Re: From the Stalls
Ven 11 Déc 2015 - 16:13
Choisir.
Ok, choisir. Gary devait retrouver ses esprits pour ça, et c'était clairement pas facile. Toujours la demoiselle sur lui, qui était clairement à bout de souffle, et lui qui en menait pas plus large sur le sujet, choisir lui parut sur le moment une épreuve insoutenable. Bureau ou mur ? Trop compliqué. Il embrassa la jeune femme à la va-vite, avant de la soulever à nouveau. Elle passa ses jambes autour de sa taille, et il la posa juste ensuite sur le bureau, après avoir viré tout ce qu'il y avait dessus. Voilà. Là, c'était pas mal. Il avait ses appuies bien plantés au sol, et elle le tenait toujours entre ses jambes fermées autour de lui.
Alors, l'homme reprit la danse là où il l'avait laissé, ses mouvements du bassin se firent plus secs, plus bestiaux, à mesure que son souffle se faisait la malle. Il sentit par ailleurs les ongles de Rose s'imprimer dans son dos et lui labourer la peau, mais contre toute attente, ça le revigora un peu plus, lui permettant de poursuivre ce corps à corps extraordinaire. Parce qu'en fait, il avait l'impression d'être en train de lutter avec elle. Tout à l'heure, sur le matelas, alors qu'elle avait repris le dessus sans lui demander la permission, quand lui avait plus l'habitude de mener ce genre d'ébats...
Il grogna, enfouissant son visage dans le cou de la brune, en se sentant partir. Combien de temps aurait-il envie de tenir encore ? Il en savait rien. Jusqu'à ce qu'elle atteigne l'orgasme qu'il se disait, même si c'était pas trop son genre d'avoir ces considérations pour une nana qu'il connaissait à peine. Il hésita à jouer les égoïstes, parce que bon, c'était clairement pas une bonne âme vachement sympa avec la première venue, sauf qu'en même temps, faire durer le plaisir avec ce petit quelque chose de très agréable, et c'était pas ordinaire qu'il se dise ça.
Du coup, il se laissa aller, porter, griffer, il l'écouta gémir à son oreille jusqu'à l'extrême limite. Et à chaque fois qu'elle semblait s'embarquer bien loin de lui, il se ralentissait pour la prendre ailleurs dans sa chambre. Le mur, ensemble, ils l'expérimentèrent durant quelques longues minutes, où les prises de l'homme se firent moins habiles, plus franches aussi. En finalité, il la renvoya sur le matelas pour finir ce qu'ils avaient entrepris, ce qu'ils faisaient depuis un moment, en se montrant plus hardi encore, et quand elle voulut reprendre le dessus, tous deux tombèrent à la renverse, entraînant les draps avec eux.
Etait-ce une raison pour s'arrêter ? Absolument pas. Gary la rattrapa comme il le put pour ne pas qu'elle ne se fasse mal, amortissant sa chute de cette manière, et reprit son corps à corps jusqu'à la toute fin. Jusqu'à ce qu'il se laisse finalement aller complètement, en elle, et que ses muscles après l'effort se relâchent finalement complètement...
Ok, choisir. Gary devait retrouver ses esprits pour ça, et c'était clairement pas facile. Toujours la demoiselle sur lui, qui était clairement à bout de souffle, et lui qui en menait pas plus large sur le sujet, choisir lui parut sur le moment une épreuve insoutenable. Bureau ou mur ? Trop compliqué. Il embrassa la jeune femme à la va-vite, avant de la soulever à nouveau. Elle passa ses jambes autour de sa taille, et il la posa juste ensuite sur le bureau, après avoir viré tout ce qu'il y avait dessus. Voilà. Là, c'était pas mal. Il avait ses appuies bien plantés au sol, et elle le tenait toujours entre ses jambes fermées autour de lui.
Alors, l'homme reprit la danse là où il l'avait laissé, ses mouvements du bassin se firent plus secs, plus bestiaux, à mesure que son souffle se faisait la malle. Il sentit par ailleurs les ongles de Rose s'imprimer dans son dos et lui labourer la peau, mais contre toute attente, ça le revigora un peu plus, lui permettant de poursuivre ce corps à corps extraordinaire. Parce qu'en fait, il avait l'impression d'être en train de lutter avec elle. Tout à l'heure, sur le matelas, alors qu'elle avait repris le dessus sans lui demander la permission, quand lui avait plus l'habitude de mener ce genre d'ébats...
Il grogna, enfouissant son visage dans le cou de la brune, en se sentant partir. Combien de temps aurait-il envie de tenir encore ? Il en savait rien. Jusqu'à ce qu'elle atteigne l'orgasme qu'il se disait, même si c'était pas trop son genre d'avoir ces considérations pour une nana qu'il connaissait à peine. Il hésita à jouer les égoïstes, parce que bon, c'était clairement pas une bonne âme vachement sympa avec la première venue, sauf qu'en même temps, faire durer le plaisir avec ce petit quelque chose de très agréable, et c'était pas ordinaire qu'il se dise ça.
