Re: Mr. Zoot suit

Invitation douteuse

Cormac & Hope

Le monstre était endormi, le vieux loup observait bien au chaud dans sa tanière. Des habits impeccables, un flegme emprunter à ses amis anglais et un gros cigare, tout ça constituait un confortable costume. Notre cher Cormac avait tout l’attirail du gangster des films noirs. Le charisme en plus car il s’échappait réellement quelque chose et il ne me paie pas pour dire ça ! Les traits saillants de son visage et ses yeux glacés...Le Malin a vraiment une tête de méchant, il se distingue de la masse de part ses manières et son physique. Pourtant il ne cherche pas à le cacher.

Le vieux loup souhaite qu’on l’identifie comme le Malin, comme un connard ou un tueur. Il veut que des gens le haïssent et d’autre le craignent. Pour cela qu’il s’était lancé entraîner par cet blonde plantureuse, une autre survivante qu’il marquera de part sa présence. Dans tout son orgueil, il se savait spécial car personne n’as jamais oser l’oublier. Il ne fut jamais en retrait des choses car il doit être sous les projecteurs !

Tirant sur le cigare cubain, il la laissa s’approcher comme un prédateur prétendant être dans le vague. Alors qu’elle ne fut qu’à quelques centimètres, il ne prit pas la peine d’éteindre son bâton de mort lui fumant ouvertement à la gueule. Les gens se plient pour lui pas l’inverse. La moue d’Hope fit pétiller ses yeux, ainsi elle était encline à continuer. Il n’en demandait pas plus, notre vieux loup n’est pas difficile.

- Je connais bien un endroit mais vous seriez obliger d’y passer la nuit, fit-il malicieux. Si ça ne pose pas problème, ma voiture est garé pas très loin, conclut-il dans un petit geste nonchalant.

Il tira une dernière fois sur son cigare le jeta par terre l’écrasant avec sa semelle puis sortit un petit pistolet coincer entre son bras et ses côtés pour le vérifier. Pas fou, il amenait toujours une arme avec lui et rester dans cette ruelle le rendait presque nerveux. L’autre con de toute à l’heure pourrait rappliquer avec des amis et personne ne viendra les aider.

- Vous devrez prendre votre mal en patience pour la glace, mais ne traînons-pas. Soit vous me suivez soit vous revenez dans la Cage. Vous pourrez dire au barman que vous êtes une amie de Monsieur Callum, il vous aidera.

Puis confiant comme un paon, il s’en alla les mains dans les poches. Cette façon nonchalante d’être lui collant à la peau. Si l’ancienne actrice acceptait cette invitation douteuse, tant mieux pour notre Malin national. Sinon, elle se morfondra seul sur un tabouret du bar ou trouveras un type un peu moins torturé.

(c) DΛNDELION

L'idée de passer la nuit ailleurs qu'au motel n'était pas quelque chose qui lui plaisait, aussi, elle a la sensation de se recevoir une véritable douche froide. Les agressions dans le coin ne cessent d'être d'augmenter, et partir avec inconnu n'est sûrement la brillante idée de l'année, sans parler de la présence omniprésente des New Eden. Mais quelque chose lui disait qu'il n'en faisait pas parti, et l'aura qu'il dégage, bien qu'inquiétante, ne faisait pas froid aux yeux à celle qui cherchait sans cesse la mort au bout du chemin. Lorsqu'il sort son pistolet pour, semble-t-il, le vérifier, une partie d'elle tente encore et toujours de résister à l'appel de l'inconnu. Sauf que évidemment, bien moins forte que son autre partie.

Ce n'est que lorsqu'il lui donne un indice sur son identité que la jeune femme se décide, après un rapide coup d'oeil à sa main. Elle n'avait sûrement pas envie d'en rester là, encore moins de devoir rendre des comptes à Oxana, et même si cette dernière avait le don de foutre la trouille, Hope se décida de suivre sans un mot ce fameux monsieur Callum - si il s'agissait là de son véritable nom de famille. Si demain elle était toujours en vie, il faudra penser à chercher des infos, pensa-t-elle, punaisée dans un coin de sa tête.

