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Roza Votiakova

Mer 15 Fév 2017 - 13:54


Roza Votiakovatell me more about you

prénom(s) : Roza
nom : Votiakova
date de naissance : 01 / 04 / 1990 (non ce n'est pas une blague)
âge : 30 ans
ville de naissance : Moscou
métier : Tatoueuse
groupe : The Remnant

avatar : Ruby Rose

what i am

qualites
Obstinée
Volontaire
Confiante
Curieuse
dynamique
defaults
Impulsive
Grande gueule
Entêté
Orgueilleuse
Méfiante
Equipement :
Une paire de couteaux dont le manche fait aussi office de poing américain
-Une paire 9mm
   
Details physiques :
C'est une fille ? Un garçon ? Il va falloir s'en approcher pour s'en assurer !
Et une fois suffisamment proche vous pourrez éventuellement constater l'évidence, c'est bien une femme du haut de son mètre soixante dix au physique atypique et androgyne. Il faudra cependant bien faire attention à ses courbes et son visage pour le deviner car sa maigre poitrine n'a rien de bien évocateur.

Aucun kilo en trop cependant et un corps finement sculpté sans exagération première, elle doit faire partie du genre de femme à prendre soin d'elle et aurait très bien pu faire mannequin si elle s'était décidée à se lancer dans cette carrière, répondant parfaitement aux standards demandés. Quoique dernière un peu plus maigre qu'elle ne l'était auparavant.

Des tatouages ? Oh que oui ! Elle en possède des tonnes, au niveau de ses bras jusqu'aux doigts, au cou et à son buste ainsi qu'à son bas ventre ou encore le haut comme le bas de son dos, elle ne s'en cache pas et si elle en à l'occasion elle les mettra même en avant en portant un simple débardeur. Elle est fière de ce qu'elle a pu faire de son épiderme.
Côté piercing il n'y a pas grand chose, simplement un boule d'acier au milieu de sa langue, facilement visible si elle vous adresse la parole, ainsi que quelques anneaux argentés qui pendent à ses lobes mais rien de plus, sa passion pour la boxe ne lui a pas permise trop de fantaisie à ce niveau là.

Pour parfaite son visage ovale, sa coupe de cheveux est relativement rock n' roll, ils sont mi longs et coiffés en arrière la majorité du temps, elle adore passer ses doigts dedans pour parfaire l'orientation de ses derniers, s'en est même devenu un toc à la longue.

Son accent Russe est charmant et à couper au couteau, malgré 9 ans passés aux Etat Unis elle s'est toujours efforcée de garder l'intonation et le roulement des R de son pays natal.

Ses iris sont relativement clair, farouches et perçants malgré le beau bleu qui les anime.

Psychologie

Hantée d'une fougue des plus impulsive, elle est bien loin du genre de femme que l'on domine à la baguette, c'est même tout le contraire ! La tatouée ne servira jamais une cause qui pourrait lui paraître injuste, son propre jugement passe au dessus de toute autre forme d'autorité. Rester maîtresse de ses décisions est bien plus qu'une simple formalité pour elle, c'est tout bonnement son principe de vie. Un vilain trait de caractère qui ne semble pas évoluer avec le temps, il est même rare de trouver plus têtue qu'elle... peut-être là, le syndrome de l'enfant roi ?

Dans tous les cas, c'est bien de cette impulsivité qu'elle en dégainera sa grande énergie qui accompagne si bien sa forte détermination. Il faut savoir qu'il est toujours difficile de l'arrêter quand elle a une idée en tête, cela relève même du défi.
Quant au silence, il ne fait pas fatalement pas parti de ses principes, Roza est une grande gueule et n'est pas du genre à baisser le regard. Mourir debout ou vivre à genoux, le choix est vite fait pour elle, le code est très clair. L'insolence n'est cependant pas de mise, car le respect est une notion indispensable pour elle, il se doit de fonctionner dans les deux sens. Sans quoi, vous pouvez évidement être certain de réveiller un brasier qui peut se montrer des plus odieux et pourquoi pas, au besoin, accompagné de violence.
Vous pouvez aussi compter sur la jalousie pour se faire, en cas de crise, elle ne pensera qu'à suivre son propre intérêt par terreur de perdre ce qu'elle possède.
La confiance n'est en effet pas son fort.

