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Contente de vous revoir aussi, souffla Olivia, rassurée.

Fred et Daniella allaient "bien". Bon, ils avaient visiblement ramené avec eux un sacré cortège de morts, mais qu'importait ! Le plus important, c'était qu'ils étaient enfin réunis, enfin ensemble. Et il était temps de prendre une décision importante : partir maintenant pour s'éviter de rester plus longuement dans un lieu maudit, ou tenter tout de même de récupérer des objets importants.

Comme dit Duncan, fit-elle. C'est le mieux, et on trouvera ou sortir ensuite. Autant faire vite, elle hocha la tête et prit la suite de l'homme.

Néanmoins, si d'un prime abord, les choses semblaient jouables, ils tombèrent rapidement sur deux rôdeurs. A peine plus grands qu'elle, Olivia manqua de s'en prendre un de plus fouet à l'angle des escaliers. L'autre lui saisit le bras, et elle dut l'éliminer rapidement. Des gosses ! Des gosses restés ici, si longtemps, pour rien...

Quand vous parliez de cannibalisme tout à l'heure... Fit-elle en laissant l'occasion à l'autre femme du groupe d'éliminer le second mort : Qu'est-ce que vous vouliez dire ? Qu'est-ce que vous avez trouvé ?

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Dani était d'accord avec eux :On est quand même pas venue pour rien ! dis elle à l'assemblée alors qu'ils partaient tous ensemble en direction de l'école maternelle . Il était clair qu'elle serait contre se séparer à nouveau ! Après les rôdeurs par dizaines et les corps en décomposition qu'ils avaient trouvés, c'était pire qu'un film d'horreur par ici. Elle se mis à coté de son amie Olivia et pris son couteau de chasse en main ; quand ils descendirent et arrivèrent à la rencontre de deux rôdeurs .. des ados ; des gamins. Dani attrapa le rôdeur à sa portée pour lui mettre un bon coup de couteau dans la tempe . [color=#990000][Pauvre gosse ... /color] dis elle en laissant le cadavre retombé lourdement au sol . Tuer les rôdeurs ne lui faisait plus rien contrairement à avant tout ça .

Ils continuèrent leur avancé quand Olivia lui demanda pour l'histoire des cannibals . La brunette eut du mal à ne pas ravaler sa salive alors que les images lui revenait en tête . Autant dire le minimum sans mentir . On a trouver une chambre froide sauf que la viande suspendus n'était pas du porc ou du boeuf mais des être humains ... dis elle avec une moue à la fois triste et dégoutté . C'était pas beau à voir ! avoua t'elle clairement oubliant de précisé le vomito de son ami au marteau . Elle continua d'avançait avec le reste du groupe quand ils arrivèrent nez à nez avec un gamin ; un jeune ado visiblement mais bien vivant.

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Nous n’avions pas tardé à avoir de la compagnie lorsque deux rôdeurs, pas plus grands que des gamins, nous avaient surpris à l’angle de l’escalier. Une menace bien vite écartée par Olivia et Daniella qui nous libéra l’accès. Nous permettant de reprendre notre descente aussi rapidement que nous l’avions interrompu.

« Ça donnait froid dans le dos… Avais-je ensuite répondu pour appuyer le récit de Dani quant à l’histoire de la chambre froide. Ils étaient démembrés et leurs bouches étaient cousus… ». Mon regard s’était voilé alors que je revoyais la scène. Puis, chassant ces images lugubres de mon esprit pour laisser des plis soucieux apparaitre entre mes sourcils ; « Vous croyez que ceux que vous avez croisés auraient pu faire ça ?! » Et j’eu bientôt l’occasion de me faire ma propres idée sur la question, lorsqu’un jeune ado, bien vivant cette fois-ci, se dressa sur notre chemin.

Je n’avais pas pris le temps d’analyser la situation plus longtemps, réagissant par instinct et promptement. J’avais bondit sur le jeune, l’agrippant par derrière et lui collant la lame de mon couteau sous la mâchoire. Je n’avais pas l’intention de le blesser sérieusement, mais n’allais pas non plus lui donner l’occasion de s’en prendre à nous. « Il a raison, on ne te veux aucun mal. Alors ne nous oblige pas à t’en faire ! » Pris en otage, il n’avait pas intérêt à me forcer la main !

Notre attention fut détourner par un fracas à l’étage… la barricade avait cédée. « Merde ! » Resserrant ma prise sur le gamin qui tentait de se dégager, je l’avais entrainer avec nous dans le couloir. « Peut-être qu’on pourrait se diviser ? Deux qui ralentissent les morts, pendant que les autres récupèrent ce qu’ils peuvent dans les salles de classes ? Le tout en avançant vers une sortie... ». Je n’étais pas prêt à baisser les bras sur notre butin – pas prêt à rentrer bredouille au Fort – même si la situation se compliquait… Et elle n’avait visiblement pas finit de se compliquer, avec l’arrivée d’un second vivant du groupe adverse !

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