Avec un pas pressé, elle se dépêcha de suivre le mystérieux Callum, jetant un rapide coup d'œil vers l'entrée de la Cage où on pouvait apercevoir l'homme qu'elle avait frappée se tenir un morceau de tissu sur le visage, tentant de trouver sa silhouette ou même celle de son compagnon de nuit. Ce n'était pas franchement le moment pour retourner là bas ! Alors, où allons nous ? Demanda l'ancienne actrice, qui vient se placer aux côtés de l'étrange homme. Au loin, une voiture visiblement en état de rouler semblait les attendre là, appartenant sûrement au danseur machiavélique.

Tout un tas de question se bousculaient dans sa tête, et pourtant Hope resta silencieuse. Seul son regard expressif parlait pour elle et proche de la voiture, attendit que son compagnon lui donne le feu vert pour s'installer.

Invitation douteuse

Cormac & Hope

- Dans un endroit que je fréquentais il y a longtemps, expliqua le Malin mystérieux au possible. Il aurait pu l’amener dans un bouge comme dans un restaurant cinq étoiles dans un de ces grattes-ciels.

La seconde proposition n’est pas si loin de la réalité mais ne vous emballez pas, Cormac ne la mène pas jusqu’à son ancienne planque. Cela serait de l’idiotie et de la naïveté car sa charmante compagnie irait forcément se renseigner le lendemain. Lui dévoiler sa carte joker était impromptu dans une telle situation donc.

Ils s’approchèrent d’une voiture en état de roulé, une de ces berlines hors de prix que les riches hommes d’affaires appréciaient. Une carrure à la fois massive et gracieuse, une peinture noir comme la nuit qui fut autrefois uniforme ainsi que des rétroviseurs désigne qui furent aussi un jour en paire. Malgré ces petits-défauts, son véhicule avait clairement de la gueule, en plus d’avoir été retapé pour la survie. Car malgré la pénombre, Hope pu distinguer des espèces de piques voir des lames attachés contre le pare-choc. Pour les saletés !

Digne de sa politesse, le Malin lui ouvrit la porte du passager à l’avant. Avec toute la délicatesse qu’était sienne, alors que la jeune femme s’engouffrait dans la habitacle sa main noueuse se posa habilement au niveau de ses reins, à la fois pour l’aider mais aussi pour ne pas faire perdre le feu qui étaient le leur quelques minutes avant.

L’intérieur de la voiture était propre, enfin avec les standards de l’apocalypse. D’un coup d’œil dans le rétroviseur Hope pouvait voir d’étrange sac de sport empilé sur les sièges. Quand la voiture s’ébranla pour sortir de sa tanière, elle pu entendre des cliquetis. Des armes peut-être ? Enfin tout était suspect chez le Malin, son costume quasi-impeccable malgré quelques déchirures ici et là. Sa voiture, une Mercedes quasi-intact puis tout ces sacs à l’arrière. On aurait dit un riche tueur en série !

Habilement, le Malin alluma le lecteur CD. Une douce musique de jazz, très lente et langoureuse se répandit dans l’habitacle. L’un de ses doigts tapota sur le volant et alors qu’il enchaînait les zig-zag entre les carcasses de voitures et les portions entières de routes effondré, le Malin se permit de regarder un instant la jolie blonde.

- Vous aimez le Jazz ? Madame, il marqua un temps de pause fronçant les sourcils, j’ai la douce impression que vous connaître mais je n’arrive à me rappeler de votre nom. Une Aphrodite comme vous, un homme ne peut l’oublier, affirma l’homme d’affaires. Mais qui êtes-vous ? demanda le Malin dans une question très ouverte, quasi philosophique.

Dans le même temps, le duo se dirigeaient au nord de Seattle. Vers le quartier international, foyer des grandes tours de métal qui eurent l’orgueil de vouloir talonner les Dieux.

