Re: Event - Injustice for all - Cross Over

Jeu 16 Nov 2017 - 21:16

« Maman… ? »
Elle ne répond pas.
Trou béant en pleine tête.
Juste une épaisse gliclure de sang.
Ils ont tué ma mère.
Ils en ont juste laissé une.. épaisse giclure de sang.

Je la vois, s’écrouler juste devant moi. Carcasse désarticulée, sans âme alors qu’elle est encore chaude. Elle fond sur le sol, elle… Autour, ça crie, ça tire même. J’entends les détonations, mais ça n’peut pas être réel. Elle ne peut pas être morte. Alors que j’étais prêt à coopérer. A tout sacrifier. A être lâche, à trahir Selene. Ils n’ont pas pu la tuer, c’est impossible. C'est impossible. Elle ne peut pas... m'abandonner.

L’agitation tourne tout autour. Un manège bruyant, infernal. « Maman….. » Réveille toi ? Rien qu’un petit geste, pitié, un cillement, un tic dans le bout des doigts. N’importe quoi. Tout sauf ce rien abominable qui me plombe la gorge et les tripes d'un poids phénoménal.

Je vais la tuer.
J'relève les yeux vers Joann, lèvres bêtement entrouvertes.
Tu ne devrais même pas exister. Les gens comme vous devraient tous. Être. Massacrés.

Lisandro me dépasse, se précipite sur le corps d'Alma. A ma ceinture, je trouve mon couteau. L'regard fou furieux, planté dans celui de la brune qui ne me voit pas venir.

Elle braque son flingue sur le médecin. « N'ESSAIE MÊME PAS, SALOPE !! » J'me jette sur elle, de tout mon poids, pour la plaquer au sol. Lui choper un poignet. Planter son autre bras dans le sol, de toute la longueur de ma lame. Écraser. Ouvrir, trancher, la saigner. Qu'elle crève, qu'ELLE CRÈVE BORDEL DE MERDE !!

Son front me heurte violemment le visage. J'grogne, coule rouge, presse encore un peu plus le poignard. Sale crevure, hein ? Vas-y, crache moi donc dessus. Fais la putain d'maline quand tu l'peux encore. J'réduirais en bouillie tous mes précieux principes pour t'écraser jusqu'à t'empêcher d'sourire. J'serre les dents. Décroche la lame de son bras pour viser sa gorge.

Le métal qu'on me pointe sur la tête me force une demi-seconde d'hésitation. Lisandro le dégage, mais c'est assez pour que la brune me plante à son tour. La lame s'enfonce froidement dans mon ventre. Je m'écarte, une main portée par réflexe à la blessure qui imbibe mes vêtements de sang.

Résumé:

Jeu 16 Nov 2017 - 21:40

L'accalmie fut malheureusement de courte durée. Si Lisandro leur avait sommé à Juliet et à elle de se taire, Andrea plus diplomate était en train de négocier avec Adrian afin de trouver un terrain d'entente. Et eux … Ces individus se complaisaient dans leur cruauté, faisant preuve de brutalité systématique. Le polynésien avait tellement joué avec les nerfs de Isaac, et suite à un geste de très mauvais goût, le palefrenier avait perdu patience et en était venu aux mains, Duncan se jetant par la même occasion sur l'homme d'origine japonaise et puis … Un coup de feu.

Sarah avait sursauté, complètement abasourdies par cette détonation sortie de nulle part, mais qui malheureusement n'annonçait rien de bon. " Alma... " Suite au coup de feu de Joann, Alma s'écroula au sol et la vie quitta son corps... Au même moment, la jeune femme pouvait sentir toute la tristesse qui avait envahi le désormais orphelin et l'amant, à lui en briser le cœur. Elle était morte, plus rien ne pourrait la remplacer, plus rien ne serait jamais comme avant...

Elle avait mis quelques secondes à réagir, c'était trop risquée de faire feu pour le moment, et elle ne savait pas par quel miracle, mais elle fut grandement privilégiée dans les premiers instants de ce pugilat qui s'annonçait. Le cri et les insultes de Eli attirèrent son attention. Il s'était jeté avec rage sur la meurtrière de l'auteur de ses jours, écartant par la même occasion Lisandro d'un danger certain.