À côté de cela, la compassion fait partie des doux sentiments qui l'animent et tel un livre ouvert, il en devient des plus aisé de lire en elle, son attitude ou encore son regard la trahissent sans cesse.
Dotée d'une âme généreuse, elle se prête souvent à l'exercice, s'allégeant par la même occasion. C'est bien en donnant qu'elle se bonifie, valorisant son image et son estime de sa propre personne. Le tout sans même en prendre conscience, restant persuadée d'agir dans l'intérêt de l'autre avant tout.

Volontaire, elle est du genre à aimer se mettre en avant et se prêter aux nouvelles expériences qui se présentent à elle, que ce soit en matière de survie,ou dans l'art de l'illustration par le biais du tatouage.
Cette grande et omniprésente curiosité est un de ses points forts, elle a pu lui permettre d’acquérir une certaine culture du monde qui l'entoure tout en lui assurant par la même occasion une bonne base en matière d'indépendance.

Sa bonne humeur s'en révèle facilement contagieuse et à contrario, ses piques de colère et sa prétention sauront agacer par moment son entourage.
Qu'on se le dise, faut l'aimer la Roza pour la supporter.



Story of survival

Pre-apocalypse

Originaire de Russie, Roza vit le jour dans les environs de Moscou auprès d'une famille tout ce qu'il a de plus banale, ou presque. Le seul défaut de ses parents restaient leur attrait pour la vodka, elle fut donc seule pour ses premiers pas, le jeune couple bien trop occupés a décuver dans la pièce d'à côté. Pas faute d'avoir déjà perdu un enfant en fausse couche à cause de l'alcool, difficile de lutter contre la dépendance. Une tendance qui n'évolua donc guère avec les années ce qui permis à la jeune de gagner en indépendance et en maturité vis à vis des autres enfants de son âge, elle conservait toujours une longueur d'avance. Passionnée par la boxe, elle se lançait dès l'âge de 12 ans dans ce domaine, préférant se concentrer sur le sport plutôt que sur ses études, elle était loin d'être l'élève studieuse et parfaite, bien au contraire. Ses notes ne s'amélioraient pas avec les années, les redoublements étaient même de mise jusqu'à ce qu'à ses 16 ans on décide de ne plus la prendre en établissement scolaire, tout ses devoirs se clôturaient par des dessins et l'administration n'avait de cesse de supporter son insolence.

Sa famille entre deux cuites prirent finalement conscience du tragique futur de leur fille qui commençaient bien mal, ils décidèrent donc de se pencher vers ses passions, la boxe ne pouvant l'aider d'avantage à son âge ce fut le dessin qui l'emporta.

En attendant l'idée de se perfectionner dans son art la démangeait au plus haut point et les feuilles de papiers ne lui suffisaient plus pour s'exprimer. Elle prit donc part à l'art urbain, non loin de son ancienne école et au cœur de la nuit sur le mur d'un bâtiment abandonné. Équipée de quelques bombes de peintures et d'un bandana sur le nez, elle marquait son territoire d'une belle tête de mort aux teintes rouge jusqu'à l'arrivée d'une rousse, petite, propre sur elle, sourcils froncés mais semblant néanmoins appréciée ce qu'elle voit. D'un regard intriguée, Roza s'arrête et se tourne vers elle sans un mot, curieuse d'avoir un premier retour sur son graffiti presque terminé.

- ... Mais c'est illégal...?

Illégal ? Elle bien mignonne celle là ! Ça ne semble la décontenancer pour autant, non, elle en sourit la jeune hors la loi ! Il faut avouer qu'elle n'avait pas vue les choses sous cet angle.

- C'est ta couleur de cheveux qui devrait être illégale ! Dans un rire bien gras.

Ce fut le début d'une grande amitié entre ses deux là qui ne se lâchèrent pas de sitôt, leurs différences de comportement étant la plus grande force de ce jeune duo.

