: PRÉDÉFINIS : EMERALD
Mar 31 Jan 2017 - 16:30
James McAvoy
i've got a war in my mind
Pour tous les membres du camp, Lee est un bon gars, avenant et sympathique. Il travaille dur, n’ayant pas peur de se tuer à la tâche et s’investit énormément pour le groupe. Il faut dire qu’il a de quoi se rendre utile. Touche-à-tout depuis toujours, il y a peu de choses qu’il ne sache absolument pas faire. Ses spécialités pourtant ? La chasse, qu’il a exercée dans son adolescence, ainsi que la cuisine ! Il n’est pas fin gourmet, mais maitrise comme personne la cuisine de groupe !
Elevé à la campagne, Lee en a aussi les valeurs. Il n’a qu’une parole et peut s’adapter à toutes les situations. Ce n’est pas un meneur, et il se laisse ainsi souvent vivre. L’anticipation ? Très peu pour lui. Aussi accuse-t-il souvent les conséquences de ses actes sans les avoir vues venir. Ce fut notamment le cas, lors de la naissance de sa fille. Il n’en oublie pas pour autant ses priorités et n’a aucun complexe à mettre sa satisfaction personnelle en premier plan. Quitte à se montrer rustre, voire un chouia misogyne.
Il faut dire que sa position de mâle lui tient à cœur, avec toute la fierté que cela implique. Il peut ainsi se vexer facilement, et prenez garde : dans ces cas-là, il a la dent dure ! Mais le reste du temps, il est charmeur. Surtout avec les femmes, qu’il affectionne tout particulièrement.
→ Lee naît à Bellingham, non loin de la frontière canadienne. Il grandit à Acme, une toute petite ville, au cœur de la nature. Sa mère travaille à la poste, alors que son père conduit des camions.
→ Il a une enfance et une adolescente toutes simples, entouré des copains, puis de quelques petites copines aussi, dès le lycée. Peu préoccupé par son avenir, il ne fera aucune étude poussée.
→ Il enchaîne différents boulots après le lycée : à l'usine, dans les bars etc. Il descend progressivement vers Seattle qui offre plus de possibilités.
→ C'est là qu'il rencontre à 25 ans Nagako. Elle sort de nulle part, cette jolie japonaise, et Lee est vite séduit par son exotisme. Ils vivent une belle histoire, jusqu'à ce que la jeune femme tombe enceinte. Lee n'accepte pas la grossesse, mais Nagako veut garder l'enfant. Ils se séparent avant la naissance.
→ Mia naît en juin 2006. Peu présent dans la vie de sa fille, Lee n'est pas un père exemplaire. La fillette a 6 ans, quand sa mère décide de retourner dans son pays d'origine. Lee parvient à lui rendre visite par deux fois à Tokyo au cours des années suivantes.
→ Il trouve un énième job alimentaire au lycée Garfield, en tant que cantinier en 2013.
→ Il entame une liaison en dent de scie avec l'une des professeurs de lettres de l'école, une certaine Manuela.
→ Dès le début de l'épidémie, Lee et ses collègues sont réquisitionnés pour aider au réfectoire du lycée. Manuela le quitte rapidement, ce qu'il vit très mal.
→ N'appréciant pas le joug militaire, Lee participe au soulèvement du lycée. La plupart de ses anciens collègues, ainsi que Manuela, décèdent ce jour-là.
→ Il tient depuis en partie les rennes des cuisines du lycée et participe activement à la survie du groupe.