L'actrice cherchait désespérément du regard Juliet et Murphy, elle voulait au moins les mettre à l'abri. Mais il fallait qu'elle agisse elle aussi pour qu'ils aient l'ascendant. Submergée par la colère et l'adrénaline, elle avait vu le graffeur se faire emporter par la mêlée, alors que Joann accusait tant bien que mal les coups. Parfait, n'avait-t-elles pas des comptes à régler ?

Sarah avait alors réduit la distance qui les séparait, pour lui bloquer la route au moment où elle s'était relevée et la prendre à part. " T'as une mine affreuse mon chou... " à peine ces mots étaient sortis de sa bouche qu'elle lança les hostilités en la giflant, lui adressant un petit sourire malicieux. Comme espéré, Joann avait répondu de la même manière, la provoquant avant de la gifler elle aussi. Accusant le coup tout en essuyant le sang au bord de ses lèvres, elle la regarda ensuite avec un air mauvais. " T'en fais pas. Je commence à peine ! " La blonde tenta alors de lui porter un coup de poing qui fut bloqué, lui laissant alors l'opportunité de lui flanquer un magistral coup de genou en plein dans l'estomac, avant de l'attraper par les cheveux. Les échanges suivants furent tout aussi violents, les deux jeunes femmes laissant parler leur rage au fur et à mesure que pleuvaient les coups et que le sang coulait. Comme hors du temps, parce que c'était personnel, et qu'elle n'avait plus rien à perdre de toute façon.

Spoiler:

Jeu 16 Nov 2017 - 22:10

Elias profita de la cohue générale pour se remettre sur ses jambes. Titubant, il massa un instant sa machoire endolorie, à l'abri derrière ses camarades, avant de reporter son attention vers la scène. Comme une explosion. Un corps, au sol. Des cris. Des coups qui se portent. Des balles qui se perdent.

- Woh la folie, marmonna-t-il en se redressant.

C'était ce qu'il voulait, non ? Que tout pète ? Et ben voilà.

- Okay … okay okay okay …

Il sortit l'arme à feu qu'on lui avait fourni. Ce n'était pas ce qu'il préférait, mais c'était ce qu'il y avait de mieux, paraît-il, dans ce genre de situation. Lui aurait préféré jouer le bélier et foncer dans le tas.
À la place, le Polynésien mit un genoux à terre. Toujours en retrait, il arma, tenant de ses deux mains le flingue, et visa vaguement face à lui. Isaac était dans sa ligne de mire. Il voyait bien Joann en plein combat, les autres en train de galérer. Mais il avait une petite rancoeur envers l'homme qui l'avait mis au sol avec tant de facilité.

Mais, alors qu'il pressait son doigt sur la détente, une vive douleur à l'épaule brouilla tous ses repères. Un cri resta coincé au fond de sa gorge tandis qu'il fut emporté par l'élan de la balle qui mordait sa peau. Son avant-bras, et son épaule.
L'homme se retrouva sur les fesses. Il ne savait pas où avait atterri la balle qu'il avait tiré, mais celle qu'il s'était prise, il la sentait. Dents serrées, il constata cependant qu'elle n'avait fait que l'érafler. Assez profondément pour que le sang coule avec une certaine intensité, mais l'avantage était qu'il n'allait pas devoir la faire ressortir.

- Putain de sa mère les fils de pute …

Les yeux larmoyants, il observa face à lui et constata avec une certaine satisfaction qu'il était tout de même parvenu à toucher Isaac de plein fouet.

- Ahah tiens mange !

La main pressée contre son épaule cependant, il n'était pas des mieux placé pour se réjouir du sort des autres. Il se remit une nouvelle fois sur ses jambes, rangeant son arme entre sa ceinture et son pantalon, et dégaina son pied de biche. Son cran d'arrêt resta dans son étui, son bras blessé étant trop handicapant pour pouvoir tenir son arme.
D'un pas décidé, il s'approcha d'Isaac et se pencha sur lui. Il posa son pied là où il l'avait touché et appuya de tout son poids, désireux de le faire souffrir un peu avant de lui porter le coup de grâce.