Vient l'âge de ses 18 ans où elle fut enfin envoyée aux État Unis pour y parfaire sa formation de tatoueuse gràce à une rencontre prometteuse. C'était la seule chose qu'elle voulait faire, l'informatique n'étant pas sa spécialité, l'illustration assistée par ordinateur ne lui convenait guère, sur la peau par contre c'était une tout autre histoire ! Et puis elle trouvait que ça faisait bad-ass.

Une fois sur le sol Américain et plus précisément à Seattle, elle s'empressa de travailler dans un fast food pour s'assurer un loyer sans ruiner ses parents, puis elle se hâta en parallèle à approfondir sa formation de tatoueuse. En 2009, et lors de cette formation, elle put rencontrer Tasha Galkina, une femme parlant couramment le russe et l'anglais, celle-ci l'aida à se familiariser au sein des terres de l'oncle Sam. Que ce soit pour se trouver un logement convenable et même l'aider au niveau de l'anglais, l'on peut dire que son aide fut des plus précieuses. Avec les mois, l'apprentie tatoueuse se lia d'amitié avec sa sauveuse jusqu'à évoluer vers une relation plus ambiguë portée vers le flirt et un attachement certain.

Deux ans plus tard, quelques bringues et pas mal de relations et elle intégra un salon de tatouage relativement connu en ville. C'est à ce moment là qu'elle se remise à la boxe dans un petit club à côté de chez elle pour combler les trous entre deux projets tatouages, une bonne façon de se défouler au quotidien dont elle n'était pas prête de se passer. Avec le temps et l'expérience, elle finit par se faire un nom et une réputation dans le milieu du tatouage pour ses styles de tatouages, passant du trash réaliste au comics style, elle avait trouvé sa voie !

De là, s’enchaîna une vie de débauche, pétards, alcool, cocaïne, concerts et fêtes, elle se complaisait à merveille dans ce nouveau milieu qu'était le sien ! Enchaînant les relations, passant d'une femme à une autre sans jamais user du statut du couple, vivant ainsi librement et surtout comme elle l'entendait. Pas de quoi plaire à Tasha qui jugea cette vie de débauche dangereuse et imposa un ultimatum à la russe. Une condition qu'elle ne réussit pas à respecter, perdant ainsi son amie et amante par la même occasion. Une étape difficile de sa vie mais qu'elle ne put contrôler convenablement, cherchant encore et toujours à renouer avec elle, alors que les rejets n'en restaient pas moins systématique... Tant pis.

Elle gardait néanmoins contacte avec la Russie et son amie Irina, la rousse de Moscou, tous les jours elle lui envoyait de ses nouvelles entre deux séances tatouage pour partager avec elle ces nouvelles expériences, allant de la liberté et l'acceptation de son homosexualité à ses premières séances au stand de tir comme ses nombreuses amantes, Irina savait tout sur tout !


Post-apocalypse

Le 11 octobre 2015 au soir, Roza est en plein travail à son studio tattoo, elle fait des heures supplémentaires, victime de son succès et attirée par l'argent qui en découle, il faut dire que 130$ de l'heure, ça se prend !
En bruit de fond pour la bercer dans l'ouvrage c'est Metallica qui turbine à fond et résonne dans le salon, une télé s'y trouve également pour que le client puisse poser son regard sur autre chose que les aiguilles qui se plantent à grande vitesse dans sa chair. Ce dernier semble par ailleurs curieux de ce qui se passe dans la petite boite et lui demande de couper sa musique et monter le son des informations. Dans un râle profond, elle arrête son encrage et s'exécute pour satisfaire sa demande jusqu'à ce que la conversation revienne après ce flash info.