no church in the wild
Les deux hommes sont proches depuis le soulèvement du lycée. Il y a entre eux un respect mutuel et Lee apprécie la confiance que lui accorde leur leader. Pour sûr que sous ses ordres, il serait prêt à tout. Même à faire du sale boulot ! Message reçu ? |
Coop, c'est un peu devenu son meilleur pote. Les deux hommes ont commencé à sympathiser avant la révolte et depuis ils sont presque inséparables. Ils ont le même background, presque le même genre de parcours. Ils sont tout aussi bien capable de déconner pendant des heures que d'avoir des discussions sérieuses. Aux yeux du cuistot, le mécanicien est comme ce frère qu'il n'a jamais eu. Et la famille, c'est important non ? |
Lee a toujours craqué pour les filles exotiques. Aussi a-t-il tenté sa chance auprès de Cheyenne, peu après son arrivée au lycée. C’était hélas peine perdue et il s’est fait gentiment éconduire. Une boule en travers de la gorge de notre homme, qui aimerait bien qu’elle se rende compte de son erreur et qu’elle s’en morde les doigts ! |
S'il y a bien quelqu'un dans le camp que Lee ne porte pas dans son coeur, c'est bien Wade. Ses petites manières précieuses le font sérieusement grincer les dents. Pire encore, c'est le mari de la nana que son pote aimerait bien se taper. Mais plus que tout, c'est le fait de le voir tourner autour de Cheyenne qui le rend dingue. Et s'il réussissait là où lui avait jusqu'à présent échoué ? Ce tocard est déjà marié en plus, il pourrait bien en laisser aux autres quand même ! |
Les gamins, peu importe l’âge, ce n’est pas la tasse de thé de Lee. Dans son genre, la fille Barnett l’agace tout particulièrement. Avec ses airs de grande fille et son inutilité éloquente au sein du lycée ! S’ils s’ignorent principalement, quand ils doivent interagir, ça fait des étincelles ! Parce qu’elle ne se laisse pas faire la gamine ! |
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Re: PRÉDÉFINIS : EMERALD
Mar 31 Jan 2017 - 16:31
40 ans ≡ Américaine ≡ EMT Paramedic ≡ Libre
Angelina Jolie
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i've got a war in my mind
Il est difficile de savoir ce que pense Rachel. Son calme lui donne souvent des airs froids et distants alors qu'il n'en est rien. Au premier coup d'oeil, elle ne vous donnera certainement pas envie d'aller vers elle. Pourtant, Rachel est une femme douce, calme, qui aime être entourée et qui, en plus de ça, est agréable pour discuter. C'est sans doute parce qu'elle ne parle pas souvent d'elle, de sa vie, de sa famille, qu'elle donne cette impression. On pourrait croire que depuis le temps, elle n'a toujours pas trouvé sa place dans le camp. Mais Rachel ne quitterait le lycée pour rien au monde. Elle est reconnaissante envers les autres survivants et fera de son mieux pour rendre service. Ce qui tombe plutôt bien puisque avant tout ça, elle était EMT Paramédic.
Bonne pédagogue, elle n'hésite pas à partager son savoir et a même décidé de constituer un petit groupe "d'élèves" qu'elle forme aux premiers soins. Mais malgré son caractère doux et généreux, Rachel cache des blessures profondes. Son parcours dans la vie l'a profondément marqué. Il a fait d'elle une battante, très exigeante avec elle-même mais pas que. Il a aussi laissé des cicatrices qui ne se refermeront sans doute jamais. Blessée, elle se torture souvent l'esprit avec ses vieux démons. Et si, arrivée à l'âge adulte, Rachel a décidé de ne plus laisser ses peurs dicter sa vie, elle reste très renfermée à ce sujet. Tout cela l'a rendue très rancunière. À tel point que si un jour, vous la décevez, il n'y aura aucune possibilité de faire marche arrière.
N'ayant pas possédé grand chose durant son enfance, elle s'attache très vite à des choses parfois sans intérêt. Mais son sac à dos reste son sac à dos. Sa chambre reste sa chambre. Ce qu'elle possède est une valeur sûre et cela lui apporte un léger sentiment de stabilité.
→ Originaire de Cleveland, dans l'Ohio.
→ Son père travaillait dans une banque. Sa mère était employée dans un pressing de la ville.
→ Ses parents travaillent beaucoup. Elle est rapidement amenée à être autonome.
→ À l'âge de 8 ans, ses parents décident que leur fille jouera d'un instrument de musique. Ils lui paieront des cours de Piano.
→ Son calvaire commencera dès le second cours. Rachel sera victime d'abus sexuels par son professeur de piano pendant des années.
→ De petite fille enjouée et rêveuse, elle dégringolera progressivement vers un mutisme complet. Ses parents, trop occupés à travailler, n'y verront rien.
→ Ses résultats scolaires sont passables, loin d'être mirobolants mais ils suffisent à ses parents qui sont persuadés que leur fille ne fera pas de grandes études.
→ L'année de ses 14 ans, sa mère décide de l'initier à son métier afin qu'elle sache faire quelque chose de ses dix doigts. Rachel ne s'y opposera pas.
→ Les cours de piano prennent fin l'année de son quinzième anniversaire. Monsieur Darcy déménage rapidement et les parents de Rachel décident qu'il est inutile de continuer.
→ Sa mère commence à se douter de quelque chose lorsqu'elle apprends à sa fille que Darcy déménage et qu'ils n'ont plus les moyens de lui payer des cours. En voyant son enfant ne pas répondre et aller s'enfermer dans sa chambre, elle se posera quelques questions mais n'ira malheureusement pas plus loin.