Spoiler:

09/12/1992

La détonation lui glaça le sang. Elle regarda le corps d’Alma tomber comme si elle n’était qu’une vulgaire poupée désarticuler. Tous ses efforts pour permettre de les sauver, elle et Juliet, partis en fumée. Mais la brune n’eut pas le temps, ni l’occasion de se laisser aller à la compassion, au chagrin, ou à tout le reste qui incombait pour vivre son deuil. Si elle avait de la peine pour la mère d’Eli, elle avait aussi conscience qu’elle devait être en vie pour rentrer chez elle et revoir son neveu. Elle voulait pouvoir le prendre contre elle, connaître l’enfant de Selene. Elle le voulait, vraiment. L’angoisse l’étouffa, le calme légendaire dont elle avait fait preuve jusqu’ici s’évadait.

Immédiatement, son regard se porta sur Adrian : il était la seule personne, ici, capable de mettre à mal cette vision du futur. S’il parvenait à trouver l’emplacement de la prison avec ce qu’elle lui avait donné comme indication, il les tuerait. Alors dans un mouvement réflexe, elle trancha la gorge qui donnait les ordres jusqu’ici. Celle qui les avait menacés. Celle qui avait laissé faire. Celle qui avait enlevé la vie d’Alma. Elle ne calcula même pas la présence des deux autres qui se ruèrent sur elle pour l’empêcher d’agir. Elle avait fait. C’était tout ce qui importait parce qu’il ne pourrait plus lui prendre davantage.

Le sang éclata en une gerbe fulgurante, imbibant ses vêtements, son gilet par balle. Elle fut renvoyée dans un mouvement violent contre le véhicule derrière elle. Son dos s’y éclata, elle en eut le souffle coupé. La métisse essaya de se défendre alors qu’on la martelait de coup. Un, plus violent qu’un autre, la sonna à la tempe. Un autre lui fit plier le genou, manquant de s’éclater au sol. Elle se rattrapa sur sa seule main, sa paume rappa le bitume avant qu’une descente du coude de la cueille entre les omoplates.

Si elle tenta de se relever, elle fut renvoyée au sol aussi vite. Elle fut rouée de coup, recroquevillée sur elle-même. Une sensation de rouille dans la bouche, elle cracha un peu de sang. Tant pis, elle ne pouvait pas se laisser tuer comme ça ! Elle se redressa violemment, poussa l’un de ses assaillants pour le faire tomber en arrière et s’accrocha à l’autre. Son poignard embrocha son gilet par balle, qui ne ralentit même pas la pénétration de la lame. Il y eut un moment de flottement lorsqu’il réalisa la douleur, lorsque l’hémoglobine s’échappa, et qu’elle recommença une seconde fois, puis une troisième, avant que le geste devienne aussi mécanique qu’évident.

Andrea ne put continuer son acharnement. Par surprise, un bras l’attrapa par derrière, la prit à la gorge et la tira pour qu’elle s’éloigne du corps agonisant sur lequel elle se déchaînait.

Spoiler:

Jeu 16 Nov 2017 - 22:18

Si elle avait mal ? Oui, son bras pissait le sang si bien qu'en redressant le buste après avoir poignardé ce Nachos de merde - dégagé par on ne savait qui - Cain observa rapidement l'étendu des dégâts. Le cuir n'avait rien arrêté mais tout autour d'elle balles et coups pleuvaient, si bien qu'elle secoua la tête, crachant les restes du sang qu'elle avait en bouche, puis se redressa enfin. Une grimace étira ses traits mais lorsqu'elle la vit, à quelques pas à peine, la souffrance ne fut plus qu'une sourdine légère à contrario de la haine que lui inspirait cette conne. Ses mots l'invitèrent à rire néanmoins, croyait-elle lui foutre la trouille ? Elle n'était qu'un chaton à peine sevré, elle mangerait la poussière et peu importait si elle même subissait. C'était viscéral, ancré en elle, malsain et aussi perfide qu'un serpent l'était face à une minuscule souris. En revanche, lorsque le plat de sa main fit valser sa tête, Cain ne put s'empêcher de lui en retourner une qui resterait marquée sur sa peau porcelaine.