- Putain ! Ils ont toujours pas trouvé l'origine de la folie des vénères du coin !  S'exprime rapidement le client, il est jeune, à peine 20 ans

- Ouais, je le dis depuis le premier jour moi, c'est de la drogue c'est tout, faut pas avaler ou sniffer la première merde qu'on te refile pas cher, je suis sûre que c'est ça qui enflamme le peuple à devenir archi violent et à partir en steak. Enchaîne t-elle d'un ton assuré sans décoller ses iris de ses tracés en cours

Ainsi est sa vision et elle n'est pour le moment pas prête de déroger à son intuition, c'est ça, sans l'ombre d'un doute ! Elle encourage donc le jeune, de son bel accent russe à bien sélectionner la came qu'il souhaite s'envoyer dans le piff, c'est la chose la plus saine à expliquer pour elle qui s'empresse par la suite de lui parler de la cocaïne et des pétards comme drogue sûre sans pour autant l'encourager à plonger là dedans. Elle termine enfin le remplissage du dit tatouage, une belle tête de mort avec des dents en moins accompagné d'éclaboussure de sang, ça, ça dépote ! Elle prend son oeuvre en photo, son cash et le libère pour retourner chez elle, l'esprit peu préoccupé par l'actualité, en pleine confiance.

Du reste, elle ne se préoccupa pas de la situation de l’hôpital et reste confiante vis à vis de l'annonce du président, c'est seulement face aux émeutes puis à la présence militaire renforcée en ville qu'elle commence à vraiment l'inquiéter en ce beau 18 octobre.
À un tel point qu'elle en délaisse son salon de tatouage quand tout part en steak comme elle dit si bien et part avec quelques uns de ses proches tatoueurs pour se barricader dans un sous sol bien aménagé, télé, drogues, alcool et nourriture, ça semblait être le bon plan pour attendre que la tempête de panique passe.

Elle ne fait cependant pas la maline ainsi cloîtrée avec ses 3 meilleurs amis tatoueurs, les coups de feu résonnent au dessus d'eux, des cris et les lignes téléphoniques se coupent... Les médias l'affolent d'avantage avec les nouvelles inquiétantes qui tournent en boucle et dans ce huit clos, l'amitié commence à se détériorer, il faut dire qu'ils étaient tous sur les nerfs à fur et à mesure que les jours avancent au milieu de ce chaos qui prend de l'ampleur. L'angoisse montait et la pression se rajouterait alors qu'il lui était impossible d'accéder à internet et d'envoyer de ces nouvelles à Irina qu'elle pensait à l'heure actuelle en sécurité en Russie.

Au bout de quelques jours et sur un coup de tête, l'un deux quitte le groupe, Bob, il est du genre électrique et n'en pouvait plus de tourner en rond, il devait voir le monde extérieur, constater l'horreur de ses propres yeux.
Sa ballade ne dura cependant pas longtemps, il revient déjà affolé  et en sang cogner à la porte de la cave souterraine ce 24 octobre. Il a un bout de joue en moins, il est terrifié, il tremble sans cesse, il hurle alors que les tatoueurs s'empressent d'essayer de soigner sa blessure. Amy ne supporte pas ce qu'elle voit et ce qu'elle entend, elle s'enferme dans la seule pièce contenant un verrou, un placard qui leur sert de toilette où trône un beau seau d’excréments.