(c) DΛNDELION

Le temps semble se suspendre durant quelques secondes, durant lesquelles Hope resta immobile à observer d'un œil légèrement surprise par les bonnes manières de cet homme inconnu ; plus tellement si inconnu, puisqu'elle connaissait désormais son nom, si il s'agissait du bon. Avec l'apocalypse, cette espèce était à présent en voie de disparition, et Hope compte bien profiter de cet instant. Sans parler de sa main légère mais qu'elle devine puissante se glisser contre ses reins, pour l'inviter à entrer dans l'habitacle. Elle sentit un courant électrique la traverser sous le contact de l'homme, et n'hésite pas à s'installer sur le siège passager.

Le temps que ce monsieur Cormac vienne prendre place derrière le volant, le regard dépareillé de la demoiselle se promène à l'intérieur du véhicule par curiosité, s'arrêtant sur des boîtes à CD de jazz, ou sur des sacs imposants empilés sur la banquette arrière. Sa mâchoire se serre un instant en repensant à la planque des bikers, et les nombreux sacs dérobés. Et si c'était un mec dans le même genre ? Peu importe, si sa vie devait se terminer ce soir, au moins elle espère tirer un coup avant.

Comment peut-on ne pas aimer le jazz ?

Souffle la jeune femme en réponse à sa première question, se rappelant de la grande collection qu'elle avait de musique en tout genre ; du jazz au rock, des notes qui vous prennent au cœur et au corps pour ne faire de vous qu'un pantin. Audacieuse, elle ose même déposer ses doigts sur la roulette du son pour lever très légèrement, juste assez pour profiter des notes mais aussi de la voix suave de son chauffeur.

Je peux être qui vous voulez, le fruit de votre imagination, ou une sirène prête à faire de vous son pantin.

Là, à le fixer, un sourire presque diabolique se soude à ses lèvres. La tournure que prenait la soirée commençait à devenir jubilatoire, et Hope était bien décidée à en profiter ; tueur en série ou non. Et la blonde comptait bien ne pas lui dévoiler aussi facilement son identité, ce serait idiot de tout gâcher avec un simple nom et prénom. Lentement, durant la conduite de l'homme d'affaire, elle se penche jusqu'à son oreille, jusqu'à ce qu'il puisse sentir son souffle chaud dans sa nuque.

Mais.. j'aime bien Aphrodite.

Elle reste durant de longues secondes là, à respirer lentement entre son cou et sa nuque, avant de reprendre correctement sa place sur son siège, évitant avec soin de croiser son sombre regard alors qu'ils arrivaient enfin. Penchée vers sa fenêtre, elle observait l'extérieur sans un mot et sans bouger, attendant bien évidemment que monsieur Cormac vienne lui ouvrir la porte. Si ils voulaient avoir des bonnes manières, autant qu'il le fasse jusqu'au bout.

Invitation douteuse

Cormac & Hope

Comble de l’insolence, la gracieuse Hope eut le courage de monter le son dans l’habitacle. Jusqu’à que le moteur ne devienne qu’un vague souvenir, un solo de saxophone se lança alors que l’homme d’affaire probablement sociopathe à ses heures perdues slalomait comme un pistole de formule un dans Seattle. Le trajet était court mais semé d’embouche et pour un presque-papi sa performance était impressionnante.

Il la sentit venir près de lui, son souffle chaud éveilla ses sens comme un four qu’on ouvrirait après avoir cuit une tarte. Ses poils se hérissèrent malgré lui et sa poigne se resserra sur le volant. Cette femme prenait beaucoup d’initiative, trop pour quelqu’un qui n’aime que le contrôle. La satisfaction de la soumission, il aimait se sentir supérieur aux autres et cette blonde mettait à mal son petit orgueil. Elle n’était pas timide face au mur froid qu’était le Malin, pas même intimidé par son aura. Cela le troublait profondément, pourtant il ne montra rien de plus. Ses gestes vif pour corriger la trajectoire de la voiture faisait complètement fi de la charmante dame qui était enfouissait presque sa tête au creux de sa nuque.