- Ça s'coue l'sang pas vrai ? Reprit-elle sèchement, les prunelles toujours aussi sombre et gorgées de perfidie. Tu m'en remets une ou t'abandonne pétasse ?

Provocatrice, Joann anticipa les phalanges – repliées en poing – portées vers ses traits. Sa main captura la sienne, ses ongles s'y plantant avec intensité pour la ramener à elle et lui envoyer le genou dans l'abdomen tandis qu' « elle » lui agrippait les cheveux. Cette salope ne lâcherait rien, manque de bol pour la blonde, la brune n'avait cure de son allure ou du fait de saigner plus qu'à son tour aussi, malgré la prise de Barbie, l'escort se fit une joie de lui saisir les vêtements pour la river au sol en la surplombant comme une lionne couche une biche. La crinière lâchée suite au choc, Cain riva les mains à sa gorge, tous ongles dehors, et serra les mâchoires.

La voir claquer était une option délicieuse, certes le désir de lui crever ses jolis petits yeux l'emballait encore, néanmoins la sentir se débattre sous elle, sous ses cuisses qu'elle resserraient habillement contre ses flancs, étaient un plaisir incommensurable qu'elle signa en un sourire satisfait en sentant le cuir de ses mitaine crisser contre sa gorge chétive. Ses iris se dilataient complètement, ce n'était plus de la fureur, ni même de la colère ou la soif de vivre, simplement de la folie qui l'embrassait avec une plaisance surdimensionnée jusqu'à ce que les chairs ouvertes à son bras ne l'invite,t à la brûlure dévorante. Sarah venait de presser la plaie, la presser si fort que Joann se tendit et l'invita – sans le désirer – à échanger les rôles. Ses lèvres étaient closes, ses dents serrées, ses yeux se révulsaient face à la douleur si bien que sa vue se troubla une seconde pour enfin apercevoir une paire de grôles familières...

Spoiler:

Jeu 16 Nov 2017 - 22:44

Brandissant ma hache, des coups de feu éclatèrent dans plusieurs directions et les cris se multiplièrent. L’otage était mort. Cela allait attiser la haine des autres. Je n’avais pas vraiment peur de m’en prendre une, pensant à la protection que j’avais sur moi. Mais lorsqu’elle me toucha, une vive douleur m’empoigna le bas ventre. Sur le coup, je perdis ma hache et tombait sur le côté. J’en avais presque envie d’en gerber. Mais en tâtonnant, je ne vis pas de sang. Qui était le connard qui m’avait tiré dessus ? A cause de ça, j’étais toujours allongée sur le dos, tatillonnant le sol pour essayer de remettre la main sur ma hache. Soudain j’entendis des cris, en direction de Joann. La scène était floue après le coup que j’avais reçu mais je me relevais tant bien que mal.

Il y avait trop de mouvement à l’arrière alors je pris mon gun à ma ceinture ne sachant pas retrouver ma hache. Et puis tout le monde s’entretuait ce n’était pas la peine de se faire buter en perdant l’attention. Je visais celui en face de moi, le con avec son pied de biche et tira une balle tout en avançant. C’est en me rapprochant du chaos que je vis Joann qui perdait légèrement face à la blondasse. Ses cils papillonnaient comme si elle allait y passer. C’est alors qu’une rage folle s’empara de tout mon être et je pris les cheveux de la blonde pour presque la soulever et la jeter à terre sur le côté. Elle criait et je savourais ce gémissement plaisant. Je me retournais vers Joann pour lui tendre ma main afin qu’elle puisse se relever « C’est pas le moment de flancher ». Une fois debout nos regards se croisèrent avant de se reporter sur la pétasse à terre.