Bob, de son côté, est victime d'une fièvre sacrément avancée et sa plaie ne s'arrange pas malgré les soins apportés, le groupe pense à une infection et songe à sortir leur ami de là pour l'amener auprès d'une équipe médicale mais Tyler, le leader du groupe s'y oppose, c'est trop dangereux dehors et affirme que Bob va s'en remettre, il faut juste s'armer de patiente. Le groupe apeuré décide donc de s'y plier et patiente, bataillant dans un autre temps pour faire sortir Amy des toilettes de luxe dont ils disposent, c'est Roza qui arrive finalement à la sortir de là, il faut dire que Bob à la moitié du visage bandé, ça en devient plus potable pour elle comme vision... enfin.. jusqu'à qu'en pleine nuit, Bob décède des suites de sa blessure, le 27 octobre. Le petit groupe n'avait rien vu venir et sa transformation fut relativement rapide, Tyler veillait ou plutôt dormait à ses côtés, le front posé sur ses bras croisés au bord du lit, de quoi offrir au zombie tout frais une magnifique vue sur sa carotide. La suite est évidente, le mort vivant avait faim et soif, sans prévenir donc il se redressa d'un geste mou et alla planter ses crocs dans la chair si gracieusement offerte. De quoi réveiller le leader et les deux dames dans un cri d'effroi mélangé à la douleur, l'infection était là, au sein même de leur cachette, de leur petit foyer de luxe. Paniquée Amy prit directement la sortie à toutes jambes, laissant ouvert derrière elle, Roza quant à elle sauta sur ses deux couteaux dont le manche est équipé de poings américains et leva les poings devant elle en hurlant le nom de Bob, espérant le sortir de sa transe. Mais il n'y avait rien à faire, Bob -ou plutôt ce qu'il restait- ne s'arrêterait pas et dégustait joyeusement le cou de Tyler qui se vidait bien trop vite de son sang, carotide touchée. La scène paralysa la tatouée qui compris enfin l'état de contamination de son ami et la perte de conséquente de Typer, mordu à son tour.
Resserrant son étreinte sur les manches de ses armes elle profitera du fait que le cannibale soit occupé à déguster son repas pour quitter à son tour les lieux, attrapant au passage son sac à dos déjà préparé pour le camping sauvage et retrouver amie.

Là voilà à nouveau dans les rues de Seattle, la lumière l'éblouie un moment, elle bat des cils à plusieurs reprises et passe la rue d'un regard circulaire à la recherche de son amie dont elle hurle le prénom, crapahutant à tout va jusqu'à la retrouver, au croisement plus loin, allongée au sol et entourée de quatre zombies qui se partagent ses tripes. Le regard tremblant et la peur au ventre, elle tourne aussitôt des talons pour s'effacer dans les ruelles de la ville, les larmes dévalant en masse le long de ses joues sans même qu'elle ne se rende compte dans un état de transe profonde, la sueur vient combler le tout et coule à la commissure de ses iris pour les ronger avec piquant. Elle court.. elle court.. elle esquive les ombres amorphes qui déambulent dans les ruelles jusqu'à tomber nez à nez avec un militaire qui l'embarque dans un des avants postes les plus proches, il était du coin et connaissait l'Artiste tatoueuse qu'elle était, lui même tatoué et fan de sa patte, il lui fit don d'un 9mm et d'une petite réserve de munitions avant de retourner au charbon et chercher d'autres survivants.

De là, elle fut amené avec d'autres civils par convoi directement au camp de l'opération Emerald Freedom. Une fois arrivée, elle se mélange subtilement aux civils, néanmoins après quelques jours elle préféra se cloîtrer dans un coin du gymnase bien loin de la foule. Elle se mélangeait de temps en temps à la présence civile mais sans plus, il lui arrivait néanmoins de se faufiler régulièrement au milieu de la foule, le temps de la distribution des rations et pour la prise de nouvelles, mais sans plus, elle était trop traumatisée par la perte de ses proches pour créer de nouveaux liens.

Pour la soirée de Noël, elle décida de faire un effort et de se sociabiliser. Mal lui en a pris car lors de cette fameuse soirée, certains militaires un peu trop acharnés dans la connerie se sont donnés à cœur joie pour rajouter de nouvelles tensions et réduire à néant toute la confiance qu'elle avait rassemblée pour répondre présente activement à cet événement.

Ainsi, elle se replia sur elle même, retournant dans son coin espérant échapper à la violence. Le mois de janvier rimait alors avec solitude et ennui profond, pour s'occuper elle n'avait pas 36 000 solutions, le dessin restait sa seule occupation. Utilisant toute sorte de support parfois même sa propre peau et utilisant toute sorte d'encre, parfois même son propre sang.  

Le viol de la jeune fille courant début février lui parvient aux oreilles ainsi que des bruits de couloir parlant d'un soulèvement civil imminent. Ne souhaitant pas y participer, elle crut dans toute sa naiveté qu'elle serait à l'abris de toute violence dans son coin perdu au milieu de la masse, au gymnase. La surprise fut donc grande quand elle vit les militaires débarqués dans les lieux et commencer leur massacre. Sous les tirs groupés, Roza eut le réflexe de se coucher au sol et ramper jusqu'à un corps sous lequel elle put passer pour une victime, s’immobilisant et priant silencieusement pour que personne ne découvre la supercherie. Afin de maximiser ses chances, elle aura pris soin de se grimer le visage à l'aide du sang d'un de ses ex-colocataire du gymnase. Le temps fut long pour Roza mais les militaires firent enfin marche arrière et les civils réussirent à reprendre leur droit.