- Contentez-vous d’être vous-même, je n’aime pas ceux qui prétende déclara avec simplicité le Malin qui faisait preuve d’un étonnant paradoxe. Le Malin exigeait l’honnêteté à ses connaissances mais changeait de masque comme de sous-vêtement. L’homme était particulièrement hypocrite, tout était faux, c’est-à-peine si un humain se cachait derrière son regard bleuté.

Il est vif et mordant comme un brise d’hiver mais sa singularité s’arrête ici. Nous sommes loin de le plaindre, Cormac fut éduquer dans ce sens. Les affaires exigent des coquilles vides, animé par la seule passion du pouvoir. Son affect, ses émotions et ses envies ressortaient parfois, à des intervalles complètement irrégulier et pendant un très court laps de temps. Toute sa vie n’était que tempérance et contrôle, laisser tomber son masque était toujours un échec humiliant.

- Vous êtes aussi envoûtante qu’une Aphrodite, inutile de vouloir incarner autre chose. Ne vous rabaissez pas à ces ignobles créatures que sont les sirènes. Elles sont bien loin de la beauté que Walt Disney à donner à la Petite Sirène, compléta le Malin l’air soudain dans le vague. Ariel avait été une des héroïnes de sa fille, bien que les dessins animé ne l’ait jamais émeut. Le vieux loup en gardait des souvenirs nostalgique. Aisling lui manquait, beaucoup trop.

Ils arrivèrent au même moment devant l’immeuble, en plein centre de Seattle la suite de l’avenue était complètement effondré sous l’effet combiné de la pluie et du temps. Une légère brume entourait ce presque gratte-ciel, éclairé légèrement par une pleine lune. Dans un tout mécanique, Cormac coupa le moteur et rangea ses clés puis sortit. Il fit le contour du capot et ouvrit aussi précautionneusement qu’un portier, celle de sa compagne. Parfaitement rôdé à la galanterie, cette si belle séduction, il tendit sa main humblement dans l’attente que la blonde ne la prenne.

- Je vous garantis que la vue sera splendide, affirma le vieux loup avec un petit sourire pour la convaincre de descendre de l’imposante voiture.

(c) DΛNDELION

Hope ne peut s'empêcher de sourire face à la remarque de son hôte concernant les sirènes. Au moins il était cultivé, ce genre d'homme à la fois intelligent et galant se faisait très rare et c'était plaisant, rassurant de savoir qu'ils existaient toujours. La compagnie de cet homme lui rappelait de bons souvenirs lorsqu'elle était une actrice renommée, lorsqu'on l'invitait à des dîners hors de prix ou à des soirées fermées. Un homme qui a intérêt à être intéressant, puisqu'elle se souvient qu'ils avaient pour habitude d'endormir la salle avec des discours qui n'en finissaient plus. Heureusement, Cormac était assez intriguant pour ne pas provoquer l'ennui chez la jeune femme, qui se contente alors de lui répondre.
— Je resterais moi même dans ce cas, j'espère néanmoins que vous arriverez à suivre.
Lui souffla-t-elle avec un mince sourire, l'observant de son œil noisette avec une puissante lueur de défis. Il ne semblait pas tout jeune, sûrement bien plus que quarante ans, mais il gardait malgré tout une bien belle gueule dans laquelle Hope y laisserait bien quelques traces de dents. La musique se termine et tombe doucement dans des notes plus graves, jusqu'à s'éteindre lentement lorsque son hôte ralentit lui aussi la vitesse du véhicule jusqu'à s'arrêter devant un immense immeuble. La jeune femme penche sa tête pour observer a travers sa vitre le haut building, dont le sommet était invisible face à la fin brume de cette nuit. Cormac vient lui ouvrir la porte, lui offrant sa main pour l'aider à descendre du véhicule avec élégance, ce que Hope ne refuse pas, avec un large sourire sur ses lèvres.
— Il y a intérêt.
Annonce l'ancienne actrice, qui admire un instant le vieil immeuble qui tenait encore debout malgré les années, avant de venir saisir le bras de son hôte une fois ce dernier proche d'elle, sans lui laisser le choix. Elle ne rigolait pas avec ça ; il l'avait traîné jusqu'ici, et le jeu avait intérêt de tenir la route. Hope espérait aussi ne pas foncer droit dans un piège qui pourrait mal tourner.

Invitation douteuse

Cormac & Hope

Le Malin qui avait à son déplaisir déjà fait son temps, avait un goût prononcé pour les discussions à rallonge. La beauté simple d’une phrase, le fait qu’une expression peuvent résumer tout un livre le fascinera toujours. Les armes c’est le pouvoir sauf que les mots le sont aussi. Ce n’est pas un hasard si des gens se prétendaient "diplomates" avant toute cette folie, ils parlaient des nuits durant jusqu’à convaincre leur interlocuteur.

L’ancien homme d’affaires la conduisit sous ce bâtiment aux dimensions démesuré, véritable tour de Babel au sein d’une ville qui croyait pouvoir atteindre Dieu. Les vitres étaient couvertes d’une malsaine poussière, le métal prenait une teinte inquiétante et la menace verte qu’est le lierre commençait sa conquête. La nature reprends toujours ses droits n’est-ce pas ?

Alors qu’il aidait la demoiselle à sortir, notre Malin inspecta un court instant la façade. S’il avait un peu de chance, il pourrait même voir cet insensé ensemble d’acier s’effondrer de lui-même. Les bâtiments modernes n’eurent jamais l’ambition de durer autant que les temples romains. Il suffira d’une mauvaise tempête, d’une saison de pluie drue et c’en sera finit de ces édifices à la gloire de l’Homme.

Cette blonde aux charmes ensorceleur, se lova contre lui, loin de lui déplaire. Il la mira voir la contempla de courtes secondes avant de se décider à lui voler un baiser. Ses lèvres fine trouvèrent le chemin des siennes puis les captura d’une façon autoritaire. Ceci fait, il se redressa et d’un signe de tête indiqua l’entrée du gratte-ciel.

- Vous n’en serez pas déçu.

Le Malin, soudain prit d’un accès d’autorité, la mena jusqu’à la cage d’escalier. Forcément l’ascenseur avait rendu l’âme depuis des années et il ne prendra jamais le risque de l’emprunter, les câbles doivent être aussi fin que des gaines rongés par ces sales rats partout en ville. Le type aux traits de faucon se pencha au delà de la rambarde pour observer ces escaliers s’étendre jusqu’à l’infini. Il soupira intérieurement puis s’élança vers les premiers paliers, leurs chaussures étaient d’autant de marteau qui tapait contre le carrelage. S’ils avaient voulu être discret, la chose était compromise, en effet leurs pas se répercutaient en écho jusqu’au dernier étage.

Alors que la montée s’éternisait, ils firent face à un palier complètement effondré. La poussière et les quelques débris aurait dû lui mettre la puce à l’oreille mais obnubilé par cette créature à ses côtés, il en oubliait des choses simples. Ses yeux clairs dérivèrent sur une des portes, il l’ouvrit et s’engouffra dans un couloir qui traversait de part en part le bâtiment. Il devait bien y avoir des escaliers au delà, seul problème, l’endroit était noir. Cormac n’arrivait pas à y voir distinguer quelque choses, qui sait si des monstruosités ne s’y cachaient pas ? Sa famille n’avait jamais eu à fouler cette endroit, ils s’étaient juste assuré que les escaliers de secours soient sûr ainsi que le dernier étage.

Instinctivement, sa main noueuse descendit sur la taille de l’actrice et la rapprocha encore plus de lui. Comme s’il était un roc sur lequel s’appuyer sitôt que la marée se faisait menaçante. Son autre paluche s’enfonça dans son costume bleu-marine et il sortit un pistolet aux rainures blanches. D’un coup de main, il en vérifia la sécurité ainsi que le canon puis se décida à emprunter le couloir, murmurant au passage :

- Ne vous en faîtes pas, je suis là.

(c) DΛNDELION