3 participants
Re: Opération 3 : Where are you cop ?
Dim 14 Jan 2018 - 19:02
Savoir la jeune femme, seule, à l’intérieur du bâtiment, était horriblement angoissant. Qu’allait-elle bien pouvoir rencontrer là-dedans ? Isaac ne voulait pas y penser. Néanmoins, Lisandro se voulut rassurant, expliquant au cinquantenaire qu’Andrea allait essayer de trouver une issue pour qu’ils puissent la rejoindre, appuyant ses derniers mots pour lui confirmer qu’elle serait prudence. Ça, le vieux Greene n’en doutait pas, mais il aurait aimé être près d’elle, si jamais les choses tournaient mal. S’il devait arriver quoique ce soit à la métisse, les deux hommes se retrouveraient impuissants. Et elle serait contrainte de se débrouiller seule.
Une fois que l’ancienne régisseuse retourna à ses fouilles, Lisandro lui proposa de s’attaquer au cadenas de l’entrée principale. Visiblement, Andrea n’avait pas rencontré de menaces pour l’instant. Peut-être était-ce plus judicieux de la rejoindre maintenant ? Pour lui éviter d’avoir à trouver une autre issue toute seule ? Cela semblait être une solution oui. Et le cavalier approuva l’idée. « Oui, vas-y. Je surveille les environs… » Le chilien allait forcément faire un peu de bruit.
Son acolyte se mit alors au travail, passant le pied de biche dans la chaîne qui maintenait la porte principale. Puis, de toute ses forces, il tenta de faire céder le cadenas. Malheureusement, la tige métallique glissa. Seul un cliquetis bruyant se fit entendre, la porte resta fermée, mais le bruit avait alerté les créatures aux alentours. Elles ne tarderaient pas à les rejoindre, pour sûr. Alors que l’autre homme allait réessayer de faire sauter le verrou qui les empêchait d’entrer, la voix d’Andrea se fit entendre à nouveau. Une nouvelle fois ses partenaires échangèrent quelques mots, puis la métisse disparut encore une fois.
Lisandro retourna alors près de la porte, prêt à refaire un essai. Mais quelque chose alerta Isaac dans le dos du chilien. « Derrière toi ! » Signifia alors Isaac à son compère, alors qu’une silhouette venait d’apparaître quelques mètres derrière lui. Le père de famille avait également repéré deux autres créatures dont les râles l’avaient interpellé. Et si l’un d’eux était encore à bonne distance, l’autre se rapprochait dangereusement. Il ne tarda donc pas à s’approcher, jusqu’à attraper le rôdeur à la gorge tout en évitant ses mains décharnées. Une fois encore, son couteau transperça le crâne putride, avant de laisser le corps s’écrouler devant lui.
Il releva les yeux, surveillant la progression de la seconde silhouette, le rôdeur était encore loin. Alors l’homme redirigea son attention vers Lisandro qui n’avait toujours pas réussi à venir à bout du cadenas. Isaac pressa alors le pas, retournant auprès du chilien. « Attends, je vais t’aider. » Dit-il alors que Lisandro venait de repasser le pied de biche dans la chaîne. A deux, ils appuyèrent alors sur la tige gelée par le froid, tenant chacun un côté. De toutes ses forces, Isaac fit pression sur l’objet. « On y est presque ! » Souffla alors le plus vieux des deux, les joues rougies par l’effort et le froid.
- Invité
- Invité
- Casier judiciaire
- Feuille de personnage
Re: Opération 3 : Where are you cop ?