Du coup, il se laissa aller, porter, griffer, il l'écouta gémir à son oreille jusqu'à l'extrême limite. Et à chaque fois qu'elle semblait s'embarquer bien loin de lui, il se ralentissait pour la prendre ailleurs dans sa chambre. Le mur, ensemble, ils l'expérimentèrent durant quelques longues minutes, où les prises de l'homme se firent moins habiles, plus franches aussi. En finalité, il la renvoya sur le matelas pour finir ce qu'ils avaient entrepris, ce qu'ils faisaient depuis un moment, en se montrant plus hardi encore, et quand elle voulut reprendre le dessus, tous deux tombèrent à la renverse, entraînant les draps avec eux.
Etait-ce une raison pour s'arrêter ? Absolument pas. Gary la rattrapa comme il le put pour ne pas qu'elle ne se fasse mal, amortissant sa chute de cette manière, et reprit son corps à corps jusqu'à la toute fin. Jusqu'à ce qu'il se laisse finalement aller complètement, en elle, et que ses muscles après l'effort se relâchent finalement complètement...
Si vient l'orage, le tonnerre et la foudre, le cœur solide
- Connor G. Shepard
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Re: From the Stalls
Mer 16 Déc 2015 - 22:22
Si tous les plans d'un soir ressemblaient a Gary, elle comprenait mieux l'état d'esprit de Lara. Entre le bureau, le mur, puis a nouveau le matelas, elle crut bien défaillir plusieurs fois, mais a chaque risque de se perdre dans ses bras, il trouvait le moyen de la faure revenir a la réalité, tandis que leur danse se faisait plus passionnée, ne tentant même plus de retenir un seul gémissement tandis que ses ongles se plantaient dans sa chair pour ne pas basculer. Chaque mouvement du bassin lui donnait envie de lui rendre la pareille, et son souffle dans son cou avait le don de la faire frémir d'avantage encore. Elle tenta bien de manière régulière de reprendre le dessus sans y arriver, bloquée par le corps de l'homme qui était précisément en train de la rendre folle a force de va et vient, jusqu'à ce qu'ils ne rejoigne a nouveau le lit, ou elle avait bien faillit reprendre le dessus si seulement, son matelas n'avait pas été si petit. Empêtrée dans ses draps, elle n'avait pu que laisser Gary reprendre le dessus alors qu'un gémissement plus prononcé que les autres lui échappait, ses muscles se tendant a l'extrême alors qu'elle atteignait l'extase. Elle ne sut combien de temps elle resta allongée sous lui a trembler et reprendre un semblant de souffle, passant une main dans ses cheveux humide pour tenter de les ramener en arrière. Si ça n'avait tenu qu'a elle, elle aurait même dormi la, par terre avec lui. Épuisée, voila ce qu'elle était. Ce ne fût que par un prodigieux miracle qu'elle parvint a se relever sur les coudes pour l'embrasser une dernière fois, l'esprit encore embrumé avant de lui lancer entre deux souffles.
La prochaine fois c'est moi qui dirige.
Peut être au réveil, mais la tout de suite, elle allait mourir si elle ne filait pas s'allonger pour dormir un peu. Gary la suivit rapidement, et sans un mot, elle finit par sombrer dans le sommeil a ses cotés. Ce ne fut quelques heures plus tard qu'elle s'éveilla en sursaut en se rappelant vaguement pourquoi il était encore a coté de lui alors qu'elle s'était attendue a se réveiller seule. La fatigue sans doute. Senroulant dans les draps, sa conscience reprit le dessus, achevant de la réveiller pleinement. Que faisait-on précisément après une nuit de sexe torride avec un inconnu ? C'était pas précisé ca, il n'avait rien dit sur le sujet. RIEN DE RIEN. Et voila qu'elle paniquait, lui offrant la meilleure idée du siècle. S'enfuir de son propre appartement. Sur le coup, l'idée était parfaite. Le plus silencieusement possible, elle avait roulé hors du lit, tentant tant bien que mal de ne pas hurler d'horreur en arrivant dans son salon, constatant dans le miroir que ses cheveux impeccablement lisses s'étaient faits la melle depuis belle lurette. Un amas de boucles brunes signifiant clairement qu'elle n'avait pas fais que dormir cette nuit. Qu'importe. Dans le plus grand silence, elle était retourner dans la chambre, tentant de prendre le plus silencieusement possible un jean qu'elle enfila a la vite rapidement suivi d'un débardeur, ne prenant même pas la peine de foutre un quelconque sous vêtement au risque de claquer le tiroir un peu trop fort et réveiller l'homme qui dormait toujours dans son lit. Bon, elle s'en sortait pas trop mal pour l'instant. Ou du moins, cest ce qu'elle pensa jusqu'à ce qu'elle agrippe sa veste, faisant tomber dans la foulée les quelques bmobjets qui trainaient encore sur son bureau en voulant s'enfuir au plus vite.