J’allais pour m’avancer mais je n'eut pas le temps de voir un pied de biche s’abattre sur moi et me faire perdre l'équilibre. Une douleur lancinante se propagea dans tout mon cou jusqu'à ma tête. Ce qui me fit reculer pour ensuite heurter le sol une seconde fois, mes mains sur la nuque. Le salop m'avait bien eut. Malgré cette souffrance, car protégé à moitié par le gilet, je ne me suis pas pour autant laissé aller et me relevait pour le défoncer une bonne fois pour toute …

Spoiler:

26/07/1993

Lisandro avait capté son attention à présent, Eli était sauf – pour l’instant. Mais Lisandro était concentré sur ce militaire en face de lui qui cherchait désespérément une arme de substitution. Un rire glacial s’échappa de sa gorge. De ce genre de rire que l’on ne pensait jamais entendre de Lisandro, mais qui collait parfaitement avec son statut de croquemort. L’autre n’était plus qu’un mort en sursis. Ils allaient tous payer. Ils allaient tous crever. Soudain son bras se détendit, et le pied de biche percuta sa nuque, déchirant la peau, touchant la carotide, éclaboussant le visage du chilien de sang chaud. Il le regarda tomber, le sourire aux lèvres, le regard perdu, loin à des lieues d’ici.

« Et un de moins. A qui l'tour ?! » Sa voix était enjouée, troublée par l’adrénaline et la folie qui hantait son esprit. Alma était morte. Plus rien d’autre ne comptait.

Puis il balaya les lieux du regard, cherchant sa nouvelle cible. Il était de dos quand le grand brun qui avait retenu Juliet en otage lui tira dessus. La balle le toucha à l’épaule droite, juste au-dessus des trapèzes et ressortit à peine. L’adrénaline, la douleur mentale et maintenant physiquement lui coupait toute sensation réelle. Cela brûlait, ça faisait mal putain ! Mais c’était une information qu’il ne ressentait pas encore de façon intense. Il se savait blessé et se disait qu’il devrait être en train de morfler. Du bout des doigts, il acheva de déloger la balle qui n’était pas tombée toute seule. Puta madre. Puis dans un état second, il chercha le responsable. Le brun s’en était pris à Sarah, aux prises avec l’assassine d’Alma. Il le vit agripper ses cheveux et la tirer en arrière sèchement. Il s’avançait vers elle, menaçant. Mais Lisandro s’élança, levant son pied de biche qu’il abattit violemment sur Lucas. Le chilien visait la nuque, mais dans son empressement, le choc fut à moitié amorti par le gilet pare-balle, mauvais angle. Mais cela suffit pour détourner le brun de Sarah et le faire se diriger droit sur lui. Lisandro souriait. Vraiment.

« Tu commences quelque chose, tu finis, tu t’dédoines pas Gringo. » Lisandro pouvait mourir, ça lui était égal. Il n’avait plus grand-chose à perdre.

Le gars en face lui fonça dessus, et le chilien prépara son pied de biche pour le recevoir en beauté, il visait les jambes pour le faire tomber. S’il y parvenait, le brun risquait fort de s’écrouler à terre, peut-être même réussirait-il à le blesser.

Spoiler:

*Tir*
Arme de poing	x
Arme de tir	x
Fusil	x
Arme lourde	x

*Physique*
Force	x
Endurance	x
Natation	x
Escalade	x
Réflexe	x
Lancer	x
Bonus combat	x

*Habileté*
Dextérité	x
Agilité	x
Vitesse	x
Discrétion	x
Conduite	x

*Spécifique*
Stratégie	x
Médecine	x
Pistage	x
Bricolage	x
Organisme	x

*Psychologique*
Perception	x
Pragmatisme	x
Intuition	x
Persuasion	x
Contenance	x
Menace	x

*Physique*
Force	5 +3
Endurance	6
Natation	4
Escalade	6
Réflexe	5 +1
Lancer	5
Bonus combat	+2