Dim 14 Jan 2018 - 19:57
Isaac s’occupait des morts qui arrivaient sur eux, alors que lui, après s’être débarrassé de celui qui avait voulu les prendre à revers, le chilien s’échinait à briser ce cadenas, enfin. Il devenait urgent de rejoindre Andrea à l’intérieur, non pas que la jeune femme soit en mauvaise posture – pas encore – mais il serait plus tranquille en étant avec elle. Isaac partageait la même appréhension, la même inquiétude. S’il arrivait quelque chose à Andrea … Ils ne s’en remettraient probablement pas. De ce fait, ils ne pouvaient plus se permettre de perdre qui que ce soit. Le groupe avait sérieusement été affecté par la mort d’Alma, arrivée récemment. Si l’un des piliers de la prison venait à disparaitre … Qu’en serait-il d’eux ? Le chilien mit encore plus de cœur et de détermination dans son œuvre pourtant, forcé d’admettre qu’il n’y arriverait pas tout seul, il accepta l’aide du cavalier avec soulagement. La menace était toujours là, mais ils avaient un peu de temps. A deux, le cadenas finit par sauter, enfin. Mais non sans faire un bruit monstre alors qu’il tomba à terre en faisant vibrer la porte. « On n’a plus qu’à… » Mais le dernier mort arrivait, il avait failli l’oublier. D’un signe de tête, il invita Isaac à ouvrir la porte pendant qu’il s’en occupait.
En garde, son pied de biche près à frapper, il attendit que le mort, ralenti par le froid ne se précipite sur lui pour lui envoyer son arme d’un bon revers. L’aberration de la nature s’écroula au sol, et le chilien s’assura qu’il était bien mort en enfonçant le talon de sa chaussures dans le crâne fragile du cadavre. Il ne se relèverait pas. Par contre, récupérer les vêtements de Lisandro après ce carnage ne serait pas une mince affaire. Il rejoignit son aîné pour l’aider à ouvrir totalement la porte. Elle grinça légèrement mais aucune mauvaise surprise ne leur sauta à la figure. Pas de trace d’Andrea non plus, pourtant, elle avait dû entendre la porte s’ouvrir, non ? Dans l’entrée, ils découvrirent les lieux, brièvement. Jusqu’à ce que Lisandro appel, inquiet. « Andrea ? » La brune fit quelques pas dans leur direction pour attirer leur attention, et en jetant un dernier coup d’œil à Isaac pour être certain qu’il suivait, il partit rejoindre la jeune femme. Il était soulagé de la trouver là. Elle lui indiqua la porte, un peu récalcitrante. Et, un peu plus confiant, il fit sauter son pied de biche dans sa main. « On ouvre ensemble ? » Ils étaient bien mieux ensemble. Alors d’un geste, Lisandro plaça son arme-outil contre le chambranle et poussa, jusqu’à ce que la porte s’ouvre d’elle-même, en grand.
- Lisandro Sedillo
The Hallows | Conseil
- Casier judiciaire
- Feuille de personnage
Re: Opération 3 : Where are you cop ?
Dim 14 Jan 2018 - 20:01
Essayer d’ouvrir le cadenas ? Andrea hocha la tête. C’était peut-être le mieux à faire, étant donné qu’elle mettait son temps à trouver ce qu’il fallait pour le faire de son côté. Mais le cas échéant, il faudrait faire vite, ou alors éliminer la menace qui s’approcherait forcément. Sourire assuré aux lèvres, la brune repartit de son côté pour aller au-devant du dernier bureau qui aurait peut-être la réponse à ses questions. Ce fut à cet instant qu’elle remarqua qu’elle avait gardé la peluche. La dégageant de sous son bras, elle la déposa sur une surface près de l’entrée, avant de la dépasser. Presque noblement, comme s’il s’agissait d’un dernier endroit où l’enfant qui avait vécu ici pourrait se reposer.
Devant le bois, elle tenta par deux fois de tourner la poignée. De l’agiter, d’essayer en tout cas, sans que ça ne l’ouvre. En forçant, elle comprit alors qu’elle était très probablement verrouillée, ou alors que quelque chose devait être couché de l’autre côté. Vu le battement qu’elle parvenait à avoir, la deuxième option ne semblait pas être la bonne, aussi tenta-t-elle d’ouvrir en essayant d’enfoncer la porte, sans y parvenir. La douleur qu’elle éprouva par contre à son épaule fut cependant une évidence de son échec. Mâchoire serrée, elle grogna de mécontentement en venant frotter sa veste pour essayer de faire passer ce qu’elle ressentait.
Ce fut à cet instant que le bruit derrière la porte stoppa, qu’elle entendit la chaîne glisser et que les garçons purent rentrer à leur tour. Le temps de se faire à la luminosité du lieu, elle leur fit un signe et désigna l’entrée qui la gênait :
«La dernière porte est fermée, je n’arrive pas à l’ouvrir. » Affirma-t-elle en laissant la place aux duos.