Et merde...
Paniquée, les cheveux en bataille, pieds nus et a moitié rhabillée, elle vit Gary ouvrir les yeux alors qu'elle couvrait la naissance de sa poitrine avec sa veste. Prendre un air décontracté.
Ah. Heu... Je ...Salut. Bien dormi ? se risqua t-elle avec prudence, essayant de tirer sur une boucle dans l'espoir de la lisser a nouveau.
Rose Thompson, professionnelle des situations merdiques.
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Re: From the Stalls
Mer 16 Déc 2015 - 22:34
Il s'était endormi comme une masse après ça, sans chercher plus loin. C'était épuisant, toutes ces activités, pour le moins intense. Alors, Gary avait trouvé le sommeil immédiatement après, et c'était pas fait prier pour ça. Un sommeil sans rêve, réparateur. Bien qu'assez court, en fin de compte. C'était amplement suffisant. Une poignée d'heure, comme ça, hop. Même en se réveillant a plusieurs reprises, pour se retourner, pour remettre les draps, pour gonfler son oreiller chiper à la brune qui avait l'air d'avoir plutôt envie de s'enrouler dedans en ronflant comme une bienheureuse.
Le soleil se levait à peine quand il émergea une dernière fois, ne sentant plus rien à ses côtés. Il prit la peine de se retourner et même de se redresser pour comprendre ce qu'il se tramait. Rose avait disparu, et en jetant un coup d'oeil autour de lui, il comprit rapidement ce qu'il se passait : elle était en train de se rhabiller, pour le... fuir ? C'était ça, qu'elle faisait, n'est-ce pas ? Il la regarda de haut en bas, avant de se frotter les yeux du poing. Histoire d'être bien sûr :
Tu fais quoi là ? Demanda-t-il d'une voix grave en se redressant encore.
Il s'extirpa même des draps, complètement à poil, avant d'aller jusqu'à son jean et se pencher pour le prendre. Enfilant ses jambes à l'intérieur, il se planta devant elle en attendant sa réponse. Les mains sur les hanches, elle avait droit à une vue intégrale sur son torse musclé et les quelques cicatrices dont elle avait pas pris compte lors de leurs ébats.
Un soupir lui échappa. Il sortit de son jean son téléphone, et l'alluma. Après douze heures de silence radio, Joey allait sûrement vouloir de ses nouvelles. Il mit du temps à se mettre en charge, juste assez pour se rendre compte que son ami l'avait appelé pas moins de dix fois. Portant l'appareil à son oreille, il écouta les questions de ce dernier, à propos de sa localisation, de savoir s'il était seul, s'il allait bien, tout en entendant des éclats de rire derrière.
Merde...
Bon...
Fallait qu'il retourne au bar, récupérer sa moto, et ensuite retourner chez Tracy. Mais il avait aucune envie, là, de faire tout ça. Il répondit un message rapide à son ami, lui demandant de lui donner l'adresse de Paul, éventuellement une heure où se retrouver là-bas. Ça lui laisserait un peu de battement pour prendre un petit déjeuner. Parce que là, il en avait besoin, et il espérait que Rose avait des trucs à bouffer dans ses placards, parce que sinon, ça allait être triste.
J'ai droit à un café ou j'dois m'barrer tout d'suite ? Demanda-t-il presque poliment.
Puisqu'apparemment, elle comptait se tirer, p't'être que c'était un message pour que lui se barre. Il était à peine huit heures, lendemain de soirée compliquée... Si elle devait partir bosser, alors forcément qu'il l'encombrait.
Le soleil se levait à peine quand il émergea une dernière fois, ne sentant plus rien à ses côtés. Il prit la peine de se retourner et même de se redresser pour comprendre ce qu'il se tramait. Rose avait disparu, et en jetant un coup d'oeil autour de lui, il comprit rapidement ce qu'il se passait : elle était en train de se rhabiller, pour le... fuir ? C'était ça, qu'elle faisait, n'est-ce pas ? Il la regarda de haut en bas, avant de se frotter les yeux du poing. Histoire d'être bien sûr :
Tu fais quoi là ? Demanda-t-il d'une voix grave en se redressant encore.