→ Durant toute son adolescence, Rachel reste seule. Elle n'a aucun ami et n'en cherche pas. Elle n'est même pas attiré par les fêtes où drogues et alcool sont facilement accessibles et lui permettraient d'arrêter ses idées noires. Son temps libre, elle le passe à aider sa mère au pressing, dans un silence des plus complets, à rêver.
→ Rachel arrête les études avant même d'obtenir son diplôme. Elle est directement mise à contribution au pressing.
→ Elle n'y reste pas très longtemps. Après quelques mois, Rachel quitte le domicile familial, persuadée qu'elle ne sera jamais heureuse si elle y reste. Elle part s'installer à Seattle, convaincue que cette ville lui offrira un nouveau départ.
→ Elle enchaîne tous les petits boulots possibles et imaginables. À chaque fois, ses contrats se passent très bien. Rachel est ponctuelle, disciplinée voire parfois même effacée mais elle donne entière satisfaction. À plusieurs reprises des postes intéressants lui sont proposés mais elle refuse, de peur que cela soit au dessus de ses compétences.
→ C'est à l'âge de 26 ans que Rachel rencontre Wes. À l'époque, Rachel travaillait à la plonge d'un restaurant plutôt chic. Perdue dans ses pensées, elle ne prêtera pas attention au couteau caché sous la mousse et s'entaillera la paume de la main. (Elle en garde une belle cicatrice.) À l'hôpital, elle rencontre un interne, Wes Keating qui s'intéresse à elle.
→ Quelques mois après leur rencontre, Wes et Rachel sont officiellement ensemble. Poussée par son conjoint, elle reprends les études l'année de ses 27 ans.
→ Elle recommence les études depuis le début. Elle obtient ses premiers diplômes et s'inscrit dans un cursus médical. Elle y suit la formation et poursuit avec le cycle des ambulanciers paramédic.
→ À 33 ans, elle termine ses stages et commence réellement à travailler. La même année, Wes la demandera en mariage. Elle accepte mais se laissent deux années pour l'organiser.
→ Leur mariage n'aura malheureusement jamais lieu. (Raison libre.) Ils se séparent et Rachel se trouve un appartement pas trop mal en centre ville.
→ Au début de l'épidémie, Rachel est réquisitionnée comme tous le personnel médical. Elle se retrouve rapidement bloquée dans l'hôpital après avoir transporté une personne s'étant fait mordre.
→ Elle est contrainte de fuir l'hôpital qui est rapidement infesté de rôdeurs. Elle erre dans les rues de Seattle jusqu'à ce qu'elle tombe sur le lycée. Elle fait parti des civils, cachés dans le gymnase, lors de la révolte.
→ Elle s'est très bien intégrée au groupe depuis.
no church in the wild
Travailler ensemble à l’infirmerie forcement ça crée des liens. Les deux femmes se sont de suite entendues. Emerson est la personne qui en sait le plus sur l'ambulancière. Petit à petit, information par information, Rachel s'est confiée sans pour autant aborder le sujet douloureux de son enfance. Elles se font confiance mutuellement et savent parfaitement travailler en duo. |
Si Rachel s'est rapidement intégrée, c'est surtout grâce à Maxine. C'est elle qui s'est occupée de l'ambulancière lorsqu'elle est arrivée au lycée. Et c'est elle aussi qui l'a présenté aux autres et qui a veillé à ce que son adaptation se passe pour le mieux. Leur entente reste courtoise. Il leur arrive de papoter un peu plus mais Rachel n'ira jamais plus loin, de peur d'embêter l'institutrice. |
Les deux femmes ont commencé à discuter après la naissance d'Elliot, le petit fils d'Anna. Rachel, n'ayant pas vraiment approché Maxine, a eu plus de facilité à le faire avec Anna. Il n'est pas rare que les deux femmes se retrouvent et fassent des tâches ensemble. Elle a d'ailleurs appris quelques bases médicales à Anna. |
Elle a passé beaucoup de temps à l'observer. Cachée dans un coin de la pièce, à regarder ses réactions ainsi que tous ses faits et gestes. Rachel serait incapable de dire pourquoi elle s'en méfie autant. Mais lorsqu'il approche, elle est immédiatement froide et distante. Elle n'acceptera jamais son aide et préférera laisser la tâche de la soigner à un autre. |
Comme avec la plupart des gens, Rachel l'a observé. Lui et Rosaleen tout particulièrement. Depuis son arrivée, Rachel est persuadée qu'il s'agit d'un gentil garçon. Et elle est aussi persuadée qu'elle s'entendrait assez bien avec les deux jeunes gens mais mis à part quelques discussions basiques lorsqu'ils étaient assis à la même table pour manger, Rachel n'a pas vraiment cherché à s'en faire des amis. Cela viendra peut-être avec le temps... |
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