Devant le bois, elle tenta par deux fois de tourner la poignée. De l’agiter, d’essayer en tout cas, sans que ça ne l’ouvre. En forçant, elle comprit alors qu’elle était très probablement verrouillée, ou alors que quelque chose devait être couché de l’autre côté. Vu le battement qu’elle parvenait à avoir, la deuxième option ne semblait pas être la bonne, aussi tenta-t-elle d’ouvrir en essayant d’enfoncer la porte, sans y parvenir. La douleur qu’elle éprouva par contre à son épaule fut cependant une évidence de son échec. Mâchoire serrée, elle grogna de mécontentement en venant frotter sa veste pour essayer de faire passer ce qu’elle ressentait.
Ce fut à cet instant que le bruit derrière la porte stoppa, qu’elle entendit la chaîne glisser et que les garçons purent rentrer à leur tour. Le temps de se faire à la luminosité du lieu, elle leur fit un signe et désigna l’entrée qui la gênait :
«
Oh, my eyes are seein' red. Double vision from the blood we've shed. The only way I'm leavin' is dead : That's the state of my head
- Melvin J. Black
- Administratrice
- Casier judiciaire
- Feuille de personnage
Re: Opération 3 : Where are you cop ?
Dim 14 Jan 2018 - 22:31
Le cadenas résista plusieurs fois, jusqu’à finalement céder. Ils avaient réussi, enfin. Mais c’était sans compter tout le raffut qu’ils avaient été obligés de faire. Le verrou était tombé au sol, avant que les chaînes ne viennent cogner contre la porte principale. Le chilien laissa Isaac se charger de défaire la chaîne afin d’ouvrir la porte pendant qu’il se chargeait du rôdeur qui n’était plus qu’à quelques mètres. Ce ne fut pas difficile pour le doc’ de s’en débarrasser. Le corps putride s’affala sur le sol enneigé, après quoi le pied du brun vint exploser son crâne.
Ils pouvaient à présent pénétrer dans le commissariat. Attendant que Lisandro revienne à sa hauteur, ils entrèrent ensemble dans le bâtiment. A l’intérieur, l’obscurité était oppressante, tout comme l’odeur désagréable qui vint démanger les narines du vieil homme. Où était Andrea ? Le chilien l’appela. Et ce fut avec soulagement qu’Isaac l’aperçut un peu plus loin. Heureusement pour eux, il ne lui était rien arrivé. Elle avait essayé de pénétrer dans le troisième bureau mais la porte était restée close. Le plus jeune des deux hommes, aidé de son pied de biche, força alors la porte. Aidé de la métisse ils parvinrent enfin à la faire céder. Isaac était resté en retrait, surveillant l’entrée. Attentif au moindre bruit suspect qui pourrait venir de l’extérieur. Une fois le bureau ouvert, il laissa le duo y entrer, montant toujours la garde. Que pouvait-il bien y avoir là-dedans ? Il n’allait pas tarder à le savoir.
- Invité
- Invité
- Casier judiciaire
- Feuille de personnage
Re: Opération 3 : Where are you cop ?
Dim 14 Jan 2018 - 22:54
La porte céda sous les à-coups du pied de biches qu’ils avaient. Elle grinça lorsqu’elle la repoussa du plat de la main et qu’elle pénétra avant les deux autres dans la pièce. La pénombre toujours et à travers elle, Andrea devina la forme des différents meubles et finalement l’utilité de la pièce. Une chambre d’enfant. Ses yeux allèrent du lit défait aux différents jouets à même le sol qu’elle bouscula du pied. Son cœur se serra. Elle ne savait pas vraiment à quoi elle s’attendait en venant ici, ce qu’elle voulait y découvrir à dire vrai. Mais elle ne pouvait s’empêcher d’être déçue, sans s’expliquer auprès de ses coéquipiers d’infortunes.