Il s'extirpa même des draps, complètement à poil, avant d'aller jusqu'à son jean et se pencher pour le prendre. Enfilant ses jambes à l'intérieur, il se planta devant elle en attendant sa réponse. Les mains sur les hanches, elle avait droit à une vue intégrale sur son torse musclé et les quelques cicatrices dont elle avait pas pris compte lors de leurs ébats.
Un soupir lui échappa. Il sortit de son jean son téléphone, et l'alluma. Après douze heures de silence radio, Joey allait sûrement vouloir de ses nouvelles. Il mit du temps à se mettre en charge, juste assez pour se rendre compte que son ami l'avait appelé pas moins de dix fois. Portant l'appareil à son oreille, il écouta les questions de ce dernier, à propos de sa localisation, de savoir s'il était seul, s'il allait bien, tout en entendant des éclats de rire derrière.
Merde...
Bon...
Fallait qu'il retourne au bar, récupérer sa moto, et ensuite retourner chez Tracy. Mais il avait aucune envie, là, de faire tout ça. Il répondit un message rapide à son ami, lui demandant de lui donner l'adresse de Paul, éventuellement une heure où se retrouver là-bas. Ça lui laisserait un peu de battement pour prendre un petit déjeuner. Parce que là, il en avait besoin, et il espérait que Rose avait des trucs à bouffer dans ses placards, parce que sinon, ça allait être triste.
J'ai droit à un café ou j'dois m'barrer tout d'suite ? Demanda-t-il presque poliment.
Puisqu'apparemment, elle comptait se tirer, p't'être que c'était un message pour que lui se barre. Il était à peine huit heures, lendemain de soirée compliquée... Si elle devait partir bosser, alors forcément qu'il l'encombrait.
Si vient l'orage, le tonnerre et la foudre, le cœur solide
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Re: From the Stalls
Mar 16 Fév 2016 - 22:19
Repérée, comme une débutante. BON. Elle était une débutante de toute manière alors... Elle se mordit la lèvre un instant, gênée de se sentir aussi cruche face à lui qui prenait tranquillement ses aises en lui demandant ce qu'elle faisait.
Heu bah je... Sortais acheter des scones. J'sais pas cuisiner, et comme je savais pas si tu manges un truc particulier le matin...
Ce qui en prime, lui aurait évité de mettre le feu à sa cuisine en tentant de faire un truc bien. Elle soupira un instant, passant une main dans sa tignasse en laissant son regard s'attarder un peu beaucoup sur le torse nu de Gary, avant de dévier le regard en observant son propre portable. 14 messages, 9 appels en absence, et 6 messages vocaux de Lara. Rien que ça. Elle se contenta d'écouter le premier plutôt sobre, et le second ou elle hurlait dans son répondeur de s'envoyer en l'air avec le beau gosse qui avait massacré "l'autre gros con de Reid". Roe grimaça, coupant net la messagerie. Lara... Elle allait lui coller un interrogatoire en règles d'ici quelques jours, elle en était persuadée.
Alors, quand ce fût lui qui proposa tout net la possibilité de boire un café ou s'en aller tout de suite, elle ne put s'empêcher de lui offrir un sourire soulagé.
Ouais, bien sûr ! En fait, j'pensais que tu voudrais t'en aller tout de suite, du coup, c'est pour ça que je me suis un peu précipitée. Rajouta t-elle avec un rire nerveux en remettant convenablement son débardeur froissé contre sa poitrine, tentant de faire bonne figure. Mais tu peux rester le temps qu'tu veux, ça me pose aucun problème.
Lui tournant le dos, elle sortit deux capsules qu'elle inséra dans la machine à café, tendant la première tasse à Gary avant de fouiller dans ses placards à la recherche de nourriture, lui tendant rapidement céréales, fruits, et pancakes industriels. Attrapant son propre mug de café, elle en but rapidement une gorgée après l'avoir sucré, venant prendre place face à lui sur la petite table aménagée au milieu de la cuisine.
Alors... Commença t-elle en ramenant une mèche derrière son oreille, indécise sur les questions à poser. Tu dois partir vers une heure particulière, pour rejoindre ton pote ?
Est-ce qu'il fumait le matin ? Sans doute. Attrapant le cendrier en forme de crâne qu'un ami lui avait ramené, elle s'alluma rapidement une cigarette, comptant sur la nicotine pour calmer sa nervosité grandissante. Qu'est-ce qu'on se disait après ce genre de situations ? Salut, à la prochaine ? C'était stupide de penser de la sorte, mais elle n'avait pas particulièrement envie qu'il parte comme ça, l'air de rien. Peut-être qu'il proposerait de se revoir, ou au moins garder contact ? Elle garda ses questions pour elle, préférant boire une nouvelle gorgée de café pour occuper ses mains. Silencieusement, elle posa à nouveau son regard sur les cicatrices anciennes du jeune homme. Déformation professionnelle oblige, en se demandant ce qui avait bien pu lui arriver. Posant son menton dans sa main, sa cigarette au bout des doigts, elle ne put s'empêcher de faire un mouvement de tête en direction de ses marques, reprenant la parole.
Est-ce que c'est déplacé, si je te demande comment tu t'es fais ça ?
Ca ressemblait à une impact de balle sur un endroit, une suture sur l'autre. Peut-être s'était-il retrouvé coincé dans un règlement de compte ou un truc dans le genre...
La sonnerie d'Highway to hell la fit sursauter, alors qu'elle observait le nom qui s'affichait sur son portable. Lara, encore. Coupant la communication, elle se contenta d'un bref message ou elle promettait de la rappeler une fois seule. Ca irait bien pour cette fois, merde à la fin. Manquerait plus qu'elle lui raconte avoir passé la nuit avec le pote de Gary tiens. La bonne affaire...
Désolée. Alors ?
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Re: From the Stalls
Mar 16 Fév 2016 - 22:23
Le café lui fit du bien, passant au passage le goût amer de l'alcool qu'il avait ingurgité hier, et du matin un peu compliqué. Il s'installa sur un siège, juste en face de la brune, en reposant sa tasse bien entamée devant lui. Mais juste un café, ça allait être léger, et les céréales trempées dedans, c'était très peu pour lui. Un soupir plus tard, il releva les yeux vers la jeune femme qui n'avait pas l'air de savoir comment gérer la chose. Vrai que c'était bizarre. Vrai qu'il aurait peut-être du refuser le café, tout compte fait.
Les coups d'un soir impliquaient qu'on partageait pas le petit déjeuner le lendemain, normalement. Il aurait mieux faire de partir. Mais bon, maintenant qu'il devait attendre des nouvelles de Joey pour savoir quoi faire et où aller... Et vu qu'il était totalement nouveau dans le coin et qu'il ne connaissait rien d'Seattle à part ce que Rose lui avait montré hier. Il voyait qu'elle avait d'ailleurs du mal à garder le silence et à rester en place, comme si sa présence la dérangeait vraiment.
J'attends son message... fit-il simplement. Mais t'inquiète, j'vais pas m'attarder trop longtemps ici.
Il contempla le fond de sa tasse, il avait pas vraiment envie de faire la discussion, sauf qu'elle était décidée du contraire. Pas de bol. Bon. Il se racla la gorge et rajouta sur le ton de la conversation :
Dès que j'en ai fini avec ça, j'disparais.
Gary désigna la tasse et reprit directement après une gorgée pour lui faire comprendre qu'il n'allait clairement pas traîné. Comme si au fond, il lui disait aussi qu'il comprenait le message, et qu'il savait pas non plus ce qu'il foutait à prendre son temps comme ça. Merde, c'était trop con. Il aurait apprécié un petit déjeuner tranquille, pourquoi fallait qu'elle se prenne la tête comme ça, pour rien ? Et pourquoi fallait qu'elle lutte comme ça avec ses cheveux ? Il s'en cognait qu'ils soient frisés et pas coiffés, fallait pas qu'elle se donne ce mal pour lui...
Ce qu'elle pouvait être superficielle en fait. Il le nota, mais garda la remarque pour lui, sinon, elle allait sans doute se mettre à hurler. Et jamais avant la fin du café pour ça. Surtout qu'entre temps, il serait barré, donc échapper à la tornade hispanique, c'était une bien meilleure option. Enfin... Superficielle, donc, et ça le concernait pas. Lui en faisait pas tout un plat. Il était torse poil devant elle, les cheveux n'importe comment, et il s'en cognait d'une force...
Autre soupir. Il sortit une cigarette de son paquet, et tendit le bras vers le cendrier une fois qu'il l'eut allumé. Et Rose ne se priva pas pour lui poser une question. Gary planta ses yeux bleus dans ceux de sa vie, esquissant une petite moue troublante en la regardant de haut en bas. Ce qu'elle était curieuse... Finalement, pas si superficielle alors. Qu'est-ce qu'il devait lui répondre ? Il avait pas été fichu de lui expliquer ce qu'il faisait comme boulot, et toutes les blessures qu'il s'était reçu dans la vie, c'était justement à cause de ça...
Rester vague ?
C'est à force de côtoyer des gens que j'me suis fait ça. Parfois, ils sont dangereux. C'est tout.
Elle était médecin. Elle allait comprendre qu'il faisait pas un boulot très sympa. C'était inutile de jouer les mystérieux, ils se recroiseraient probablement jamais dès qu'il aurait passé le pas de son appartement.
Fusillade, fit Gary en désignant les impacts de balles sur son flanc. J'ai failli crever. Il en désigna d'autres, et les énuméra les unes après les autres, en restant très vagues que ses explications.