Elle fit une introspection sur elle même, rongée par les remords et décida d'aider à la gestion du camp. Nettoyage et patrouilles à gogo, elle fut rongée par la culpabilité de sa lâcheté précédente et se donnait maintenant corps et âme à la survie et au bien être du camp, rejoignant même une salle de classe pour s'y faire un nid douillet. Pour son plus grand bonheur, elle mit la main sur un petit carnet vierge et un crayon à l'intérieur d'un bureau, quelqu'un l'avait sans doute oublié avant l'évacuation.

À ces heures perdues elle tatoue les survivants intéressés pour se vider l'esprit et encore là, se rendre utile à sa façon. Ses couteaux ne la quittent jamais, et pendent à sa ceinture comme des holsters, ce sont ses bébés, il lui est déjà arrivée lors de patrouilles d'exploser le crâne de zombies à proximité des barricades une fois ceux ci immobilisés au sol.
Ce n'est d'ailleurs que très récemment que la peur du mort vivant l'a enfin quitté, maintenant, elle est prête à tout pour le bien du camp.

Survie

Roza est passé d'Emerald Freedom à la vie de travelers à celle de prisonnière chez les Remnants. À l'heure actuelle et après bien des étapes, elle fait maintenant partie de ce groupe et réalise de nombreuses missions extérieures visant à affaiblir New Eden. Quand elle ne botte donc pas des derrières elle est enfermée dans sa route sportive quotidienne et ses nombreux entrainements pour rester au mieux de sa condition physique. Elle ne participe pas plus que cela à la vie de groupe et s'isole volontairement une grosse parie du temps.

time to met the devil

• Pseudo (sur internet) : Zo'
• Âge irl : Blblblbl
• Présence : Quand je peux ><
• Personnage : Inventé [x] / scénario/prédef [ ]
• Comment avez-vous découvert le forum ? Google à l'époque, de mémoire.
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? le thème
• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum Oui [ ] / Non [x ]
• Crédits (avatar et gifs) Zo'

• Code du règlement AHAHAHAAH

fiche (c) langouste.
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Re: Roza Votiakova

Mer 15 Fév 2017 - 14:00

Ouh j'aime ton choix de métier ! :MisterGreen:

Bienvenue par ici donc !
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Re: Roza Votiakova

Mer 15 Fév 2017 - 14:03

Merci !

Je le voyais pas dans la liste ça m'inquiétais un peu, j'espère que ça passe x) !
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Re: Roza Votiakova

Mer 15 Fév 2017 - 14:05

Ca va se battre pour le vava là ! Very Happy

*prend les paris*
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Re: Roza Votiakova

Mer 15 Fév 2017 - 14:07

TOI + MOI = LIEN !
Voila!
Bienvenue quand même parce qu'il faut avoir l'air un peu civilisé quand même :3
Bon courage pour la fin de ta fiche en tout cas Smile
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Re: Roza Votiakova

Mer 15 Fév 2017 - 14:10

Tamara C. Kroeger a écrit:TOI + MOI = LIEN !
Voila!
Bienvenue quand même parce qu'il faut avoir l'air un peu civilisé quand même :3
Bon courage pour la fin de ta fiche en tout cas Smile

QUAND TU VEUX, AVEC ZIZIR  !!!!!! x) !!


@Trey : Merde, l'avatar de Ruby Rose est déjà pris ? :O !!!
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Re: Roza Votiakova

Mer 15 Fév 2017 - 14:27

BIENVENUUUUUUUUE :smile12:

Bon nous faudra un lien !
j'adore l'image de Ruby dans ta fiche :smile52:
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Re: Roza Votiakova

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