Lèvres pincées, elle sonda les lieux du regard pour essayer de trouver quoi faire. Elle ne savait plus ce qu’elle cherchait désormais, puisque les deux hommes étaient rentrés. De quoi défaire la dernière porte peut-être, ce qui serait pas mal ? Un doute la prit de pouvoir trouver quoi que ce soit ici. Là encore, elle garda simplement le silence en entamant une fouille des livres qu’elle trouvait, sans certitude de ce qu’elle faisait. Jusqu’à ce coffre sur lequel son regard se riva, avant qu’elle ne s’en approche pour trouver une petite boite métallique.
Elle se pencha, l’attrapa, l’agita pour essayer de savoir ce qu’il y avait dedans. Andrea se sentait au milieu d’une vie, impudique, à explorer l’intimité d’une personne qu’elle ne connaissait même pas. Elle revivait les derniers instants d’un enfant au sein de ces lieux, et les marques qui restaient de lui l’inquiétaient davantage que le reste. Qu’était-il devenu ? Ou se trouvait-il ? Pourquoi est-ce que ce commissariat était vide ? Il y avait une histoire qu’elle ne parvenait pas à deviner. Il s’était passé quelque chose, de grave. Le cœur toujours noué, elle se tourna vers les hommes derrière elle :
«Je ne peux pas l’ouvrir. » Fit-elle en tendant la boite pour qu’un autre s’en charge à sa place : Lisandro le fit, tordant la serrure alors qu'elle se redressait pour découvrir avec eux ce qu'elle contenait. Il n’y avait aucune certitude sur l’utilité de le faire cependant, mais Andrea se passait d’explication : elle avait, pour le coup, besoin de savoir. Et elle ne viendrait pas s’expliquer sur le pourquoi du comment.
Lèvres pincées, elle sonda les lieux du regard pour essayer de trouver quoi faire. Elle ne savait plus ce qu’elle cherchait désormais, puisque les deux hommes étaient rentrés. De quoi défaire la dernière porte peut-être, ce qui serait pas mal ? Un doute la prit de pouvoir trouver quoi que ce soit ici. Là encore, elle garda simplement le silence en entamant une fouille des livres qu’elle trouvait, sans certitude de ce qu’elle faisait. Jusqu’à ce coffre sur lequel son regard se riva, avant qu’elle ne s’en approche pour trouver une petite boite métallique.
Elle se pencha, l’attrapa, l’agita pour essayer de savoir ce qu’il y avait dedans. Andrea se sentait au milieu d’une vie, impudique, à explorer l’intimité d’une personne qu’elle ne connaissait même pas. Elle revivait les derniers instants d’un enfant au sein de ces lieux, et les marques qui restaient de lui l’inquiétaient davantage que le reste. Qu’était-il devenu ? Ou se trouvait-il ? Pourquoi est-ce que ce commissariat était vide ? Il y avait une histoire qu’elle ne parvenait pas à deviner. Il s’était passé quelque chose, de grave. Le cœur toujours noué, elle se tourna vers les hommes derrière elle :
«
Oh, my eyes are seein' red. Double vision from the blood we've shed. The only way I'm leavin' is dead : That's the state of my head
- Melvin J. Black
- Administratrice
- Casier judiciaire
- Feuille de personnage
Re: Opération 3 : Where are you cop ?
Lun 15 Jan 2018 - 8:47
Dans la chambre d'enfant de fortune, vous avez trouvé cette petite boite métallique qui contient un trousseau de clés. Les clés sont au nombre de
Alors que vous discutez de la meilleure marche à suivre, vous entendez un bruit derrière la porte fermée à l'intérieur, celle qui semble mener vers l'arrière du bâtiment. Il s'agit d'un coup, répété, irrégulier, un tintement métallique. Mais vous n'avez pas le temps de vous en inquiéter davantage que des rôdeurs font irruption dans le commissariat, comme s'ils avaient attendu sagement leur heure. Vous devez vous débarrasser des rôdeurs avant de faire quoique ce soit, et vite car derrière la mort rampante vous apercevez une silhouette qui referme rapidement les portes. Vous êtes pris au piège.
• C'est un groupe de11 , un premier avance rapidement versIsaac . Vous ne pourrez pas en tuer plus de2 par post.
• La porte principale du commissariat a été verrouillée, sans doute avec un même système de chaines et de cadenas, vous n'êtes pas dehors pour le voir mais c'est ce que vous supposez. Si vous essayez de passer par la fenêtre qui a permis àAndrea d'entrer, vous tomberez nez à nez avec un rôdeur qui vous bloque la route.