Ecrasant sa clope une fois celle-ci finie, il releva le nez vers elle :
Tu bosses pas, bijou doré ?
Oups. Il l'avait appelé comme ça. Elle allait pas aimer. Mais tant pis.
Les coups d'un soir impliquaient qu'on partageait pas le petit déjeuner le lendemain, normalement. Il aurait mieux faire de partir. Mais bon, maintenant qu'il devait attendre des nouvelles de Joey pour savoir quoi faire et où aller... Et vu qu'il était totalement nouveau dans le coin et qu'il ne connaissait rien d'Seattle à part ce que Rose lui avait montré hier. Il voyait qu'elle avait d'ailleurs du mal à garder le silence et à rester en place, comme si sa présence la dérangeait vraiment.
J'attends son message... fit-il simplement. Mais t'inquiète, j'vais pas m'attarder trop longtemps ici.
Il contempla le fond de sa tasse, il avait pas vraiment envie de faire la discussion, sauf qu'elle était décidée du contraire. Pas de bol. Bon. Il se racla la gorge et rajouta sur le ton de la conversation :
Dès que j'en ai fini avec ça, j'disparais.
Gary désigna la tasse et reprit directement après une gorgée pour lui faire comprendre qu'il n'allait clairement pas traîné. Comme si au fond, il lui disait aussi qu'il comprenait le message, et qu'il savait pas non plus ce qu'il foutait à prendre son temps comme ça. Merde, c'était trop con. Il aurait apprécié un petit déjeuner tranquille, pourquoi fallait qu'elle se prenne la tête comme ça, pour rien ? Et pourquoi fallait qu'elle lutte comme ça avec ses cheveux ? Il s'en cognait qu'ils soient frisés et pas coiffés, fallait pas qu'elle se donne ce mal pour lui...
Ce qu'elle pouvait être superficielle en fait. Il le nota, mais garda la remarque pour lui, sinon, elle allait sans doute se mettre à hurler. Et jamais avant la fin du café pour ça. Surtout qu'entre temps, il serait barré, donc échapper à la tornade hispanique, c'était une bien meilleure option. Enfin... Superficielle, donc, et ça le concernait pas. Lui en faisait pas tout un plat. Il était torse poil devant elle, les cheveux n'importe comment, et il s'en cognait d'une force...
Autre soupir. Il sortit une cigarette de son paquet, et tendit le bras vers le cendrier une fois qu'il l'eut allumé. Et Rose ne se priva pas pour lui poser une question. Gary planta ses yeux bleus dans ceux de sa vie, esquissant une petite moue troublante en la regardant de haut en bas. Ce qu'elle était curieuse... Finalement, pas si superficielle alors. Qu'est-ce qu'il devait lui répondre ? Il avait pas été fichu de lui expliquer ce qu'il faisait comme boulot, et toutes les blessures qu'il s'était reçu dans la vie, c'était justement à cause de ça...
Rester vague ?
C'est à force de côtoyer des gens que j'me suis fait ça. Parfois, ils sont dangereux. C'est tout.
Elle était médecin. Elle allait comprendre qu'il faisait pas un boulot très sympa. C'était inutile de jouer les mystérieux, ils se recroiseraient probablement jamais dès qu'il aurait passé le pas de son appartement.
Fusillade, fit Gary en désignant les impacts de balles sur son flanc. J'ai failli crever. Il en désigna d'autres, et les énuméra les unes après les autres, en restant très vagues que ses explications.
Ecrasant sa clope une fois celle-ci finie, il releva le nez vers elle :
Tu bosses pas, bijou doré ?
Oups. Il l'avait appelé comme ça. Elle allait pas aimer. Mais tant pis.
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- Connor G. Shepard
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Re: From the Stalls
Mar 16 Fév 2016 - 22:56
Elle tenta de ne pas afficher sa déception quand il lui fit clairement remarquer qu'il comptait bientôt disparaître. Dans un sens, elle aurait dû s'en douter. Plan d'un soir, ça ne voulait pas dire cinéma ou balade main dans la main par la suite... Mais là dans l'instant, elle ne se voyait pas se retrouver seule après la soirée qu'ils avaient pu passer. Sauf que ce n'était pas le genre de choses qu'on pouvait avouer à un type comme lui sans passer pour une abrutie finie, il fallait le dire plus subtilement.
Tirant sur sa cigarette, elle finit tout de même par tenter.
Bah... Tu me dérange pas. S'tu veux, en attendant que ton pote te rappelle, on pourrait en profiter pour bouger un peu ? Puisque t'as du temps à tuer jusqu'à ce qu'il te donne des nouvelles. Et puis comme on à pas vraiment négocier les termes du contrat hier ben... J'me dis que ça pourrait être agréable de profiter encore un peu.
Musée, restaurants, Seattle regorgeait d'endroits à visiter. Elle avait lancé sa remarque avec l'air le plus innocent du monde, espérant que son petit sourire en coin ne la trahirait pas.
Finalement, il avait décidé de lui répondre après l'avoir regardé de haut en bas, tandis qu'elle détournait le regard, gênée d'être épiée de la sorte. Il avait côtoyé les mauvaises personnes, disait-il. Fusillades, manquer de mourir... Elle hocha la tête, se doutant qu'il avait sans doute un peu menti concernant son boulot. Pas le genre à traîner dans des affaires clean en somme si elle comprenait bien.
J'ai vu plusieurs fois ce genre de cicatrices, sur mes heu... Patients. Pour la plupart, c'était des types embarqués dans des gangs. Lança t-elle dans la discussion, reprenant une gorgée de café, jusqu'à manquer de s'étrangler. Bijou Doré. Putain.
Toussant en tentant de reprendre sa respiration, elle fit signe de la tête que non, reprenant un souffle à peu près normal en lui jetant un regard boudeur.
Attends, explique moi. Pourquoi ce surnom sérieux ? Ca me perturbe.
Croisant les bras contre sa poitrine en s'accoudant à la table, elle récupéra une bouffée de cigarette avant de rajouter.
J'bosse pas aujourd'hui. Bailey, ma patronne, m'a laissé ma semaine pour régler mes soucis persos avec Philip. C'est urgentiste qui bosse au même hopital que moi. Du coup, vu qu'il devenait franchement instable depuis quelques jours en venant me hurler dessus alors que je partais au bloc, Bailey à sous entendu que j'étais un poids pour l'équipe et m'a mise de côté. J'ai raté ma première opération en solo avec ces conneries, alors que ça faisait des mois que je me démenais pour bosser sur un cas de cardio chirurgie et... Bref, j'parle beaucoup trop. Rajouta t-elle en haussant les épaules.
Il y avait toujours Lara qui la tannait pour ouvrir leur propre collection de vêtements dans le pire des cas. Un rêve de gosse, mais un rêve sympa quand même qui exclurait les possibilités de tomber sur des opérations désespérée sur des gosses à deux doigts de la mort, ou de devoir annoncer à des familles qu'un des leurs n'avait pas survécu à une opération.
C'est aussi pour ça que j'ai pas pu m'empêcher de te demander pour tes cicatrices, tout en me doutant un minimum d'ou elles pouvaient provenir... Souffla t-elle avec un air désolé, écrasant sa cigarette.
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Re: From the Stalls
Ven 19 Fév 2016 - 16:31
Gary releva un air curieux vers la jeune femme quand elle lui proposa de sortir pour aller visiter. La question qu'il se posait, c'était « avec elle ? ». Elle était vraiment en train de lui demander de rester, ou de sortir en sa compagnie ? Lui ? Avec elle ? Sérieusement ? Wow... C'était trop bizarre comme comportement, y'avait forcément un truc qui tournait pas rond. Est-ce qu'il était tombé sur une maniaque qui avait déjà trouvé le nom de leurs enfants ? Puis, elle entendait quoi par « profiter un peu » ? ça voulait dire quoi, ça ? Enfin... Profiter mais à quel sujet ?
T'as pas compris ce que coup d'un soir veut dire, toi...
De quoi esquiver la réponse, comme ça. C'était pas un oui. C'était pas un non. C'était un t'inquiète pas ma grande, je vais éclaircir les points que t'as pas pigé jusqu'ici avec des mots simples, hein. Il se redressa et fit craquer les os de sa colonne avant de reprendre d'une voix grave :
En fait, on d'vrait même pas prendre le café ensemble. J'aurais du m'tirer avant qu'tu te réveilles, mais tu m'en as pas laissé l'temps. Du coup... Non, pas d'sortie en tête à tête, pas d'visites de musées, rien. La seule chose acceptable, ça s'rait du sexe matinal, et encore... C'est limite. Elle jouait à quoi, sérieusement ? Même sa moue innocente, là, c'était n'importe quoi. Tu saurais pour les prochaines fois s'tu veux retenter l'expérience avec... d'autres.
Voilà qui était fait. Même si du coup, c'était super bizarre de se dire pour la première fois que la nana avec qui il avait couché allait le refaire avec d'autres. Tout l'intérêt des coups d'un soir était de ne pas se poser des questions à ce sujet, ou d'en avoir rien à foutre. Est-ce que c'était le fait de prendre le café avec elle qui le faisait suer, comme ça ? P't'être bien. Enfin... Gary se releva de sur son siège, et alla jusqu'au frigo de la brune. Il y regarda à l'intérieur, et y vit un grand vide. Des œufs, c'était déjà bien. De la charcut' sous vides. Pas top, mais bon... Si elle savait pas cuisiner, lui s'en chargerait. Quitte à faire vraiment n'importe quoi, autant y aller jusqu'au bout.
J'sais pas. J'aime bien, fit-il simplement pour répondre à sa question. Puis, ça t'énerve, alors c'est drôle. Pousse-toi par contre, sinon t'vas t'brûler.
Il passa près des plaques et chercha une poêle dans ses placards. Il trouva un bol, une fourchette, sel et poivre, et prépara les yeux après avoir fait chauffé le feu doucement. Et il se mit à lui faire un vrai petit déjeuner, comme elle en avait pas pris depuis des années avec ses pancakes tout fait, là. Bon dieu, il avait de la peine pour elle.
Ton Philip, là... Il est d'jà v'nu ici ? demanda Gary en jouant avec sa tasse du bout des doigts, avant de reprendre : S'il sait, ça sert foutrement à rien de te tirer, il aura juste à s'pointer pour te voir. J't'apprends rien.
Une spatule dans la main, il fit des œufs brouillés juste sous son nez, après avoir fait revenir la charcuterie pour la chauffer et faire suer la graisse. Les œufs pouvaient ainsi s'imprimer du « jus de viande » et prendre un p'tit goût très appréciable en bouche. Il baissa le feu, pour que les œufs brouillés cuisent lentement, et se tourna vers elle en faisant allusion à son métier et à ses cicatrices :
Enfin... Pourquoi t'poses des questions auxquelles t'as les réponse ?
T'as pas compris ce que coup d'un soir veut dire, toi...
De quoi esquiver la réponse, comme ça. C'était pas un oui. C'était pas un non. C'était un t'inquiète pas ma grande, je vais éclaircir les points que t'as pas pigé jusqu'ici avec des mots simples, hein. Il se redressa et fit craquer les os de sa colonne avant de reprendre d'une voix grave :
En fait, on d'vrait même pas prendre le café ensemble. J'aurais du m'tirer avant qu'tu te réveilles, mais tu m'en as pas laissé l'temps. Du coup... Non, pas d'sortie en tête à tête, pas d'visites de musées, rien. La seule chose acceptable, ça s'rait du sexe matinal, et encore... C'est limite. Elle jouait à quoi, sérieusement ? Même sa moue innocente, là, c'était n'importe quoi. Tu saurais pour les prochaines fois s'tu veux retenter l'expérience avec... d'autres.
Voilà qui était fait. Même si du coup, c'était super bizarre de se dire pour la première fois que la nana avec qui il avait couché allait le refaire avec d'autres. Tout l'intérêt des coups d'un soir était de ne pas se poser des questions à ce sujet, ou d'en avoir rien à foutre. Est-ce que c'était le fait de prendre le café avec elle qui le faisait suer, comme ça ? P't'être bien. Enfin... Gary se releva de sur son siège, et alla jusqu'au frigo de la brune. Il y regarda à l'intérieur, et y vit un grand vide. Des œufs, c'était déjà bien. De la charcut' sous vides. Pas top, mais bon... Si elle savait pas cuisiner, lui s'en chargerait. Quitte à faire vraiment n'importe quoi, autant y aller jusqu'au bout.
J'sais pas. J'aime bien, fit-il simplement pour répondre à sa question. Puis, ça t'énerve, alors c'est drôle. Pousse-toi par contre, sinon t'vas t'brûler.
Il passa près des plaques et chercha une poêle dans ses placards. Il trouva un bol, une fourchette, sel et poivre, et prépara les yeux après avoir fait chauffé le feu doucement. Et il se mit à lui faire un vrai petit déjeuner, comme elle en avait pas pris depuis des années avec ses pancakes tout fait, là. Bon dieu, il avait de la peine pour elle.
Ton Philip, là... Il est d'jà v'nu ici ? demanda Gary en jouant avec sa tasse du bout des doigts, avant de reprendre : S'il sait, ça sert foutrement à rien de te tirer, il aura juste à s'pointer pour te voir. J't'apprends rien.
Une spatule dans la main, il fit des œufs brouillés juste sous son nez, après avoir fait revenir la charcuterie pour la chauffer et faire suer la graisse. Les œufs pouvaient ainsi s'imprimer du « jus de viande » et prendre un p'tit goût très appréciable en bouche. Il baissa le feu, pour que les œufs brouillés cuisent lentement, et se tourna vers elle en faisant allusion à son métier et à ses cicatrices :
Enfin... Pourquoi t'poses des questions auxquelles t'as les réponse ?
Si vient l'orage, le tonnerre et la foudre, le cœur solide
- Connor G. Shepard
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