• Vous disposez de5 clés et il n'y a qu'un cadenas à ouvrir pour accéder à l'arrière du bâtiment. Lancezun seul dé simple pour chaque tentative de clé :
- chiffrepair c'est raté, chiffreimpair , lancez undé spécial pour confirmer votre réussite.
- si vous échouez encore à la quatrième tentative, bien évidemment la cinquième clé sera la bonne et vous pourrez passer à la suite que je vous donnerai le moment venu.
• Pour l'instant il ne sert à rien d'essayer de sortir du commissariat, vous y êtes bel et bien piégés.
• N'hésitez pas à vous concerter ou à poser vos questions sur le flood de l'opération.
• Vous avez jusqu'au 17/01 à 23h59 pour ouvrir la porte qui mène à l'arrière. Si vous terminez avant, n'hésitez pas à le signaler dans le flood. Bonne chance !
- Maitre du Jeu
- Survivor
- Casier judiciaire
- Feuille de personnage
Re: Opération 3 : Where are you cop ?
Lun 15 Jan 2018 - 11:08
Elle regarda par-dessus l’épaule de Lisandro, pour voir de quoi il s’agissait. Cinq clés, dans cette boite. Cinq clés. Elle n’en demandait pas tant de son côté, mais maintenant qu’ils les avaient, il faudrait très justement s’en servir. Tout du moins, Andrea crut qu’elle en aurait le temps pour déterminer leur utilité, ceux avant qu’un bruit n’attire son attention avant d’être recouvert par les grognements. Un échange de regard avec le chilien plus tard, ils retournèrent tous dans l’entrée pour voir ce qu’il se passait, et l’arrivée de la grosse dizaine de rôdeurs avec la porte refermée derrière la laissa sur le cul.
Son cœur rata à battement. On les avait piégés là… Andrea n’eut pas le temps de déterminer le qui du pourquoi du comment. Quelqu’un avait fait ça, et ils ne pouvaient pas rester là bêtement en attendant de se faire bouffer. De toute façon, elle en oublia tout dès lors qu’un premier mort s’approcha trop près d’Isaac et qu’elle l’accueillit d’un coup dans la tempe avant même qu’il ne puisse agripper le bras de l’homme. Maintenant, elle était en colère, c’était bien joué :
«Son of a bitch ! » Grogna-t-elle, à l’adresse de celui qui les avait coincé là et qui allait bientôt passer un sale quart d’heure quand elle lui aurait mis la main dessus.
Il fallait pour l’instant parer au plus pressé : les cadavres qui couvraient déjà la pièce. D’un geste du pied, elle en repoussa un second pour l’envoyer au sol et ralentir la progression des autres vers eux pendant que sa lame défigura le visage d’un troisième à sa portée avant de l’embrocher par l’œil sans plus de cérémonie.
Son cœur rata à battement. On les avait piégés là… Andrea n’eut pas le temps de déterminer le qui du pourquoi du comment. Quelqu’un avait fait ça, et ils ne pouvaient pas rester là bêtement en attendant de se faire bouffer. De toute façon, elle en oublia tout dès lors qu’un premier mort s’approcha trop près d’Isaac et qu’elle l’accueillit d’un coup dans la tempe avant même qu’il ne puisse agripper le bras de l’homme. Maintenant, elle était en colère, c’était bien joué :
«
Il fallait pour l’instant parer au plus pressé : les cadavres qui couvraient déjà la pièce. D’un geste du pied, elle en repoussa un second pour l’envoyer au sol et ralentir la progression des autres vers eux pendant que sa lame défigura le visage d’un troisième à sa portée avant de l’embrocher par l’œil sans plus de cérémonie.
- Spoiler:
- Plus que 9 morts !
Oh, my eyes are seein' red. Double vision from the blood we've shed. The only way I'm leavin' is dead : That's the state of my head
- Melvin J. Black
- Administratrice
- Casier judiciaire
- Feuille de personnage
Page 4 sur 14 • 1, 2, 3, 4, 5 ... 9 ... 14
Page 4 sur 14
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum